Réputée républicaine, tenue à l’écart de la  politique, l’Armée est très populaire en Tunisie. Dès l’Indépendance,  Habib Bourguiba l’a cantonnée à ses casernes.

L’institution, objet de convoitise, a connu des tentatives d’instrumentalisation d’Ennahdha depuis son accession au pouvoir après 2011.

De la période de relégation  au second plan sous dictateurs ; a une métamorphose matérielle et une  implication plus nette dans les sphéres civiles.

Nawaat Magazine ouvre  le dossier intitulé : « Armée Tunisienne ; à marche forcée ».