La Banque Centrale justifie la hausse du taux directeur par ses efforts visant à contenir le taux d’inflation. Or le précédent gouverneur de l’institution, a eu six fois recours à la même mesure en moins de six ans, sans parvenir à freiner durablement la hausse des prix. Pis : cet instrument de politique monétaire affecte directement la croissance économique, et donc l’emploi.
L’évidence que les banques publiques ont besoin d’assainissement fait aujourd’hui l’unanimité entre les différents acteurs du milieu économique. Ce qui pose problème c’est la manière dont cet assainissement devrait se faire. Un full-audit a donc été lancé afin de déceler les problèmes financiers comme les défaillances au niveau du système d’information et même au niveau des ressources humaines.
Dans une Note d’information interne n°2013-11 (voir document ci-dessous) à l’attention des enfants des agents en activité et à la retraite, la Banque Centrale de Tunisie a annoncé un concours pour le recrutement de 18 agents de sécurité.
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés
Suite à la fuite de documents confidentiels qui concerne une demande d’intention à destination du FMI concernant un prêt de « précaution » de 2,7 Milliards de Dinars. Plusieurs médias, dont Nawaat, ont analysé et critiqué ce choix économique .L’ancien ministre des finances de la Troïka, Mr H. Dimassi, s’est exprimé, C. Ayari, gouverneur de la Banque Centrale, a répondu en organisant une conférence de presse, ce Lundi 1er Avril. Il s’est dit scandalisé par cet alarmisme exagéré
Chaque semaine, nous essayerons, dans cette chronique, de résumer l’actualité économique nationale, afin d’avoir une vue d’ensemble et ne pas se noyer dans la masse gigantesque d’informations disponibles et de pouvoir, assurer ainsi, le suivi des projets annoncés.
Comme nous l’avons analysé dans notre article « Prêts en échange de réformes libérales », Le gouvernement tunisien, qui s’est décidé à se financer auprès du FMI, après la dégradation de notre note souveraine par la plupart des agences de notations internationales et l’épuisement de toutes les garanties de nos partenaires, est officiellement en pourparlers avec l’institution de Washington dans le cadre du prêt de précaution d’un montant de 2,7 Milliards de Dinars ( 3.92% du PIB).
La Tunisie va bientôt signer un accord avec le FMI sur un prêt de 2,7 milliards de dinars tunisien remboursable sur 5 ans avec une période de grâce de 3 ans et 3 mois et adossé à un programme de réformes structurelles de deux ans. Nous avons déjà publié un article décrivant l’ensemble des réformes annoncées, mais deux documents classés, ultra-confidentiels nous permettent de mieux comprendre les détails de l’accord que la Tunisie s’apprête à signer.
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