A première vue la menace de gréve de la faim émanant de 200 imams n’est rien d’autre qu’un conflit entre le ministère des Affaires religieuses et des imams mécontents. Mais finalement derrière la question des nominations et des conditions de travail se pose en fait celle de la neutralité des imams et du contrôle des mosquées.
Extremism 2
Tunisie: l’ex-président du parti islamiste Ennahdha renvoyé en prison
TUNIS – L’ex-président du mouvement islamiste tunisien interdit Ennahdha (Renaissance) Sadok Chourou, libéré début novembre après 18 ans de prison, […]