"عمار 404" était un terme utilisé en Tunisie pour désigner le système de surveillance et de censure électronique mis en place sous le régime de Zine El Abidine Ben Ali. Ce surnom faisait référence à l'erreur commune '404 not found' et se moquait des efforts des autorités tunisiennes pour surveiller et bloquer l'accès à de nombreux sites web et blogs critiquant ou s'opposant aux politiques gouvernementales. La censure visait principalement à réprimer les opinions d'opposition et les critiques politiques, restreignant ainsi la liberté d'expression et les pratiques démocratiques dans le pays.
مدعوم بالذكاء الاصطناعي التوليدي التجريبي من نواة
En Tunisie, la surveillance à la « Big Brother » a un sobriquet: Ammar 404
Un jeu de mots sur le message “Error 404” des sites bloqués, les blogueurs l’imaginent comme chef de surveillance de l’état policier du dictateur Zine El Abidine Ben Ali. Avec l’aide directe et indirecte de la part des fournisseurs américains et européens, […]
Départ à la retraite du Général Ammar : L’annonce explosive
La bombe d’avant hier soir : l’annonce faite en direct à la télévision, et dont Ettounsiya TV a eu la primeur, c’est bien l’annonce par le Général Rachid Ammar de son départ volontaire à la retraite !
Le général Rachid Ammar: «L’armée nationale se porte garante de la Révolution »
Dans un discours improvisé sur l’esplanade de la Kasbah, devant des centaines de manifestants rassemblés près des bureaux du Premier […]
Rachid Ammar, homme fort de la Tunisie : « L’armée ne tire pas »
Sur le papier, Fouad Mebazaa est officiellement président par intérim. Mais l’ancien président de la Chambre des députés, 78 ans, […]
Terrorisme et TIC : Carte blanche à Ammar404 !
La loi de lutte anti-terrorisme du 25 juillet 2015 apporte certes en apparence son lot de nouveautés en matière de crimes liés aux nouvelles technologies, mais plusieurs de ses dispositions contiennent des lacunes, comme les vagues définitions, les privilèges d’immunité accordés aux investigateurs, les atteintes aux droits fondamentaux tels que le droit à la vie privée ainsi que le droit d’accès à l’information, et l’exclusion de l’instance de protection des données à caractère personnel de la composition de l’ultra-commission de lutte contre le terrorisme.
Tunisie, le scandale de la 403 maquillée en 404
c’est ainsi que des partis politiques tels le PDP ou le Forum démocratique reconnus pourtant par la loi, (loi votée par l’Assemblée nationale), des partis auxquels la Constitution confie un rôle majeur au sein des institutions républicaines et démocratiques, des partis auxquels la loi fondamentale tunisienne confère un rôle « d’encadrement des citoy […].