Par Hedia Baraket.
Arrêté pour corruption financière, l’ex conseiller de Ben Ali n’est toujours pas l’objet d’une accusation claire quant à son forfait majeur : l’étau politique et médiatique infligé à la Tunisie. A ce jour aucune action en justice, aucun rapport, aucun diagnostic, aucune publication ne sont venus délimiter sa haute responsabilité en la matière… Or peut-on envisager la réforme du secteur de l’information en faisant le silence sur vingt ans d’un appareil de mise à mort des médias nommé Abdelwahab Abdallah. Témoignage à la deuxième personne :
Monsieur,
L’action en justice intentée contre vous en tant que membre de l’ex RCD et le petit coup médiatique dont elle a fait l’objet sont bien en dessous du niveau de gravité des préjudices réels et inestimables que vous, ex ministre conseiller de l’ex président, avez causé à la Tunisie. On se serait bien épargné l’image d’un ministre de la propagande impliqué dans une affaire mineure de corruption financière étant donné la nature autrement plus pernicieuse de votre forfait majeur qui relève du préjudice politique et moral et du délit d’opinion.
L’espace de vingt trois ans, entrecoupés de quelques rares éclipses pendant lesquelles vos « conseils » et vos manœuvres n’ont jamais tari, vous vous êtes particulièrement et exclusivement investi d’une mission : museler la presse, bâillonner les médias pour conforter la dictature de Ben Ali dans toutes ses dépravations et la vôtre dans toute sa clandestinité.
Vous vous y êtes méthodiquement et impassiblement attelé, privant les médias de leur fonction élémentaire et dépossédant les millions de tunisiens de leur droit sacré à l’information. Qui ne vous connaît pas pourrait s’étonner qu’un seul homme ait pu faire tout cela à la fois. Mais l’histoire foisonne des exemples des ministres de la propagande qui ont légué ses plus grands cauchemars à la mémoire de l’humanité. Ce n’est pas de vous y comparer qu’il s’agit, c’est juste de dire que, toutes proportions gardées, vous faites partie de ces mauvais génies.
Votre position immuable de ministre conseiller du président en affaires politico médiatiques, que vous avez gardé même depuis votre poste de ministre des affaires étrangères, et à chaque fois que vous étiez en dehors du palais, vous a permis de veiller à la pérennité d’un régime corrompu et la corruption d’un secteur médiatique soumis à vos commandements de sorte que sa raison d’être soit totalement écrasée et confondue à celle du régime.
L’annonce – in extrémis – de votre limogeage, le 13 janvier 2010, dans les dernières largesses et les derniers sursis que s’accordait votre président est la première et la dernière preuve donnée par le régime lui-même et de son vivant, de vos désastreuses besognes et de vos basses stratégies médiatiques orchestrées et reconduites jusqu’aux dernières heures et alors que nos jeunes mouraient.
A la fois, inspirateur et complice du régime de Ben Ali, vous vous êtes fait un plaisir sordide à en représenter la force occulte et en assouvir tous les vices au moyen de la subordination totale d’un paysage médiatique sevré de la réalité citoyenne, mais si bien coupé à votre taille et celle de votre président.
Outre la censure systématique et la propagande dispendieuse, vous vous êtes pris personnellement au journaliste indépendant qui a juste refusé de participer à votre presse mercantile et votre orchestre piteux.
En saluant les confrères et les consœurs qui ont payé la liberté d’expression de leurs vies, de leur intégrité physique et ceux qui se sont exilés, je joins la voix du journaliste indépendant que vous vous êtes acharné à détruire, par les manœuvres dont vous seul avez le « génie ».
Vous avez traité le journaliste professionnel qui a refusé d’accepter vos offres politico médiatiques et de collaborer à votre propagande, comme un être hostile et dangereux que vous avez fermement combattu par des pratiques sombres allant du blocage des horizons professionnels à l’harcèlement policier. Surveillance rapprochée, passeport confisqué, déplacements entravés, interrogatoire musclé, mobilité professionnelle bloquée…
Vous avez perçu le journalisme de terrain et d’investigation – aussi peu politisé soit-il – comme une note discordante dans la longue litanie élogieuse de ben Ali, comme une insubordination politique, une terrible menace que vous n’avez pas hésité à livrer en pâture à l’œil vigilant et les méthodes rigoureuses de la police.
Vous avez condamné toute possibilité d’un journalisme professionnel demandant juste à opérer dans les règles sacrées de la profession.
Aussi, ce ne sont pas vos affaires de corruption qui nous concernent autant que vos crimes à l’encontre du droit d’expression.
Je ne suis pas juge, monsieur, et, à votre égard, je ne respecterai pas la présomption d’innocence que vous n’avez jamais respectée de votre côté. Je n’attendrai pas votre inculpation qui, murmure-t-on curieusement, ne viendrait peut-être pas, vu l’immatérialité de vos manœuvres et le caractère « impalpable » de vos délits.
Car, il n’est de secret pour personne que vous avez toujours comploté, à la frontière de la légalité et en toute clandestinité dans l’ombre du sérail veillant à ne jamais laisser de traces ni de dossiers compromettants. La manipulation orale est votre méthode préférée et le téléphone votre meilleur allié.
Avec le téléphone, vous avez poussé le journaliste indépendant dans ses derniers retranchements, vous avez condamné sa carrière, bloqué sa mobilité et violé ses libertés.
Avec le téléphone vous avez assis un appareil implacable et tissé un réseau infaillible qui, quand il ne réussit pas à recruter, écrase et bannit pour infidélité.
Avec le téléphone, vous avez construit un empire de vingt trois ans d’intox et de désinformation qui a privé tout un peuple de sa faculté de discernement.
Aussi, vous êtes responsable monsieur, de l’état du paysage médiatique, malade de vos vices manipulatoires et de ses propres contagions, que vous avez légué à notre nouvelle Tunisie.
Vous êtes redevable de tout denier public arraché au contribuable et dépensé à son encontre et son insu dans la glorification de l’imposture des Ben Ali.
Vous êtes responsable de l’avilissement général que vous avez causé au secteur de l’information en opprimant et excluant les meilleurs journalistes dont vous avez systématiquement détruit la carrière, en compromettant les responsables et toutes les parties qui vous ont juré fidélité.
Vous êtes responsable de l’humiliation que vous avez fait subir aux millions de tunisiens dont vous avez sous estimé l’intelligence, la conscience politique et la simple lucidité.
Enfin et au-delà de tout, vous n’êtes pas innocent de la perspective effrayante et de la sombre destinée que vous réserviez à notre pays.
Vous, professeur de Droit, vous ne vous êtes visiblement posé aucune règle éthique, aucune règle de droit et de constitution en ourdissant le noir complot – qui devait hisser l’épouse de Ben Ali à sa succession à la plus haute direction du pays, en dehors de la loi républicaine et de la simple moralité. Vous ne vous êtes posé aucune question de déontologie en ordonnant de lui consacrer le plus clair des colonnes et des espaces audiovisuels.
Aussi, me semble-t-il étonnant qu’on sépare aujourd’hui, la dictature perverse et la haute trahison des Ben Ali du mauvais génie politique et médiatique qui est le vôtre et qui a accompagné ce régime de si près, l’a profondément « illuminé » et largement aidé à perdurer, à dévier et à sombrer dans l’ambition vorace et insensée. Alors qu’eux deux régnaient sur un pays qu’ils ont spolié de ses ressources matérielles, de ses compétences humaines, de sa justice, de sa dignité, vous régniez vous-même sur leur marketing mercenaire affreux et dessiniez vous-même leur image fantastique en Tunisie et à l’étranger via l’ATCE et ses enveloppes onéreuses.
On dit que les médias ont fini par jouer votre jeu, on dit que vos propagateurs tellement nombreux vous y ont très bien suppléé, on dit que la responsabilité de tout cela était parfaitement partagée. Soit. Mais le différend du journaliste indépendant est avant tout, avec vous, monsieur, et avec la manière dont vous l’avez systématiquement écrasé, marginalisé et stigmatisé dans la masse de vos suppléants pour asseoir une propagande concordante et absolue.
Aussi, me semble-t-il, étonnant aujourd’hui, qu’on veuille réformer le secteur de l’information sans commencer par définir votre responsabilité – et celle de vos propagateurs – dans toutes les dérives que vous lui avez causées. Aussi, me semble-t-il étonnant qu’on veuille recréer une presse libre et professionnelle dans un contexte encore fortement pollué et sans diagnostiquer les dérèglements et la médiocrité que vous y avez perpétués.
Je ne suis pas juge, monsieur, mais je pense que l’impunité est le mal endémique et l’atteinte la plus dangereuse dont a longtemps souffert notre pays. Je ne suis pas juge, mais j’observe avec consternation la nouvelle licence et l’indulgence dont on veut faire bénéficier les responsables de la dégradation des mœurs politiques du pays. On tergiverse au nom d’une présomption d’innocence dépassée par les évènements et les divulgations et on décide de pardonner au nom d’une improbable réconciliation, décidée par on ne sait qui, au nom de qui et accordée avant même que les responsables aient répondu de leurs délits.
Faut-il encore prouver cette responsabilité, qui, comme la vôtre, prend chaque tunisien pour victime et témoin ? Faut-il encore prouver l’état déliquescent du secteur de l’information ? Faut-il encore prouver la dictature de Ben Ali et la responsabilité historique de ceux qui l’ont inspirée et magnifiée ?…
Vous absoudre, aujourd’hui monsieur, c’est poursuivre l’œuvre d’oppression, d’avilissement, d’humiliation et de subordination que vous avez entrepris, vingt ans durant, au détriment de ce pays et de son peuple !
Vous absoudre c’est maintenir ce statut quo et cette opacité dans lesquels les véritables compétences continuent à être marginalisées et peu de réformes pourraient parvenir.
Aussi, j’en appelle à la conscience des journalistes indépendants que vous avez attaqués dans leurs ultimes libertés et j’en appelle à la conscience de tous les tunisiens que vous avez dépossédés de leur droit à l’information et la plus simple expression de leur citoyenneté pour qu’ils témoignent de votre responsabilité.
J’en appelle aux magistrats et aux avocats pour qu’ils donnent un nom à votre délit et une matérialité à vos preuves occultées.
C’est un passage obligé, monsieur, car, au-delà de votre personne et celle de vos suppléants, c’est la médiocrité persistante et toutes les perversions du secteur de l’information qui sont désignées pour qu’un jour, elles puissent être efficacement corrigées.
En réalité Abdallah n’était pas simplement un conseiller mais un acteur de la mise en oeuvre et du marketing de la propagande qui a aveuglé et terrassé les tunisiens.Il ne faut pas oublier les gros contrats passés avec l’étranger pour soigner l’image du régime du dictateur à travers l’ATCE notamment; il s’agit de millions d’euros y compris des conseils demandés à l’extérieur pour faire connaitre Abdallah lui même qui, ne l’oublions pas, a misé sur un poste clé dans la nomenklatura !
Merci Hédia, La responsabilité de ce sinistre est écrasante : Il a rendu pendant deux décennies la presse du pays illisible, complice et coupable, avec une foule de massacres. Cela n’est pas difficile à prouver, mais demandera sûrement beaucoup de temps à établir.
Ce fan, tour à tour des Ben Ali, des Trabelsi, qui a fini chien-chien d’une “Maîtresse” qu’il croyait promise aux plus hautes charges, répondra de plusieurs chefs ; mais au-delà de l’argent sale qu’il collectait pour ses maîtres et pour lui-même, comme dans l’affaire de Skhira/Qatar, son crime le plus odieux est certainement celui dont vous parlez.
La prudence des salauds, les ordres aboyés -vieille tradition orale des fascistes au pouvoir, la destruction des preuves compliquent bien les choses. Mais les témoignages concordants opèrent en justice et peuvent établir une culpabilité. Les témoignages des victimes, d’abord ; et il ne faut pas désespérer de ceux qui étaient postés à leur service : on assiste, depuis le 14, à des conversions multiples, car la reconnaissance du ventre n’est nullement une vertu durable chez certains, et il leur faut bien vivre…
Thanks Hedia. This article is well written and will be for the record for the generations to come about ZABA and his malicious entourage
très bon article,tous ces petits dictateurs vont payé leur massacre .mais jusqu’à maintenant on a pas encore vue un vrai changement et liberté ni de la presse ni des médias tunisienne .
Merci pour votre article, je l’interprète comme une preuve de plus et une urgence de maintenir la mobilisation.
Il est sidérant que, comme vous dites, une réconciliation improbable soit décidée odieusement par le bourreau et que les victimes sont pour l’instant consentantes.
Thanks Hedia for resuming so well. Keep up the good work, it’s time for a change !
zaba dans son derniere discours il a dit :
allah galeb galtouni
sont les 3 trois abdallah et siriati
*la justice tun doit comdamner death pinalty pour les 125 pax trabelsis et benalissaaf les moins de 15 ans.
* comment ont peut investir pour eviter les troubles economique en tunisie si la justice et n’est pas a la hauteur ?
et si les islamites et gaddafi prond le pouvoir ?
sera colera et peste
A A est l’equivalent de gobbels.
Il doit s’explique devant le peuple tunisien.
Je me demande si son procès ne doit il pas être public ??
Ne vous cassez pas trop la tête pour trouver les chefs d’accusation c’est TRES simple:complicité de tout et n’importe quoi avec ben machin.
Bravo Hédia pour votre article et votre franc-parler.
On se demande pourquoi le gouvernement provisoire ne tient pas compte de tous les commentaires des citoyens honnetes qui exigent que tous les mafieux et Co soient juges par un tribunal tunisien;
Ou en sommes-nous avec les soit-disant mandats d’arrêt????
D’ailleurs ou sont-ils tous cachés tous ces mafieux qui ont spolié le pays et qui se paient un exil ‘dore’ pour certains …sait-on au moins ou ils sont terrés???
Vous parlez d’information corrompue sous ZABA et Co – mais sommes-nous encore et toujours à cette ère?
On a l’impression que c’est le statut-quo – rien n’a changé, rien n’a bougé.
Ah j’ai oublié- Ce gouvernement a trop de pain sur la planche- il faut qu’il prenne le temps de consulter certains dossiers – faut les ménager les pauvres- ils sont tellement débordés qu’ils ne peuvent être a la fois au four et au moulin – voire être sur tous les fronts.
Dur dur d’être au gouvernement – surtout quand il pullule d’anciens compagnons …. faut leur laisser le temps de supprimer les preuves et traces de corruption et autre type d’abus de liberté.
Faut-il laisser en liberté les traitres et voleurs??
Ou est la justice pour tous et l’état de droit.
On sait que les enjeux sont forts peut-être même un peu trop – et en même temps tout le monde veut la part du gâteau indépendamment des intérêts du peuple tunisien et du pays-
Espérons que nous ne retomberons pas dans le piège infernal de non retour et que le peuple tunisien ne sera pas bafoué une fois de plus.
Il est évident pour tous qu’on vit un vide assourdissant dans cette phase d’attentisme du prochain vrai?? gouvernement???. On se demande même si la démocratie à venir nous aidera à dépasser le népotisme et les passe-droit qui semblent prévaloir.
Faisons confiance aux Tunisiens, au peuple, le vrai, celui de toutes les régions et pas celui des intérêts particuliers.
Merci Hédia!!!
Un bon article ! Ces 3 ABADALLAH doivent payer leurs crimes.
Les tunisiens est un peuple civilise, il ne demande pas vengeance, mais justice.
j’en connais un bout, malheureusement, sur ce triste sire. c’est un des êtres les plus infectes qu’il m’a été donné de connaître. C’était le chaouch de Bourguiba à qui il lisait les journaux puis chaouch zélé de Ben Ali. Et quand il avait senti le vent tourné il s’est transformé en chaouch des Trabelsi qui ont gratifié sa femme du titre pompeux de PDG de la Banque de Tunisie qu’elle était chargée de transformer en Banque Trabelsi and Co.Cetb être puant mérite les travaux forcés tellement il a nui à beaucoup de gens- Entre lui et Ben Dhia c’est le choix entre le fumier et le fumier.
Excellent article
MM. BaraKet. Je vous félicite,tout est très bien dit .j ajouterai seulement que vous avez été avec le dos de la cuillère. GObbels est un nain Devant lui(c est pas difficile) selon moi il est l un des premiers a être juge Devant le peuple c est un petit gros poisson. Si ce. N est pas le plus GROS. JERFOUMA KBIRA…que Dieu est son âme.
Bravo Hédia
Poursuivre A.Abdallah pour une forfaiture financière équivant à masquer la forfaiture fondamentale dont il a été l’auteur principal et non simplement l’outil : L’ASSASSINAT DE L’OPINION LIBRE EN TUNISIE PENDANT UNE VINGTENNIE.
aussi j’appelle ceux qui ont la charge de poursuivre les crimes majeurs associés à la période benali, de le poursuivre sur le fond de ses actes, et non sur un aspect qui ne permet que d’assouvir notre rancœur à son égard sans permettre pour autant de démonter puis de démanteler le système qu’il a monté AFIN QU’UN TEL SYSTÈME NE PUISSE PLUS ÊTRE EN TUNISIE.
car l’objectif principal recherché à travers de tels procès n’est pas de punir des personnes particulières bien que cela soit important, mais DE RE-ÉDUQUER LA TUNISIE et ses hommes.
Dans son action d’étouffement de toute opinion abdallah principal acteur n’est pas le seul, il a été accompagné par des centaines de complices volontaires ou contraints (ou pensant simplement être contraints car il est toujours possible de dire NON!!).
La plupart de ses complices ont fait peau neuve et se sont mis à l’air du temps, certains attendent de trouver de nouveaux maîtres ou sont déjà à leur service.
Le procès de abdallah, c’est le procès de l’OMERTA, c’est le procès du mensonge érigé en règle, c’est le procès du journalisme panégyrique, du journalisme non en tant que devoir patriotique et humain mais compris au sens publiciste et publicitaire, se vendre au meiux et à qui paye.
faire le procès de Abdallah, c’est mettre les bases réelles d’une information démocratique.
J’APPELLE LE PROCUREUR DU TRIBUNAL DE PREMIÈRE INSTANCE DE TUNIS, DE MONASTIR ET DE TOUT LIEU OU ABDALLAH PEUT ÊTRE POURSUIVI A FORMULER DES ACCUSATIONS EN RAPPORT A SA FORFAITURE
Mme Baraket! les journalistes, dans ce cas, sont aussi coupables!! si vous n’étiez pas d’accord avec lui, vous n’aviez qu’a ne pas obéir a ses ordres! Et si lui et les autres conseillés ayant occupé son poste doivent être juger pour ca, TOUS LES JOURNALISTES doivent subir le même sort!!!
Mme Hedia Baraket est ce que vous avez la moindre idée de ce qu’est UN MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRE?? figurez vous Mme, que pour occuper ce poste on doit dédier 98% de son temps a voyager entre les 4 coins de la planète alors a moins que… AA était muni de super pouvoirs digne de superman, ca lui aurait été impossible de contrôler a la fois UN MINISTÈRE ,et pas des moindres, avec le DOMAINE de l’information!! alors au lieu de s’acharner comme ca sur la même personne regardez la vérité en face: la censure était imposée par BEN ALI et a part AA il y a eu OUSSEMA ROMDHANI et d’autres dont personne ne parle pour je n c quelle raison!
Vous n’êtes pas juge madame, fort heureusement pour notre système juridique! et puisque vous êtes une journaliste qui n’a pas pris la peine de s’informer de manière objective et critique, laissez moi vous apprendre des faits qu’il aurait été aisé de vérifier par de simples investigations auprès du petit personnel du palais( dont je faisais partie).
. Abdelwahab Abdallah a été limogé le Lundi 10 Janvier et non le 13 comme vous le prétendez!
. Depuis Janvier 2010 date de son départ du ministère des affaires étrangères, et sa soit disant nomination en tant que conseiller à la présidence, il n’a jamais eu d’entretien particulier avec BEN ALI. Les seules rencontres se faisaient pendant les conseils ministériels. En d’autres termes, il était au “frigo”. Pourquoi? Pourquoi a-t-il été émis des sa fonction de ministre d’affaires étrangères et réduit à un conseiller fictif? Sachez madame la journaliste qu’il a osé informer BEN ALI de comportements frauduleux de son cher gendre SAKHR EL MATRI à l’étranger! D’ailleurs la seule personne que SAKHR avait promis le 12 Janvier à notre éminente blogueuse Emna Ben Jemaa, d’être puni par son cher beau père, est justement Abdelwahab Abdallah! Je vous rappelle madame, que l’affaire montée en toute pièce de la raffinerie de la Skhira, mise en scène par KDIDI, ambassadeur à Qatar, et nommé en tant que tel par BEN ALI en personne pour servir les intérêts de son gendre, s’était déclenché au moment où SAKH était justement dans ce pays!
. En 2003, Abdelwahab Abdallah, a été limogé de sa fonction, maltraité et menacé par le dictateur. Sachant que Abdelwahab Abdallah était ministre depuis Bourguiba et qu’il est apprécié par un bon nombre de personnalités étrangères, le dictateur après réflexion, avait choisi de le garder en tant que conseiller après lui avoir ôté le titre de porte parole officiel de la présidence.
Tout cela prouve au moins une chose: Ce monsieur que vous détestez, était loin d’être le maitre absolu de l’information!
Supposons un moment que cela soit vrai, Quels profits en a-t-il tiré? “Le maitre absolu de l’information” a-t-il obtenu, comme beaucoup d’autres, une radio ou une télévision privée? Un journal? S’est_il enrichi aux dépend du pays? Tous savent que ce n’est pas du tout le cas!…
Madame la journaliste, vous craigniez Abelwahab Abdallah et vous nous avez privé pour cela de votre talent de journaliste professionnelle. Qu’en est-il aujourd’hui alors que Abdelwahab Abdallah est en prison? Nous assistons quotidiennement à un lynchage d’une seule personne, une soif de vengeance aveugle, une chasse à la sorcière. Vous utilisez le journalisme pour une affaire personnelle!
Où est l’œil critique du journaliste? Où sont les efforts d’investigations que vos lecteurs sont en droit de vous demander? Pourquoi ne soulevez vous pas les problèmes qui inquiètent tous les Tunisiens: Qui a tué nos enfants? Où sont les biens de l’Etat? Qu’en est-il des problèmes de privatisations massives qui ont mis l’économie du pays à genoux?
Vous craignez qui aujourd’hui pour rester muette, vous et vos semblables sur l’essentiel?…
Je peux vous comprendre sur le dossier de l’info je ne pense pas que ben abdallah a obligé quelqu’un comme bsaiess borhane de defendre ben ali comme le fait de meme je pense que 99pour cent des journalistes etait des bssaiess en puissance (le journaliste c’est en general qq’un qui a raté ses etudes il va faire journalisme peut etre ça changera apres le 14) de meme je cris que l’ambassadeur kedidi ment. Mais il faut pas dire que abdallah n’a pas profité car son épouse simple directrice a la stb vite propulsée a la tete de l’uib et évincée car les comptes était faux (meme si c’était pas sa faute) et repropulsée a la tete de la BT siégeant a coté de belhassen trabelsi avec des renumerations avoisinant 1 million de dinars par an??Elle n’éetait pas une lumiere mais c’est parce qu’elle était l’epouse de Abdallah en plus elle était derriere la perte inestimable de l’un de nos meilleurs cadres Nouri Zorgati quand il était de la STB entre lui et elle le palais a choisi l’èpouse de Abdallah.Voici des faits matériels pour ceux qui le souhaitent.
ENFIN UN COMMENTAIRE HONNETE BRAVO MONSIEUR ZARROUK !
Je souhaiterais d’abord tirer un coup de chapeau au style d’écriture! Bravo MADAME !
Cependant, une telle construction narrative, subtile et élaborée(qui a dû prendre à son auteure des heures et des heures d’écriture et de ré-écriture) aurait été bien plus utile dans un débat constructif.
Quel panache de “tirer sur l’ambulance” de la sorte !!! Quel courage à le faire maintenant que la cible est en prison !!! Bravo MADAME !!
Je possède une explication à ce genre de comportement et pour cela, je souhaiterais citer un autre article publié par Nawaat “La tentation du complot” (http://nawaat.org/portail/2011/03/23/tunisie-la-tentation-du-complot-2/):
” (…) Pour expliquer cette réalité qu’ils subissaient et qu’ils ne contrôlaient pas, LES GENS SE SONT CREE LEURS PROPRES MYTHES afin qu’ils servent de bouc-émissaires et de coupables providentiels. Le coupable en question serait fait de forces occultes et de puissances obscures, jamais visibles mais toujours présentes et QUASIMENT OMNIPOTENTES. Le complot serait partout mais intangible et donc invérifiable, indémontrable. (…)
Rationaliser le désespoir, voilà la réelle finalité d’un tel mythe : en donnant une explication ou une raison ayant l’apparence de la vérité face à une situation désespérée, il permet de JUSTIFIER SON INCAPACITE ET SURTOUT DE SE DEFAUSSER DE SA RESPONSABILITE. Le complot rend possible ce tour de passe-passe qui permet à celui qui y croit de se dire : « Si j’en suis là, ce n’est pas de ma faute, mais celle d’une manipulation générale très savamment orchestrée, et qui ne me permet pas de changer ».”
Le lecteur qui a pris le temps et je l’en remercie, de lire les citations de cet article reconnaît-il des points communs avec ce que l’auteure de la lettre décrit dans le rôle du “Maître de l’Information” ? Coïncidence ? Je laisse le lecteur en juger…
Moi je crois que le peuple a droit à la vérité!!Oui un peuple spolié traqué, malmené par un groupe d’individus sans aucune valeur morale, mérite de savoir comment une bande de malfrats a pu mettre à sac un pays, une nation!! Je n’ai pas envie d’attendre que les occidentaux (qui doivent d’ailleurs être au travail)soient les premiers à nous renseigner sur ce qui s’est passé dans notre pays! Pourquoi ce silence des autorités provisoires? Les complices sont multiples et les crimes sont innombrables, le peuple l’a compris,mais messieurs les hommes de loi, messieurs les politiques provisoires ne croyez vous pas qu’on a le droit de tout savoir ceci permettra au moins de:
1- Permettre aux Tunisiens de passer à autre chose et de mettre de côté touts les suspicions malsaines et tous les désirs de vengeance.
2- d’aider les politiques à prendre des décisions courageuses pour “couper” une fois pour toute avec le passé et écarter tous ceux qui ont participé de près ou de loin aux crimes des familles!! Important car on ne se refait pas et il n’est pas question de permettre à certains loups de rester dans la prairie au risque de perpétuer les crimes et les règlements de compte! Il y a bien des lois qui régissent les droits du contribuable Messieurs vous êtes obligés de les appliquer!!
(Seconde tentative vu que la première n’a pas été acceptée, pour quelle raison ???):
Je souhaiterais d’abord tirer un coup de chapeau au style d’écriture! Bravo MADAME !
Cependant, une telle construction narrative, subtile et élaborée(qui a dû prendre à son auteure des heures et des heures d’écriture et de ré-écriture) aurait été bien plus utile dans un débat constructif.
Quel panache de “tirer sur l’ambulance” de la sorte !!! Quel courage à le faire maintenant que la cible est en prison !!! Bravo MADAME !!
Je possède une explication à ce genre de comportement et pour cela, je souhaiterais citer un autre article publié par Nawaat “La tentation du complot” (http://nawaat.org/portail/2011/03/23/tunisie-la-tentation-du-complot-2/):
” (…) Pour expliquer cette réalité qu’ils subissaient et qu’ils ne contrôlaient pas, LES GENS SE SONT CREE LEURS PROPRES MYTHES afin qu’ils servent de bouc-émissaires et de coupables providentiels. Le coupable en question serait fait de forces occultes et de puissances obscures, jamais visibles mais toujours présentes et QUASIMENT OMNIPOTENTES. Le complot serait partout mais intangible et donc invérifiable, indémontrable. (…)
Rationaliser le désespoir, voilà la réelle finalité d’un tel mythe : en donnant une explication ou une raison ayant l’apparence de la vérité face à une situation désespérée, il permet de JUSTIFIER SON INCAPACITE ET SURTOUT DE SE DEFAUSSER DE SA RESPONSABILITE. Le complot rend possible ce tour de passe-passe qui permet à celui qui y croit de se dire : « Si j’en suis là, ce n’est pas de ma faute, mais celle d’une manipulation générale très savamment orchestrée, et qui ne me permet pas de changer ».”
Le lecteur qui a pris le temps et je l’en remercie, de lire les citations de cet article reconnaît-il des points communs avec ce que l’auteure de la lettre décrit dans le rôle du “Maître de l’Information” ? Coïncidence ? Je laisse le lecteur en juger…
Je souhaiterais d’abord tirer un coup de chapeau au style d’écriture! Bravo MADAME !
Cependant, une telle construction narrative, subtile et élaborée(qui a dû prendre à son auteure des heures et des heures d’écriture et de ré-écriture) aurait été bien plus utile dans un débat constructif.
Quel panache de “tirer sur l’ambulance” de la sorte !!! Quel courage à le faire maintenant que la cible est en prison !!! Bravo MADAME !!
Je possède une explication à ce genre de comportement et pour cela, je souhaiterais citer un autre article publié par Nawaat “Tunisie : La tentation du complot”:
” (…) Pour expliquer cette réalité qu’ils subissaient et qu’ils ne contrôlaient pas, LES GENS SE SONT CREE LEURS PROPRES MYTHES afin qu’ils servent de bouc-émissaires et de coupables providentiels. Le coupable en question serait fait de forces occultes et de puissances obscures, jamais visibles mais toujours présentes et QUASIMENT OMNIPOTENTES. Le complot serait partout mais intangible et donc invérifiable, indémontrable. (…)
Rationaliser le désespoir, voilà la réelle finalité d’un tel mythe : en donnant une explication ou une raison ayant l’apparence de la vérité face à une situation désespérée, il permet de JUSTIFIER SON INCAPACITE ET SURTOUT DE SE DEFAUSSER DE SA RESPONSABILITE. Le complot rend possible ce tour de passe-passe qui permet à celui qui y croit de se dire : « Si j’en suis là, ce n’est pas de ma faute, mais celle d’une manipulation générale très savamment orchestrée, et qui ne me permet pas de changer ».”
Le lecteur qui a pris le temps et je l’en remercie, de lire les citations de cet article reconnaît-il des points communs avec ce que l’auteure de la lettre décrit dans le rôle du “Maître de l’Information” ? Coïncidence ? Je laisse le lecteur en juger…
Depuis des semaines je n’entends parlé que de ce ben abdallah, on en a marra a la fin!! je me demande comment fesait cet homme pour etres a la fois ministre des affaires étrangères et censeur en chef de la presse tunisienne (il doit être super-man ce type)
svp expliquez nous comment il vous tapé sur les doigts pour que vous écriviez les torchons que vous elaborié.
Franchement, entre nous, vous tous journalistes vous ne vous fesiez pas prié pour faire ce que vous avez fait.
soyons responsable, faites votre mea-culpa et arrêtez de dire que ben abdallah vous obligé a faire ca, vous a menacé pour faire ci… c lamentable a la fin!!
personne d’entre vous n’a eu le courage d’assumé ses responsabilité et de dire: oui, c vrai j’ai participé a la propagande de ben ali, oui c vrai j’ai écris des torchons et j’assume!!!
non au lieu de ça, ses milliers de journalistes ne font que se délesté de leurs responsabilité en pleurant sur les plateau télé et sur les colonnes des journaux: nous étions obligé… ben abdallah nous a menacé.. c pitoyable!!
Autre remarque, pourquoi vous n’avez pas ecrit cette lettre avant, vous avez eu la possibilité de le faire via internet, facebook, twitter…
je voudrais ajouté que ce mec est parti depuis le 10 janvier aparament, sinceremnt je ne sens pas un grand changement dans les medias… on reprend les meme et on recommence ; caied sebsi a fait, caied sebsi a dit, quelle clairvoyance de la part de si caied sebsi, super discours de si caied sebsi, très bonne analyse de si caied essebsi !!!!! au lieu de dire ben ali ils disent maintenant beji caied sebsi !!!!
tout cela demontre que les journalistes ont ça dans le sang et que ce n’est pas ben abdallah qui leurs dicté les betises q’ils accouché.
donc messieurs les journalistes et particulièrement madame baraket arrêtez de prendre le citoyen tunisien pour plus bête q’il ne l’est, ne cherchez pus de bouc émissaire pour vos dérives et faites un effort pour assumer vos responsabilité et faire votre mea-culpa !!
A bon entendeur …
Mr,Mm : maintenant votre travaille de journaliste et votre devoir vous appel pour mettre toute la lumière sur les massacres de mercenaires de dictateur et les violes commis sur des hommes et des femmes et surtout sur des enfants .ses enfants qui n’ont pas les moyens de se soigner surtout qu’ils ont besoin d’une aide psycologique surtout après avoir été violé avec des objets ;il y a beaucoup qui refuse encore de parler de se qui leur arriver .alors s’il vous plait les journalistes faite votre travaille déplacez vous ,allez à el gasrine et ailleurs ,c’est le plus important .
C’est quand même extraordinaire que de s’attaquer aux journalistes et absoudre un homme aussi abject que A. Abdallah ! Comment peut-on confondre le bourreau et la victime? Quand bien même la victime ne s’est pas manifestée avant la chute du bourreau, cela ne prouve pas qu’elle était consentante et encore moins qu’elle était complice. C’est le propre de la relation Bourreau-victime qui explique l’attitude du dominé.
Madame Hedia Baraket, il faut continuer à dénoncer cette attitude molle de la justice vis à vis de ces barbares, ces bêtes immondes. La justice n’a pas de preuves écrites pour juger un meurtrier, car c’en est un, les témoignages suffisent et le votre est déjà important. Vous dites d’ailleurs et à juste titre: “chaque tunisien est victime et témoin.” L’intime conviction de sa culpabilité est déjà faite par chaque citoyen qui a subi Ben Ali et ses sbires. Les juges sont des citoyens comme les autres.
En outre, en cette période de révolution, la justice doit faire un travail d’historien pour déterminer la culpabilité des uns et des autres.
Vous demandez aux juges de donner un nom à son délit. je crois qu’ils auront l’embarras du choix, vous avez cité quelques uns, je vois d’autres qui ne souffrent d’aucun doute : vol en bande organisée, séquestration du peuple tunisien pendant 25 ans, coups et blessures ayant entrainé la mort, meurtres avec préméditation… Je suis sûr que les juristes trouveront d’autres accusations.
Si les tribunaux ne se décident pas à arrêter et juger les grands brigands et assassins de l’histoire de la Tunisie, alors il faudra que le peuple crée lui même,au nom de la révolution, des tribunaux populaires. L’avenir de la démocratie se dessinera, n’en déplaise aux doctes du droit enseigné du temps de Ben Ali, après la disparition des bourreaux du peuple.
@Bob:
Tu te crois où? Ou plutôt QUAND? Au 13e siècle (Au temps de l’Inquisition)? Ou en 1793 (Au temps de la Terreur qui a si bien porté son nom)?
N’en déplaise à certains, la Tunisie est un pays civilisé, ses citoyens ont DES LOIS, DES DROITS ET DES DEVOIRS.
Les “tribunaux populaires” sont des pratiques barbares d’un autre temps, d’un autre âge… Les cotyens tunisiens seront plus forts que l’ignorance ou la barbarie de certains.
Pour ta gouverne, même les Procès de Nuremberg qui ont jugé des Crimes contre l’Humanité à travers le génocide de 6 millions de personnes ont connus des acquittés, des gens qui ont été jugés innocents.
Le “tous coupables”, “tous à la potence” (ou la guillotine si tu préfères) est révolu depuis bien longtemps, à méditer pour certains qui souhaitent revenir à l’âge de pierre…
Ce personnage ignoble devra etre traduit devant la justice tunisienne pour haute trahison, il etait l’un des protagonostes du coups d’etat medical contre son ancien maitre zaba en voulant imposer les Trabelsi et a leur tete Laila et Belhassen comme futurs maitres de la Tunisie, j’espere que la justice tunisienne l’enverra dans les geoles pour le restant de ses jours ou le fera pendre au bout d’une corde.
@ Jack
Quel est le rapport avec l’inquisition? Il s’agit ici de l’honneur d’un peuple et non de querelles de chapelles.
Quant au procès de Nuremberg il a eu au moins le mérite d’exister! On préfère que ce soit la justice du pays qui se charge de juger les criminels, c’est un souhait, c’est une exigence du peuple. Dans le cas où cette justice se déclare, sous différents prétextes que je ne peux imaginer, incapable de remplir son rôle, quelle serait la solution? Regarder vivre tranquillement, douillettement tous ceux qui ont du sang sur les mains? Pouvez- vous imaginer ,rien qu’un moment, la terreur de ceux qui ont subi les atrocités des hommes de main de Ben Ali?
Les “tous” coupables, c’est vous seul qui utilisez ses termes pour une fin de non recevoir. Il n’est question ici que de ceux qui sont coupables, rien que les coupables, tous les coupables. Et A.Abdallah en est le chef de file.
On ne peut pas préserver et repenser l’avenir sans liquider le passé. La bête immonde rôde et elle a le goût de l’horreur. Les belles âmes ne doivent pas lui trouver d’excuses.
@Bob:
Votre réponse m’inquiète et me rassure à la fois.
Sur le bon côté, nous sommes d’accord que jugement par la Justice il doit y avoir.
Cependant, j’utilise la majuscule à dessein car j’entends par là une Justice Equitable et Indépendante comme réclamée par nos magistrats et nos avocats ces derniers temps, pas celle qui se déroule actuellement sous nos yeux…
Si cette Justice prouve que ce monsieur, ou un autre d’ailleurs, n’a rien à voir avec le sang versé par les martyrs, la torture ou la corruption, je ne vois pas pourquoi il ne serait pas acquitté…comme certains lors du procès de Nuremberg…
Or, vous prenez ici le rôle de Juge (à moins que vous en soyez un…) à la place de la Justice en mettant ce monsieur à l’index. Si vous avez des PREUVES de ce que vous avancez, aidez la Justice de votre pays et fournissez-les à qui de droit!
Nous avons besoin de la LOI et de la JUSTICE, après des décennies de mise au pas, pas de réglement de comptes ou de vendettas, basés sur des ouï-dires ou des qu’en-dira-t-on, qui nous dirigeront tout droit vers l’abyme.
Brabbi chéddine fi hedha abdallah, ti billehi koulouli winhomm ghannouchi(privatisation a tout va), grira(ministre des domaines de l’état pendant plus de 10 ans), zoueri( et ses appart a paris en plus de ce kil a fait a dar ennakel, tunisair et j’en passe), morgene (et ses relations plus que douteuse avec la famille du dictateur), kechiche(ministre des finances pendant des années), baccar (gouverneur de la banque centrale),ouederni( directeur du cabinet présidentiel et monsieur “lakad khonta chaabak”), mongi safra (conseiller économique de ZABA et grand artisan des magouilles financières des trabelsi et des materi), daghfous ( ou monsieur pot de vin doit-je dire,alors lui, un gos poisson celui la, conseiller de ZABA en charge des grands projets et grands manitou des arnaques a l’international) ,chiboub (no comment),romdhani (ATCE et propagandeur en chef à la solde de son maître), chouchene(et ses domaines gigantesque a Tazarka), dkhil(informations, medias, SNDP agil), tijani haddad( et ses hôtels a hammamet), jegham, jérii et j’en passe…
A ma connaissance l’information et el E3lém ma iwaklouch el khobz, alors essayez d’enquêté du coté de ses personnes la et peut être que la tunisie se portera mieux financierment et économiquement et c le plus important.
@ Jack
Nous sommes alors d’accord sur tout. Il reste une seule nuance à préciser: je ne juge pas ce Monsieur, je l’accuse. C’est un droit citoyen.
EXCELLENT ARTICLE
ABDALLAH A COMBATTU LA LIBERTE IL A DEFENDU LE SYSTEME TOTALITAIRE
IL A ETE SERVI :ARGENT ,FEMME NOMME DIRECTRICE DE BANQUE ETC…
CE N EST PAS UNE PETITE FRAPPE IL A CAUTIONNE LA VIOLENCE ,LA PROPAGANDE MAFIEUSE, et sans LES JEUNES MARTYRS QUI SE ST SACRIFIES IL SERAIT TOUJOURS A LA CHASSE AUX OPPOSANTS.
IL a PERDU IL DOIT
PAYER ET NS ESPERONS UNE JUSTICE SEREINE
Le Dr Goebbels de la dictature benaliste…
Goebbels a finis par se tirer une balle , c’est tout l’avenir que l’on souhaite a ce criminelle.
S’il ne le fait il serait de bon ton qu’un tribunale militaire lui en prescrive une entre les yeux
Oulala, alors toi tu es très bien informé!!! Encore mieux que t amis, hédia BAbAKET & Co! Je pense tu n’as même pas pris la peine de lire les commentaires… Savais-tu qui étais A A avant la révolution? Je suis sûre que non.
Quel est ton intérêt en disant du mal de quelqu’un que tu ne connais pas, que tu n’as jamais vu, lu, entendu ou rencontré? Bien sur tu te bases sur l’article de baraket, qui elle a eu beaucoup de courage à exprimer son opinion 3 mois après la révolution et non avant… Melle BARAKET je te félicite!
D’ailleurs où étais-tu avant la révolution? pourquoi ne t’es-tu pas TOI AUSSI exprimé avant?
Et tout d’abord quand tu dis qu’ABDALLAH a combattu la liberté, De quelle liberté parles-tu? de celle qui te permet de descendre les gens en prison? Ou de celle qui fait la chasse aux sorcières?
Ah qu’elle est belle cette liberté!!!!
Quant à la défense du système totalitaire, je te signale que des anciens ministres conseillers -dont personne ne parle aujourd’hui et qui ont juste été contraints de démissionner de leur poste- ont écrit des livres à la gloire de ce système et du déchu (si bien sûr tu as la curiosité de chercher, et donc de taper sur les bonnes personnes).
POURRAIS TU ME CITER UN SEUL LIVRE D’ABDALLAH? Je pense que non.
Pourquoi ne t’intéresse-tu pas également à ceux cité par “LE CHE” comme SADOK CHAABANE, GHARIANI, ZOUARI, MORGENE… et j’en passe.
Quand tu dis qu’il a été servi: ARGENT. As-tu été son banquier attitré? Ou as-tu eu accès à ses comptes? Ou encore mieux à ses avoirs et patrimoines? Je pense encore que non.
Quand tu dis femme nommée directrice de banque. Je te reposes la question (et je pense que la réponse est non) : Es-tu banquier? Pour être à la tête d’une banque privée, il faut être élu par ses administrateurs (à l’issue d’un vote). De plus vu comment cette banque s’est distinguée par les différents prix internationaux lui ayant été décernés parmi plusieurs autres banques à l’échelle mondiale et vu les résultats de la brillante communication financière publiée sur un autre site, je ne vois pas comment A A ou le déchu auraient pu influer sur les résultats de la banque où sur des organismes internationaux pour décerner ces prix!
Comment A A aurait-il pu cautionner la violence? Il était Ministre des Affaires étrangères et ministre de l’information!!!!!!!!!!!!!! IL N A JAMAIS ETE MINISTRE DE L’INTERIEUR OU PREMIER MINISTRE!!!!!!!!!!!! “PROPAGANDE MAFIEUSE”, “CHASSE AUX OPPOSANTS” Je pense que tu t’es trompé d’endroit et d’époque. Nous n’étions ni en URSS ou les opposants étaient envoyés au goulags en Sibérie et encore moins aux Etats-Unis sous l’ère de Mc CARTHY (si tu sais qui est Mc CARTHY bien sûr)!!!!
Avant de critiquer, dire du mal ou frapper sur quelqu’un que l’on ne connaît pas, on cherche d’abord par soi-même, on vérifie l’exactitude des informations (ce qui n’est pas le cas de baraket et encore moins de la plus part des journalistes!!!) et ce n’est que par la suite que l’on pourrait se permettre d’exprimer une opinion!!!
@FELFEL: Ceci vaut pour toi également et Va te faire pendre toi même!!!
@BI : charité bien ordonnée commence par soi-même: tout d’abord pourquoi vous tutoyez l’auteur ?!!! vous parlez et vous donnez des leçons…! commencez SVP à apprendre à s’adresser aux gens avant de rédiger….
secondo.. vous prétendez que l’auteur de l’article ne connait pas AA…! et vous qui prend sa défense !! est ce que vous le connaissez !!!? comment osez vous juger les gens !!!informez vous avant de parler SVP…y en a marre de ses donneurs de leçons!!!
@ Muslim:
Vous vous faîtes appeler “Muslim”?????? Quelle honte!!!!!! Vous devez sûrement être un khouenji.
1) Malheureusement pour vous, vous vous exprimer exactement comme GOEBBELS!!! Et dans cas bien précis vous seriez coupable d’incitation au meurtre. Tout comme vos acolytes les barbus.
C’est vous que l’on doit juger et non A A.
Je ne suis pas khouenji loin de la …
je m’excuse car mes propos etaient sous la colere car je ne souhaite la mort de personne….loins de la ..
Goebbels !?! Abab !?!
mella abdellah hedha! je pens que G été bcp bcp plus efficace que lui. abdellah a pas réussi à bloqué T.Zahar, Z.Krichene, N.Ben Rayana ou H. Baraket par ex…
mella twensa, gaddech nchoutou !!!
Ouh lala C’est chaud ici !!!
heureusement chacun s’abrite derriere un pseudo vu la virulence des propos…
Je pense pour ma part que si A A a fait des actions illégales c’est a la justice de le juger et de demander réparation…
Si la justice n’est pas compétente .. c’est au conseil constitutionnelle….
Si les crimes sont du niveau de la haute trahison c’est alors un tribunal militaire …qui peux demander comme le suggere Muslim la peine capital..
Mais il reste a prouver que c’est de la haute trahison… et je doute que des choix politique aussi contestable qu’elle soit de la haute trahison dans la mesure que haute trahison induit une situation de guerre avec un enemie étranger…ce qui est pas le cas de la tunisie…
Une erreur dans les choix de gouvernance c’est un non lieu…bien que cela ne plaise pas c’est le cas.. pour AA
@Bob, “les bourreaux du peuple” comme vous dites, sont ceux qui sous estiment son discernement et cherchent à le manipuler pour des fins personnelles. Ces journalistes incompétents qui claquaient les talons devant BEN ALI et qui devraient être dénoncés et jugés pour avoir failli lâchement à leurs tâches, prétextant pour cela y avoir été forcés… “ghaltouni”, “tawa fhimtkom”. BEN ALI les a bien inspiré pour se disculper! (il faut dire qu’ils manquent d’imaginations!)… Les Tunisiens sont loin d’être idiots et personne ne peut prétendre parler en leurs noms, encore moins ces journalistes ratés!
@mister_x:Non seulement votre nom est un mystère mais ce que vous écrivez aussi!!!!!:D
En faite je ne sais pas trés bien qui est ce AA car vivant en france je ne connait pas tout ceux qui ont travailler avec zaba, mais il semble que ce AA ne soit pas tres aimé au vue de ce qui se dit sur lui !!!
je pense que maintenant il doit se faire petit dans ses souliers LOL
vous l’avez dit vous même, vous ne savez même de qui il s’agit et vous vous permettez de le critiquer! et c’est bien là le problème avec tunisiens! sans cette mentalité … le pays n’en serait pas là à l’heure qu’il est!!
un bon article. j’ai apprécié la comparaison de A Abdallah avec Goebbels; en effet les dégats qui’ils ont causé sont immenses (presse, media,…) Grave. Il est temps de dresser des
procés contre ces cafards!!
Excellent article bien ecrit et bien detailler , esperont que la justice prend droit de cet individus et ces copains.
Merci.
@andalou:
A ce que je sache les nazis ont tué 6 MILLIONS de personnes! Plus que la moitié de la population tunisienne…. Aujourd’hui nous parlons de justice équitable, indépendante et des énergumènes comme toi nous sortes des âneries aussi grosses que celle-là !!! Retourne à tes livres d’Histoire et compare et ce qui est comparable !!!
Abdelwaheb Abdallah faisait en sorte qu’on écrive des papiers à l’apologie du dictateur déchu. Il en a certainement censuré d’autres qui n’auraient pas plu à son patron. Il a fini par chuter comme tout le régime.
Nous sommes donc en droit de penser que nos journalistes sont libres de dire ce qu’ils veulent !
Pourquoi ne tentent ils pas de nous dire ce qui s’est véritablement passé le 14 Janvier ? Pourquoi n’enquêtent ils pas sur les dépassements de Ghannouchi, de Béchir Tekkari, de Mongi Safra, Abdessalem JRAD… et j’en passe ! Eux ils ont commis de vrais et d’innombrables crimes !!! Ca va des privatisations abusives en passant par les procès truqués et ca va jusqu’au détournement de fonds publiques et à la corruption en tout genre.
Si Abdallah s’est contenté de faire seulement de la propagande, qui n’était d’ailleurs plus crédible et ce depuis des lustres, les autres ont pillé le peuple et à tirer à balles réelles sur nos jeunes !!
Et le pire c’est que personne ne les inquiète ! On ne cherche même pas à les écouter.
Et là on se demande si on n’essaierait pas de détourner nos regards des VRAIS problèmes en nous offrant, et à la plèbe, 2 ou 3 trois boucs émissaires sur lesquels il est permit de se défouler aveuglément. Pourvu qu’on oublie les VRAIS coupables !
Mais là Messieurs les journalistes, et en l’occurrence Madame, vous êtes directement impliqués ! Et vous ne pourrez plus user de l’alibi de « Abdelwaheb Abdallah m’a dit de dire… » (numéro comique utilisé récemment par Nabil Karoui).
Et pour terminer, je vous direz que s’il coupable d’avoir poli l’image du dictateur alors VOUS journalistes vous n’en êtes pas innocents !!
Car si votre excuse est de dire que vous aviez peur de lui, n’est il pas normale que lui aussi puisse avoir peur de son patron ? Surtout de ce patron là ?
@ Slim Zarrouk
Même s’il relève apparemment d’une affaire personnelle, cet article a le grand mérite de brosser le tableau de l’information comme personne ne l’a jusqu’alors fait.
Vous avez l’air d’ignorer ce qu’est un ministre de la propagande. Revenez aux livres d’Histoire. Vous saurez même s’ils ne s’enrichissent pas, c’est de pouvoir et de manipulation qu’ils se saoulent…
Excellent article, excellent style journalistique.
Bravo!
@ Omar Bousrih
Trois choses :
1- Abdelwahab Abdallah et non pas Ben Abdallah (renseignez-vous avant !)
2- Ne mettez pas tous les journalistes dans le même sac, il y a des pseudo-journalistes et il y a les grands journalistes compétents comme Hédia Baraket. Une fois de plus renseignez-vous avant de lancer des accusations infondées.
3- Je suis un fidèle lecteur de Hédia Baraket, elle n’a jamais soutenu l’ancien régime et n’a guère écrit ni couvert la politique. Prenant compte de la censure, elle s’est spécialisé en culture. Une troisième fois, renseignez-vous avant de prendre position.
Enfin, Hédia Baraket étale son exemple sans autre but que celui de sensibiliser sur la censure systématique et la propagande dispendieuse de l’ancien régime.
Excellent article.
@Ben Ltayef:
Justement monsieur, on sent l’affaire personnelle, ou en tout cas le règlement de compte, de votre côté aussi…
Pour revenir à Mme Baraket, je pense, vu la qualité de son écriture, qu’elle est victime du syndrome de “c’est pas moi, çà vient d’en haut”:
ses différents supérieurs, pour excuser leurs agissements contre elle ou en sa défaveur, recourent au classique “AA m’a dit” ou “taalimet AA” qui a l’air d’avoir continué même pendant qu’il était ministre des affaires étrangères, comme une sorte de légende de Grand Méchant Loup dans le milieu du journalisme en Tunisie… PATHETIQUES JOURNALISTES
@Driss:
“Il y a les grands journalistes compétents” “prenant compte de la censure”: cela s’appelle, au mieux, de l’autocensure, au pire de la complicité.
Si elle était une “grande journaliste”, elle aurait fait comme d’autres qui ont eu le courage de rester dans le domaine politique quitte à passer en underground.
A moins qu’elle ne se destinait dès le début à la culture, et là, un article comme celui-là devient…ORDURIER…exactement comme c’était fait contre les opposants naguère!!! Je vois que la méthode continue, la cible a simplement changé!!!
AA lui a-t-il jamais tenu la main pour ne pas écrire? Lui a-t-il jamais téléphoné? JE SUIS SUR QUE CE MONSIEUR NE L’A JAMAIS RENCONTREE, qu’il ne connaît même pas son nom ou si c’est le cas, qu’il ne se souvient même pas d’elle (à l’âge qu’il a), sans vouloir vexer personne!
@Driss
“il y a des pseudo-journalistes et il y a les grands journalistes compétents comme Hédia Baraket”
“Prenant compte de la censure, elle s’est spécialisé en culture”
j’adore, quel courage!! NO COMMENT
@ Jack
Oh que si… Il la connait de longue date ! Informez-vous avant de me répondre pour partir sur de vrais faits et sources.
Et essayez de garder du recul et un niveau conversationnel décent. Je sais que c’est dur pour vous… Mais essayez quand même !
P.S Il vous va bien ce “Jack”, c’est le meilleur de tous vos déguisements ! :)
@ Omar Bousrih
Et oui c’est du courage !
Un conseil : Ne prenez pas tout au premier degé.
@Driss:
oula, je suis démasqué!!!! :-D
Vous le voyez encore partout dites donc!!!
Vous êtes parano ou quoi???
Vous ne faites, en tous cas, que confirmer ce que je dis…
@Driss & Ltayef : je me demandais justement ou restais les gens d’affaires tunisiens dans ces conversations, vos commentaires seraient les bienvenus
@Jack
C’est vous les paranos, vous avez brisé les ailes de tous ceux qui essaient de réussir, si vous vous demandez encore ou ils sont en europe, à dubai, à végas en passant par LA, tous ces journalistes, écrivains, auteurs, hoteliers, gens d’affaires & co
La nouvelle image de la tunisie, elle se résume à ca:
http://www.youtube.com/watch?v=GnT05u61pKw
Et ca passe sur toutes les chaines du MONDE ENTIER, en afrique, en europe, aux states, CNN, BBC, AL Jazeera, partout
Ya pas des islamistes chez nous, Enhada avec sa dictature, dégaaaage, RCD avec sa dictature dégaaaage
@ Mikey
Très très bonne analyse: courte, TRÈS claire et précise… Bravo MIKEY
Un vrai Mikey ce Mikey !!
Attends, t’as pas encore lu les commentaires de Retrievel et Hole
Je voudrais tout d’abord saluer tous ceux qui enrichissent cet article de par leurs commentaires (quelque soit l’opinion adoptée). Car pour moi, ce qui est vraiment extraordinaire sur cette page n’est pas l’article en soit (c’est loin d’être le meilleur sur le sujet) mais c’est cette discussion qui la suivi et qui a attirée mon attention. On y ressent le doux parfum de la liberté de penser et de s’exprimer.
Sinon et pour revenir au sujet, le cas Abdallah est pour moi totalement classé. Il relève désormais de la justice. Si celle-ci entend le poursuivre, il devra répondre de ses actes.
Je comprends que les journalistes veuillent tenir leur revanche mais il est normal que le citoyen lui ne réclame et n’exige que la vérité. Pas de place pour les règlements de comptes ! Les coupables sont nombreux et nous n’avons pas de temps à perdre !! On a parlé des milliers de fois de Abdallah depuis le 14 Janvier. Mais combien de fois avons-nous évoqué Oussama Romdhani grand manitou de l’ATCE ou encore Rafaa Dkhil autre ministre de la propagande ?
Et puis, et comme l’on si bien dit d’autres personnes, il n’y a pas que l’information ! Des sujets 1000 fois plus importants que l’information n’ont pas été abordés, des personnes 1000 fois plus dangereuses qu’Abdallah, Dkhil ou Romdhani n’ont été inquiétés. Il est temps qu’on en parle !
Pour Hédia Baraket, tu étais où avant le 14 janvier 2011??????
Si tu es vraiment journaliste, alors tu es autant responsable que tout un chacun, par ton silence.
Saches que la réussite de notre révolution, n’est pas tributaire du jugement ou de la condamnation de x ou y mais plutôt dans la capacité de notre peuple de rompre avec le passé et de penser au futur de nos enfants.