Avons-nous raison d’avoir peur des islamistes si jamais ils arrivent au pouvoir demain en Tunisie ? La réponse, avec détermination, est non. Car nous continuons à parler et à nous respecter en gravant sur les façades de la place publique le mot d’ordre qui a fait basculer la Tunisie vers la démocratie et la liberté : « dégage » à chaque tyran et à chaque usurpateur, ennemi de l’expression et de la parole libre.
