Ammar 404
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"عمار 404" était un terme utilisé en Tunisie pour désigner le système de surveillance et de censure électronique mis en place sous le régime de Zine El Abidine Ben Ali. Ce surnom faisait référence à l'erreur commune '404 not found' et se moquait des efforts des autorités tunisiennes pour surveiller et bloquer l'accès à de nombreux sites web et blogs critiquant ou s'opposant aux politiques gouvernementales. La censure visait principalement à réprimer les opinions d'opposition et les critiques politiques, restreignant ainsi la liberté d'expression et les pratiques démocratiques dans le pays.

مدعوم بالذكاء الاصطناعي التوليدي التجريبي من نواة AI ASSISTANT


Région trouvées

Sidi Bouzid Kasserine Djebel Chambi

عمار 404…و القصف العشوائيّ

““عمار 404″ هو الاسم الذي ابتدعه المدونون التونسيون للرقابة التي تفرضها الحكومة على المواقع الإخبارية والسياسية المعارضة وعلى العشرات من المدونات التي وجد فيها الشباب متنفسا جيدا يعوّض عنهم احتكار الحزب الحاكم للفضاءات الإعلامية الأخرى ومنابر الحوار التي تمّ تدجينها تدجينا غير مسبوق. و”عمار 404″ تسمية طريفة للدلالة على المصالح التونسية التي تراقب الانترنت، وتثير الفوضى في الفضاء الالكترونيّ […]

Terrorisme et TIC : Carte blanche à Ammar404 !

La loi de lutte anti-terrorisme du 25 juillet 2015 apporte certes en apparence son lot de nouveautés en matière de crimes liés aux nouvelles technologies, mais plusieurs de ses dispositions contiennent des lacunes, comme les vagues définitions, les privilèges d’immunité accordés aux investigateurs, les atteintes aux droits fondamentaux tels que le droit à la vie privée ainsi que le droit d’accès à l’information, et l’exclusion de l’instance de protection des données à caractère personnel de la composition de l’ultra-commission de lutte contre le terrorisme.

Tunisie, le scandale de la 403 maquillée en 404

c’est ainsi que des partis politiques tels le PDP ou le Forum démocratique reconnus pourtant par la loi, (loi votée par l’Assemblée nationale), des partis auxquels la Constitution confie un rôle majeur au sein des institutions républicaines et démocratiques, des partis auxquels la loi fondamentale tunisienne confère un rôle « d’encadrement des citoy […].