Le SNJT et RSF s’occupaient déjà de recenser les actes de violence et les agressions à l’égard des journalistes. Le Centre de Tunis pour la Liberté de la Presse (CTLP) s’y met aussi, espérant ainsi que le fait de multiplier les voix permettra de faire baisser ce type d’acte.
Ces gaz lacrymogènes qui nous empoisonnent : Les effets du CS sur la santé
Les manifestations ont cessé à Siliana, les gaz lacrymogènes se sont dispersés depuis longtemps mais leurs conséquences, elles, peuvent encore se faire sentir. L’utilisation des gaz lacrymogènes à base de CS est un véritable danger pour la santé.
Médias : les décrets-lois 115 et 116 seront-ils appliqués un jour ?
Si la Tunisie était dotée d’une instance de régulation des médias l’affaire de l’interview de Slim Chiboub aurait pu se passer autrement, c’est en tout cas ce qu’explique le SNJT. Encore une fois le vide juridique du fait de la non mise en œuvre des décrets-lois 115 et 116 pose problème. Reste que ce vide ne devrait pas perdurer.
Zarzis : Coup de pouce économique pour les harragas qui rentrent
Après la révolution de nombreux jeunes ont quitté la Tunisie sur des barques de fortune pour tenter leur chance en Europe. Mais après quelques temps en Italie ou en France la désillusion a été forte pour beaucoup d’entre eux qui ont fini par rentrer en Tunisie de leur plein gré ou suite à un renvoi.
Violences faites aux femmes : 16 jours d’activisme en Tunisie
Ce n’est plus un secret : chaque jour des femmes tunisiennes sont victimes de violence physique, verbale, sexuelle, économique… Pendant longtemps la société civile a dénoncé ces agissements qui étaient commis aussi bien par des citoyens que des membres des forces de l’ordre.
Jardins d’enfants coraniques : Zone de non droit ?
La polémique continue autour des jardins d’enfants coraniques qui auraient ouvert de manière anarchique un peu partout dans le pays. Les différents ministères se rejettent la faute et il est vrai qu’il est difficile de tirer les responsabilités au clair. Tour de table de la situation.
Femme tunisienne : Les mécanismes pour se faire une place en politique
Quelle place pour les femmes sur la scène politique en Tunisie ? Alors que les femmes construisent chaque jour la Tunisie nouvelle et que des élections doivent avoir lieu l’année prochaine, deux événements ont eu lieu au début du mois de novembre à Tunis, autour de la question du rôle de la femme en politique.
Camp de Choucha : la vie en suspens dans le café des migrants
L’afflux de population à la frontière tuniso-libyenne a nécessité l’ouverture d’un camp à Choucha, prés de la ville frontière de Ben Guerdane, au sud de l’île de Djerba. Alors que la plupart des migrants qui y ont trouvé refuge sont rentrés chez eux, d’autres ne l’ont pas quitté.
Bilan d’un an de “légitimité”. Droits des femmes : Un statu quo au goût de recul
L’année écoulée en Tunisie aura été rude pour les femmes : elle aura commencé avec une Souad Abderahim, députée du parti Ennahdha qui crachait sur les mères célibataires et elle aura fini avec deux policiers accusés du viol d’une jeune fille.
Média : Mohamed Rammeh citoyen-journaliste
A Kairouan Mohamed Rammeh, jeune étudiant, a crée une web radio il y a trois ans déjà. Ce jeune DJ ne pensait pas un jour devenir citoyen-journaliste. A sa manière il oeuvre à créer une information plus juste en Tunisie.
Un an dans les médias : Une année difficile
Après une année difficile les journalistes ont l’air d’avoir enfin réussi à s’unifier. Le combat se tourne de plus en plus vers la liberté de la presse. Une liberté qui ne pourra être assurée que lorsque les médias seront indépendants et ce principe a l’air d’avoir été intégré par tous les professionnels du secteur
Dar Assabah : La démission de Lotfi Touati
A peine plus de deux mois aprés sa nomination au poste de DG de Dar Assabah, Lotfi Touati s’en va. Le sit-in et les grèves de la faim des journalsites leurs auront permis d’avoir gain de cause. A travers l’affaire de Dar Assabah c’est tous les médias tunisiens qui reprennent espoir : car une première bataille en faveur de la liberté de la presse vient d’être remportée.
Rapport d’Amnesty International : « Un pas en avant, deux pas en arrière ? »
Le dernier rapport d’Amnesty International est lui aussi démoralisant. « Un pas en avant, deux pas en arrière ? » Le titre interrogateur est facilement transposable à l’affirmative : utilisation excessive de la force, torture et mauvais traitement, peine de mort maintenue ou encore liberté de la presse malmenée…
Tunisie : RSF demande au gouvernement des éclaircissements sur les décrets-lois 115 et 116
La situation des médias est donc toujours en suspend. Reporters Sans Frontières vient de publier un communiqué qui salue l’annonce de l’application des décrets-lois, tout en demandant des éclaircissements.
Le quotidien La Presse : Querelles internes par communiqués interposés
L’édito de La Presse d’aujourd’hui, vendredi 19 octobre, est-il à prendre au deuxième degré ? L’auteur y parle de « l’effort commun » des journalistes lors de la grève générale du 17 octobre et du fait que la grève a été massivement suivie. Pourtant sa publication a brisée la grève en publiant un numéro quasi complet…
La Radio Nationale à la dérive ?
Depuis le mois d’avril, la Radio Nationale va mal. Les petits conflits s’accumulent. Pour les employés et journalistes de la radio cette situation est la conséquence directe de la mise en place, à la tête de la Radio Nationale, de Mohamed Meddeb, un ancien employé du service technique, parachuté à la place de Président Directeur Général (PDG).
Médias : Application du décret-loi 116. Enfin!
Le gouvernement a fini de tourner en rond en ce qui concerne les médias ou en tout cas semble enfin faire un pas en avant. Après avoir baladé les décrets-lois 115 et 116 de consultations nationales en commission parlementaire il a enfin décidé d’activer le décret-loi 116. Il était temps.
“Etre noir-e dans la verte” : les couleurs de la société
Jusqu’à la fin du mois d’octobre l’espace El Teatro à Tunis organise toute une programmation avec exposition d’oeuvres d’art, performances, pièce de théâtre, conférences et ateliers. Une programmation qui a pour titre ” Etre noir-e dans la verte ” et qui donne à réfléchir sur la place des Noirs Tunisiens au sein de la société. Un événement inédit et qui traite d’une valeur importante : la tolérance.