Presque deux mois après qu’il ait annoncé triomphalement, devant la chambre des conseillers, l’accession de la Tunisie à un « statut avancé » dans sa relation avec l’Union européenne, le ministre des Affaires étrangères, Abdelwaheb Abdallah, répond enfin aux interrogations posées par Malek Khadhraoui !
Un premier article du blogueur, intitulé : « Le ministre des Affaires étrangères tunisiennes en flagrant délit de mensonge ? » publié le 9 janvier 2009 par l’Express.fr, expliquait déjà comment le ministre avait pris quelques libertés avec la réalité en présentant la simple candidature de la Tunisie au fameux « statut avancé » comme une accession déjà entérinée.
Après la publication de cet article, certains des médias qui avaient alors repris « la nouvelle » sans trop chercher à comprendre, retrouvèrent soudainement les joies du conditionnel. Le meilleur exemple fut celui du site internet espacemanager.com dont les rédacteurs ont poussé l’introspection jusqu’à se demander si le ministre ne « se serait pas prononcé trop vite ? », en évoquant à peine la source des éléments qui leur ont permis d’écrire leur papier.
En revenant sur cette « vague » de doutes dans les rédactions amies, un second article, «« Statut avancé » accordé à la Tunisie : À quand les explications d’Abdelwaheb Abdallah ? », est publié le 22 du même mois sur Nawaat.org dans lequel l’auteur demande au ministre de « nous informer du déroulement et du contenu de ces négociations avec l’UE » en rappelant que cela « concerne en premier lieu les Tunisiens eux-mêmes.»
Et voilà qu’aujourd’hui, dans les colonnes du quotidien arabophone Essabah, le ministère des Affaires étrangères s’est décidé à clarifier la situation. Le très sérieux « service de la communication » du ministère, en réponse à une demande très diplomatique de journal mue par sa volonté d’« éclairer l’opinion publique et les lecteurs sur ce sujet », « voit qu’il est nécessaire de diffuser » des « précisions ».
Ces « précisions » ? Elles ne font que confirmer ce qui a été déjà dit à savoir : la Tunisie a présenté sa candidature, l’EU l’étudie avec bienveillance et un groupe de travail sera créé pour étudier la question. Et surement en réponse aux conclusions mitigées des deux rapports de suivi de la politique de voisinage sur les avancées démocratiques sous « l’ère du changement », le communiqué rappelle que l’« accession au « statut avancé » n’est soumise à aucune condition préalable » !
Soucieux, au moins tout autant que le ministre des Affaires étrangères, d’« assurer les intérêts supérieurs de la Tunisie », nous ne manquerons pas de suivre sur Nawaat.org les travaux du tant attendu « groupe de travail ».
J’ai l’honneur de vous exposer le cas de ma fille BELGRINE LUDMILLA.
étant née de pére français et de mére algérienne dont les parents vivent en france ,donc en ce qui concerne ma fille sus-citée, elle à fait 5 demandes de visas de courts séjour pour venir nous rendre visite auprés du consulat de france à alger qui lui ont été refuser sans motifs apparent, alors que monsieur le consul de france à alger lui a notifier qu’elle était françaises par filiation aprés lui avoir transmis des documents .
Je me suis déplacer à alger pour demander une audience auprés de monsieur le consul en date du 14 Mai 2009 à ce jour aucune réponse et je vous informe que l’on a déjà demander audience est toujours sans réponse .
Je vous informe qu’en l’année 2006 le 15 Décembre j’ai déposer 3 demandes de certificat de nationalité françaises auprés du ministére de la justice ( chemins des rentiers ) 1 dossier a été accepter et les 2 autres rejeter pour mes 2 filles LUDMILLA ET LYDIA pour le motifs suivant actes de naissances des interessées n’était pas conforme a celui que j’avait deposer. Aprés avoir fait un recours auprés du ministére de la justice la meme réponse m’a été transmises en me demandant de saisir le TGI de paris ce qui fut fait .
l’avocat est maitre NADIR hassene du barreau de paris , l’affaire est en cours.avec tous les documents demandes par l’avocat et avec authentification des documents au ministére des affaires étrangéres algériennes.
ma fille ludmilla qui est célibataire agée de 23 ans se retrouve seule sans ressources et loger auprés des membres de la familles.
Je vous informe que sur mes 5 enfants 2 garçons et 3 filles , 2 sont français, 1 en cours car résident en france et les 2 filles une mariés et l’autre célibataire sont dans l’attente d’un jugement
Je vous informe que mon défunt pére à participer à la 2éme guerre mondiale, fait prisonnier en allemagne, blesser et évader suite à un bombardement.et qu’il a toujours conserver la nationalité française documents prouvant sur le certificat de nationalité de mon fille ainé.
Quant a ma mere toujours vivante elle est née francaise de pere et de mere ainsi que toutes sa filiation.documents en ma possession.
donc si aujourd’hui je m’adresse à vous c’est un pére et une mére qui vous implore et que je suis persuader que vous aller prendre en considération ce message.
voici mon adresse : M et MD / BELGRINE ALI 25 RUE JULES DUCLOS 42400 SAINT CHAMOND TEL . O4.77.31.81.68.
MON MAIL;maledemere@live.FR
En attente d’une réponse de votre part, veuillez recevoir mes plus amples respects et ma trés haute considération .
NB: – en ce qui me concerne je travail comme bénévole dans une association de bienffaisance qui se nomme ( LE PANIER COURAMIAUD A SAINT-CHAMOND ).
LE 23 MAI 2009
Tunisie-UE: Discussions sur le statut avancé
Le comité d’association Tunisie – Union européenne (UE), instance d’experts chargée de gérer l’accord de partenariat entre les deux parties, vient de se réunir, à Tunis, sans aboutir à des avancées significatives. La Tunisie en avait pourtant besoin pour accéder à un « Statut avancé » dans ses relations avec Bruxelles.
307661615.jpgTUNISIE / UNION EUROPENNE. Le comité d’association Tunisie – Union européenne (UE), instance d’experts chargée de gérer l’accord de partenariat entre les deux parties, vient de se réunir, à Tunis, sans aboutir à des avancées significatives.
La Tunisie en avait pourtant besoin pour accéder à un « Statut avancé » dans ses relations avec Bruxelles. La réunion a examiné tous les aspects de la coopération. Il s’agit, pour la plupart de dossiers sensibles.
La vie politique en Tunisie vient en tête. Au menu les droits de l’homme, les libertés publiques et la démocratie. L’économique avec l’épineux dossier de la libéralisation des échanges des services et des produits agricoles a été, longuement, débattu.
Le social et la délicate question de l’émigration et de la libre circulation des personnes ont été, également évoqués. Enfin, les volets financier et sécuritaire (lutte contre le terrorisme, sécurité aéronautique et maritime).
Les élections générales retardent les décisions d’accord Tuniso Européen
Le chef de la délégation européenne, M.Toma Dulpa del Moral, directeur des Relations Extérieures, chargé de la méditerranée et du Proche Orient à la Commission européenne a tenu à déclarer qu’”aucun engagement écrit n’a été pris au cours de cette réunion ».
M.Dulpa a précisé que «les experts tunisiens, préoccupés par les prochaines présidentielles et législatives prévues pour le mois d’Octobre, n’ont pas jugé urgent de se prononcer définitivement sur les esquisses d’accords examinées ».
Maigre consolation pour les Européens, ils ont obtenu le feu vert pour organiser, cet été, une réunion avec les représentants de la société civile et une autre pour poursuivre les négociations sur la libéralisation des échanges des services.
Conséquence : les discussions sur les préalables que la Tunisie doit réunir pour accéder au « Statut avancé » sont reportées. Elles auront lieu, probablement, au mois de novembre prochain, dans le cadre de la réunion du Conseil d’Association, instance ministérielle habilitée à prendre les plus importantes décisions.
D’ici cette échéance, les experts tunisiens travailleront dur, cet été, pour préparer, dossier par dossier, les propositions de la Tunisie.
Brahim Krimi – Eco Nostrum – Dimanche 05 Juillet 2009
via Tunisia Watch
Je reviens a l occasion pour informer Bseiss et le Rassemblement au pouvoir , qu il ne m est pas encore parvenu ,le programme electoral du Parti actuellement au pouvoir qui a choisi (et c est son droit de proposer son condidat)le President Ben Ali comme le condidat di Rassemblement pour les presidentielles,nous voulons un programme electoral, qui traite les problemes actuels,1,les problemes politiques, economiques et sociales,et qui propose des solutions,il y a des problemes d exode interne et externes, des problemes de structres de revenus, des inegalites sociales ,comment lutter contre l insecurite et la hausse de la criminalite, le developpement rural, et la marginalisation des classes les plus defavorisers dans des regions qui se situent a cote des frontieres,bien sur ceux la aussi vont voter et il faut leur proposer une solution ,et la solution reside dans la Karama wal adala wa istijaba li adna matalibouhoum , un minimun d attention de la part du pouvoir central ,mais surtout nous demondons des promesse par ecrit de ceux qui se proposent a nous gouverner et a nous representer aupres des instances onutienne et aussi aupres des EU, et l EU exige que le dossier Droit de l homme soit classe,la presse les libertes d assiciations, la participation du citoyen a toutes les decisions qui concerne son destin et donc lui donner la possibilite d elire ceux qui sont censes le representer dans toutes les rouages de l Etat et dans toutes les cercles de pouvoir,legislatifs et executifs,donc j attends le programme du Rassemblement et celui de l opposition, puisque Bseiss parle de combat de programme alors ou est ton programme ya Bseiss et arrete de nous faire des discours creux et demagogique fil moustakella mta Hamdi, viens au coeur du fond du probleme hal ladaikoum machrouh intikhabi.et si oui lequel ou yazi mil imposture mtahek. l EU vous tienne a l oeuil, AL BIRROU LA YABLA WA DHANBOU LA YANSA WA DAYAN LA YAMOUT AAMEL KAMA CHAAET KAMA TOUDIN TOUDAN; ya Bseiss
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