Depuis que le Président de la République Moncef Marzouki a expulsé l’ambassadeur de la Syrie en Tunisie alors que ce dernier avait quitté l’ambassade depuis des mois, la situation des Tunisiens en Syrie est de plus en plus difficile.
Lors de notre visite à Damas, on est passé à l’ambassade de la Tunisie où on a trouvé deux fonctionnaires. Le 6 février 2012, tous les diplomates tunisiens en Syrie sont rentrés en Tunisie. Depuis, les employés qui sont restés à l’établissement- conformément à la loi dans ce genre de circonstances- ne savent plus comment gérer les appels ou les demandes des Tunisiens.
L’un deux nous confie avec amertume : « La décision d’expulser l’ambassadeur syrien s’est répercuté d’une manière négative sur nous en Syrie. On a été obligés de fermer la nôtre ici alors qu’on est dans ce pays depuis des décennies ! On n’est pas comme les expatriés allemands, français ou anglais qui viennent dans ce pays juste pour un contrat de travail d’un ou de deux années ; nous on a des familles ici, on a nos épouses syriennes et nos enfants qui y étudient et qui y vivent ! »
La rupture des relations diplomatiques avec le régime de Bachar Al Assad a engendré une situation critique pour les trois mille Tunisiens qui vivent en Syrie. Selon l’un des fonctionnaires qu’on a rencontré devant la porte de l’ambassade de la Tunisie à Damas, les Tunisiens sont obligés maintenant d’aller au Liban pour enregistrer les certificats de décès, de naissances et autres papiers nécessaires pour les expatriés.
Cependant, le vrai problème consiste, selon lui, dans le risque que ces familles tunisiennes prennent pour aller au Liban sans savoir si elles pourraient revenir en Syrie dans le contexte de guerre civile qui y sévit.
Avec un salaire de 650 dollars chacun, l’un des fonctionnaires nous informe que « la cherté de vie en Tunisie n’est rien comparée à celle en Syrie où c’est dix fois plus cher » s’exclame-t-il. Après trois mois du départ des diplomates, ils ne savent pas s’ils vont être rémunérés ce mois-ci.
Livrés à eux-mêmes, ils continuent à accueillir quelques tunisiens pour leur fournir le strict minimum de renseignements afin de les dépanner. En attendant, le drapeau tunisien continue à flotter au-dessus de l’ambassade de la Tunisie en Syrie contrairement aux autres des pays de l’Union Européenne qui ont baissé les leurs.
Dossier de la Syrie
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Deuxième journée en Syrie : “Si je parle, on me tue”
Troisième journée en Syrie : Bureaux de vote presque videsLes Tunisiens en Syrie se trouvent dans une situation critique
Ahmed Manaï : “La Ligue arabe a enterré le rapport des observateurs en Syrie”
Enculé de marzouki et de guanouchi que ce que vous attendez pour reconnaître vos erreurs et rectifier le tirs jamais la Tunisie n’a eu une quelconque rivalité avec la Syrie ,la Tunisie est devenu l’ennemi de la Syrie et des syriens en plus de la fermeture de l’ambassade syrienne en Tunisie pour faire plaisir à Sarko et au Qatar on s’acrifie des jeunes en les envoyant combattre avec el Qaïda honte a ennahda et a marzouki les spécialistes des maladresses diplomatique et de tout genre.
Nous tunisiens on est interdit de séjour en Syrie il y’a beaucoup d’homme d’affaires qui ont des intérêts avec Damas ils ne peuvent plus se rendre en Syrie .
Lilia tu a parlé de la cherté de la vie en Syrie je donne juste un exemple aujourd’hui un kg de riz coûte 8dinars tunisien mais pour le reste des produit de base n’en parlons pas??
Alors que nous sommes tous tunisiens,pourquoi ne parles tu pas des tunisiens terroriste infiltré par le Liban,la Turquie ou la Jordanie qui terrorise le peuple syrien!!financer par nos maître du Quatar et ses frères qui pilule notre chère pays!!Lilia dis moi qui te finance concernant ce beau voyage sur des terres arabes et insoumise!!Vouloir te mesurer à la Syrie terre de résistance et insoumise et pendant ce temps si précieux la Palestine nous glisse entre les doigts!!Lilia tu as délibérrement renoncé à la Palestine pour mieux détruire la Syrie!!tu ne seras jamais considéré comme tunisienne à mes yeux!!mais plutôt à un être sans saveur ayant qu’un but, apporter sa pierre à l’édifice de la destruction de la nation arabe,ton rôle certes si insignifiant soit il? prouve ton engagement et ta fidélité aux ramassis de mensonges conditionnés par al jazeera et consor!!chantre de la vérité absolu à tes yeux!!Tu es en quelque sorte responsable de tous ses tunisiens égarés par ses informations mensongères véhiculé par al jazeera,chauffé à blanc par nos imams déconnecté des réalités ,envoyé nos enfants mourir pour ses rois et émirs du golf!!!!
Je suis financée par les anarchistes staliniens dixit Ghannouchi:) Sinon, j’attends la réponse du gouv concernant les djihadistes partis combattre auprès de l’ASL
La Syrie, victime du Printemps Arabe ?
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IRIB-Du 21 au 25 avril, le World Peace Council (WPC – Conseil mondial pour la paix) et la World Federation of Democratic Youth (WFDY – Fédération mondiale de la jeunesse démocratique)..
… organisaient une mission internationale de solidarité et d’enquête en Syrie. Trente-six (36) organisations de 23 pays avaient répondu à l’invitation. Intal est membre du WPC et a donc envoyé Mario sur place.
Depuis le 15 mars 2011, la Syrie est impliquée dans le « Printemps arabe ». Mais ce concept fourre-tout dissimule une grande diversité de pays et de luttes dans la région. Ce concept illustre également l’hypocrisie de l’Occident.
En Tunisie et en Égypte, des millions de gens non armés sont descendus dans la rue pour chasser Ben Ali et Moubarak. Et ce, alors que l’Occident avait soutenu ces deux hommes jusqu’au tout dernier moment. Au Yémen, le président a été forcé de démissionner après les protestations non armées que la population poursuit toujours aujourd’hui afin de pouvoir concrétiser ses revendications.
Au Bahreïn aussi, la population est descendue dans la rue en avril 2011. Ce soulèvement a été réprimé manu militari par l’armée saoudienne sous les regards approbateurs des États-Unis. Les protestations reprenaient voici quelques semaines à l’occasion du Grand Prix de Formule 1 organisé au Bahreïn. La population tirait savamment parti de l’attention des médias du monde entier pour insuffler encore plus de forces à ses revendications.
La Libye et la Syrie ne correspondent pas à l’image présentée ci-dessus. Dans leur cas, l’Occident a toutefois soutenu les protestations qui, bien vite, se sont muées en soulèvements armés. En Libye, l’Otan a même assumé le rôle de force aérienne des rebelles armés.
La Syrie, un pays en guerre
L’image de la Syrie que nous renvoient les médias est celle d’un pays où sévit une guerre entre le gouvernement syrien et la population syrienne. Une fois en Syrie, cette image doit être revue et ce, dès la frontière. Au passage frontalier de Beyrouth à Damas, on ne remarquait pas grand-chose des problèmes en Syrie. En moins de quinze minutes, les formalités ont été réglées et les bagages ont à peine été contrôlés.
À Damas, la vie poursuit son cours. Les gens se rendent à leur travail et, dans le souk populaire d’al-Hamidiyya, c’est la cohue et les embouteillages sont fréquents. Ni l’armée, ni les troupes de sécurité ne sont présentes de façon visible dans les rues. On ne voit pas de manifestation, ni de protestation, ni de soutien.La différence entre les informations données par les médias et la réalité en Syrie est le point qui interpelle le plus, tant lors des rencontres officielles avec des étudiants, des syndicats, des dignitaires religieux, des hommes politiques, etc., qu’avec les gens dans la rue. On peut avoir accès partout en Syrie à des chaînes comme Al Jazeera, Al Arabia, France24, etc., que ce soit dans les maisons ou dans les hôtels. Les informations qu’elles véhiculent diffèrent tellement de la réalité que les gens d’une même famille séjournant dans des villes différentes se téléphonent régulièrement pour vérifier ce qui passe à la TV. Aujourd’hui, en Syrie, ces chaînes ont perdu toute crédibilité et se font sans arrêt critiquer par les Syriens car, avec leurs informations mensongères comparables, elles ont rendu possible une intervention étrangère en Libye.
Pour ou contre Assad
On peut dire la même chose de ce que pensent les Syriens des rebelles armés. Ils ne peuvent compter que sur peu de soutien de la part de la population et on leur reproche bien des choses. Leur programme ne va guère plus loin que d’exiger la démission d’Assad. Donc, un changement de régime. Ils sont financés par l’étranger (le Qatar et l’Arabie saoudite ont promis de payer les salaires de ces combattants). Ils mettent en danger l’indépendance de la Syrie et réclament une intervention étrangère. Ce sont des extrémistes religieux qui n’hésitent pas à recourir à des méthodes terroristes, tels des attentats à la bombe, dans des villes comme Damas et Alep, au cours desquels on dénombre également des victimes civiles.
Les Syriens craignent surtout la violence sectaire dont ces rebelles armés se sont faits les champions. Ils ne s’en prennent d’ailleurs pas qu’à l’armée syrienne, mais aussi aux groupes minoritaires de la Syrie (chrétiens, chiites, Kurdes…) et même aux sunnites qui ne partagent pas leur vision de la société. Ainsi, le fils du mufti de Damas – la plus haute autorité sunnite en Syrie – a été assassiné pour s’être exprimé contre l’insurrection armée.
Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans le difficile exercice d’équilibre auquel se livrent les Syriens. Ils se rendent très bien compte qu’une intervention étrangère ne pourra que les plonger dans la misère. C’est devenu on ne peut plus clair en Irak (dont la Syrie accueille plus d’un million de réfugiés), mais également en Libye. Il s’unissent également afin de défendre la souveraineté de la Syrie et sont contre les groupes armés qui réclament une intervention.
En même temps, on entend des critiques à l’encontre du gouvernement et les Syriens laissent entendre clairement qu’un changement est nécessaire. Les revendications du peuple sont légion. Il faut mettre un terme à la corruption, la situation des travailleurs doit être améliorée, la situation économique, qui a empiré, doit être inversée, les droits démocratiques et le droit à la participation doivent être plus développés… Ces revendications sont exprimées par des groupes d’opposition actifs depuis des années déjà, par des groupes qui ont vu le jour tout récemment, par divers partis politiques et par les gens dans la rue. On se rend toutefois bien compte que l’on ne verra pas grand-chose de ces revendications si le pays s’enlise dans une guerre civile ou est occupé par l’Occident.
Réformes
Mais on les entend également au sein des instances officielles et auprès des partisans du gouvernement. Le gouvernement syrien a donc intérêt, pour sa politique, à s’appuyer sur sa propre population. Ce n’est qu’en faisant confiance à l’important groupe de Syriens qui s’opposent à une intervention armée qu’il pourra s’y opposer et que les rebelles armés pourront être isolés. C’est sous cette pression générale que toute une série de changements a eu lieu. Il s’agit entre autres de la levée de l’État d’urgence qui avait été instauré en 1962, de la suppression de la haute Cour spéciale de justice, de l’annulation de l’article 8 de la Constitution stipulant que le parti Baath est le parti dirigeant de l’appareil d’État et de toute la société, de la modification de la Constitution et de la loi électorale, de l’extension de la liberté de la presse, etc. Les élections du lundi 7 mai 2012 constituent donc un test important.
L’opposition syrienne qui, dans le sillage de la Tunisie et de l’Égypte, entend protester pacifiquement mais qui rejette en même temps une insurrection armée et une intervention étrangère, n’a pratiquement jamais son mot à dire dans les informations que l’on nous renvoie en Occident. Elle traduit toutefois l’avis d’un très grand nombre de Syriens. Pourtant, ce sont les rebelles armés, soutenus par l’étranger, et leur Conseil national syrien, dont le quartier général se trouve en Turquie, qui monopolisent toute l’attention. Cette situation est comparable à celle du Conseil national libyen qui bénéficiait du soutien de l’Occident mais qui ne représentait somme toute que lui-même. La situation chaotique en Libye aujourd’hui montre que ce qu’envisage l’Occident ne laisse rien augurer de bon pour la Syrie.
Quel est l’agenda de l’Occident ?
L’Occident a choisi son camp. La pression qui est mise aujourd’hui sur la Syrie ne décroîtra pas de sitôt. La raison, ici, n’est pas la politique intérieure de la Syrie, mais bien la position adoptée par la Syrie à propos des thèmes internationaux. Au contraire de la Jordanie et de l’Égypte, la Syrie n’a signé aucun accord de paix avec l’Israël qui occupe toujours le territoire syrien des hauteurs du Golan. Elle héberge également à Damas nombre de quartiers généraux d’organisations palestiniennes. Les bonnes relations que la Syrie entretient avec l’Iran et le Hezbollah au Liban constituent également une épine dans le pied de l’Occident.
A l’exception de la Libye, la Syrie est le seul pays à avoir refusé d’aller dans le sens de la proposition française visant un marché plus intégré autour de la Méditerranée. La Syrie protège son marché du mieux qu’elle peut des investisseurs étrangers, malgré les ouvertures qu’elle a concédées ces dix dernières années à la demande du FMI et de la Banque mondiale. Les secteurs et entreprises qui sont sous contrôle de l’État représentent environ 80 pour 100 de l’emploi. Il ne s’agit pas uniquement ici de la gratuité de l’enseignement et des soins de santé, des transports publics, etc., mais également de pans entiers des secteurs de l’agriculture, de l’industrie et des services. C’est un marché important que les multinationales s’approprieraient très volontiers.
Ces multiples raisons suffisent amplement, aux yeux de l’Occident, pour manipuler, au profit de son propre agenda, les revendications justifiées des Syriens à l’encontre de leur gouvernement. Qu’ils soutiennent pour ce faire les groupes armés les plus extrémistes, comme ce fut le cas en Libye, ne doit donc pas nous étonner. Aussi devons-nous rester sur nos gardes quand notre ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, réclame un corridor humanitaire en Syrie, lqui, au besoin, devra être instauré grâce à une intervention militaire.
Source: VoixdelaSyrie
Tout le monde sait que le complot a commencé depuis la Tunisie et que les comploteurs ont utilisé la Tunisie comme pretexte pour renverser des régimes arabes et pour faire régresser des pays en utilisant les islamistes car c’est les seules capable a faire du mal et sans pitié a leurs compatriotes .
La libye a payé le lourd bilan du complot mais la Syrie va anéantir ce complot et le mettre a plat malgré que cela a coûté bien chers,j’espère que les pays du conseil de coopération du golf paiera très bientôt pour tout le mal qu’ils ont provoqué aux syriens a tout les autres pays.
Ce qui se passe actuellement est tout simplement un projet de destruction de la force concentrée de la société au profit des États du centre capitaliste en crise ouverte. le capitalisme mondial ne s’attarde pas à utiliser les vestiges du passé lointain ancrés dans la croyance fausse des individus et les courants islamiques, ceux des frères musulmans, des salafistes, d’Elquaada… sont dressés pour assurer un tel rôle et permettre une réorganisation de la périphérie de manière à imposer de nouvelles conditions d’exploitation et de pillage. les réalisations de ce projet en Libye témoignent d’une telle finalité: une destruction de l’État libyen (135 conseils militaires au nom de l’islam dans la capitale libyenne) et la privatisation du secteur pétrolier pour s’approprier de la rente pétrolière sous de nouvelles conditions (2% de la production mondiale) et ouvrir la voie à un nouveau partage entre les pays impérialistes. Ce faisant, la démocratisation qui a servi comme prétexte aux agresseurs impérialistes cède la place rapidement au chaos. En Syrie, c’est le même prétexte, le même slogan: protéger le peuple de la dictature,…. les mêmes instruments : la 5 ème roue de l’impérialisme dont on cite les frères musulmans, les régimes despotiques du golf (QATAR,A/SAOUDITE), la TURQUIE et la “nouvelle Tunisie” celle du TROIKA!!. Quant aux objectifs visés il s’agit de mettre fin à la résistance Syrie-libanaise pour permettre une intégration plus poussée de la base avancée de l’impérialisme dans la région à savoir l’État Sioniste et briser l’alliance Iran – Syrie- Russie.
[…] Les Tunisiens en Syrie se trouvent dans une situation critique 17 May, 2012 // Blog […]
[…] Les Tunisiens en Syrie se trouvent dans une situation critique 17 May, 2012 // Blog […]
coucou lilia ,nous attendons la suite,la quatrième< journée!!comment se déroule t'elle?as tu réussir à obtenir une interview de tes amis salafisto-sioniste,ses barbus idiot utiles,ceux qui ne cessent de tuer uniquement des arabes!!pourrais tu leur posé une question de ma part?combien d'entre eux sont ils prêt à aller en Israel combattre nos ennemis commun?je n'en ai encore jamais vu depuis plus de quatre vingt ans de conflit en Palestine!!heureusement que le ridicule ne tue pas!!Pauvre lilia si Bashard réussi à inverser la situation en sa faveur,comment feras tu dans un avenir proche dans mon pays la Tunisie!!As tu réfléchit à cette question?penses tu que la tunisie restera éternellement un état soumis à la doxia!!crois tu que nous peuple tunisien resterons encore sous l'influence de nos papas occidentaux!!alors reste dans cette position intellectuel si tu le désir,mais pour ma part bashard Al Assad fait du bon boulot,il met à nu votre travail!!aujourd'hui c'est un régal d'observer tout ses arabes comme toi et bien d'autres travaillant pour l'ennemi afin de le satisfaire,actuellement le rôle s'inverse sous vos yeux!!La Russie,l'Iran et la Chine remettent les pendules à l'heure!!j'ai hâte de voir la débandade arriver d'un moment à l'autre!!tu te sens si sur de toi actuellement,jusqu'à quand!!
Tunisie: des mosquées salafistes appellent les jeunes à aller combattre en Syrie 18/05/2012
IRIB-Certaines mosquées tunisiennes de tendances salafistes aux mains d’islamistes radicaux appellent les jeunes à aller au jihad en Syrie contre le régime de Bachar al-Assad, a reconnu vendredi un responsable du ministère tunisien des Affaires religieuses.
C’est un problème et nous sommes en train de chercher des solutions, a déclaré lors d’un point de presse Ahmed Bergaoui, un responsable du ministère, interrogé sur les imams qui appellent les jeunes tunisiens à aller se battre en Syrie.Selon des estimations officielles, quelque 400 mosquées sont tombées sous la coupe de radicaux depuis la révolution en Tunisie qui compte environ 5.000 lieux de culte.Jeudi soir, le ministre de l’Intérieur Ali Larayedh avait aussi évoqué cette question, sans fournir de chiffres sur le nombre de jeunes concernés.
http://french.irib.ir/info/afrique2/item/189116-tunisie-des-mosqu%C3%A9es-salafistes-appellent-les-jeunes-%C3%A0-aller-combattre-en-syrie
@sofiane
C malheureux comme tu dis mais ce qui fait mal c’est ses syriens qui n’ont plus rien ils n’ont même plus de quoi manger on aurait dû envoyer des aides humanitaires car ils le méritent mille fois mieux que les libyens que les tunisiens ont aidés jusqu’au bout et a la fin les libyens ont fait un bras d’honneur au tunisien,ils faut vraiment faire une collecte de produit de première nécessité a fin d’être envoyer en Syrie je suis le premier a y contribuer pour démontrer au syrien que les tunisiens ce n’est pas les19 terroristes arrêtés et que ennahda ne représente guère les vrais tunisiens ,allez sofiane si on peut faire quelque chose je suis partant .
@sofiane
C malheureux comme tu dis mais ce qui fait mal c’est ses syriens qui n’ont plus rien ils n’ont même plus de quoi manger on aurait dû envoyer des aides humanitaires car ils le méritent mille fois mieux que les libyens que les tunisiens ont aidés jusqu’au bout et a la fin les libyens ont fait un bras d’honneur au tunisien,ils faut vraiment faire une collecte de produit de première nécessité a fin d’être envoyer en Syrie je suis le premier a y contribuer pour démontrer au syrien que les tunisiens ce n’est pas les19 terroristes arrêtés et que ennahda ne représente guère les vrais tunisiens ,allez sofiane si on peut faire quelque chose je suis partant…?
Pour info, je tiens à signaler l’existence de deux centres d’entrainements militaires tenus par des Djihadistes, le plus important se trouve aux environs de Halfaja au Nord du Chott el Fedjaj et les second autour de Sidi Ferdjaji non loin du barrage entre Cap Serrat et Sedjnene.
Pauvre Tunsie devenue terre de terrorisme …
Pour info, je tiens à signaler l’existence de deux centres d’entrainements militaires tenus par des Djihadistes, le plus important se trouve aux environs de Halfaja au Nord du Chott el Fedjaj et le second autour de Sidi Ferdjani non loin du barrage entre Cap Serrat et Sedjnene.
Pauvre Tunsie devenue terre de terrorisme …
bien avant les elections ,je l avais ecrit ici,que c pseudos islamistes allez nous menez a la guerre.
nous mener
Le joujou de l’Emir s’est cassé, cassé par la volonté du peuple, une notion incongrue dans l’Emirat du Qatar, qui joue de la malchance en 2012.
Car autant 2011 lui avait été faste, 2012 lui est néfaste avec les déboires de Syrie et les avanies de France.
La France, l’un de ses terrains d’emplette préférés, qui lui a dégagé sans ménagement son joujou favori, Nicolas Nagy de Bocsa, le plus anti-arabe des dirigeants de l’histoire de la République française, à égalité avec le socialiste Guy Mollet.
Retour sur le tandem franco-qatariote : HBJ… alias Hamad Ben Jassem Ben Jaber Al Thani, le symptôme de la mégalocéphalite.
Paris. L’homme qui a menacé l’Algérie de ses foudres en cas d’obstruction à ses menées anti-syriennes, sans égard pour le passé militant du pays, sans égard pour la fraternité d’armes entre Algériens et Syriens lors de la guerre d’indépendance algérienne, c’est lui.
L’homme qui fomenta l’expulsion de la Ligue arabe de la Syrie, sans égard pour les trois guerres menées par ce pays contre Israël pour le compte des Arabes (1948, 1967, 1947), c’est encore lui.
Lui qui parachuta la charia talibane en Libye. Lui qui maintiendra au seuil de la ligne de flottaison le prédicateur égyptien Youssef Qaradawi, la caution jurisprudentielle à l’intervention atlantiste en Libye. Lui, encore et toujours qui renflouera politiquement le chef islamiste tunisien Rached Ghannouchi.
Lui, enfin, présumant de ses forces, qui intoxiquera son homologue français en l’assurant que son combat mercenaire à Bab-Amro (Homs), dont la presse et la population civile en ont payé un lourd tribut, sera «le Stalingrad du régime syrien» à l’effet de bouleverser la stratégie du Moyen-Orient.
Homs, particulièrement le quartier de Bab Amro qui avait vocation à devenir la ville symbole du martyrologe syrien, qui sera le révélateur des dérives sectaires de la Brigade Al Farouk, le fer de lance de l’opposition. «La brigade Farouk nous tue»: l’invraisemblable appel à l’aide lancé à la hiérarchie par les autres composantes de l’opposition est à cet égard significatif du comportement séditieux du chef de la brigade, le commandant Abdel Razzak Tlass, le plus médiatisé des chefs rebelles en raison de son homonymie avec l’ancien ministre de la défense, le Général Moustapha Tlass (1).
Voir à ce propos l’étrange mise aux enchères en Arabie saoudite d’un candidat au martyr en Syrie. Des enchères organisées par le propre père du volontaire en partance pour Bab Amro (Homs). L’adjudication qui s’est déroulée dans un hôtel de Djeddah (Arabie saoudite), s’est élevée à un million de riyals saoudiens.
http://youtu.be/DuGhi-WlBEU
Lui, l’avisé, qui se laissera fourvoyer à son tour par la France dans le chaudron syrien. En pleine campagne de Syrie, l’ami Sarkozy, en veine d’inspiration, lui forgera une loi de tonnerre de Dieu à relent électoraliste sur «la criminalisation de la négation du génocide arménien», implosant l‘alliance stratégique entre la France et la Turquie, les anciens complices du démembrement de la Syrie, plombant la mobilisation anti Assad et discréditant du même coup l’opposition syrienne de l’extérieur chapeautée par Paris.
Un parfait contre-exemple des annales de la géostratégie mondiale, un cas d’école programmé comme objet d’un futur enseignement dans les académies diplomatiques. On ne se méfie jamais assez de ses amis.
On ne prête qu’aux riches. Et lui, il est très riche, on lui prête donc beaucoup. Beaucoup de qualités et autant de vilénies.
Dans sa chevauchée solitaire vers la gloire et la renommée, cet apprenti «Maître du Monde» ignorera la moitié de la planète, la Chine et la Russie, détentrices d’un double verrou au Conseil de sécurité, l’Inde, un quasi continent, l’Afrique du sud, la nouvelle autorité morale du continent africain, ainsi que le Brésil, le géant de l’Amérique latine, soit près de trois milliards de personnes, offrant au groupe de Shanghai et au BRIC la première victoire diplomatique majeure sur le bloc atlantiste depuis l’effondrement de l’Union soviétique, il y a vingt ans et la fin de l’unilatéralisme atlantiste.
Piètre résultat pour un homme qui passait parmi les plus avisés de la diplomatie pétro monarchique, atteint désormais de mégalocéphalite, une pathologie fréquente à l’ombre des derricks. Piètre résultat aussi pour le petit génie de la diplomatie française, Alain Jupé, le bradeur de la firme électronique française Thomson CSF pour un franc symbolique, le meilleur des chiraquiens et des sarkozystes réunis.
Lui, c’est Hamad Ben Jassem Ben Jaber Al-Thani (HBJ), des initiales qui retentissent à la JR, de la célèbre série américaine DALLAS. Un homme nullement inconnu des chroniques judiciaires des gazettes du palais, dans leur version pénale.
Cet homme-là fit la «Une» de l’hebdomadaire américain «Newsweek», le 8 avril 2003, le jour de la chute de Bagdad, alors que les Etats-Unis tentaient de mettre au pas la chaine transfrontière qatariote Al Jazira, alors à l’apogée de sa puissance et de sa crédibilité.
Ce jour-là, en phase finale de l’offensive américaine en Irak, marquée par la destitution médiatique de la statue de Saddam Hussein sur la place «Al Fardaous», «Newsweek» annonce à grands renforts de publicité une information sans véritable lien avec la conduite de la guerre: le lancement d’une enquête pour corruption contre le ministre des Affaires étrangères du Qatar, Hamad Ben Jassem Ben Jaber Al Thani qui aurait été impliqué dans le courtage dans une affaire d’assurances et le blanchissement subséquent de cent cinquante millions de dollars sur un compte dans les Iles Jersey (Royaume Uni).
Le choix de la cible n’était nullement anodin. Ni le fruit du hasard. Un des vieux routiers de la vie politique du Golfe HBJ était l’inamovible ministre des Affaires étrangères du Qatar depuis 1992, c’est-à-dire lorsque l’accusation est portée, depuis 11 ans, soit un homme qui a servi les deux derniers gouverneurs, le père et le fils.
Fils aîné de Cheikh Jaber Ben Hamad, ancien Emir de Qatar, HBJ avait joué un rôle important dans le coup d’état pro anglo-saxon qui a porté au pouvoir le nouvel Emir et passe pour être un homme sensible aux intérêts des firmes pétrolières anglaises et américaines.
Ni anodin, ni le fruit du hasard, ce choix paraissait destiné à démonter la détermination des Etats-Unis à «caraméliser» quiconque se dresserait contre leur projet, jusques y compris leurs meilleurs amis, visant à faire taire toute critique à l’égard de l’invasion de l’Irak. Né en 1959, Jassem est le père de treize enfants (Six garçons: Jassem, Jaber, Tamime, Mohammad, Fahd, et Falah) et sept filles (Nour, Charifa, Lamya, Mayyasah, Mariam, Alanoud, May).
Dans la répartition des rôles au sein du pouvoir qatariote, HBJ représente la sensibilité américaine face à l’Emir, le parricide Cheikh Hamad Ben Khalifa, présenté comme ami de la France.
A la tête d’une immense fortune, qui lui vaut le titre de l’homme le plus riche du richissime Qatar, situé à un niveau très élevé du hit-parade des fortunes du Golfe, Cheikh Jassem est actionnaire de la compagnie aérienne qatariote «Qatar Airways» et du fond d’investissement «Qatar Investment Authority», dont le fils de l’Emir, Tamime, en est le président nominal.
Membre reconnu de l’Establishment américain, Jassem est membre associé de la prestigieuse «Brooking Institution», spécialisée dans les études géostratégiques sur le Moyen orient, à ce titre un interlocuteur régulier des dirigeants israéliens, notamment de Mme Tzipi Livni, ancien agent du Mossad et ancien ministre israélien de affaires étrangères, et à ce titre futur coordonnateur des guerres destructrices israéliennes contre le Liban (2006) et contre l’enclave palestinienne de Gaza (2008).
La neutralisation d’Al Jazira, dont les Américains caressaient le projet de bombarder son siège central, figurait alors comme leur cible prioritaire.
Curieuse information qui apparaît rétrospectivement comme un contre feux alors que le bureau d’Al-Jazira dans la capitale irakienne était de nouveau la cible de dommages collatéraux de la part de l’artillerie américaine et que des informations persistantes faisaient état de l’implication de la firme Haliburton dont Dick Cheney en était le patron avant sa nomination au poste de vice-président américain, tant dans des versements de pots de vin au Nigeria et que dans la surfacturation de prestations pétrolières en Irak.
L’affaire tournera court mais le message sera entendu. Le ministre qatari ôte des Affaires étrangères sera blanchi, promu même ultérieurement premier ministre, l’Amérique transférera ses bases d’Arabie saoudite vers le Qatar, et, dans la foulée, l’Emir de Qatar annoncera l’éviction pour des liens présumés avec le régime de Saddam Hussein du Directeur Général d’Al-Jazira, celui-là même qui avait été félicité par l’ambassadrice américaine lors du repas du Ramadan.
Simultanément, le correspondant d’Al-Jazira à Kaboul et Bagdad, Tayssir Allouni, était traduit en justice en Espagne pour ses présumés liens avec Al-Qaîda et un des photographes de la chaîne, Sami al Hajj, était incarcéré pendant huit ans à Guantanamo, avant de se voir confier la direction d’un centre pour la défense de la liberté de la presse.
Du travail d’orfèvrerie: Le Qatar était dédouané au regard de l’opinion arabe, Al-Jazira confortée dans sa crédibilité alors que les américains obtenaient la mise sur place d’un PC opérationnel à Doha. Un privilège obtenu aux prix d’une lourde servitude à l’égard de son grand tuteur américain, qui s’est traduite par l’installation sur le sol de la principauté du siège du CENT COM,
Le commandement opérationnel des guerres américaines en terre d’Islam (Afghanistan, Irak, Yémen, Afrique orientale), porte garantie de la pérennité du régime, de la survie de la dynastie et du maintien sous souveraineté qatariote du gigantesque gisement gazier offshore North-Dome, contigu de l’Iran.
Effet du hasard ? HB assumera un rôle de pointe dans la mise à l’index de la Syrie, à l’automne 2011, dans une opération de déroutement de la révolution arabe des rives du golfe pétro monarchique vers la frange méditerranéenne du Monde arabe.
Mais cette opération de dérivation de Bahreïn vers la Libye, puis de la Syrie a porté un coup fatal à la crédibilité d’Al Jazira, au-delà, au Qatar, faisant voler en éclat un édifice patiemment mis sur pied pendant quinze ans. Une diplomatie agressive en tandem avec la France qui vaudra à ce pays la perte de gros marchés dans les principautés du Golfe, excédées par la morgue du duo.
Suprême avanie, le camouflet infligé par New York au premier ministre du Qatar en lui refusant l’acquisition d’une propriété de trente millions de dollars sur Fifth avenue, au prétexte que le réaménagement du lot, anciennement la propriété de la millionnaire Huguette Clark, pour l’installation de la nombreuse famille princière risquait de perturber la quiétude de la copropriété du fait de la cohabitation au sein du même immeuble mais dans des appartements différents des deux épouses du Prince et de leurs quinze enfants.
Hasard du calendrier ou intersigne du destin, l’annonce a été rendu publique par le New York Times, le 10 Mai, jour de la proclamation officielle des résultats des élections présidentielles françaises propulsant François Hollande comme Président de la République française, vainqueur du rival de l’ami tonitruant du Qatar, Nicolas Sarkozy.
Davantage que les plus belles analyses, cette rebuffade constitue l’indice le plus significatif de la nature réelle des relations entre les deux pays en ce que le plus zélé sous-traitant américain pétro monarchique s’est abstenu de toute réplique sans oser faire usage d’un argument de taille, à savoir que les bases américaines sur son territoire risquaient de dénaturer la souveraineté et l’indépendance de la principauté.
Depuis lors le Qatar arbore fièrement sa devise, non pas «l’indépendance dans l’interdépendance» chère à l’ancien premier ministre français Edgar Faure, mais la forme moderne de l’indépendance pétro monarchique: «La dépendance dans la trop grande dépendance». Drôle d’oxymore d’ailleurs qu’un souverain frappé de servitude. Que ne ferait-on pour complaire à son seigneur et maître?
A l’ombre du CentCom (3), ses deux bases qui occupent le quart de la superficie du pays, ses cent chasseurs bombardiers et ravitailleurs, sa police aux porches rutilantes, le Qatar, dérisoires pacotilles, relève du décor d’opérette, et, la principauté, sous le tandem Hamad Jassem, est devenue un bateau ivre piloté par des automates.
Commandant en chef fantoche d’une guerre mercenaire de déstabilisation du Monde arabe pour le compte de ses protecteurs américains, le duo assume avec bonheur sa fonction de souverain servile, dont le ralliement à la branche rivale de l’Islam sunnite, le chiisme, d’Abdel Rahman Qaradawi, le propre fils de leur prédicateur attitré Youssef Qaradawi, a retenti comme un magistral camouflet à la logomachie paternelle, en même temps qu’un désaveu à sa caution religieuse à toutes les équipées atlantistes dans le Monde arabe, au bénéfice de ses bailleurs de fonds qatariotes.
Slogan de dérision anti Qatar
Si le peuple cherche un jour sa destruction
Il importe au Qatar d’y faire droit
Signé: Campagne Nationale de lutte contre la corruption du tandem Hamad Et Moza (épouse de l’émir).
NDLR: L’auteur s’est inspiré des premiers vers de l’hymne tunisien (paroles du poète tunisien Abul Qassem Al Chaabi) en détournant les propos, la version correcte du poème :
Si le peuple un jour réclame la vie
Il importe au destin d’y faire droit
Références
1-«La Brigade Al Farouk nous tue», message des combattants de l’intérieur à la hiérarchie de l’opposition sur les exactions de la brigade Al Farouk à Homs http://www.al-akhbar.com/node/63540.
Le quotidien libanais Al Akhbar a publié le 3 mai 2012 des messages électroniques piratés rendant compte des dissensions et des règlements de compte qui se sont produits au sein de l’opposition armée syrienne et des exactions de certains groupements financés par l’Arabie saoudite contre des civils, dans le but de faire prévaloir d’autres considérations que le primat du combat national, de même que le rôle d’obstruction joué par le Qatar et la Turquie pour contrecarrer une démarche russe auprès de Damas en faveur de l’opposition syrienne. Et le message de Michel Kilo, un des plus prestigieux opposants syriens, à Bourhane Ghalioune, le chef nominal de l’opposition externe, à propos du rôle du Qatar et de la Turquie. http://www.al-akhbar.com/node/63538
«Attention à la Turquie et au Qatar».
Pour le lecteur non arabophone
Cher Bourhane,
Tu n’ignores pas qu’il m’est difficile de te refuser quelque service que ce soit. Mais j’ai appris que la réunion d’Istanbul (des amis de la Syrie) a été organisée par le Qatar et la Turquie et que la Ligue arabe n’avait pas été informée de cette initiative. Le Qatar et la Turquie n’ont pas une attitude positive à notre égard.
Je préfère Le Caire à Istanbul et l‘Egypte à la Turquie. L’initiative de ces deux pays est destinée à couper la voie à une initiative russe dont tu n’ignores pas qu’elle devait être dans notre intérêt. Je n’irai donc pas à Istanbul pour signer l’accord (de regroupement des diverses factions de l’opposition syrienne). Signé Michel Kilo.
2-http://www.smh.com.au/executive-style/luxury/money-cant-buy-him-a-home-exclusive-new-york-building-snubs-qatari-pm–and-his-15-children-20120509-1ycpm.html
3 -Les Etats-Unis disposent de deux bases militaires au Qatar, le camp logistique d’Al-Sayliya qui a abrité durant la guerre d’Irak (2003-2011) le centre de commandement avancé des opérations, une fonction lourde de signification symbolique, et la base aérienne d’Al-Udeïd, riche notamment d’avions ravitailleurs, d’une centaine de chasseurs et de la plus longue piste d’envol de la région de l’ordre de 5 kilomètres. Le CentCcom, maillon intermédiaire entre l’OTAN (Atlantique nord) et l’OTASE (Asie du sud-est), est chargé de la surveillance aérienne de l’arc de l’islam, une zone couvrant l’espace allant de l’Afghanistan au Maroc. Les deux bases occupent le quart de la superficie du Qatar 2. 500 km2 pour une superficie totale de 11,300 km2
http://www.renenaba.com/
le Qatar, l’Émirat, le Maroc et la Jordanie seront présents dans la réunion de l’otan à CHICAGO. Leur rôle dans la destruction de l’ETAT LIBYEN est bien apprécié par les centres impérialistes. L’expérience est à refaire avec la Syrie.Quelle honte!!!
………. et tout ça, se passe alors que bachar va bientôt avoir un héritier qui va assurer dans au moins trente ans la stabilité du pays , et qui continuera a lutter contre les forces du mal qui ne veulent pas laisser la famille gérer la ferme familiale tranquillement . et ce marzouki a la noix , qui comme d’habitude n’arrête pas de défendre les peuples opprimés et les droits de l’homme .
@mouhtem bjr
ah bah oui, puisque on est pas fichu de nous demerder par nous meme.
la revolution tunisienne s est faite grace aux cyberactivistes, comme l egyptienne ,et on se demande bien qui leur a tenu la main a nos cyberactivistes?
la revolution libyenne?y a qu a demander a l otan,et l otan leur largue sur la gueule des tonnes de bombinettes,au gout de liberte,huuum quelle bonne odeur!!!.
les antis assad on se demande vraiment ,qui les aiment autant pour les financer?tout ce fric mouhtem,rien que pour que nos pleuplades vivent librement.
Notre fierte et notre dignite ?he bein on s assoit dessus,puisque on est pas fichu de pondre un vrai revolutionnaire,avec une vrai revolution,une putain de vrai independance.
@NAZOU, bonjour,
je m’excuse mais, je m’attendait pas à une telle réponse .
[…] Les Tunisiens en Syrie se trouvent dans une situation critique Ahmed Manaï : “La Ligue arabe a enterré le rapport des observateurs en Syrie” […]
[…] Les Tunisiens en Syrie se trouvent dans une situation critique Ahmed Manaï : “La Ligue arabe a enterré le rapport des observateurs en Syrie” […]
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