Au moment où les actions de contestation de la communauté subsaharienne se multiplient à Tunis suite au meurtre du président de l’Association des Ivoiriens de Tunisie Falikou Coulibaly dimanche lors d’un braquage à la Soukra, Nawaat est parti à la rencontre d’Eric. Installé en Tunisie depuis mars 2017, ce jeune ivoirien de 31 ans s’est retrouvé dans l’incapacité de régulariser sa situation, comme des centaines de ses compatriotes. Contraint à renoncer à ses études, Eric travaille comme ouvrier de bâtiment. Il est confronté à différentes difficultés : agressions racistes, problèmes d’accès aux soins, exploitation au travail…
Montage
Journaliste
Vraiment merci frère pour ton soutien aux subsahariennes que Dieu te soutienne qu’il te donne beaucoup de chance pour que tu soit un grand reporter du monde . Bonne chance
Nawaat, la voix des sans-voix. Bravo ! Mais faites gaffe de ne pas couvrir une mafia subsaharienne. Ça commence par de petites infractions administratives mais ça risque d’évoluer.! Espérons que l’État pense à régulariser leur situation avant qu’elle ne s’envenime. Le commerce parallèle a commencé de cette manière : de pauvres gens qui viennent “gagner du pain” très vite ils se sont regroupés pour former des bandes criminelles !