Dette odieuse 35

Analyse de La Lettre d’intention de la Tunisie envers le FMI : Dernière étape avant la colonisation

Comme nous l’avons analysé dans notre article « Prêts en échange de réformes libérales », Le gouvernement tunisien, qui s’est décidé à se financer auprès du FMI, après la dégradation de notre note souveraine par la plupart des agences de notations internationales et l’épuisement de toutes les garanties de nos partenaires, est officiellement en pourparlers avec l’institution de Washington dans le cadre du prêt de précaution d’un montant de 2,7 Milliards de Dinars ( 3.92% du PIB).

La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2010. Par II : Du Mensonge à l’appauvrissement de la Tunisie

La seconde partie, éminemment plus technique aborde désormais les mécanismes d’appauvrissement par la dette extérieure sous et après le régime dictatorial de Ben Ali. Il est également question de révéler, outre les responsabilités du despote, de pointer du doigt les créanciers qui se sont outrageusement enrichi sur le compte des tunisien.

La dette extérieure de la Tunisie 1970 – 2011. Part I : Du Mensonge à la vérité

Le gouvernement de Beji Caid Essebsi, suivi de celui dominé par Ennahdha ont tous les deux poursuivi inexorablement les crimes de la dictature en matière d’endettement. Ils ont tous les deux ignoré la volonté du peuple tunisien et les objectifs de sa révolution qui lui a été confisquée dans une stratégie de choc sociaal et de contre révolution. Ben Ali en a rêvé, Beji Caid Essebsi et les salafistes d’Ennahda l’ont fait.

La dette extérieure de la Tunisie face aux revenus de l’Etat

Dans ce nouvel article je souhaite poursuivre le raisonnement en confrontant la dette aux revenus de l’état tunisien. En effet, il est raisonnable d’analyser la dette en fonction des capacités de l’état à la rembourser, c’est-à-dire en fonction de ses revenus. L’objectif est donc d’étudier les revenus de l’état tunisien, leur évolution, leur décomposition et enfin d’analyser la dette en pourcentage de ses revenus.

Lettre à Barack Obama, Président des États-Unis

Par Mondher Smida- D’après l’économiste russe, Alexander Nahum Sack, la dette d’un pays n’est pas légitime quand un régime despotique emprunte: a) “pour renforcer ses pouvoirs, pour combattre le soulèvement de son peuple, etc.” b) “à l’encontre du bien du peuple ou des meilleurs intérêts de l’Etat,” et c) “avec la participation de créanciers informés de la situation.”

La Tunisie doit honorer sa dette

Par Slim Dali – Un article paru sur Nawaat est en faveur de l’annulation de la dette en Tunisie. Les limites de cette demande ainsi que la situation budgétaire de la Tunisie, amènent à concevoir que le pays doit payer sa dette et solliciter plutôt de nouveaux prêts pour des investissements productifs et créateurs de richesse.