La nomination des nouveaux directeurs des neuf chaînes de radios a été annoncée aujourd’hui par la Radio tunisienne sans pour autant donner plus de détails. On a donc contacté M.Ridha Kazdaghli, responsable à la Direction Générale de l’Information et de la Communication du Premier ministère. Ce dernier nous dirigea vers M.Lotfi Zitoun, conseiller du chef de gouvernement qui nous informa que les nominations ont été décidées par M.Mohamed Meddeb.
Ainsi, ce n’est pas le Premier ministère qui serait à l’origine de cette décision mais M.Meddeb, nouveau Directeur Général de la Radio Tunisienne qui a remplacé M.Habib Belaid et ce depuis le mois d’avril dernier.
Suite à la manière inconvenable avec laquelle l’ex-directeur général M.Belaid a été démis de ses fonctions, le site Kapitalis a interrogé des employés de la Radio qui ont affirmé que M.Mohamed Meddeb ne serait qu’un illustre inconnu […]«un simple technicien sans envergure», et [qu’ils ] n’auraient jamais imaginé voir leur institution – qui a vu défiler à sa tête la crème de la profession – dirigée un jour par un technicien.
En conséquent, après avoir mis en place un nouveau DG de la Radio Nationale au mois d’avril, le gouvernement Jebali a donné la lattitude à M.Meddeb de nommer les directeurs des neuf radios publiques, sans y intervenir selon M.Zitoun, ce qui généra ces nouvelles nominations.
Afin d’en savoir plus au sujet des critères selon lesquels M.Meddeb a choisi ces directeurs, on l’a contacté à plusieurs reprises mais il était indisponible.
M.Mongi Khadhraoui, secrétaire général du SNJT (Syndicat National des Journalistes Tunisiens) nous déclara que les nominations devraient être décidées non pas par le DG de la Radio Nationale mais par la HAICA (Haute Autorité Indépendante de la Communication Audiovisuelle), car avec ce genre de procédures actuelles, on tend à un média gouvernemental et non public.
M.Khadhraoui a également critiqué l’absence de concertation avec le SNJT au sujet de telles décisions aussi sensibles pour la liberté de la Presse. Selon lui, le seul moyen pour changer le statu quo des médias serait de persévérer en appelant sans cesse au recours à la Haute Autorité Indépendant de la Communication Audiovisuelle et au Décret-loi N° 2011-116 du 2 novembre 2011, relatif à la liberté de la communication audiovisuelle.
De son côté l’INRIC (Instance Nationale pour la Réforme de l’Information et de la Communication) organise ce mercredi 4 juillet une conférence de presse pour appeler les organisations de la société civile à jouer leur rôle dans le processus de la réforme des médias, dans ce contexte où il n’y aurait aucune mesure concrète garantissant la liberté d’expression et de la presse ainsi que la protection et l’indépendance des institutions médiatiques.
Les nouveaux directeurs sont :
Radio Nationale Tunisienne: Omar Berrima
Radio Jeunes: Mongi Mabrouki
Rtci: Donia Chaouch
Radio Culturelle : Jamel Zran
Radio Monsatir : Béchir Saghari
Radio du Kef : Mazen Chérif
Adio Gafsa : Ammar Chikhi
Radio Tataouine : Thameur Zoghlami
La transparence il ne faut pas trop rêver avec les islamistes.
Il est à craindre que les nouvelles nominations soient teintées d'”islam modéré”. C’est normal, ce sont les islamistes qui ont gagné les élections. Si les gens des médias avaient fait leur autocritique et réclamé une instance indépendante, peut être que la situation serait meilleure. Mais même si l’on veut une Tunisie moderne et exemplaire, il faut aussi accepter le fait que la révolution n’en est qu’à ses balbutiements, et que la société archaïque n’a que faire d’une télévision avant-gardiste.
Ce qui est à craindre, ce n’est pas la mise à l’écart des caciques de l’audio-visuel public, mais leur soumission pour quelque pois chiches.
Quand on entend le mot “transparence”, la première chose qui nous viens à l’esprit c’est la “vérité” et le droit de savoir touts les coulisses de telle ou telle décision, et de s’octroyer le droit, ou de s’imaginer un pouvoir quelconque et, jusqu’à nos jours indéfini sur des décisions que, seul celui qui les as prises serai seul à subir les conséquences . serait il plus judicieux et plus “TRANSPARENT” de faire un réferendum pour chaque décision prise , ou, engager une armada de surveillants qui a mon avis aurai besoin elle aussi d’une autre pour la surveiller, et pour aller plus loin dans la surveillance on engagera une DER ( pour la route) afin d’être sure de bien faire , mais, ne vous réjouissez pas , il y aura toujours quelqu’un qui doutera de la procédure, si toute fois la confiance choisie de “découcher” . la dictature et dans tout ses forme, excès soit-il ( tout excès est nuisible, n’est ce pas!) , vide les décisions de ceux et celles qui nous gouverne ( les décideur(e)s ) de tout ce qu’on as besoin comme audace et inventivité . la “transparence” et la “vérité” ( l’info) mal placée, prêchent chez le voyeurisme et la curiosité presque maladive .
Petite anécdote : c’est l’histoire d’un mec qui n’as jamais dit la vérité même sur des choses banales et routinières de la vie quotidienne, tout ses collégues lui reproche de mentir sur n’importe quoi. exemple, vous le voyez sortir d’un café, là il es rentré pour faire un besoin urgent, si vous lui dites que faites vous au café? il répond :” j’avait soif , je suis rentré boire une soda, bref, sa vie ne soufrai pas beaucoup de ses mensonges, seul tort, il est connu “menteur” . un jour il décide , avant de partir au travail ,,d’essayer de ne dire que la vérité et tout ce qu’il pense vrais . arrivant au siège de la société, il prend l’ascensseur, toujours la même femme qu’il rencontre à la même heure qui as du “monde au balcon” , d’habitude il feinte celui qui n’est pas intéressé ( CAD, il ment), ce jour là , il as décidé de lui dire la “vérité” .
-” vous avez des belles et des grosses seins, j’ai envie de les toucher” qu’il lui dit ( se sentant dire la vérité) . seul bémol, elle le gifle avec sauce scandal, c’est une cousine germaine de son patron et deux semaines de mise à pied il as eu . depuis ce jour, il a décidé de mentir même sur son prénom .
En gros aujourd’hui il faut se poser la question “y’a t-il un pilote dans l’avion” avec ce gouv specialisé des bourdes et du cafouillage quasi quotidien,malgres tout ses flagrantes incompétences ils veulent se maintenir au pouvoir par tout les moyens et coûte que coûte je me demande de quelle islam s’inspirent ils pour avoir un comportement similaire je pense c’est un islam taillé sur leur mesure je ne sait chez quelle tailleur,ben machin faisait une constitution a sa mesure et ayatollah guanouchi aujourd’hui fait pire non pas une constitution mais une religion sur mesure carrément a son âge qu’elle honte de mounafik jusqu’à l’os lui et ses amis.
La transparence avec ayatollah guanouchi c’est qu’il est en procession d’un passeport diplomatique sans aucun droit,aucun chef de parti ne peut bénéficier d’un tel avantage,mais grâce aux fatwas on peut tout avoir même la lune des fois!!
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