Lors de l’arrivée d’un Tunisien aux États-Unis d’Amérique, soit on entend parler du centre de la communauté Tunisienne ou on le découvre par hasard lors d’une recherche sur le web. Il s’agit du Tunisian Community Center, qui est basé à l’état de New York et qui existe depuis 1999.
En naviguant sur le site web du centre, on est bien impressionné par son programme riche ainsi que par la liste longue de ses représentants à travers les Etats-Unis. La première déception a lieu lorsqu’on découvre que le centre n’existe que virtuellement. En d’autres mots, il n’y a pas de local où on peut y aller, frapper à sa porte et entrer. Le premier moyen de communication c’est par courrier électronique. Si on fait un peu plus d’effort, on peut trouver la boite postale du centre. Seulement s’il y a un intérêt de la part du centre, on reçoit un appel directement. On s’introduit au fondateur du centre, le président directeur, le trésorier, l’administrateur du site web, le secrétaire, le porte-parole et le coordinateur ; tout ces rôles représentés par une seule personne, l’unique, « Ila Mikhil » *.
« Ila Mikhil » est un nom qui dit quelque chose à chaque Tunisien aux États-Unis. Pour quelques-uns « Ila Mikhil » est une énigme bien populaire, pour d‘autres une personne ambivalente, et pour le reste une déception. Pour cette raison, on ne peut pas parler de l’expérience d’un Tunisien aux États-Unis sans faire mention du phénomène « Ila Mikhil ».
Chaque Tunisien enthousiaste de représenter la Tunisie dans son État, ou à se mettre en contact avec d’autres Tunisiens aux États-Unis, tombe volontairement dans le piège. Depuis 1999, « Ila Mikhil » construit d’une manière continue un réseau et une base de données sur les Tunisiens aux États-Unis, que même l’ambassade Tunisienne à Washington D.C. et le Ministère des Affaires étrangères ne possèdent pas.
Sous le régime de Ben Ali, les Tunisiens résidents aux États-Unis, et surtout ceux qui n’habitent pas à la côte Est de l’Amérique, ont été bien laissés à l’abandon. Cette base de donnée contient le nom, l’adresse électronique, l’adresse postale, la profession, l’État et la ville de résidence, les années de résidence aux États-Unis et d’autres informations dépendant bien évidemment du niveau de communication avec « Ila Mikhil ». En plus de la page “Contactez-nous” sur le site web du centre, « Ila Mikhil » utilise Facebook et LinkendIn pour se mettre en contact avec les Tunisiens aux États-Unis. Facebook et LinkedIn donnent clairement une plus bonne idée sur le contact. Jour après jour, « Ila Mikhil » gagne du pouvoir politique avec sa base de donnée. Même s’il s’annonce séculier et politiquement indépendant, le centre bénéficiait du soutien du régime de Ben Ali.
Depuis 2012, le parti lancé par Beji Caid Essebsi, Nidaa Tounes, utilise la base de donnée de « Ila Mikhil » pour s’introduire à la communauté Tunisienne aux États-Unis et pour recruter de nouveaux membres. Le Tunisian Community Center se finance à travers des frais d’inscription, des dons collectés lors de la journée américo-tunisienne et tout au long de l’année, ainsi que par le travail de plusieurs bénévoles. Le centre ne connaît ni la transparence financière ni la transparence dans son processus de prise de décisions. Autant qu’on ne pose pas de questions, on peut faire partie de la bande de « Ila Mikhil ». Dans l’histoire du Tunisian Community Center, ceux qui ont voulu introduire de la transparence au centre ou élire des directeurs à base régulière ont été malheureusement exclus.
* Ila Mikhil est le nom fictif d’un personnage réel.
J’ai participe activemement au TCC en tant que benevole des ma premiere annee aux USA (je suis francais mais je me suis implique avec une amie tunisienne, membre de la direction actuellement).
Alors certes le fondateur est engage politiquement et ne le cache pas mais les evenements TCC et politiques sont strictement separes. Le dernier evenement qui a eu lieu a Austin n’a donne lieu a aucune mention d’un parti politique ou d’une personnalite politique, pourtant il y avait eu une presentation sur la dette du pays, presentation apolitique. L’organisatrice de l’evenement avait a coeur a ce que l’evenement reste celui du TCC et pas un debat politique.
De plus, le centre a toujours ete independant de Ben Ali, c’est d’ailleurs pour cela qu’il n’a pas de local…trop cher. Contrairement a d’autres associations dont vous pouvez facilement retrouver des photos avec le portrait de Ben Ali dans les locaux…
Concernant la base de donnee, le centre est plutot une reponse a l’inefficacite de l’ambassade et du ministere des affaires etrangeres plutot que la volontee d’etre le Big Brother des tunisiens aux USA… Sous Ben Ali, les personnes en postes de l’ambassade ou des ministeres n’etaient peut etre pas les personnes les plus impliquees pour souder la communautee tunisienne aux USA.
Aussi, la transparence n’existe pas, comme beaucoup d’associations en France ou Tunisie, la direction fait un peu ce qu’elle veut mais c’est peut etre aussi par manque d’engagement et d’initiatives de membres…. Ce que j’ai retenu c’est que tout ceux qui veulent participer (meme un francais) sont les bienvenus, seront pris en compte et leur aide sera appreciee de tous.
Alexandre
Quand on ne sait pas, il vaut mieux prendre une position plus neutre ou se renseigner un peu plus…Cela reste toujours mieux que d’induire le monde en erreur. Ton affirmation que “le centre a toujours ete independant de Ben Ali” est tout simplement erronee!
Walid,
ce n’est pas parce que j’ai un prenom francais que je ne connais pas grand chose…ce qui etait sous entendu dans ta phrase.
Ok, je ne peux pas tout savoir dans les details et ma phrase est tres affirmative mais c’est ce que je pense et ce que j’ai compris. Et je connais assez bien les dirigeants dont une amie d’enfance et le fonctionnement de l’interieur pour pouvoir l’affirmer, en toute objectivite car je ne suis plus membre de l’organisation maintenant.
Il ne faut pas confondre le TCC et le tunisian cultural center (je crois que c’est ca le nom) qui lui etait une association du gouvernment de Ben Ali et donc a son service. Et il y a les photos avec son portrait dans leur locaux.
Alexandre
Mon commentaire n’a rien a avoir avec ta nationalite. Tout ce que je voulais dire c est qu’il faut verifier ce que tu avances…C est si simple pourtant…
@ Sonia:
Si si je sais tres bien de quoi je parle et je ne confonds pas du tout!
C’est pas par ce qu’un français ou n’importe quelle autre nationalité peut être admis dans cette association que ça en fait de facto un genre de truc modèle irréprochable ou intouchable.
Le tunisien accède de plus en plus a l’information, prend conscience de la réalité telle quelle est, constate que rien n’est plus fort que la vérité, que rien n’est plus faux que les apparences et que le statu quo c’est déjà de l’histoire ancienne..
Sa-chez-le.
Tremblez les morts, nous tunisiens sommes déjà à bord!
Honte a ce genre de “journalisme” amateur. Je suis déçue que Nawaat fasse appel a des freelancers a l’étranger comme cette jeune femme sans même vérifier son background ou sa crédibilité au sein de la communauté tunisienne aux USA.
Je lance un appel a la direction de Nawaat, je suis prête a vous fournir toute la documentation nécessaire pour que dans le future, vous faites attention a ne plus accepter d’information de cette jeune femme.
C’est un article d’opinion, et pas celui d’un freelancer de Nawaat. Nawaat est un blog collectif ouvert. Vous n’aimez pas l’article, publiez le vôtre.
@Sonia: Merci pour répondre a cette opinion.
Oui, c’est vrai. J’ai change mon nom au nom fictif de Gülşen Hacıoğlu parce que j’ai voulu separe le message de l’article de ma personne, pas pour d’autres raisons.
Dans cet article, j’ai resume des témoignages d’une bonne majorité de la communauté Tunisienne aux Etats Unis en matière du TCC et « Ila Mikhil ». Cet article a été lu environ 1000 fois, ce qui montre que ce sujet est assurément controversable.
Mais puisque vous insistez: Oui. Je suis Meriem Ben Salah (maintenant Meriem Akin). En 2009, j’ai contacté le TCC a partir de Berkeley pour créer un réseau de connexions avec des Tunisiens et pour ouvrir une organisation d’étudiants a Berkeley. Le TCC, quelques mois après, m’a offert d’assister au Tunisian-American day a New York City. Le TCC a payé mon billet d’avion de San Francisco a NYC (~$250) et m’a surpris avec le prix de Abulkacem Chebi (http://www.tunisiancommunity.org/wordpress/?page_id=2009). Pour la clarification, le prix etait seulement un certificat. Je ne suis jamais devenu un membre inscrit du TCC, mais « Ila Mikhil » m’a appelé de temps en temps, parce qu’il était interessé au club.
Pendant cette année (2009), on a lance le club avec des Tunisiens/Américains d’origine Tunisienne de UC Berkeley et de la region de San Francisco. Auprès de quelques petits événements, on avait organise deux grandes fetes: “Tunisian Night” qui a été complètement sponsorise par la maison internationale (International House) de UC Berkeley. Le TCC a été auprès de l’ASUC (http://www.asuc.org/) et plusieurs bénévoles et membres de l’organisation volontairement et sans accords de toute natures sponsor du deuxième événement (Night in Tunisia https://www.youtube.com/watch?v=nykKuWF0hoM). Parce que l’organisation avait seulement un compte universitaire et n’avait pas de compte bancaire – a cause de manque de budget- pour accepter des paiements hors-universitaires, le TCC m’a envoye un check de $500 sous mon nom. L’ASUC du campus a tout les reçus qui vérifient que le montant a été dépense jusqu’au dernier centime pour l’événement et pas pour des raisons personnelles. L’événement a été bien réussi, et a attire l’attention de plusieurs medias en Tunisie et aux Etats Unis.
La participation de plusieurs Tunisiens non affilie avec le TCC n’as pas plu a « Ila Mikhil » qui est contre tous principes d’inclusions que je defends. Donc, j’ai decide de me retirer du TCC –sans aucunes discussions– malgres toutes reproches ultérieures du pres de « Ila Mikhil ». J’ai meme denonce le prix de Aboulkacem Chebi en 2011 par courrier, mais le TCC ne l’a pas retire de leur sites web. Les activités de l’organisation au campus ont cesse depuis 2010.
@Sonia, Peux tu insister un peu plus STP
Je suis en amerique du nord depuis un certain moment et les liens de TCC avec le pouvoir qui etait en place en Tunisie ne sont qu’un secret de polichinelle…Je ne suis pas un journaliste d’investigation et je n’ai pas des preuves a presenter meme si je peux vous assurer qu’il est assez facile d’en trouver…Je ne doute nullement de votre bonne foi et je ne sais pas ce qu’il en est avec l’auteur, par contre, une chose dont je suis certain (et je pese mes mots), TCC etait (comme une majorite de tunisiens) de connivence avec le regime de Ben Ali et le RCD…Alors je vous recommande d’insister un peu plus (un conseil de compatriote). Salutations
Je suis sure que comme beaucoup de Tunisiens qui ne verifient jamais ce qu’ils disent, tu confonds le Tunisian Community Center et le Tunisian Cultural Center (celui ci a son local a New York).
Le Tunisian Cultural Center dont la directrice est Naima Remaadi est effectivement RCD. Le Tunisian Community Center n’a jamais eu de relation avec le Tunisian Cultural Center, et aucun de ses membres n’ont assiste aux evenements de Ben Ali.
Je t’invite a lire ce lien:
http://www.tunisiancommunity.org/wordpress/?page_id=1911
Si si Sonia. Je sais tres tres bien de quoi je parle. et je ne confonds pas du tout.
@ Alexandre: Ma remarque n a rien a avoir avec ta nationalite. Je te demande simplement de reverifier ce que tu avances…c est simple pourtant…
@Sonia: Merci pour répondre a cette opinion.
Oui, c’est vrai. J’ai change mon nom au nom fictif de Gülşen Hacıoğlu parce que j’ai voulu separe le message de l’article de ma personne, pas pour d’autres raisons.
Dans cet article, j’ai resume des témoignages d’une bonne majorité de la communauté Tunisienne aux Etats Unis en matière du TCC et « Ila Mikhil ». Cet article a été lu environ 1000 fois, ce qui montre que ce sujet est assurément controversable.
Mais puisque vous insistez: Oui. Je suis Meriem Ben Salah (maintenant Meriem Akin). En 2009, j’ai contacté le TCC a partir de Berkeley pour créer un réseau de connexions avec des Tunisiens et pour ouvrir une organisation d’étudiants a Berkeley. Le TCC, quelques mois après, m’a offert d’assister au Tunisian-American day a New York City. Le TCC a payé mon billet d’avion de San Francisco a NYC (~$250) et m’a surpris avec le prix de Abulkacem Chebi (http://www.tunisiancommunity.org/wordpress/?page_id=2009). Pour la clarification, le prix etait seulement un certificat. Je ne suis jamais devenu un membre inscrit du TCC, mais « Ila Mikhil » m’a appelé de temps en temps, parce qu’il était interessé au club.
Pendant cette année (2009), on a lance le club avec des Tunisiens/Américains d’origine Tunisienne de UC Berkeley et de la region de San Francisco. Auprès de quelques petits événements, on avait organise deux grandes fetes: “Tunisian Night” qui a été complètement sponsorise par la maison internationale (International House) de UC Berkeley. Le TCC a été auprès de l’ASUC (http://www.asuc.org/) et plusieurs bénévoles et membres de l’organisation volontairement et sans accords de toute natures sponsor du deuxième événement (Night in Tunisia https://www.youtube.com/watch?v=nykKuWF0hoM). Parce que l’organisation avait seulement un compte universitaire et n’avait pas de compte bancaire – a cause de manque de budget- pour accepter des paiements hors-universitaires, le TCC m’a envoye un check de $500 sous mon nom. L’ASUC du campus a tout les reçus qui vérifient que le montant a été dépense jusqu’au dernier centime pour l’événement et pas pour des raisons personnelles. L’événement a été bien réussi, et a attire l’attention de plusieurs medias en Tunisie et aux Etats Unis.
La participation de plusieurs Tunisiens non affilie avec le TCC n’as pas plu a « Ila Mikhil » qui est contre tous principes d’inclusions que je defends. Donc, j’ai decide de me retirer du TCC –sans aucunes discussions– malgres toutes reproches ultérieures du pres de « Ila Mikhil ». J’ai meme denonce le prix de Aboulkacem Chebi en 2011 par courrier, mais le TCC ne l’a pas retire de leur sites web. Les activités de l’organisation au campus ont cesse depuis 2010.
J’aime beaucoup cet article; l’auteur, malgré son intention, ne fait que souligner les points forts de la TCC.
1- D’abord, il faut mettre les choses en perspectives: il y a environ 15 000 tunisiens aux EU, un pays de 9.8 millions de km2; donc une toute petite communauté dans un espace immense. Avoir des bureaux serait non seulement sans justification administrative mais aussi un témoigne d’une mauvaise gestion financière.
2- Ensuite, grace a son réseau sur ce vaste territoire, la TCC permet a tout Tunisien de se faire des nouveaux amis dans la plupart des villes américaines. Aucune autre organisation n’offre cet avantage. Contrairement a ce qu’annonce l’article, la TCC n’a jamais divulgué les informations de ses membres, malgré maintes reprises par des organismes tunisiens et américains.
3- Finalement, la TCC n’est subventionnée ni par des gouvernements, ni par des associations privées. Ce financement purement organique, dont nous sommes très fiers, nous permet d’être 100% apolitique et aucun des nos événements n’ont contenu d’agendas politiques. Les membres de la TCC sont parfaitement libres d’appartenir a d’autres organisations, politiques, religieuses, civiles, ou autres. Ne mélangeons pas les choses.
Il est evident que l’auteur a été décu(e) de son experience avec la TCC et pour ca, nous en sommes tous très désolé. Nous invitons donc cette personne a nous contacter et nous seront prêts a entendre sa voix avec la condition qu’elle comprenne que: (a) les informations confidentielles (comme nos finances) resteront confidentielles et (b) le processus d’election n’existe pas dans beaucoup d’ONG, tout comme il n’existe pas dans la TCC.
Je voudrais ajouter en conclusion qu’il est temps, qu’entre Tunisiens, on apprenne a avoir des désaccords sans nécessairement s’insulter ou faire des attaques personnelles.
Dans cet article il s’agit d’une contemplation objective d’une collection d’impressions enregistrés parmi la communauté Tunisienne aux États Unis qui a duré trois ans; avec le seul but d’ouvrir une plate-forme d’échange libre sur une réalité qui fait partie de l’histoire récente de la Tunisie; celle du Tunisian Community Center et de “Ila Mikhil”.
Pour cette raison, l’auteur remercie tous ceux qui ont laissé des commentaires, qui sont une bonne evidence pour l’importance de ce sujet.
En réponse à Sonia Ayari Ep Mead, que l’auteur de l’article remercie pour ses efforts d’investigation; l’auteur rappelle à l’écrivain Grecque Esope qui dit: “Every truth has two sides; it is as well to look at both, before we commit ourselves to either.”
Vu que le but de cet article n’est pas personnel, et conséquemment, cette plate-forme demeure ouverte pour l’échange d’expériences et d’évidences objectives en ce qui concerne la transparence financière et politique du Tunisian Community Center. Notamment, chaque opinion est la très bienvenue.
A Gülşen Hacıoğlu, merci de remettre ta photo et ton vrai nom pour au moins garder ta credibilite.
Ceci ne peut que nous confirmer, moi et les lecteurs, la qualite de ton travail qui est loin d’etre objectif.
Les lecteurs attendent toujours une reponse de toi sur les questions suivantes: Pourquoi as tu cache ton adhesion au TCC? et ou est parti l’argent que tu as recu du TCC et qui ete cense etre depense dans le cadre du TCC?
Je mets des liens pour les gens qui cherchent la verite, pas pour toi, je sais que tu connais tout ca.
http://www.tunisiancommunity.org/wordpress/?page_id=1911
http://www.nytimes.com/2011/02/14/nyregion/14tunisian.html?_r=1
Je suis membre du Tunisian Community Center (pas très active honnêtement mais je vais chaque année au Tunisian American Day et j’essaye d’assister aux autres évènements de l’organisation)….et j’ai été dérangée par les accusations de cet article. J’ai donc contacté l’organisation pour avoir des réponses et j’ai insisté pour en avoir une bien claire, faute de quoi j’ai menacé de quitter. Voila ce que j’ai découvert:
1. L’auteur de cet article a été membre de cette organisation (preuve d’adhésion disponible). Elle a participé aux évènements de cette organisation, et a reçu du support de l’organisation en tant qu’étudiante (le TCC a payé pour l’auteur son billet d’avion pour assister au Tunisian American Day en 2009 et pour accomplir un travail associatif qu’elle n’a pas fait apres avoir accepté le billet et voyage).
2. L’auteur a promis en tant que membre du Student Federation (un organe du Tunisian Community Center dédié aux Etudiants) d’organiser un évènement dans son université (berkley) et a ainsi reçu une somme d’argent en dollars de l’organisation pour organiser cet évènement. L’auteur a détourné l’argent en l’utilisant pour son intérêt personnel et non pour l’organisation. (preuve du cheque, du la réception de l’argent etc. disponibles). De part son attitude, le TCC a été obligé de retirer l’adhésion de l’auteur et de couper contact avec elle.
Des copies des documents qui prouvent ce que je dis sont disponibles et je suis prête a les envoyer a la direction de Nawaat.
Le fait que l’auteur cache qu’elle était membre de l’organisation est douteux. Qui plus est, le TCC n’a jamais eu de relations avec le RCD (d’ailleurs, l’article ne met aucune preuve). Enfin, le TCC n’a jamais dit qu’il possède un local, et ne pas avoir de local est un choix qui a été fait par l’organisation compte tenue de l’étendue de l’organisation sur tout un continent. Franchement, je suis très contente que cette organisation fasse son évènement chaque année dans un état différent…elle est ainsi proche de tous les tunisiens et nous donne une chance pour nous réunir dans la convivialité et la transparence.
Sinon, le TCC est une organisation privée avant tout, une organisation américaine et de part mon expérience, je respecte ces gens comme je respecte le fait que meme si L’auteur a été ignoble avec ces gens et avec elle même, le TCC n’a jamais voulu la poursuivre en justice ou même divulguer l’information par respect a la communauté et a l’image de la Tunisie. Ceci dit, je suis contente d’avoir insiste et même menacé de quitter pour avoir ces infos et par conséquent, je suis même encore plus attachée a l’organisation.
@Sonia: Merci pour répondre a cette opinion.
Oui, c’est vrai. J’ai change mon nom au nom fictif de Gülşen Hacıoğlu parce que j’ai voulu separe le message de l’article de ma personne, pas pour d’autres raisons.
Dans cet article, j’ai resume des témoignages d’une bonne majorité de la communauté Tunisienne aux Etats Unis en matière du TCC et « Ila Mikhil ». Cet article a été lu environ 1000 fois, ce qui montre que ce sujet est assurément controversable.
Mais puisque vous insistez: Oui. Je suis Meriem Ben Salah (maintenant Meriem Akin). En 2009, j’ai contacté le TCC a partir de Berkeley pour créer un réseau de connexions avec des Tunisiens et pour ouvrir une organisation d’étudiants a Berkeley. Le TCC, quelques mois après, m’a offert d’assister au Tunisian-American day a New York City. Le TCC a payé mon billet d’avion de San Francisco a NYC (~$250) et m’a surpris avec le prix de Abulkacem Chebi (http://www.tunisiancommunity.org/wordpress/?page_id=2009). Pour la clarification, le prix etait seulement un certificat. Je ne suis jamais devenu un membre inscrit du TCC, mais « Ila Mikhil » m’a appelé de temps en temps, parce qu’il était interessé au club.
Pendant cette année (2009), on a lance le club avec des Tunisiens/Américains d’origine Tunisienne de UC Berkeley et de la region de San Francisco. Auprès de quelques petits événements, on avait organise deux grandes fetes: “Tunisian Night” qui a été complètement sponsorise par la maison internationale (International House) de UC Berkeley. Le TCC a été auprès de l’ASUC (http://www.asuc.org/) et plusieurs bénévoles et membres de l’organisation volontairement et sans accords de toute natures sponsor du deuxième événement (Night in Tunisia https://www.youtube.com/watch?v=nykKuWF0hoM). Parce que l’organisation avait seulement un compte universitaire et n’avait pas de compte bancaire – a cause de manque de budget- pour accepter des paiements hors-universitaires, le TCC m’a envoye un check de $500 sous mon nom. L’ASUC du campus a tout les reçus qui vérifient que le montant a été dépense jusqu’au dernier centime pour l’événement et pas pour des raisons personnelles. L’événement a été bien réussi, et a attire l’attention de plusieurs medias en Tunisie et aux Etats Unis.
La participation de plusieurs Tunisiens non affilie avec le TCC n’as pas plu a « Ila Mikhil » qui est contre tous principes d’inclusions que je defends. Donc, j’ai decide de me retirer du TCC –sans aucunes discussions– malgres toutes reproches ultérieures du pres de « Ila Mikhil ». J’ai meme denonce le prix de Aboulkacem Chebi en 2011 par courrier, mais le TCC ne l’a pas retire de leur sites web. Les activités de l’organisation au campus ont cesse depuis 2010.