Six mois ont passé depuis ce jour mémorable où Zine El Abidine Ben Ali, président de la Tunisie depuis cinq mandats, quittait le pays, à la grande joie des Tunisiens d’abord incrédules. Deux versions officielles, très incomplètes et donc insatisfaisantes, ont été rendues publiques, et documentaient jusqu’à aujourd’hui les circonstances de la fuite du dictateur honnis.
La première, par Ben Ali lui-même: dans un communiqué, l’ancien président expliquait au printemps qu’il était monté dans l’avion ce jour-là avec sa femme et ses enfants, car le chef de la sécurité présidentielle et de sa famille, Ali Seriati, lui avait promis qu’il pourrait revenir. La seconde nous viens d’Ali Seriati en personne, lors de l’ouverture de son procès, le 26 juillet à Tunis.
«Le 12 janvier, affirme-t-il, j’ai réalisé que Ben Ali allait tomber et qu’il allait en résulter un vide institutionnel.» Selon lui, le 14 janvier, il y aurait eu parachutage de forces de la police et de la garde nationale sur l’aéroport de Tunis-Carthage. «Vers 15 heures, Ben Ali m’a appelé dans son bureau et m’a demandé de faire préparer l’avion présidentiel pour un décollage à 18 heures en vue de transporter sa famille en Arabie saoudite où elle (serait restée) le temps que la situation se calme, et m’a ordonné de les accompagner dans ce voyage.
Mais, à l’aéroport, Ben Ali change d’avis et décide de les accompagner lui- même, puis de retourner à Tunis le lendemain.» Arrêté le 14 janvier après la fuite de Ben Ali, Ali Seriati est jugé à Tunis aux côtés de 22 proches du couple Ben Ali appréhendés à l’aéroport, dans un procès dont les audiences doivent reprendre mercredi. Accusé entre autres de complot contre la sûreté intérieure de l’État, il est poursuivi pour complicité de tentative de sortie illégale de devises.Lors d’une conférence presse donnée ce lundi 8 août 2011 à Tunis, le colonel Samir Tarhouni, chef de la Brigade anti-terrorisme de la police nationale (BAT, équivalant de notre RAID), a livré sa version de la prise d’otage qui a conduit, le 14 janvier, au départ de Ben Ali. Elle contredit totalement celle d’Ali Seriati.
Selon les informations recueillies par Mediapart, ce n’est qu’après avoir appris que Belhassen Trabelsi, en fuite au Canada, aurait décidé de le faire assassiner, lui et sa famille, que le colonel a pris la décision d’organiser cette conférence de presse.
Mediapart publie aujourd’hui tous les détails de cette journée du 14 janvier, vue par le colonel Samir Tarhouni, mais aussi par ses hommes, ainsi que plusieurs autres témoins présents ce jour-là. Les images publiées en exclusivité par Mediapart sont issues de la vidéo prise durant l’après-midi et le début de la soirée du 14 janvier par un des agents de la BAT. Elles prouvent à elles seules que la version officielle, qui voudrait que les Trabelsi aient été arrêtés par l’armée après le départ de ben Ali, la nuit du 14 janvier, est erronée.
À titre de indicatif, et pour comprendre le récit qui suit, le lecteur doit savoir que la sécurité nationale tunisienne est composée de quatre unités spéciales, dont la Brigade anti-terroriste de la Police nationale et l’Unité Spéciale de la Garde Nationale (équivalent du GIGN français). Ces deux unités sont celles qui ont accompagné Ben Ali le 7 novembre 1987, lors de son coup d’Etat.
Demeurée dans l’ombre depuis, la BAT tunisienne n’intervient que très rarement, dans le cadre de missions particulièrement périlleuses.Une question, de taille, demeure toutefois comme la grande énigme de ce 14 janvier : quel fût le rôle de Rachid Ammar, ancien chef de l’armée de terre, placé en toute discrétion à la tête de l’armée à la mi-avril, et que beaucoup de Tunisiens considèrent comme le principal dirigeant du pays depuis la chute de Ben Ali ?
D’après le colonel Samir Tarhouni, ainsi que les témoignages recueillis par Mediapart, voici le récit de la fuite de Ben Ali et de sa famille, qui a fait basculer la Tunisie, et entraîné le monde arabe dans un mouvement révolutionnaire qui n’a pas encore trouvé son terme.
La famille Trabelsi/Ben Ali en partance pour Lyon…
Ce vendredi 14 janvier, 28 membres de la famille Trabelsi, proches de Leila Trabelsi, la femme du président Ben Ali, se retrouvent au Palais de Carthage. Pendant que des milliers de Tunisiens manifestent devant le ministère de l’intérieur, d’autres s’en prennent aux villas occupées jusque-là par les membres de la «famille». Leur sécurité n’étant plus assurée, le chef de la sécurité présidentielle, Ali Seriati, entreprend de leur faire quitter le pays. Les 28 membres de la famille Trabelsi regroupés au palais de Carthage se préparent dès alors à prendre le premier vol pour Lyon, programmé à 15h. Parmi eux, seul Belhassen Trabelsi (frère de Leila Ben Ali, aujourd’hui encore en fuite au Canada) décide au dernier moment de fuir par bateau, laissant sa place dans l’avion à la sœur de sa femme, Dadou Djilani Trabelsi, mariée à Sofiane Ben Ali, neveu du président.
En fin de matinée, devant le ministère de l’intérieur, avenue Bourguiba à Tunis, la foule se fait de plus en plus nombreuse. Peu avant 13h, le capitaine de la BAT présent devant le ministère, en contact constant par téléphone avec le colonel Samir Tarhouni, reçoit l’ordre de protéger les manifestants civils en cas d’attaque armée, et le ministère du mieux qu’il puisse, mais sans jamais faire usage de balles réelles. Vers 13h30, le capitaine décide de déployer ses hommes sur le toit du bâtiment. C’est à ce moment que des hauts cadres du ministère, toujours enfermés dans le bâtiment, et dont Mediapart n’a pas pu obtenir l’identité, intiment l’ordre au capitaine de tirer sur la foule.
Le capitaine appelle son colonel, au QG de la BAT à Tunis. Celui-ci ordonne à son capitaine de ne pas faire feu, et de vider toutes les balles des chargeurs de ses hommes.Au même moment, la caserne de la direction générale des unités d’interventions, dont la BAT, à Bouchoucha, est en état d’alerte. Non seulement la maison d’arrêt de Bouchoucha, située non loin de la caserne, abrite des criminels de droit commun, mais encore la caserne en elle-même contient une grande quantité d’armes à feu. Les commissariats du quartier voisin viennent d’être incendiés.
Si les manifestants arrivent aux portes de la caserne, il n’y aura que deux choix possible: tirer sur des civils, ou les laisser s’emparer des armes et de la prison. Dans son quartier général, le colonel Samir Tarhouni regroupe les trois officiers restants dans son bureau. Par talkie-walkie, ils entendent une alerte faisant état de groupes se rapprochant de l’aéroport Tunis Carthage. Le colonel décide alors d’appeler un ancien collègue détaché à l’aéroport, pour se faire confirmer cette information. Celui-ci la dément, mais lui annonce que des membres de la famille Trabelsi et Ben Ali s’apprêtent à prendre des vacances en Europe. Le colonel lui ordonne de les arrêter. Son interlocuteur lui répond qu’il est dans l’incapacité de le faire, Ben Ali est encore président de la Tunisie. Le colonel se tourne vers ses officiers:
«Le pays est à feu et à sang, les manifestants s’approchent de la caserne de Bouchoucha, des ordres ont été donnés à un de nos capitaines de tirer sur des civils devant le ministère de l’intérieur, et pendant ce temps, ce chien de Ben Ali s’occupe d’envoyer sa famille en vacances. C’est le moment ou jamais, de faire ce que nous devons à notre pays: allons leur demander des comptes.»
Sur les trois officiers, un seul accepte d’agir sans ordres et d’aller capturer les Trabelsi.
À 14h25, un premier groupe de douze hommes, le colonel Samir Tarhouni et un de ses capitaines à leur tête, quittent Bouchoucha, pour l’aéroport de Tunis Carthage. Sur la route, le colonel appelle sa femme, détachée à la tour de contrôle de l’aéroport. Il lui demande de bloquer tous les appareils sur le tarmac. Elle hésite, puis lui répond qu’elle ne peut les retarder que 15 minutes…
Imed Trabelsi arrive par le parking…
À 14h35, le groupe de la BAT est reçu par les agents de police de l’aéroport, très étonné de leur présence. À la question du colonel, qui leur demandait où se trouvait les Trabelsi, le directeur de la sûreté de l’aéroport, Zouheir Bayeti, répond qu’ils sont dans le salon d’honneur, qu’ils s’apprêtent à quitter pour monter à bord de l’avion. Le colonel et ses hommes courent pour les rattraper. Ils aperçoivent un groupe de civils hommes, femmes et enfants, assis dans un bus.
Un homme s’apprête à monter, puis tente de fuir en voyant le groupe de la BAT fondre sur lui. Il s’agit de Sofiane Ben Ali. Sans trace des autres Trabelsi dans le salon, le colonel appelle la tour de contrôle, qui lui indique la piste de l’avion sur le tarmac. Le colonel menace alors le chauffeur du bus, et lui ordonne de les conduire sur la piste, sous le regard inquiet des passagers et Sofiane Ben Ali, assit à l’avant du bus, menottes aux poignets.Une fois sur le tarmac, les hommes de BAT se déploient. Chaque appareil a été immobilisé par un agent, arme à la main, viseur laser du fusil braqué sur le cockpit de chaque appareil. Les avions dont les réacteurs étaient en marche sont vidés de leurs passagers.
Le commandant Kilani, chargé assurer la liaison Tunis- Lyon, fait un malaise, sitôt redescendu sur le tarmac. À 14h45, le colonel Tarhouni et son capitaine remontent dans le bus, inquiets de devoir subir les foudres de Ben Ali : Ils ont pris le contrôle de l’aéroport sans ordres, et ne disposent comme monnaie d’échange que du seul Sofiane Ben Ali… Dont ils ne sont même pas certains qu’il soit apparenté au président. Zouheir Bayeti, le chef de la sécurité de l’aéroport, les rejoint, et leur demande le motif de leur intervention. «Zouheir, répond le colonel, ne joue pas avec le feu et dis-moi où sont les Trabelsi!» «Moncef Trabelsi est en haut, lui répond Bayéti. Dans mon bureau… »
Plusieurs hommes de la BAT se précipitent et trouvent Moncef Trabelsi caché sous le bureau, une arme à la main. Menaçant le chef la sécurité de l’aéroport, le colonel exige de savoir où se trouvent les autres Trabelsi. Bayéti lui répond: «Mais ils sont là, avec toi… dans le bus.».
Presque soulagé, le colonel leur confisque poliment leurs passeports et leurs téléphones et décide de les faire entrer dans le salon. À ce moment, le téléphone de Bayéti sonne: C’est Imed Trabelsi, neveu de Leila Trabelsi, impliqué notamment dans la célèbre affaire du vol des yachts. Tarhouni demande à Bayéti de le rassurer et lui demande de se rendre discrètement au salon d’honneur. Accompagné de sa secrétaire particulière, Imed arrive par le parking qui fait face du salon. Il est accueilli par le capitaine de la BAT, qui le conduit au salon avec les membres de sa famille. Dix minutes plus tard, un second groupe d’une quinzaine de membre de la BAT rejoint le premier groupe à l’aéroport, pour poursuivre ce qui est devenu une prise d’otage de la famille présidentielle.
Ali Seriati, chef de la sécurité présidentielle et de sa famille, appelle Zouheir Bayéti, chef de la sécurité de l’aéroport, et lui demande ce qui se passe, aucun des Trabelsi ne répondant au téléphone. Pensant que cette mission était réellement placée sous son autorité, Zouheir Bayéti répond tout sourire: « C’est bon, nous les avons tous neutralisés.» « Neutralisé qui?! », hurle Seriati. Bayéti se rend compte qu’il a été trompé, et tend le téléphone au colonel Tarhouni. « Ne vous inquiétez pas mon général, nous prenons bien soin d’eux, ils ne sont pas maltraités », souffle le colonel, avant de raccrocher au nez de Seriati. Ce dernier rappelle directement le Colonel Samir Tarhouni pour lui demander d’où vient l’ordre. « Les ordres viennent de tout en haut », lui répond Tarhouni, avant de raccrocher une nouvelle fois. Sans confier quoi que ce soit, ni au président, ni a sa femme, Ali Seriati tente de joindre, en vain, tous les directeurs hiérarchiques de Samir Tarhouni, pour comprendre d’où proviennent ces fameuses directives.
« Monsieur le président, je suis désormais dans l’incapacité de garantir votre sécurité…»
Ali Seriati décide enfin de regrouper ses unités d’interventions (le GIPP, groupe d’intervention et de protection de personnalités) : «Les tigres noirs de la BAT nous ont trahis, ils ont établi un pacte avec les intégristes et s’en prennent à la famille présidentielle, que peut-on imaginer comme intervention de sauvetage?» Sur 70 hommes, 50 rendent les armes et répondent en substance : «Nous ne pouvons rien faire contre la BAT, et encore moins pour les Trabelsi.» Ali Seriati se tourne alors vers l’unité spéciale de la garde nationale en renfort au palais présidentiel.
Aux alentours de 15h30, le colonel Samir Tarhouni décide de rendre leurs téléphones aux otages, pour que la nouvelle de leur séquestration se répande. Au palais de Carthage, Leila Trabelsi est prise de panique. Ali Seriati n’a tenu au courant ni le président, ni sa femme, alors qu’il est très officiellement chargé de la sécurité du président ainsi que de sa famille. La femme du président décide dès cet instant de plier bagage, pour quitter seul le pays avec ses enfants.
À l’aéroport militaire de l’Aouina (situé entre Tunis centre et l’aéroport de Tunis Carthage, et qui partage le même tarmac que l’aéroport civil), Oscar-Oscar, nom de code de l’avion présidentiel, est préparé pour le décollage. Des unités de l’armée s’interposent entre l’aéroport civil, dont la BAT a pris le contrôle, et l’aéroport militaire, où s’apprêtent à s’envoler Leila, Mohamed (fils de Ben Ali), Halima (fille de Ben Ali) et Mehdi ben Gaied (fiancé de Halima). Des instructions ont été données pour empêcher de nuire des « agents corrompus de la police (qui) tentent de semer le désordre et menacent la sécurité nationale ainsi que celle du président.»
Vers 16h, le colonel Tarhouni perçoit une certaine agitation au niveau de l’aéroport militaire, et demande à ses hommes de se tenir prêt au combat. Il joint par téléphone le colonel de l’Unité spécial de la garde nationale (USGN), qui se trouvait au palais de Carthage, ainsi que le colonel de la Brigade nationale d’intervention rapide (une unité d’intervention de la police): « Nous avons arrêté les Trabelsi, nous agissons sur ordre, nous avons besoin de votre aide. »
Cinquante hommes de l’unité spéciale de la garde nationale sont dépêchés vers l’aéroport de Tunis Carthage afin de rejoindre la brigade anti terroriste. Une fois arrivé sur les lieux, le colonel de l’USGN, comprenant que le colonel Samir Tarhouni n’a pas agi sur ordre, l’assure tout de même de son soutien.
Au même moment, Ali Seriati arrive à l’aéroport militaire de l’Aouina avec le président Ben Ali, sa femme et son fils Mohamed. Ils y attendent l’arrivée de Halima et Mehdi Ben Gaied. Ben Ali est alors censé accompagner sa famille à l’aéroport, mais n’a pas l’intention de quitter la Tunisie. Ali Seriati est informé de son côté que l’USGN, qui était chargée de défendre le Palais de Carthage, a en fait pris position avec la BAT. Sans autre moyen d’action, Ali Seriati est obligé de tout dire à son président:
« Monsieur le président, je suis désormais dans l’incapacité de garantir votre sécurité, et je vous suggère de quitter le pays avec votre famille, le temps que nous trouvions une solution en Tunisie.»
Il est 17h40: A l’arrivé de sa fille Halima, Ben Ali ne sait plus que penser de son homme de confiance, Ali Seriati, qui lui a caché toute l’affaire avant de tout lui révéler d’un bloc. Ses enfants le suppliant de monter dans l’avion avec lui, il décide de monter à bord, mais demande à Seriati d’attendre à l’aéroport militaire sa sœur et sa famille, qui, croit-il, doivent arriver d’un moment à l’autre, et qu’un Hercule C-130 militaire doit accompagner à Djerba, loin de la capitale. Ali Seriati retourne à l’aéroport pour les attendre.
« Qui souhaitez-vous mettre à la tête de votre coup d’état, colonel ? »
À 17h47, Oscar-Oscar décolle avec à son bord, Ben Ali, sa femme, son fils Mohamed, sa fille Halima et son fiancé Mehdi Ben Gaied. C’est ce moment que Ben Ali choisi pour appeler Ridha Grira, le nouveau ministre de la défense, auquel il ordonne l’arrestation immédiate d’Ali Seriati par l’armée, le temps pour lui «d’accompagner sa famille et de revenir pour comprendre ce qu’il se passe.»
Après le départ de Ben Ali, en application de l’article 56 de la Constitution, le premier ministre Mohamed Ghannouchi appelle le colonel Samir Tarhouni et lui demande : «Qui souhaitez- vous mettre à la tête de votre coup d’Etat, colonel?» «Personne, proteste Tarhouni. Je n’ai fait qu’appliquer mon devoir, d’après l’article 56 que vous venez de faire appliquer à la suite de votre intervention télévisée, c’est vous mon président.»« En ce cas, relâchez la famille Trabelsi.»«Avec tous les respects que je vous dois, ce groupe d’individus est la cause de tous nos malheurs, je ne les remettrais qu’à l’armée, et la télévision nationale en sera témoin.»
La télévision tunisienne est arrivée à l’aéroport aux alentours de 19h. Un bus de l’armée, vers 19h30.
Article publié sur Mediapart (payant)
médiatpart c’est du bon journalisme!
qu’est ce qu’il y’a de nouveau par rapport à la verson de Tahrouni ?
le fait qu’il soit menacer par belhassen???!!!!!
Et bientot une nouvelle version des faits :) ca ne finira jamais.
les usa ont ordonné à leurs deux fideles serviteurs à savoir 3ammar et morjene de renverser zaba mais sans l arreter mais arreter les membres de sa famille pour apaiser la colere du peuple.
a quand la vraie version une bonne fois pour toute
non seulement Cyrine, à Moëz, l’interposition de l’armée entre l’aéroport civil contrôlé par la BAT et l’aéroport militaire pour permettre à ZABA de partir, M. Ghannouchi ordonnant à Tahrouni de libérer les Trabelsi, l’arrestation de Sériati n’est pas une initiative de l’armée mais un ordre du Président qui avait perdu confiance dans son chef de la sécurité ! Rien que ça !
il ya une partie de verite…et il ya l’autre partie……
dieu merci nous avons pas sombré dans une guerre civil maintenant il faut tous reprendre a zero
il a fallu 2 décennies pour comprendre ce qui s’est passé en 1987 là les choses vont exploser plus vite et tant mieux.
Merci médiapart d’edwy plenel merci nawaat surtout.
@ Aiman ….quelle est l’autre partie selon vous ? Il,n’est plus là le temps des suppositions , il faut parler et dire ce dont on est certain ! Ce n’est que comme ça que la Tunisie avancera ….la vérité et non les rumeurs !Les rumeurs sèment la peur et troublent les jugements . Merci à Nawaat pour les articles toujours bien écrits .
MSG a tt les sites online news Tunisie SVP Réveillez vous un peu & soyez un peu motivés + active & al hauteur c pas possible ,es q vous n’avez pas honte jusqu’à maintenant vous avez pas changer la pub d date s’inscrire de 2 aout-14 aout pour les elections en + votre info sont les memes depuis le W-Ende c pas possible je me demande c q la difference entre vous & les sites online-news europeenne !!!!! aussi la chaine nationale 5ally wousskett jusq maint & on as pas vu le 1er bebe de 14 janvier apres bcp des efforts :—(+prgrm bayett & le pire de voire l´info de 20h sur le site tunisia-tv apres 24h pas apres qlq mn or live-tv !!!! :-(
Le 14/01 circulait sur le reseau une info sur le commandant de bord du Tunis-Lyon qui avait refuse d’embarquer les trabelsi.
Pourquoi ce commandant de bord n’est plus dans le casting?
بعد طول تفكير … قررت أن أصوت للنهضة … لتصبح بلادي مزدهرة كأفغانستان….، متحدة كالسودان….، شبعانة كالصومال…..ديزولي لكل الأصدقاء…..Takbirrrrrrrrrrrrrr
vous voulez que la tunisise soit comme l’afguanistan , et le soudan
quel honte ———
votez a ce que vous voulez, c’ votre choix et on a pas besoin de le savoir ,
vous etes tres tres loin de la realite, la Tunisie ne sera jamais le Soudan et non plus L’Afganistan , voila Madame la Citoienne
SAMIR NINJA says
hahahaaaaaaaaaahaha MELA HAJJA OHLALA
SAMIR NINJA says
le Colon, Samir Tarhouni ne dit pas tous .enleve’ seulement un peu de voile sur la VERITE’ du 14 JAN .
qui sont-ils les PROFITEURS de ce Interview ???
TRES TRES URG : il ya une manque d’infos C- LE TRAFFIC MANAGEMENT DE L’AEOROPORT TOUS LES DEPARTS ET ATTERIRISSASE RECORDER BOX SE TROUVE AU EREA CONTROL CENTER ATC RADAR MALTA ROMA ZURICH FRANKFORT PARIS
C-L’AVIATION CIVIL TUNISIENNE ET EUROPEENNES DOIT DONNER TOUS LES CHARTS DU CONTROL DEPART ENTRE LE 14-AU 08 FEV 2011 -pour savoir la VERITE’ et pour ARRETER LES FUITES AU FUTUR
VOILA LES COMMINICATIONS ENTRE : TOWER + OPS-CONTROL -RADAR APRES 180 KM c-le ATC -ET LE NATO /EUROCNNTROL qu’ils control tous les mouvement Mediterranean .
chebbi tarek says
Bravo “laouled” vous êtes dignes et attachés à votre bravoure typiquement Tunisienne
J’ai toujours plein nos cadres de la sécurité comment leurs professionnalisme les oblige à faire la part des choses, ils veillent à la sécurité de l’état mais parallèlement savent que des voleurs parachutés au sommet profitent du travail d’honnêtes gens, par votre action vous avez dit aux Trabelssis et aux Ben Ali Baba rira bien qui rira le dernier.
Bravo laouled vous êtes dignes et attachés à votre bravoure typiquement Tunisienne
J’ai toujours plaint nos cadres de la sécurité comment leurs professionnalisme les oblige à faire la part des choses, ils veillent à la sécurité de l’état mais parallèlement savent que des voleurs parachutés au sommet profitent du travail d’honnêtes gens, par votre action vous avez dit aux Trabelssis et aux Ben Ali Baba rira bien qui rira le dernier.
un flic de bouchoucha qui decide de sauver le pays et qui part avec 12 hommes a la conquete de l aeroport.Franchement ,vous y croyez????
ca suffit toutes ce cirque, ok il y a du vrai das ce scénario, mais faut certainement pas croire une seconde que ce tahrouri a agit de sn propre chef comme un héros. Il n’en n’a ni la trempe ni la tronche ni laréputation. Je pense qie sami Bani etOmar Agerbi ont raison tous les 2. En plus c’est pas un scoop pour nous mesdames et messieurs de mediapoart. D’abord c’est une info balancée pour calmer un peu la rue qui bouge en ce moment de toute cette impunité et la protection du clan des mafieux toujours au pouvoir remplacé par mabrouk eltaief and Co., qui pensent que le petit peuple finira bien par se calmer et eux reprendre leur place cette fois libéré de zaba et des trabelsia. Donc republique zaba bis qui va protéger les caciques de l’ancien régime. ON peut toujours rêver messieurs les non moins abrutis qui ont longuement profité du système zaba , le système de l’arbitraire des passe-droit et le règne des ignares. PLus on est ignare plus on est haut placé, et es technocrates des grandes écoles doivent être les plus leche-bottes possible, sans aucune envergure que les quelques conneries qu’ils ont acquis sur les bancs des universités françaises ou américaines, moas de personnalité POINT, NULLE EFFACEE. Voilà le système zaba qui est mort surtout sur ce fond de crise internationale… DEGAGEZ LES ZOMBIS mafieux de l’ancien régime.
Error 404 says
THE TRUTH IS BY THE AIR TRAFFIC MOUVEMENT CHART DEPARTURE @ TUN -CARTHAGE AIRPORT AND CIVIL AVIATION ICAO –
ENOUGHT IS NOT ENOUGH REALITY
Mediapart est souvent bien informé. Cela dit cette version comme les précédentes (peut-être un peu moins que les précédentes) laisse plusieurs questions sans réponses. Pour ne citer que quelques exemples : Quel a été le rôle de l’armée ? Quel a été le rôle des puissances etrangères “amies” de l’ancien régime ?
Oui, c’est la version la plus crédible et la plus proche de la réalité. On voit bien comment med ghnnouchi, grira et rachid ammar ont tous voulu s’attribuer le role du heros de la révolution. Moi je dis bravo au courage du colonel Tarhouni qui a contibué à accelerer les choses et à éviter un scénario à la syrienne.
Bravo a la BAT et à la USGN, c’est finalement eux qui ont achevé ZABA.
L’armée quant à elle a pris le relais pour protéger la population après le 14-JAN et je dis BRAVO à notre armée.
Franchement nous avons un acquis que nous devons préserver.
1 quest esq les internets cafe en tunisie a tt le monde o interdit o moins de 18 ans SVP ?
@haja fadhila
C’est quoi cette histoire haja si vous parlez des publinet cyber il n’ya aucune limite d’âge pour y accéder si c’est pour utiliser le wifi dans un café brasserie,du moment que le jeune est admis pour consommer il peut utiliser de pleint de le wifi de l’établissement a moins que la tête du jeune ne plait pas au chef d’établissement,vous savez il y’a toujours un coté xénophobe et illégale en quelque sorte.
Veritas says
* de pleint droit
selon la video de Mediapart, il faisait nuit à 15h à l’aéroport de Tunis Carthage. Et l’avion devait décoller depuis la station de taxis parce que la scène se déroule devant l’aéroport et non sur le tarmac…
Il s’agit juste une erreur de titrage de la video, la scène de nuit c’est celle de la “livraison” des trabelsi à l’armée, il était alors 19h30 et non pas 15h. Et je vous confirme que ca se passe coté tarmac, mais vers le salon d’honneur, ce n’est pas un endroit accessible au public ou au passagers communs.
C’est noté. Merci de la précision.
Cet article detaille et prouve que l’homme qui a sauve le pays d’un despote et sa famille oh combien mafieuse n’est autre que le grand colonel tarhouni.Je profite donc pour lui rendre hommage et lui dire qu’a travers son courage spontane j’ai maintenant repris espoir et j’ai su que dans mon pays il n ya pas que des commis soumis aux caprices de la famille qui n’a pas arrete de violer la loi devant le mutisme du gouvernement et de son premier ministre.
Alors qu’un jeune colonel met hors etat nuire une bande de voyoux
au depend de sa vie et offre cette victoire sur un plateu ce dernier au lieu de le feliciter pour son sacrifice enorme il lui demande de liberer la gangraine du pays quelle mascarade
Je rappelle à mr Ghannouchi qu’il a ete temoin du pillage de mon cher pays par cette meme bande pendant 10 ans à qui il a voulu lui donner encore et encore un coup de pouce .j attends donc ainsi qu’une tres grande partie de la population des explications de cet homme dit integre
Le texte ci-dessus, indique que l’arresestation eut lieu avant 16h. Or Y AVAIT-IL EU ECLIPSE SOLAIRE CET APRES MIDI-LA, pour qu’il fasse aussi sombre sur le tarmac où le bus fut intercepté?… Donc il ne pourrait que s’agir d’un truquage et cette histoire ne peut prétendre à aucune crédibiilté.
@farhat
il faut se méfier un peut de tarhouni car il n’est pas innocent autant que ça parait il ça parait bizarre, il n’est pas sincères car ce pas vrai qu’il a pu agir de la sorte et pourquoi il a attendu des mois pour se manifester et dire ce qu’il a pu dire,tout cela nous laisse dire qu’on a en face de nous encore des manipulateurs menteur a qui il
ne faut jamais faire confiance.
Bizarre !
Le bus a été arrêté vers 14h et sur leur vidéo il fait deja nuit !
Mise en scène ratée !
bel article
je crois que c la bonne version car si ça était un renversement guidé par Ammar, il aurait pris le pouvoir
c juste une action de rébellion et de bravoure face à une situation chaotique et ça explique la peur de Ben Ali
je ne pense pas que Seriati soit impliqué dans les violences d’apres le 14 car il était arrêté à ce moment
le plus important maintenant c l’avenir où le RCD refait surface à travers plusieurs partis politiques
attention aussi à Ennahdha qui veut renverser le pays par les élections
en fait, je fais plus confiance à personne
Cette version paraît plausible et crédible. Il y a eu des circonstances
favorables qui ont permis au peuple tunisiens de se débarrasser de ce clan mafieux et leur président. Je ne peux qu’être l’un des plus heureux de la planète suite à cet événement que je considère l’un des plus beaux événements de l’histoire du pays. Quel bonheur ! Maintenant que cette révolution nous a été offerte sur un plateau, que chacun de nous fait tout son possible pour que la transition soit une réussite et démontrer ainsi que la démocratie est la solution. Je remercie tous ceux qui ont contribué à la chute de cette bande d’incultes et sans scrupules. Si une majorité de ce peuple s’y met pour le bien de cette nation, je suis sûr que l’avenir de ce pays sera prospère, exemplaire et radieux. Et quand j’ai regardé le débat des différents leaders politiques, je me suis dit que c’est un bon début et il y a un immense espoir que cette révolution va être une très belle réussite.
Un script pour Hollywood, un peu genre Etat de Siege, le film. moi je verrai bien la velle Carla dans le role de Leila Trabelsi, et Matt Damon dans le role du Colonel Tarhouni. ZABA? Je verrai bien G Clooney , vieillit quand meme. Voila ce que je pense de toute cette histoire. La meilleure tirade de tout le papier: Le Premier Ministre demandant au Colonel Tarhouni: qui vous avez choisis comme President. Mais les , et le Colonel et le PM, ont fait une gaffe, une gaffe constitutionnelle (puisque Le PM a ete nomme President pour 24 heures), l’article 56…Miskeena bledi, miskeena Tounes.
@jihed juridiquement et a l’heure ou s’est passe la déclaration de gannouchi seul le conseil constitutionnel etait apte a.déclarer un nouveau président avec tout ce question.ca implique de logistique pour réunir les différents protagonnistes …alors pour eviter tout ca il y avait une parade qui est totalement légale c’etait la vacance temporaire ou le président lègue lazher pouvoir a.son PM alors on évite la.Réunion du conseil constitutionnel…chose qui etait faite le.lendemain..
En ce qui concerne la video filmee par l’UGSN et comme quoi il faisait jour et l’autre filmee la nuit -celle qu’on a tous vu sur la.chaîne.nationale-ben elle etaite faite par les forces spéciales lors du transfert des trabelsi a l’armée tunisienne ….
Je.comprends que certains ne.croient pas.a cette version mais je.ne.crois pas.qu’un monsieur de son grade va s’aventurer a raconter un mensonge sur un.fait.historique de tout un pays et notons.que.sa.marge de”mensonge” est quasi nulle vu que cette opération a impliqué au moins.250 agents des forces.spéciales qui.est vraiment impossible qu’ils.soit tous.impliqués dans.une.comédie ou un.mensonge de.cette ampleur …
Une chose est.sure tout est documenté :écoutes interrogatoire plans der p conversations téléphoniques …et tout sera dévoile le moment.venu peut etre le 14janvier 2012…
Sinon ce garçon a agit papurr patriotisme et a montrer que.même dans l’ancien ministère d’intérieur tout comme dans toute la Tunisie il y avait des RJEL…QU’on avait pas besoin ni d’opposants vivants a l’étrangèr ni de pays occidentals pour faire notre révolution et faire tomber le dicateur
Entièrement d’accord avec vous Tounzii, Le récit du Colonnel est très crédible en termes de chronologie et de cohérence avec les autres sources, et vous avez raison de souligner qu’il a de toute façon peu de marge de manoeuvre pour edulcorer son récit…
Je ne comprends pas les commentaires qui rejettent cette version sans plus d’arguments.
Celà dit Ghannouchi ne sort pas grandi dans cette histoire, en tant que président par intérim, il ordonne la libération des Trabelsi ! Décidement il aura été un lâche et servile à Ben Ali jusqu’au bout.
Ce colonnel est un héros national, ca ne fait pas un pli.
Le cas de Sériati est plus complexe, il a agit en militaire loyal envers son président, on ne pas pas le lui reporché… et n’a pas cherché l’escalade de la violence, alors que ce choix lui était ouvert. Je serais plus indulgent avec lui…
Si cela est vraie. (1) Le Général Ammar a sécurisé l’aéroport pour la fuite de Ben Ali, (2) Grira a agit sur les ordres de Ben Ali, alors que ce dernier est en fuite au ciel, et (3) Ghannouchi a bien voulu libérer les Trabelsi, il s’agit de son unique décision en tant que président intérimaire selon l’article 56. Vous constatez que les trois hommes sont de la même région. Il faut savoir maintenant l’appartenance des toutes les autres personnes (tarhouni, Sik Salem, Seriati, chef de l’USGN, Chef des GIPP)
ti bellehi bara el3ab 9oddem darkom
what a circus with a perfect illustration on how the third world
brains function.
from the head despot to the scums he surrounds himself with.
the dillusional peanut brains that run and secure the country
in a fry situation are showing their ware.
have you seen some monkeys?; I find them more amusing and with a
higher ethics than the clowns running tunisia.
a scene out of africa with gorillas at play.
the more these monkeys climb the more they’ll show their arses.
C’est effectivement une belle mise en scène, BRAVO
A mon avis tout est vrai à part une seule partie : il n’a pas pu agir sans avoir eu un ordre, ou un feu vert de l’armée
belhassen trabelsi est partie avant tout le monde! il était au port de sidi bou à 11h
quel premier ministre nous avons eu .Il n’était même pas capable de prendre une décision pour l’histoire dans de pareilles circonstances.Il a vécu dans la peur comme un petit commis de l’état et pire il avait ordonné la libération des Trabelsi même après le départ de ” son président ” déchu.L’histoire retiendra que Ghannouchi était l’associé exécutant des méfaits de cette Mafia.Il savait tout et était dans ses petits souliers devant le peuple pour ne rien dire.Il laissait la Mafia avide de sang de ce bon peuple faire se que bon lui semblait le temps qu’il lui fallait. Il se taisait ce bon à rien. quel lâche.
Qui se cache derrière Samir Tarhouni ?
La ficelle était-elle un peu trop grosse ? Les observateurs à Tunis semblent s’accorder sur le fait que le gouvernement a vraiment manqué de finesse dans l’affaire du colonel Samir Tarhouni, commandant de l’antiterrorisme tunisien, sous la présidence de Zine EL Abbidine Ben Ali. Ce policier, réputé proche de l’armée, puisqu’il en est issu à l’origine a été extirpé de 7 mois d’oubliettes et présenté à l’opinion publique tunisienne lors d’une conférence de presse qui a été tenue à l’improviste le lundi 8 août au siège du gouvernement à la casbah. Lors de ce point de presse, Samir Tarhouni, totalement inconnu jusque-là du grand public a donné sa version du 14 janvier, jour de la fuite du président hors de Tunisie. D’après des diplomates occidentaux, Samir Tarhouni, n’est pas le héros qu’on a bien voulu fabriquer. Le colonel a lui aussi fait partie de l’élite sécuritaire qui a été l’outil de répression du régime Ben Ali. Ces mêmes diplomates font remarquer que le monsieur qui a voulu se présenter comme le sauveur de la Tunisie a été membre des fameuses unités spéciales tant redoutées par les opposants et aussi dans la garde présidentielle. Ceci veut tout simplement dire qu’il était au courant de toutes les pratiques du régime Ben Ali. Cela dit, la question que se pose tout le monde à Tunis aujourd’hui est celle de savoir pourquoi cette sortie médiatique maintenant et dans quel objectif ? D’après plusieurs observateurs, le gouvernement de Béji Caïd Essebssi, dépassé par la situation, aurait agi en parfaite accord avec le général Rachid Ammar dans le but de reprendre en main les forces de sécurité. En effet, les meilleurs éléments des forces de l’ordre ont toujours été des pro Ben Ali. Il s’agit de leur fabriquer une virginité pour les recycler et reprendre le pays en main à la veille d’échéances électorales cruciales. Selon, les informations disponibles depuis Tunis, la sortie du colonel Tarhouni sera suivie de la prochaine nomination dans des postes sécuritaires stratégiques des colonels Zouheir El Wafi, Salem Sik Salem et Larbi Lakhal. Le gouvernement continuera à faire du neuf avec du vieux, comme il a fait jusqu’à maintenant.
[…] de la justice militaire tunisienne, a déjà été publié par Mediapart, dans l’article «Ce qu’il s’est vraiment passé le 14 janvier à Tunis». Extraits de cet article : «Un premier groupe de douze hommes, le colonel Samir Tarhouni et un […]
[…] ministre de la Défense Ridha Grira a ordonné l’arrestation d’Ali Seriati, le 14 janvier 2011, peu après le départ de Ben Ali vers l’Arabie Saoudite. Le 12 août 2011, il était acquitté […]
il en parle: le pilote a eu un malaise.
oui, s’il a reçu l’accord du general Ammar.