Ni héros ni victimes, les toxicomanes en sevrage luttent pour un espoir légitime qu’est de vivre dignement et en bonne santé. Au delà de ce qu’ils demandent, à leurs niveaux personnels, ces activistes, comme nous l’a montré Elyes, tirent une sonnette d’alarme sur l’urgence de protéger les générations futures de cette « peste » (le Subutex) et prévenir les catastrophes qui en découlent et qui affectent les populations les plus démunies de la Tunisie.
