Un article de Libération fait sursauter : la police française aurait parqué des clandestins Tunisiens dans un garage et les aurait afublée chacun d’entre eux d’un numéro, noté au feutre sur leurs bras.
Le 22 mars dernier 39 clandestins Tunisiens auraient été arrêtés à la frontière italienne par la police suisse. Celle-ci les auraient remis aux autorités françaises. A leur arrivée en France c’est la police aux frontières qui s’est chargée d’eux en les parquant dans un garage en face du commissariat et en les numérotant ! A défaut de bracelet les clandestins auraient eu droit à un tatouage éphémère : un numéro au feutre sur le bras. Déconcertant
Arrivés à Pontarlier, le 22 mars à 13h, les Tunisiens auraient alors été conduits par les hommes de la DDPAF (police aux frontière) dans un garage situé en face du commissariat de la ville. Là, on leur aurait donc inscrit sur les bras, au feutre, un numéro correspondant à l’ordre dans lequel ils allaient être entendus à tour de rôle, afin de leur signifier une obligation de quitter le territoire national. Le numéro inscrit sur le bras de Monsieur H. correspond, indique son avocate, Pascale Chabbert-Masson, à celui que l’on retrouve dans la liste dressée par les policiers et annexée au PV.
entre les deux guerres, les juifs européens étaient numérotés dans les bras avant de partir ou déportés vers les camps de concentrations , votre photo avec ” les codes barres” pourrai vouloir dire société de consommation . l’encart réservé à la photo dans un article doit aller dans le même sens et complémentaire de l’écrit .