Alors qu’il devait se rendre à Hammamet pour y donner un concert, le rappeur Klay BBJ, est interpellé par la police devant son domicile à Bab Menara, la nuit du 17 octobre 2015. Il est transférés au centre de détention de Bouchoucha avec Sniper, lui aussi rappeur, ainsi qu’un autre jeune homme.
Klay BBJ n’a cessé de dénoncer les violences policières contre les jeunes des quartiers. Dans ce reportage tourné en janvier 2015, par deux documentaristes, Marisa Holmes, américaine et Bruno Giuliani, italien, le rappeur parle à sa manière de son rapport au quotidien avec « El 7akem ».
Est-ce de la publicité pourunillustre inconnu? Est-ce un exemple de réaction d’un jeune de quartier contre un système repressif? Et puis c’est le personnage en question qui s’invente une prison? Il se culpabilise un peu trop. Un opposant en général est dangereux parcequ’il a des idées subversives? Aujourd’hui n’importe quelle personne qui dit des grossièretés, des insultes……etc se prends pour un opposant. Les rappeurs et tous ceux font de l’underground se prennent pour des opposants et des révolutionnaires? Quelle époque? Il y a de quoi abandonner la raison pour vivre? Pour vivre selon sesinstincts comme les animaux? Pour vivre selon la loi du plusfort? Pour vivre selon n’importe quoi de nouveau?…..etc.
si j’étais dictateur, que je lisais ceci et que j’estimais que vos propos sur les rappeurs sont offensants.. je vous jetterais en prison pour votre blabla uniquement… parce qu’il se peut qu’avec d’autres citoyens qui n’aiment pas le rap pourriez vous rebeller :p
De pâles copies de ce qui se fait de pire en occident ?
Même nos jeunes, dans leur écrasante majorité, ignorent le terme ” créativité “, et ne peuvent en aucun cas proposer des œuvres artistiques potables, et se contentent souvent de plagier les faits et gestes venus d’ailleurs ?
Certains s’en sortent mieux, tels, Balti, Kafon, qui ont réussi à donner au rap une couleur tunisienne convaincante, je leur demande d’insister et continuer chemin, car, ils ont su le prendre par le bon bout, جيت مآلريف للمدينة أو حوماني, sont deux très bels exemples !
De pâles copies de ce qui se fait de pire en occident ?
Même nos jeunes, dans leur écrasante majorité, ignorent le terme ” créativité “, et ne peuvent en aucun cas proposer des œuvres artistiques potables, et se contentent souvent de plagier les faits et gestes venus d’ailleurs ?
Certains s’en sortent mieux, tels, Balti, Kafon, qui ont réussi à donner au rap une couleur tunisienne convaincante, je leur demande d’insister et continuer dans ce chemin, car, ils ont su le prendre par le bon bout, جيت مآلريف للمدينة أو حوماني, sont deux très bels exemples !