Au cours d’un récent séjour en Tunisie, Christophe Boltanski, grand reporter au “Nouvel Observateur” et ex co-directeur du service étranger au journal “Libération”, a rendu visite au local de Nawaat.
Pendant un entretien avec lui, il a rendu hommage à l’officier de police Samir Feriani ex-directeur du centre de formation des services secrets Tunisiens pour le courage dont il a fait preuve en confrontant le bloc corrompu persistant au sein du ministère de l’intérieur, il l’a remercié aussi pour la confirmation des doutes autour de l’agression qu’a subit Boltanski en 2005, rappelons que Feriani a révélé que Ben Ali en personne avait donné l’ordre d'”éduquer” le journaliste francais pour le “punir” suite à un article qu’il avait publié sur “Libération” concernant les violations des droits de l’homme en Tunisie.
On a documenté aussi les impressions de Christophe Boltanski sur la post-révolution et ses reflexions sur l’amitié qui liait le gouvernement Sarkozy avec la dictature de Ben Ali.
La Tunisie doit beaucoup a la presse de gauche française car cette presse de gauche a toujours chercher de mettre au grand jour les pratiques de ben machin et sa diaspora,je pense surtout au journal le monde qui a été interdit de diffusion maintes fois je pense aussi a Robert Ménard l’ex directeur de reporter sans frontière qui a été expulser et interdit de séjour plusieurs fois,il y’a aussi un journaliste de France 2 qui s’appelle Hervé brusini lui même expulsé tant de fois par l’ancien régime ,il faut remercier tout les journalistes qui font tout pour faire avancer la liberté d’expression partout dans le monde.
Rectificatif:le journaliste de France 2 c’est gerome bonny et non pas brusini pardon.