Suite à un désaccord sur le processus décisionnel entre le Board de Nawaat, d’une part, et 11 parmi les collaborateurs de la rédaction d’autre part, lesdits collaborateurs ont choisi de quitter l’équipe de Nawaat en démissionnant.
Nous rassurons nos lecteurs que rien ne change pour Nawaat.org, lequel demeure ce blog collectif, toujours aussi ouvert et pluraliste, et ce depuis 2004.
Et pour rassurer davantage, il est utile de préciser qu’en aucun cas, ni d’aucune façon, ce désaccord n’a concerné ni le contenu éditorial, ni la liberté rédactionnelle de nos contributeurs et journalistes, ni l’indépendance, toujours aussi totale et absolue, de Nawaat.
Nous souhaitons bonne chance et bonne continuation aux démissionnaires.
Le Board de Nawaat
Sofiane Guerfali
Sami Ben Gharbia
Malek Khadhraoui
Riadh Guerfali
Peu-etre que nous serions totalement convaincus si on nous disait ce qui c’est exactement passé ,dans la tradition de transparence de nawaat ,nous qui vous tenions comme référence et qui tenons à votre existence .
@Jazar Merci pour votre estime et vos encouragements.
Ce qui s’est “exactement” passé est “un désaccord sur le processus décisionnel”. Est-ce aussi insuffisant que cela ? Je pense que c’est bien parfois de respecter si les intéressés n’ont pas envie, chacun pour ses raisons, de rentrer dans les détails des conversations privées lesquelles ont amené à ce désaccord. D’autre part, dès lors que, et tel que précisé : “en aucun cas, ni d’aucune façon, ce désaccord n’a concerné ni le contenu éditorial, ni la liberté rédactionnelle des contributeurs et journalistes, ni l’indépendance totale de Nawaat”, à quoi sert-il de tomber dans les détails des conversations privées ?
Trouvez-vous digne qu’on le fasse ?
Utile également de préciser que les démissions prennent effet à la fin du mois. Les personnes qui ont décidé de démissionner continuent à collaborer à Nawaat jusqu’à la fin du mois, disposant de la même liberté qui caractérise Nawaat. Quelque chose de triste est arrivé. Nous allons tous faire avec et continuer nos chemins.
Cordialement
PS: Vous comprendrez, eu égard à ce que je viens d’écrire, que ça sera mon premier et dernier commentaire concernant cet événement.
Franchement on n’a rien compris et non vous n’êtes pas clair et oui on a le droit de savoir pourquoi exactement des collaborateurs proches sont partis en démissionnant. On se fout de leur communication privées avec vous de la direction mais on veut savoir LA RAISON OFFICIELLE DE LEUR DEMISSION :)
Donc en gros vous nous dites qu’il y a des fondateurs (dont deux ont le même nom de famille) qui tracent la voie… Comme on dit dans Le Lotus Bleu : “Pour trouver la voie, il s’agit juste de vous couper la tête”. Votre communiqué est typiquement un communiqué patronal avec la langue de bois qui va avec : il est normal que les lecteurs s’inquiètent. Un communiqué qui ressemble étrangement à ceux–ci : http://marseille2008.no-vox.org/spip.php?rubrique33
Message pour Sami, l’essentiel que le site reste indépendant.
Meci Charchabil, l’indépendance de nawaat est au coeur de ceux qui ont parti comme ceux qui restent. Ce sujet n’a jamais constitué un problème, au contraire. Nawaat sera toujours là, toujours avec des nouvelles initiatives et projets, une nouvelle équipe et plumes et nos fidèles contributeurs et lecteurs. Les principes fondamantaux de nawaat ne changeront jamais, quelques soient les conditions et sont protégés par ses membres fondateurs :
“qui ont parti comme ceux qui restent.” ecrivait Sami Ben Gharbia. C’est la langue de “Akalouni Al Baraghith”: Pourquoi ecrire en Francais quant on commet des erreurs grammaticales et structurelles? Merci B. Gharbia et continuez a massacrer la langue de Voltaire!\
PS: je n’utilise pas les “accents” car mon clavier ne le permet pas.
Monsieur ou Madame, Je ne suis pas avocat de la langue française…ni celui de Sami Ben Gharbia….la faute que vous avez relevée dans le texte…se traduit par simplement une faute de frappe : Qui ont parti ….Qui sont partis ! Vous auriez pu relever plutôt la parataxe ou l’oubli de la préposition verbale ! Bref, lorsque l’on se permet de corriger….encore faut il avoir un peu de crédibilité ! Je vous cite “Pourquoi ecrire en Francais quant on commet des erreurs grammaticales et structurelles ? Francais : la lettre F ne doit pas être en majuscule mais en minuscule…et Quant doit être remplace par Quand !! J’ai beaucoup de respect pour les personnes qui protègent la langue française….mais encore faut il qu’il ait une valeur ajoutée !Lorsque “l’hôpital se fout de la Charité” cela me fait sourire…
Your name, truthseeker and you defend the proper use of the french language… I see. I wont ask where were you born.
“Quant on commet”…est correct! Allez demander a votre professeur de Francais. Je suis un Arabophone jusqu’a la moelle car l’Arabe est ma langue maternelle, Francophone car je maitrise la langue Francaise suite a mon education (et non francophile) et Anglophone car c’est ma langue de travail…Les erreurs commises ne sont pas des “typos” mais comme beaucoup de Tunisiens, vous ne voulez pas reconnaitre vos erreurs!
1. Erreur grammaticale: sont partis, et non ont parti!
2. Erreur structurelle: si on dit ils sont partis, alors la structure parallele exige qu’on dit ils sont restes et non ils restent!
3. Quant doit etre utilse avant “a” ou “on” …etc et non quand!!!
4. Mon commentaire est sarcastique: je voulais dire, ecrivez dans la langue que vous maitrisez (par example l’Arabe ou l’Anglais!)
5. Je ne defends pas la langue Francaise…Elle a un empire et des mercenaires en Tunise qui s’en chargent. Ils n’ont pas besoin de moi qui defent sa langue maternelle!
6. Ne jouez pas pas l’avocat esclave, laissez le maitre B. gharbia se defendre lui-meme!!!
Mais encore faut-il “qu’ils aient” une valeur ajoutée. Il ne faut pas voir la rigueur ou l’utilisation d’un correcteur en ligne comme de la pédanterie ou un intégrisme maniaque, c’est d’abord le respect du lecteur qu’il soit ou non moins cultivé que le rédacteur. Ceci dit, c’est vrai que, justes ou non les commentaires sur les fautes de français, sont assez fatiguants.
On dirait un communiqué de Ben Jaafar.
Dites nous ce qui s’est passé simplement et franchement et sans détour !
Quels étaient les objects de désaccord ou de discorde?
Et pourqoi maintenant?
le defi de la franchise est là; pourriez-vous le relever ?
Good luck.. Won’t matter in a few months regardless….
C’est la langue de bois de Ben Ali et l’arrogance hystérique de Bourguiba qui transpercent sous cette franchise mensongère et hypocrite des responsables de Nawaat. « Leur » site qui ‘donne la parole à tous ceux qui, par leur ENGAGEMENT CITOYEN la prennent, la portent et la diffusent’ est en fait une entreprise, une supercherie, pour tenter de déstabiliser la Tunisie en cette période cruciale de son histoire. La parole que Nawaat souhaite diffuser n’est en fait qu’un chapelet de médisances et d’insultes à l’égard des responsables tunisiens dans le but de saper la confiance de nos concitoyens dans l’état qui est devenu le leur depuis qu’ils se sont émancipés de la chape de plomb subie 60 années durant sous une tyrannie qui les pris en otages et s’est substituée à l‘état de droit. Pour cette raison j’ai dans certains de mes commentaires ici qualifié Bourguiba et Ben Ali de cons et d’ordures. Ces criminels d’un autre âge se sont impliqués dans des actes de torture et de violation des droits de l’homme et ne peuvent en aucun cas être considérés comme des exponentiels d’un état de droit. Ils ont été auteurs de viols constitutionnels et de fraude électorale dans le seul but de légitimer une dictature odieuse et de voler au peuple sa souveraineté. Mais lorsqu’un quidam de Nawaat sous un pseudonyme se permet de dire que comparer le président Marzouki à un chien est une injure faite aux chiens, je me demande quel ENGAGEMENT CITOYEN est servi par ce langage ordurier. A supposer que je me trompe et qu’il s’agisse pas d’un quidam de la rédaction, ce qui m’étonnerait, à quoi sert la prétendue modération du site? Pourquoi ne pas afficher immédiatement tous les commentaires de façon automatique ?
Aujourd’hui le président tunisien est le symbole légitime de la Tunisie et de son état. On peut bien sûr le critiquer pour des actes ou des paroles qui méritent la critique, mais on n‘a pas à l’injurier de cette façon dont Nawaat détient la recette. Il n’est pas Bourguiba ou Ben Ali, ces ordures qu’à tort certains ont voulu confondre avec l’état alors que leur prise du pouvoir a été une atteinte à l’état de droit. Marzouki n’a pas comme eux falsifié les résultats électoraux, ni ordonné de violer ou de torturer des opposants et n’a pas manipulé le texte de la constitution pour rendre son mandat à vie. Son pouvoir à l’intérieur de la Troïca n’est pas absolu et les médias n’ont pas reçu l’ordre de l’encenser ni de faire son culte. Personnellement j’ai violemment critiqué Marzouki sur ce site pour avoir qualifié les salafistes de microbes. Je ne suis pas un adorateur des salafistes ni un ennemi de Marzouki. Mais il ne sied pas au président de la république d’utiliser un pareil terme qui touche à la dignité de n’importe quel citoyen. Si la personne en question a commis un crime, c’est à la justice du pays de se prononcer mais pas au président d’insulter la personne en question en la déshumanisant de cette façon. On n’est plus au temps de Bourguiba qui à la télé française s’exprimait ainsi sur ses opposant politiques et disait qu’ils devaient être exterminés. J’ai attiré l’attention sur ces points mais je ne pense pas avoir injurié le président ou porté atteinte à sa dignité de chef de l’état.
Nawaat a bien sûr des normes qui lui sont propres. Lorsque j’ai signalé récemment qu’un de leurs article prétentieux faisait la confusion entre les mois d’août et de septembre, j’ai été gratifié d’un commentaire acerbe signé « La Rédaction »qui me remontait les bretelles car mon langage serait outrancier. Allez donc voir.
Nawaat milite aussi à sa façon pour façonner l’avenir de notre jeunesse. Elle nous crée de nouveaux héros à prendre comme modèles. Par exemple une jeune fille mal sortie de l’adolescence qui se dénude et se barbouille le corps avec des inscriptions obscènes. La laideur ainsi exposée, aussi bien visuelle que morale, est lyriquement sublimée par un zigoto de la rédaction qui se prétend francophone et dont le français de charbonnier ressemble étrangement à celui de Sami Ben Gharbia. Jour après jour, semaine après semaine, l’attention du site est fixée sur cette nouvelle héroïne persécutée par le gouvernement qui aurait dû accepter qu’elle profane un cimetière historique à Kairouan. Avant cet incident on nous la présentait comme une fillette terrifiée qui n’osait plus se montrer dans la rue de peur d’être agressée par les méchants salafistes . Mais lorsqu’elle choisit justement une réunion de ces mêmes salafistes dans une ville sainte pour aller en leur présence profaner le cimetière avec l’attirail qu’elle s’était procurée, c’est à nouveau avec des larmes de crocodile qu’on nous relate l’incident en s’indignant de la réaction des autorités qui, sans la brutaliser, l’ont arrêtée comme on aurait fait dans n’importe quel pays avec une personne qui vient profaner un lieu saint. Nawaat ne se demande pas combien de parents en Tunisie aimeraient voir leur fille exposer sa nudité en public d’une façon aussi vulgaire avec des textes insultants pour ses concitoyens : « Je nique votre morale ». Combien de tunisiens aimeraient voir leurs enfants aller profaner les cimetières qui chez nous sont encore objet de respect ? Nawaat n’y voit que de l’héroïsme et l’expression du féminisme dont notre pays a tellement besoin. Si les responsables de Nawaat n’étaient pas tellement ignares, je leur aurais demandé si Simone de Beauvoir en France ou Nawal Saadawi en Egypte, pour ne citer que ces deux symboles du féminisme, se sont jamais exposées d’une façon aussi scabreuse ou comportées avec la même indécence pour servir la cause des femmes et exiger le respect que nous leur devons. Je pense plutôt qu’on n’est pas digne de respect en se comportant d’une façon qui agresse la culture des autres et leur manque de respect.
Avec son esprit et sa morale à contrefil Nawaat sait quand est-ce qu’on perd le respect. Amina l’a perdu lorsqu’elle a annoncé qu’elle se dissociait des Femens à cause de leur islamophobie et de leur manque de respect pour l’islam. En plus elle a trouvé leurs sources occultes de financement où elle soupçonnait de l’argent sale venant d’Israël n’en faisaient pas une organisation honorable. Ces déclarations l’ont tout de suite rendue persona non grata sur ce site si militant. Amina est tout à coup devenue répudiée, oubliée, enterrée. Même les insultes publiées à son encontre par la patronne des Femens ou le site JSS israélien qui conseillait à Amina de fonder une association de tunisiennes connes n’ont pas ému Nawaat pour se porter à son secours et la défendre comme du temps qu’il s’agissait de s’en servir pour vilipender la justice tunisienne. Heureusement que d’autres défenseurs d’Amina ont été plus fidèles, comme la douce France qui lui a accordé un visa, et la rédactrice du site sioniste soft Marianne qui l’a reçue à bras ouverts en excusant ses accusations contre les Femens comme étant le résultat d’un lavage de cerveau qu’elle aurait subi de la part de « trois hantises qui attisent les délires dans les chaudrons arabes: le sexe, les juifs, l’apostasie : sa société tunisienne ». Les « chaudrons arabes ». Si je parlais de chaudrons juifs qui veulent corrompre les mentalités, Nawaat m’accuserait d’antisémitisme. D’autres bienpensants aussi. Mais un site juif a le droit de prendre toutes les libertés verbales avec les arabes et les musulmans. Donc, je me mets dans mes petits souliers. Ne manquaient pas au rendez-vous pour souhaiter la bienvenue à Amina la cinéaste Nadi El Fani qui coquette avec son cancer. Parlant du rejet de l’islamophobie par Amina, Martine Gozlan l’explique comme étant « Hantises du chaudron qu’elle vient de quitter. Hantises du malheur arabe dont aucune enfant arabe ne peut sortir indemne ». Voilà, nous sommes fixés. Mais c’est avec bonheur que Martine conclut son article avec cette déclaration d’Amina : « ” Je ne suis pas contre les juifs, je ne suis pas contre Israël.” Du temps d’Ali Baba il fallait dire « Sésame, ouvre-toi » pour que les portes de la caverne aux trésors immenses s’ouvrent. Les temps ont changé. Après les paroles d’Amina la dernière phrase de Martine est donc : » Bienvenue dans ta liberté, Amina ». Avis aux amateurs.
Pour conclure sur les Femen, cet article reproduit de « Libération » et du « Soir » de Belgique concernant le documentaire « L’Ukraine n’est pas un bordel » présenté récemment à la Mostra de Venise et qui a échappé naturellement à l’attention de la rédaction de Nawaat, tellement admiratrice des Femens. Le film a été produit par la cinéaste australienne explique Kitty Green qui a vécu avec les activistes ukrainiennes pendant une année. Le film révèle que c’est un homme, qualifié de maquereau, qui a créé et dirigé les Femen. Il faisait peu de cas de « ses filles », qu’il considérait comme des esprits faibles et qu’il exploitait sexuellement.
«Un patriarche abusif a créé et dirigé les Femen, selon le documentaire « L’Ukraine n’est pas un bordel » de l’Australienne Kitty Green. Il s’appelle Victor Svyatski et organisait dans le plus grand secret les happenings contestataires du groupe féministe en lutte contre le patriarcat et les violences faites aux femmes (prostitution, tourisme sexuel, femmes battues…).
Attiré sexuellement par les Femen
Dans le documentaire diffusé à la Mostra de Venise, on le découvre donnant de façon autoritaire des instructions très précises sur le déroulement des opérations à quelques activistes du mouvement, en n’hésitant pas à payer certaines pour leur contribution politico-artistique, notamment pour un happening mené dans le cadre de l’Euro 2012 de football, organisé par l’Ukraine et la Pologne.Victor Svyatski se comportait avec ses filles dont il confesse qu’elles lui plaisent sexuellement, au mieux comme un metteur en scène, au pire comme un mac en charge d’un juteux plan marketing. « C’est vrai, reconnaît-il face caméra, je suis le patriarche d’une organisation qui lutte contre le patriarcat. Mais les paradoxes font partie de l’Histoire, et après tout Marx et Lénine étaient des bourgeois. »Il était l’éminence grise du mouvement : on le respectait, on le redoutait, on en avait peur. « Il pouvait être horrible avec les Femen, explique Kitty Green, qui a vécu avec les activistes ukrainiennes pendant une année. Il leur criait dessus et les traitait de salopes. »L’homme a peu de considération pour les femmes. On l’entend dire de « ses » Femen : « Ces filles sont faibles. Elles n’ont pas un caractère fort. Elles n’ont même pas le désir d’être fortes. Elles se montrent soumises, molles, pas ponctuelles, et des tas d’autres facteurs les empêchent de devenir des activistes politiques. »
Encore un modèle que Nawaat a essayé de nous faire passer. L’autre modèle c’est le petit voyou présenté comme grand artiste qui fait l’apologie de la délinquence, la drogue, la prison et le meurtre de policiers auxquels on tranche sauvagement la gorge.
Dommage que ce n’est pas pour ces raisons que certains rédacteurs vont quitter le site. Ils vont le faire uniquement parce que tout le monde est heureux et que tout le monde est content. C’est uniquement pour des futilités et des poussières qu’ils ont pris la décision.
Euh, Fathi,
t’as pas l’impression de te défouler un peu ici ?
Bref, encore +1 pour Nawaat de laisser la parole a toutes les parties !
Encore bravo a l’equipe, celle qui reste et celle qui part.
En esperant revoir sur d’autres sites le travail des partants ?
Un peu de concurence sur la qualité journaliustique ne serait pas de trop en Tunisie, cela permettra d’elever encore plus haut le niveau !
Bon vent !
Vous trouvez qu’il n’y a pas assez de volontaires qui parlent des prédicateurs qui vous déplaisent? N’ai-je pas le droit de traiter d’un autre sujet ou faut-il absolument que je me laisse dicter quels sujets je devrais commenter et sur quels sujets je devrais me taire? C’est en fait la tactique poursuivie par Nawaat. Mais elle le fait un peu plus subrepticement. La rédaction sélectionne un sujet et le traite sous un certain angle qui n’a rien à voir avec l’intégrité journalistique mais vise uniquement à susciter des réactions d’approbation ou d’indignation. Pour réaliser ce but on nous rumine le même sujet pendant des jours, des semaines ou même des mois comme s’il n’y avait rien de plus intéressant ou de plus important. En fait Nawaat soumet ses visiteurs à un matraquage publicitaire copié sur le matraquage commercial pour lancer un produit. Il suffit de répéter la même chose assez longtemps pour convaincre les gens petit à petit. C’est comme la goutte d’eau qui en continuant à tomber sur la même place arrive en fin de compte à trouer la pierre. Je ne sais pas quels philantropes financent les activités de ce site mais son fonctionnement me fait penser à la goutte d’eau. Amina que je n’ai pas attaquée avait une petite idée derrière la tête concernant le financement des Femen. Il a suffi qu’elle en parle publiquement pour être immédiatement rejetée par Nawaat qui du jour au lendemain l’ignore totalement. Elle est devenue persona non grata sur ce site. Elle ne sert plus à vilipender le gouvernement ou la justice tunisienne. C’est comme le citron pressé qui lorsqu’il n’a plus de fonction est jeté à la poubelle. C’est ce genre de manipulations que je dénonce chez Nawaat. Vous vous trompez grandement ou vous m’avez mal lu lorsque vous dites que je m’indigne contre Amina et les Femen. Pas du tout. Toutes me font pitié car elles se font manipuler. Je m’indigne contre les manipulateurs, et en ce cas précis, contre les fourberies de Nawaat. D’ailleurs, pourquoi ce site qui se veut un champion de la transparence et du tout dire joue-t-il les cachottiers en ce qui concerne le remue-ménage dans la rédaction? Pourquoi Nawaat ne donne pas un exemple de transparence en publiant le ou les noms de ses sponsors et les sommes versées pour faire tourner le site? Se contenter d’afficher que le site ne reçoit aucune subvention d’un gouvernement quelconque n’est pas suffisant. Nous savons bien que ceux qui arrivent au gouvernement ne sont pas financés dans leurs campagnes par des sources gouvernementales. En France le scandale du financement des campagnes présidentielles de Sarkozy, Balladur et autres grands crocodiles de la politique est encore aux mains de la justice. Comme sources de leur financement on a cité entre autres la milliardaire de Loréal, la compagnie pétrolière Total, le défunt Kadhafi et bien d’autres sources non gouvernementales. En Amérique tout candidat à la présidence commence par solliciter l’appui des riches lobbys juifs. Je voudrais bien que Nawaat nous éclaire sur ses sources de financement et nous dise s’il s’agit de sources étrangères. Est-ce trop demander à un site de la transparence?
@fathi =
Comme c’est dur de mener un débat constructif avec des têtes dont la matière grise est faite de “béton armé” . J’ai l’impression que la plupart des commentataires ne prennent même pas la peine de lire d’abord le texte et de comprendre le message que le texte veut faire passer, avant de poster leurs commentaires . En effet, ces esprits préfèrent rester superficiels, et par conséquent, les analyses profondes les font “bâiller” . Ils n’ont rien pigé quand tu parlais des femens, et ont “sauté” le paragraphe où tu parlais de Kitty Green, j’imagine . Le sens de profondeur manque beaucoup chez les uns, sinon comment ça se fait qu’on refuse de comprendre quand il faut comprendre, et qu’on dise n’importe quoi ensuite, bien que le but était justement de contribuer avec des informations, complètement absentes dans notre presse nationale . Ce desintérêt provient-il d’une ignorance “structurelle”, suite à un 1/2 siècle de dictature qui avait fini par “neutraliser les esprits”, et le fait que l’Etat, sous Bourguiba et zaba, rejouissait presqu’en extase dans son role de macho, face à un peuple qui s’est laissé faire, malgré lui, mais qui ne s’est “réveillé” que maintenant, pour regarder autour de lui et découvrir pour la première fois qu’il s’est libéré, sans vraiment savoir encore comment organiser ses choix par ordre de mérite, car on ne lui a jamais appris cela . Mais ce qui est typiquement remarquable, c’est qu’au lieu de se patienter vis-à-vis la période de transition, on voit les uns revenir à la mentalité des soupçons et d’inculpations. souvent non-fondées, à l’egard de l’Etat qu’on a élu nous-mêmes cette fois-ci, alors qu’on “glorifiait” l’Etat qui corrompait nos institutions jusqu’à l’os, sans que personne n’avait le moindre courage de s’en exprimer . Donc, on y voit clair que cette distinction est loin d’être rationelle, selon toutes les normes . Ou bien, est-ce possible de conclure qu’après tout, c’est facile chez les uns de “changer de couleur”, voire de peau si la situation le nécessite . On en voit des examples qui font rire parfois, non pas parce que c’est drole, mais à cause d’un manque de profondeur qui reflète une arrogance, à la fois innocente et stupide, qu’on ne peut pas adresser . L’arrogance est tout simplement sourde .
@karim. Si c’est le commentaire de ce Salem qui te déçoit, il ne faut pas t’en faire. Il n’est pas représentatif des lecteurs car c’est un responsable du site. Je le reconnais à son style et son français de charbonnier, car cela fait des années que je lis Nawaat avant que ce site ne choisisse de se discréditer comme il le fait actuellement. Ce “responsable” change à chaque fois de pseudonyme pour induire les lecteurs en erreur et donner l’impression qu’il y a divers personnages qui désapprouvent mes commentaires. De plus, cela lui permet d’utiliser un langage indigne. Peu de mes commentaires ont échappé à son œil de lynx. Je le remercie pour son attention. Des fois il se présente même sous un pseudonyme féminin, celui d’une soi-disant Fathia, émigrée en France, très moderniste, très féministe et très ordurière dans son langage. Je ne vais pas te citer tous les autres pseudonymes. Mais à chaque fois, c’est la même tactique: une attaque personnelle virulente très grossière et une défense des méfaits de la colonisation française si jamais je touche à ce sujet. Tu peux en tirer les conclusions que tu veux. Mais je ne le prends pas au sérieux et je ne lui réponds même pas. Je m’en fous des attaques personnelles car sur un site elles ne font que prouver une faillite intellectuelle et un manque d’arguments. En plus c’est une preuve de lâcheté. En ce cas-ci le but est de dévier l’attention des questions que j’ai abordées : Pourquoi la rédaction de Nawaat qui pendant des mois faisait d’Amina son égérie et sa Jeanne d’Arc l’a-t-elle brusquement laissé tomber et fait comme si elle n’avait jamais existé? Cela s’est passé juste après qu’Amina ait déclaré qu’elle quittait les Femen parce que ce mouvement était islamophobe et que la patronne des Femen n’a pas pu lui expliquer d’où venait le financement de son mouvement. Amina soupçonnait Israël. Je ne comprends pas comment cette interview publiée par le Huffington Post et colportée par l’AFP ait pu échapper à l’attention de Nawaat qui pendant des mois suivait tous les faits et dires de cette jeune personne victime d’une autre tête vide, la patronne des Femen, elle-même et ses filles aux seins nus victimes à leur tour d’un maquereau derrière lequel se cachent des bailleurs de fonds qui préfèrent l’obscurité. Une obscurité dans laquelle Nawaat aussi se sent à l’aise, car au lieu d’une attaque personnelle me visant, le responsable en question aurait pu expliquer son choix rédactionnel d’ignorer Amina, alors que même un site subversif comme France24 qui a fait toute une salade de l’histoire d’Amina a rapporté ses déclarations et ses soupçons à l’égard d’Israël. Seulement voilà, ayant obtenu son visa pour la France, Amina a tout de suite été récupérée par le site juif sioniste soft « Marianne » qui a rapporté que la jeune fille n’avait rien contre Israël ni contre les juifs. Je ne sais pas quel rôle on prépare à Amina pour le futur. Marianne et le lobby derrière ce site vont certainement investir pour la préparer à jouer un rôle, une fois qu’elle sera prête. En passant, je ne sais pas si tu es au courant, mais le fondateur du site Marianne, Jean-François Kahn, est celui qui a immédiatement réagi à l’arrestation de Strauss-Kahn à New York pour viol, en déclarant qu’il n’y avait rien à lui reprocher car trousser les soubrettes faisait partie du folklore français. Lui faisant écho, un autre juif célèbre, l’ex-ministre Jack Lang pour ne pas le nommer, s’est indigné de l’arrestation en déclarant: «Mais il n’y a quand même pas eu mort d’homme». Ce genre de réactions de juifs communautaristes qui ont l’habitude de fustiger l’antisémitisme n’inspire pas confiance en ce qui concerne leur probité.
Un autre point que Nawaat a voulu soustraire à l’attention en me visant par une attaque personnelle est celui de l’identité de ses sponsors. Pourquoi le site ne réagit pas à ma question: Qui est ce, ou ces, sponsors et quelle sont leurs nationalités et leurs contributions au fonctionnement du site ?
En observant la politique rédactionnelle de Nawaat pendant des mois j’ai pu constater ce qui suit: La rédaction choisit des personnages jusque-là inconnus, mais qui ont été soudainement impliqués dans un incident pour leur accorder une importance considérable dont d’autres personnages qui ont joué un rôle historique ne peuvent même pas rêver. Par exemple, pour un site tunisien qui se dit militant, comment expliquer que le décès de deux hommes de grande valeur au mois de juillet dernier n’ait pas eu droit à la moindre attention? Je veux parler de Henri Alleg, l’auteur du livre La Question qui a été interdit en France car il a dévoilé à l’opinion publique française et internationale les pratiques ignominieuses de torture que les militaires français et leurs supplétifs harkis menaient en Algérie. Alleg lui-même a été arrêté et torturé par cette armée française pour ses prises de positions anticolonialistes. L’autre personnage dont le décès a aussi été passé sous silence par Nawaat est Ilan Halévy qui représentait l’OLP à l’Internationale Socialiste et était son vice-ministre des affaires étrangères. Alleg et Halévy sont deux personnages historiques, tous deux juifs, dont le comportement tranche avec celui des juifs communautaristes qui n’arrêtent pas de vilipender les arabes et les musulmans comme le fait la rédaction de Marianne. Jean-François Kahn se vante même que son organisation compte le plus haut pourcentage de juifs parmi les organes de presse français.
Nawaat sait choisir ses héros et sait les destituer lorsqu’ils ne servent plus sa cause ou celle des sponsors inconnus. Lorsqu’il s’agit de dénigrer un personnage politique qui n’a pas ses faveurs, elle sait aussi lui sortir toute la panoplie concernant même sa vie privée ou celle de sa famille. En ce qui concerne Ghannouchi par exemple, on a non seulement passé son gendre à la casserole mais aussi sa fille à laquelle on a même reproché de s’habiller en blanc.
Pour moi ces pratiques plus que douteuses n’ont rien à voir avec le journalisme intègre qui a besoin d’être réhabilité en Tunisie. Pour être juste, je dirais que Nawaat n’est qu’un exemple du paysage médiatique déplorable qu’offre notre pays après la chute de la dictature. Merci d’avoir continué à me lire.
@Fathi
votre indignation contre les Femen et Amina est sans bornes mais j’aimerais que vous nous parliez un peu des prédicateurs qui viennent enTunisie répandre leurs insanités,leurs appels à la haine et à la violence et incitent de jeunes tunisiennes à participer à cette remarquable institution qui a pour nom le Jihad Nikah.
et ne pensez vous pas normal que de jeunes femmes comme Amina puissent se révolter (même de façon maladroite) contre la perspective de finir comme les iraniennes.
Tout le respect aux démissionnaires, mais il faut dire que ce ne sont pas eux qui ont rendu Nawaat ce qu’elle est aujourd’hui. C’est le board qui a tracé le chemin, et les autres n’ont fait que suivre. Je suis bien confiant.
Bonne continuation pour Sami et pour toute l’équipe et bon courage pour les démissionnaires.
@iste beniste. Ma réponse se trouve au dessus de votre réaction. Mais vous aurez compris.
Pour Fathi : Vous vous êtes querellés avec votre épouse ou quoi ?
Quelle diatribe ou plutôt diarrhée… ouaw ! Et tout ça pour nous dire quoi, que Nawaat ne doit pas publier des gens qui ne pensent pas comme vous. Et quand nawaat le fait, c’est nawaat qui est coupable de tous les maux de la terre. Donc Nawaat doit censurer pour que monsieur soit satisfait. Mais monsieur, lui, il est handicapé du cerveau. Il ne sais pas faire comme tout le monde, c’est-à-dire porter la contradiction en écrivant un article correcte, au sein duquel il exprime ses idées, puis le transmettre à Nawaat pour être publié.
Heureusement que ce n’est pas vous qui décidiez de ce qui doit être publié sur Nawaat et quel commentaire doit être accepté. Autrement vous seriez capable de vous censurer vous-même !
De la part d’un des anciens du Forum Taht-Essour, courage Nawaat on est tous et toujours avec vous !
Le souci que vous portez aux disputes conjugales de vos concitoyens et à leurs diarrhées vous honore. Vous êtes le type même du citoyen tunisien moderniste pour lequel Nawaat milite. Son oreille est collée aux portes fermées et son nez aux cuvettes de WC.
@fathi
monsieur Moncef Marzouki a perdu la considération que j’avais pour sa personne depuis que lui (le grand défenseur des droits de l’homme) assiste sans broncher aux poursuites judiciaires contre des journalistes ou à l’emprisonnement de libres penseurs (Jabeur par exemple)
la moindre des choses de sa part aurait été de taper sur la table.
quant à sa légitimité elle était limitée à un an et il donc violé les engagements qui avaient été pris.
@iste beniste. Je ne suis pas et ne me ferai pas l’avocat de Marzouki en tant que personne. J’ai déjà dit qu’il m’avait profondément déçu par l’expression qu’il avait utilisée pour insulter les salafistes. Vous ne les portez pas dans votre coeur. Moi non plus. Mais ce n’est pas une raison pour leur nier leurs droits en tant que citoyens tunisiens. Ils ont les mêmes droits que nous tous pour s’exprimer tant qu’ils ne transgressent pas les lois, ne lancent pas d’appels à l’usage de la violence et ne l’exercent pas eux-mêmes. Ils ont aussi le droit de dire des bêtises comme tout le monde. Si tout le monde disait uniquement des choses intelligentes, la Tunisie ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui. Mais pointer uniquement les salafistes du doigt pour leurs idées et les marginaliser est inacceptable dans un état de droit. Cette méthode a été utilisée pendant des décennies par Bourguiba et Ben Ali et n’a pas abouti. Je me demande pourquoi au lieu de passer son temps à les criminaliser et à les marginaliser on ne n’essaierait pas d’entrer en dialogue avec eux pour tenter d’apaiser les tensions. La voie poursuivie actuellement et défendue par Nawaat et d’autres sites en français comme Kapitalis et Business News qui jettent de l’huile sur le feu, ne fait qu’attiser les tensions et approfondir le fossé. Reconnaissons aussi que ce qui entrave le dialogue, ce sont les discussions menées sur des sites où le français est la langue dominante et où presque tous les nez sont tournés dans la même direction. Il n’y a aucun dialogue. Ceci me fait penser au proverbe arabe de l’oiseau qui chante et écoute l’écho que son aile lui renvoie. Ce n’est pas ainsi qu’on construit une société solidaire et soudée. Vous savez certainement aussi que peu ou pas de salafistes réussissent à maîtriser le français et à le manier avec aisance. Ils ne sont donc pas présents sur ce site. On parle d’eux mais pas avec eux. Pourquoi ne pas y réfléchir et nous poser quelques questions au lieu de tout le temps pointer les autres du doigt? Mais je reviens à Marzouki. Son comportement a parfois ou souvent (cela dépend des points de vue) suscité la critique. Lorsqu’il le mérite, on n’a pas à être tendre avec lui. Mais il y a une différence entre la critique objectives et les expressions ordurières pour humilier une personne, ce que Nawaat encourage. Pour moi ceci est inacceptable car cela revient à humilier l’état tunisien, lequel a suffisamment été humilié par Bourguiba et Ben Ali. Ce qui vaut pour Marzouki est aussi valable pour nos autres responsables même quand ils manquent à leur responsabilité. Dans les pays démocratiques on voit les membres de l’opposition et ceux du gouvernement s’affronter durement ou même avec humour dans les débats parlementaires ou télévisés. Une fois le débat terminé, ils vont siroter un café ensemble ou prendre une bière en se donnant des tapes sur le dos. Si je raconte ceci, ce n’est pas pour appeler à mêler la bière aux débats de la constituante. Mais je pense que vous m’avez compris.
A FETHI
Vos commentaires sont de la pure masturbation intellectuelle. Quand à vos pseudo idées elles sont tellement inconsistantes qu’elle ne méritent pas qu’on les les analyse. Elles sont comme des feuilles mortes.. Vos opinions sont comme des gargarismes. Almors crachez les, sinon vous allez vous étrangler.
Truthseeker, you are just an obnoxious arrogant pseudo-intellectual with too much time on your hand. I truly applaud Nawaat for letting people (even the stupid ones) express their opinions and debate. While it would be good from a transparency standpoint to understand what exactly happened and led to this resignations, we shall respect the wishes of those who resigned in keeping these conversations private. I stay reassured by the independent editorial tradition at Nawaat and we should monitor in the future whether the site deviates from its mission and past tradition.
Fathi, as far as I could tell, you are getting all the freedom of speech you need at this site. I am not sure what you are complaining about other criticizing Nawaat for not censuring articles criticizing Marzouki. You fault people at using aliases but you are using one yourself. It seems to me that you are more ‘Benalist’ than other with that regard!
J’ai lu pas mal de livres de Moncef Marzouki, le style d’écriture de ce pseudo Fathi, n’est autre que celui de notre cher et valeureux Président. Le reste restera sans commentaire !
Comment as-tu pu savoir que Fathi est un pseudo-nom ? En plus, tu hallicines que c’est Marzouki qui s’est déguisé en Fathi ? Tu n’as aucune preuve, n’est-ce pas . Quand on s’adonne à l’arithmétique de l’abracadabra, on ne dirait que des bêtises malheureusement, mais il parait que c’est la stratégie de ceux qui devraient être inconscients d’avoir été dépassés par les évènements et par le temps, de façon qu’il n’y ait plus moyen de les convaincre, sur quoi que ce soit .
Si tu avais vraiment lu les livres de Marzouki, qu’est-ce que tu as retenu . Parle-nous un peu de ce qui t’a déplu dans son style ? Et quel style aurait-il dû prendre, d’après ton expertise hallucinatrice? Cela donnera évidemment la chance aux lecteurs d’améliorer leur connaissance, n’est-ce pas ?
@Kerim. Ne te mets pas martel en tête. Depuis que certains ont retrouvé la parole après des décennies de mutisme ils ne savent pas comment s’en servir. Ils viennent donc ici faire un stage en disant du n’importe quoi. Il faut les comprendre. Si demain un nouveau sauveur de la nation apparaît il fera taire tout le monde sauf les joueurs de bandir qui, bien rôdés, n’auront aucun mal à retourner de nouveau la veste. Laisse-moi maintenant te faire une confidence en te priant de la garder entre nous. J’avoue que je suis Marzouki quand je commente en français, Ghannouchi quand je commente en Arabe et Obama pour l’Anglais. Une fois que j’aurai fini mes cours de latin je serai le pape. Urbi et orbi.
Assalmou alaykoum x3
Moncef est ici hihihi… Moncef cher Ami t’as rien à foutre que de polluer cet espace de libres penseurs (Soros m’entends tu houhouhou)? Le sujet est la démission de certaines personnes (dont le nom m’échappe) de Nawaat. On en a rien a rien à branlé des lopettes salafistes ou des malbaisées de Femen.
…..Au fait fethi mon Ami “l’Etat tunisien” Etat c’est avec E majuscule Fathi marzouki . A moins que tu voulais discuter de ton état à toi que tu penses être l’Etat tunisien…
Encore un autre halluciné ?
Mais c’est quand même grave qu’on ait eu que des sarfagas, lors de la dictature, et qu’on a maintenant des crieurs frustrés, pleins de rage et pleins de clichés vides dans leurs argumentations à ne plus savoir ce que pourrait en être la vraie cause de cette mentalité de faux-banditisme et de ce désir compulsif de violence verbale, envers tout . Il n’y a que l’ignorance qui est capable d’amener l’homme à un tel état de décandence mentale qui ressemble un peu à ce qu’on pourrait appeler le “self-sabotage”, qui à son tour, a des points communs avec la notion sadisme, tout court .
My question to the Nawaat Management team is the following:
– Do you expect any impact on the day to day work and are you planning to replace the resigning staff?
Nawaat.org counts hundreds of contributers :)
If you think that a collective blog like Nawaat, that claims to be 100% independent can depend of few persons, Think again.
Fathi, il faudrait vraiment songer à faire soigner cette diarrhée verbale, qui s’accompagne désormais d’hallucinations et de délire de persécution à l’encontre de la pauvre Amina, à laquelle, soit dit en passant, vous n’arrivez même pas à la cheville.
Amina a pris des risques pour sa liberté et pour les nôtres,
vous, vous vous contentez de nous accabler de vos diarrhées verbales sans intérêt ni sens, bien à l’abri d’un clavier et d’un écran d’ordi.
Ne parlez donc pas de ce que vous ne comprenez pas, le combat d’Amina vous échappe comme la philosophie échappe au mouton qui broute derrière la maison …
[QOTE=]…la pauvre Amina, à laquelle, soit dit en passant, vous n’arrivez même pas à la cheville.[UNQUOTE=/]
C’est incontestablement lâche de mépriser quelqu’un parce qu’il avait mis en question un tas de sujets, tout en présentant un scala d’arguments justifiés par des chiffres officiels, suivi d’une description précise des faits auquels il faisait référence . Des faits que tu n’oses pas démentir, en dehors du fait que tu ignorais la vraie histoire des femens, de peur de te faire “exposer” .
Que tu ne sois pas d’accord avec “la Vérité”, c’est un signe de vacuité sans limite . Un des plus grands poêtes arabes disait : ” و أخ الجــهالة في الشـقـا وة يــنعـم” .
The ultimate answer to fathi would be to pour some concrete in his
infinite wide shutter and hope that it will gell.
if that can do the trick and shut his mouth than one bad smell will be emitted
from tunisia.
this guy is like a bad smell by association,a hyper recidivist in defence of the ghannouchi
desease,a self righteous.
it would not surprise that he was a previous regime parasite that turned coat to this
current government of clowns.
simply an immoral playing the moral high ground using the religious fanatic over coat
as a cover.
should fathi be censored from this site and spare us his diet of acidity:personally i’m all
for it for the reason to see his type of bugs less oxygenated .
we can’t digest any turther his crap.
don’t like nawaat fathi?: rack off and keep your shit in your mouth we had enough.
Mon Cher Fathi,
Je vous cite :
” Des fois il se présente même sous un pseudonyme féminin, celui d’une soi-disant Fathia, émigrée en France, très moderniste, très féministe et très ordurière dans son langage. ”
Je regrette bien de devoir vous apporter la contradiction : je m’appelle Fathia, je suis une femme, effectivement née et vivant en France, exerçant le beau métier d’avocat depuis 16 ans dans une des plus grandes villes de France.
Si vous souhaitez d’autres “preuves” de mon existence réelle, donnez moi votre email et je pourrais vous prouver que mon existence est réelle et mon dégoût à l’endroit de votre propagande dénuée de bon sens, encore plus réel.
Maintenant, vous accusez les autres de sévir sous divers pseudo. Savez vous ce que disent les très jeunes enfants en France sur ce genre de dénonciations calomnieuses et de pure propagande ? “c’est celui qui le dit qui l’est !”
Je veux dire par là qu’habituellement, c’est le menteur qui accuse les autres de mentir
et le voleur qui accuse les autres de l’avoir volé.
Par conséquent, il me semble bien que c’est celui qui utilise plusieurs pseudo, qui accuse les autres de ses propres forfaitures.
A bon entendeur, l’ami. Et vive Amina, vive les femmes et les hommes tunisiens ouverts d’esprit et de coeur, qui n’adopteront jamais vos théories fumeuses du complot et votre antisémitisme puant. Savez vous, Cher Fathi buté et ignorant, qu’il existe des Juifs non religieux, démocrates et interessés uniquement par l’Humanité, qui sont à mille lieux de vos turpitudes et accusations ?
Non bien sûr, vous ne le savez pas car les ignorants ont absolument besoin d’ennemis, d’étrangers, de boucs émissaires à haïr. Les vôtres sont bien nombreux, à croire que c’est vous même que vous haïssez avant tout (on ne saurait vous en blâmer d’ailleurs)
Mezri Haddad sors de ce corps … (il se reconnaitra …)
Le rapprochement que tu fais avec notre infâme Mezri Haddad est intéressant mais je ne pense pas que cette piste soit la bonne. Je reconnais que le commentaire burlesque auquel tu as réagi est écrit dans un français moins débile que celui de l’épicier de Nawaat auquel j’ai souvent fait allusion. Il a donc dû faire appel à un correcteur cette fois-ci afin de donner le change. Mais le style bête et ordurier n’a pas changé. Je ne pense pas que ce soit celui d’un diplômé d’une université française. Je persiste à pense à l’épicier farfelu de la boutique Nawaat dont le toit doit être rafistolé après les récentes démissions. Pour cela, avant que l’hiver ne s’installe notre épicier se dépêche de réparer les fissures de son toit. Ses sponsors pourraient s’inquiéter et se demander si le crédit qu’ils lui ont accordé n’a pas été une erreur, auquel cas il risquerait de recevoir le toit sur son crâne dénudé. Sa camelote de l’islamophobie n’étant plus assez convaincante il a voulu diversifier la marchandise en y ajoutant une nouvelle denrée: la diffamation pour antisémitisme. C’est bête, surtout si on n’avance pas de preuves. Mais pour un parasite habitué à vivre des largesses de ses bailleurs et non pas de son travail, la panique l’a emporté.
Je voudrais rappeler que l’accusation d’antisémitisme devenue banale dans la bouche des lobbys sionistes pour intimider ceux qui critiquent les exactions ou les crimes de l’état d’Israël a même été lancée contre des juifs intègres et des esprits brillants comme le linguiste Noam Chomsky et le politologue Norman Finkelstein. L’ex-président américain Jimmy Carter n’y a pas non plus échappé pour avoir comparé le traitement des palestiniens par Israël à l’ancien apartheid d’Afrique du Sud. Parmi les autres victimes de l’antisémitisme supposé je citerais comme exemples Ken Livingstone, l’ancien maire de Londres, l’Eglise d’Angleterre et le journal britannique The Guardian. Je ne dois pas oublier non plus des israéliens juifs tels Mirko Peled, fils du général décédé Matti Peled, un des architectes de la guerre des Six jours en 1967. Dans la biographie de son père qu’il a publiée on le voit en photo avec un palestinien, Jamil, condamné à la prison à vie pour avoir tué un soldat israélien. Il pose la question : Qui est ici le vrai terroriste ? Celui qui a été spolié de son pays et qui le défend ou bien l’émigré venu de l’étranger? Il révèle aussi qu’il a trouvé parmi les notes de son père des documents attestant que la guerre de 1967 a été voulue et imposée par les généraux israéliens parmi lesquels son propre père parce qu’ils étaient convaincus que l’Egypte n’était pas en état de se défendre mais que cela pourrait changer dans deux ans. Leur raisonnement s’est avéré juste : la guerre de 1967 a été remportée en quelques jours et fait 15.000 morts du côté arabe contre 700 israéliens. Pour avoir affirmé qu’en 1967 Israël n’était nullement menacé ou en danger, Mirko Peled, le fils du général, est lui aussi devenu anti-juif.
Mais parlons de Finkelstein, universitaire juif new-yorkais dont les parents étaient des rescapés du ghetto de Varsovie et des camps de concentration. Il a fait enrager les lobbys sionistes désignés aussi en Amérique comme lobbys juifs sans qu’on n’y voie aucun signe d’antisémitisme. Il avait en effet publié fin 2000 un livre intitulé «L’industrie de l’holocauste» dans lequel il essuyait le parterre avec des organisations juives malhonnêtes qui exploitaient la tragédie des victimes du nazisme pour s’engraisser. Ces organisations exerçaient un chantage sur des organisations et banques européennes et notamment suisses pour leur soutirer d’énormes sommes d’argent sous le prétexte de compenser les victimes du nazisme. Mais les survivants des camps de concentration ou leurs familles ne voyaient rien de cette aubaine qui ne faisait que remplir les poches de juifs malhonnêtes ayant des relations avec les médias pour vilipender ceux qui ne déboursaient pas. Si le livre n’avait pas été écrit par un juif je me demande ce que cela aurait donné. De toute façon Norman Finkelstein a été accusé de «haine de soi», d’irresponsabilité et d’encouragement au négationnisme. Ces mêmes accusations ont été portées contre la nouvelle génération d’historiens israéliens pour avoir osé dire que les dirigeants d’Israël ont utilisé la Shoah pour renforcer le nationalisme juif ( on peut aussi dire racisme). Finkelstein a dénoncé des imposteurs qui ont instrumentalisé la tragédie de l’holocauste à leur avantage et les a accusés d’«escroqueries intellectuelles», tel Elie Wiesel avec ses «conférences à 25 000 dollars (plus la limousine et le chauffeur)» et ses récompenses et honneurs internationaux : Légion d’honneur, Médaille d’or du Congrès américain, Prix Nobel de la paix, devant lesquels les prix accrochés en bas de la page par l’épicier de Nawaat ne sont que de la camelote devenue dévaluée par les fourberies de l’épicier.
En France l’association Avocats sans frontières, par l’intermédiaire de son président Goldnadel, s’en est violemment prise au livre de Finkelstein dans l’espoir de le faire interdire mais sans résultat. L’éditeur a réagi en faisant remarquer, qu’il y a eu brouillage de l’Holocauste car des sommes colossales obtenues en Europe, soit disant au profit des victimes du nazisme, ont été détournées par diverses organisations de juifs américains pour leur propre compte. En plus, des milliards de dollars obtenus de cette façon ont été employés pour mobiliser l’opinion internationale en faveur de l’Etat d’Israël et de sa politique raciste, contraire à la paix en Palestine. Comme exemple de malhonnêteté des lobbys juifs sionistes tel l’ADL (Ligue Anti Diffamation) il a été remarqué que cette organisation a décerné un prix au Premier ministre d’extrême droite d’Italie, Silvio Berlusconi, le qualifiant d’« ami d’Israël » juste une semaine après que Berlusconi ait fait l’éloge de l’homme de confiance d’Hitler, Mussolini, en tant que héros italien.
Maintenant retour à l’épicerie Nawaat qui est en train de craquer. L’épicier veut colmater les fissures en se lançant dans la diffamation bon marché après avoir vainement utilisé contre moi des insultes ordurières du plus bas étage qui soit et ceci depuis des mois. Visiblement, je dérange quand je commente une politique rédactionnelle débile menée par des attardés mentaux qui ne pensent qu’à dénigrer la Tunisie et à la déstabiliser. En plus j’ai osé demander à Nawaat de publier la liste des donateurs qui subventionnent le fonctionnement de son site. Nawaat prétend mener un journalisme d’investigation afin de promouvoir la transparence et publie même le contenu de documents officiels volés sans se demander si cela n’aurait pas de répercussions négatives pour l’état tunisien. Mais lorsqu’il s’agit de la transparence de Nawaat et du financement de son site cela devient un secret d’état, et la réponse est la diffamation.
Mais peut-être que Nawaat pourrait répondre au livre de l’universitaire algéro-canadien Ahmed Bensaada d’après le quel « le grand Gourou Sami Ben Gharbia travaille pour ses employeurs américains, notamment Jared Cohen, un ancien conseiller de Condolezza Rice, et qui est actuellement le patron de Google Ideas». D’après lui, Le Forum Fikra auquel collabore aussi Sami Ben Gharbia a publié qu’il était « reconnaissant à la fondation de la famille Nathan et Esther K. Wagner pour leur contribution au lancement du Forum Fikra à la mémoire de Steven Croft, qui au cours de sa vie était philanthropiquement impliqué dans des organisations locales, nationales et internationales, y compris, l’AIPAC (le lobby sioniste le plus virulent aux USA), les Obligations d’Israël (Israel Bonds) et le « Washington Institute for Near East Policy » qui sur son site fait la publicité de Fikra. L’Institut a été fondé par Martin Indyk né dans une famille juive de Londres qui a émigré en Australie. Après ses études en Australie il a émigré aux Etats-Unis dont il a pris la nationalité. Il y a travaillé comme directeur de recherches dans le puissant lobby sioniste AIPAC puis a fondé le Washington Institute dont il est devenu le directeur. Il a aussi été conseiller du président Clinton qu’il a sans cesse appelé à « contenir » l’Irak et l’Iran car ils étaient les deux protagonistes les plus dangereux des Etats-Unis au Moyen-Orient.
Le refus de Nawaat de publier la liste de ses sponsors aurait-il quelque chose à voir avec cet état des choses ou bien ne serait-ce que des mensonges ?
@Fathi
Donc pour résumer :
– Vous venez sur Nawaat et vous les insultez en long, en large et en travers ;
– Vous vous en prenez comme un charognard à Sami Ben Gharbia, un des administrateurs du site, avec une violence inouïe et le site laisse vos commentaires ;
– Vous vous exprimez avec une liberté si totale dont manifestement vous êtes indigne ;
– Vous propagez toutes vos saloperies comme un lâche, caché derrière un pseudo, passant son temps à comploter et à troller sur Nawaat.
Ensuite vous venez nous dire :
– Que Nawaat censure ;
– Que Nawaat c’est des pourris ;
– Que Nawaat qui publie la liste de ses partenaires, y compris financiers, est corrompue : http://goo.gl/kTy1b9
– Que Nawaat au sein de laquelle contribuent des centaines de plumes avec une liberté totale est une organisation dangereuse.
Et vous ne comprenez toujours pas pourquoi les gens vous prennent pour un malade mental !?
Fathi, allez vous faire soigner. Vous êtes tombé tellement bas !
PS pour Nawaat : Je n’ai toujours pas compris pourquoi vous laissez ce malade mental pourrir de la sorte cet espace destiné aux commentaires ?
To fethi?:
take a cold shower stinker and spare us your vile aroma.
your types aren’t worthy of freedom.
your ingratitude is boundless and arrogance is infinite.
if you ain’t happy with nawaat and all those that contributed to what it is
than fuck off and give peace a chance.
it will be a good riddance i would say and spare us your pain.
you are top heavy and indigestible with that logic or illogic of yours.
Je me joins aux propos de Leith Abdelfakher et rajoute simplement une chose : l’antisémitisme aveugle et stupide n’est qu’un leurre que brandissent les ignorants pour justifier le chaos que traverse le monde Arabe.
Notre problème ne vient pas des Juifs mais de nous mêmes, de notre incapacité à accepter une civilisation où le technique prend le pas sur le théologique, le spirituel, ce qui remet en cause les schémas traditionnels de toute puissance du religieux ;
Accuser les Juifs de nos maux, c’est du déni pur et simple.
Le monde a changé, les Arabes veulent être libres, et les obscurantistes, qui tiraient leur pouvoir de l’obscurité, s’y refusent et, tels des chiens enragés, mordent tout ce qui passe à proximité : Juifs, Démocrates, Féministes et autres progressistes.
La bonne nouvelle, c’est que le reigne de l’Obscur est dépassé, la Démocratie s’installera, elle est irrémédiable, et les Fathi iront professer leur rage destructice en Enfer, Inchallah.
Le mensonge, la diffamation, la manipulation et la calomnie sont les armes des faibles, Fathi.
@ fathia
Tu as mal interprété ce que fathi disait .
Fathi n’est pas anti-juif, comme tu le prétends, mais il est contre le sionisme qui dépriva les palestiniens de leur droit à exister comme peuple, sur tous les niveaux . Bref, Fathi ne me semble pas être “anti-sémite”, puisqu’il t’a dit que même les juifs modérés étaient harcelés par le lobby sioniste, pour avoir exprimé leur sympathie envers les palestiniens, cequi est contraire à la politique de colonisation qui engloutit chaque jour une partie de ce qui reste de la terre palestinienne, aux depens d’un peuple devenu sans espoir .
Puisque t’es avocate, lire entre les lignes n’est pas la bonne manière de bien comprendre de quoi il s’agit, il me parait .
Kerim, tu lis Fathi pour la première fois, ou tu tentes toi aussi de te lancer dans l’avocature ?
Nous rejetons TOUS le Sionisme,
mais voir des sionistes partout, et en tirer argument pour vilipender un peuple, c’est de l’antisémitisme, ne t’en déplaise.
Et que viennent faire les Sionistes, d’ailleurs, dans la question des Femen ? Et pourquoi dénigrer Amina au prétexte du Sionisme ?
Je ne sais pas à quel métier tu te destines, mais si je puis me permettre un conseil puisque tu es généreux en avis professionnels non sollicités, c’est de tenir compte du contexte.
Fathi est un âne bâté antisémite et il est contre toute ouverture envers qui que ce soit, sauf envers ses chéris barbus qui sentent le bouc.
Je constate d’ailleurs que tu t’émeus de ce que je le traite d’antisémite, mais que tu ne t’étonnes pas de le voir m’accuser de n’être qu’un multi pseudo.
@Fathia
Non, ni avocature, ni magistrature.
Moi je suis seulement contre le discours irrationel des uns (et des unes) .
Fathi t’avait mis sous le nez tout ce que tu as besoin de savoir sur le dossier de femens, et qui est le patron mystère de ce mouvement…le recrutement des filles…les sponsors…etc.
Est-ce tu déments tout cela ? Présente tes contre-preuves alors .
Non, cela ne m’étonne pas parce que tu avais créé cette situation toi-même . Arrête tes insultes d’abord, tes accusations et ta superstition . Puis-je aussi dire ton désintérêt .
Des ânes antisémites et des barbes humaines qui sentent le bouc ? Moi je ne vois pas de similarités, franchement . On aurait bien aimé ne pas te voir tomber très bas avec l’usage de ces mots surchargés d’émotions purement personnelles, qui nous fait toujours sortir du sujet principal . Cela à cause des arguments enfantins de la part des uns, et l’impuissance mentale de pouvoir imaginer qu’il y a une différence entre exprimer une opinion personnelle (à tort ou à raison) , et participer à la discussion pour ajouter une information qui vaut la peine . Sinon, on essaie au moins d’être à la hauteur et de respecter les faits argumentés que quelqu’un présente, et ne pas toujours rester dans l’état du déni . Le déni de la vérité, qui est égal à l’egocentrisme .
Alors cette vonlonté, je ne la vois pas chez toi . Tu prends plutôt l’offensive, comme stratégie, en croyant que c’est comme ça qu’il faut avoir raison .
Un vrai catalogue des “vertus” tunisiennes se donnent à lire dans les échanges d’amabilités.
J’étais surpris qu’un internaute se répande en vulgaritrés à propos d’un autre sujet, et voilà que je
découvre ce panégyrique.
Si nawwat veut se laisser aller à concurrencer babnet, je le confirme, il est sur la bonne voie.
Cependant, des progrès restent à faire pour parvenir à l’égaler dans la médiocrité et la bassesse…
Peut-on espérer que ce blog échappe à ce tropisme bien symptomatique de certaine population urbaine, et probablement des faubourgs de Tunis ou de ces quartiers populaires?
On peut se poser la question, face à une telle propension à s’afficher, recourant à toutes sortes de stratagèmes pour se mettre en avant, davantage que de débattre.
J’ose espérer que l’on ne me tiendra pas rigueur de recourir à l’ironie, ni d’attribuer à “populaires” la bassesse et la médiocrité sus-évoquées. Populaire n’en n’est pas nécessairement synonyme!