Sans fétichiser le texte juridique suprême et sans y voir non plus l’expression d’une « main invisible » projetant subrepticement l’instauration future d’un « Tunistan » fantasmé, il est donc possible, au-delà de la confusion polyarchique introduite par le Constituant, d’entrevoir dans ce projet de constitution quelques principes en rupture avec le régime passé,
