Le 2 mars 2013, une jeune femme, âgée de 37 ans, chanteuse dans les restaurants et les fêtes de mariage, a été agressée et violée par deux hommes accompagnés d’un agent de police.
L’affaire aurait pu passer inaperçue mais la forte implication d’un agent de police, dont les initiales sont H.S, lui a donné de l’ampleur. Après investigation et première séance au tribunal de Première instance de Sousse, le juge d’instruction a ordonné de passer le dossier au tribunal de Première instance de Tunis.
L’avocat de la victime, Maître Moez Sassi, nous a confirmé que l’agent de police, H.S, travaille aux unités d’intervention de Gafsa. Il nous a aussi, assuré, qu’il est, malgré toutes les preuves contre lui, toujours en liberté ainsi que ses complices inconnus.
La victime L.F sortait de son lieu de travail, un restaurant à Sousse, vers 3 heueres du matin, quand trois hommes l’on passé à tabac et l’ont forcée à monter dans une voiture. Les agresseurs ont menacé leur victime de mort en utilisant l’arme du policier (un pistolet) qui n’a trouvé aucun mal à montrer sa carte de service à sa victime pour l’intimider.
« Je n’ai pas cru mes yeux quand l’un d’eux m’a montré sa carte de service comme quoi il est agent de police. Il voulait me prouver qu’il est intouchable et qu’il jouit d’une impunité (lui et ses amis) totale. Donc ça me servirait à rien de porter plainte ou d’essayer d’attirer l’attention des policiers sur la route (déjà ils étaient presque absents durant tout le trajet) » nous a confié L.F.
Durant presque trois heures, la victime a été battue, violée, à plusieurs reprises, et menacée de mort par le policier qui protégeait ses amis. Sur la route, le premier agresseur, âgé de 25 ans, a violé L.F dans la rue, loin de ses complices, et il l’a forcé à remonter dans la voiture. Quelques minutes après, la voiture s’arrête, une deuxième fois, et le deuxième agresseur prend la place de son ami pour violer sa victime dans le véhicule.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=SPUkUhQTpjI]Témoignage de la jeune femme violée par deux individus accompagnés d’un agent de police
« Le deuxième m’a violé devant ses amis et le policier, pour m’humilier encore plus, lui indiquer les actes qu’il doit me faire … » dit L.F.
Les agresseurs ne se sont pas contentés de violer L.F, ils ont aussi volé ses papiers et son argent (150 dinars) et l’ont déposé sur une route désertée près de Kairouan. Elle s’est dirigée vers le poste de police le plus proche et a consulté un médecin qui a confirmé le viol et l’agression physique dont elle a été victime.
Le lendemain, la victime a eu l’idée de demander les enregistrements des caméras d’un hôtel voisin au restaurant où elle travaillait le jour du drame. Mais au lieu de trouver des caméras (qui ne fonctionnent pas depuis une bonne période) elle a trouvé le policier, lui-même, assis dans le bar de l’hôtel comme si de rien n’était.
c’est ainsi que la victime a réussi à déclencher des procédures judiciaires contre son agresseur. Il fut pourtant libéré le jour même et a repris ses fonctions depuis. De ce fait, la victime est actuellement en danger d’autant plus que les deux autres agresseurs sont toujours en liberté et n’ont pas encore été identifiés.
Les cas de viols en Tunisie sont fréquemment évoqués dans les médias. Après l’affaire de la fille, violée par trois policiers, l’affaire de l’enfant de 3 ans, violée, par un gardien de jardin d’enfants et celui de la sourde muette violée par un trafiquant d’alcool, nous ne pouvons plus parler de cas isolés mais d’un phénomène qui se renforcera si la société tunisienne et surtout l’Etat tunisien tombera dans l’indifférence forcée par l’habitude.
Le cas de L.F montre, encore une fois, qu’une réforme au sein du ministère de l’intérieur est plus qu’urgente. Le policier qui ose utiliser sa fonction, ses relations et surtout son arme pour commettre un crime de viol, prouve que la première affaire de la fille violée par les trois policiers n’a pas aidé la police tunisienne à tirer des leçons et à changer.
La peine de mort, aujourd’hui, demain et après demain… jusqu’à ce qu’aucun taré n’ose plus lever sa main sur une femme tunisienne !
Sur aucune femme, tunisienne ou non!!!!
Je ne peux que souhaiter beaucoup de courage à cette femme, et aux autres, victimes d’un acte barbare, lâche et destructeur! Quand aux violeurs, ce que j’en pense n’est pas très respectueux des droits de l’homme….mais je serai bien tentée par une castration ou qu’on leur fasse subir qqch de similaire…..histoire qu’ils mesurent un instant toute l’horreur de ce qu’ils ont infligé à un être humain qui ne leur avait rien demandé!
Je suis indignée par ces “animaux” qui osent s’en prendre à des femmes, qui se sentent “homme” qu’en étant plusieurs sur une seule ame!!
ILs méritent aux mieux La mort sinon de subir eux meme le viol!!!!
je ne peux que compatir à la souffrance de cette femme, que Dieu l’enveloppe de sa misericorde et l’aide à se recontruire apres cette ignominie!!
Le viol, mot qui fait horreur, mot interdit que l’on investit de tous les secrets et que l’on s’ingénie cependant à ne pas évoquer au sein de notre entourage, un mot qui implique ,en fait, une signification étendue, un pouvoir magique s’exerçant de façon quasi spontanée sur les esprits pour susciter dégoût et répugnance.Et d’un autre côté, c’est un mot que l’on a tendance pourtant à rendre banal, tellement sa présence sur les lèvres s’avère quasiment permanent.
Le viol est un acte inhumain, un acte que la barbarie et la sauvagerie n’en sauraient commettre de plus odieux et de plus ignoble. Et pourtant le viol a ses causes et ses mobiles, c’est un acte odieux, on n’en disconvient pas, mais il a des causes plus ou moins latentes, ce sont ces causes que l’on doit s’efforcer à sonder, autrement le viol demeure un acte criminel puni par la loi et rien de plus.
j’imagine bien les commentaires qui vont défiler sur les réseaux sociaux … “elle l’a cherché”… “qu’est-ce qu’elle fout à 3h du mat, seule” … “elle travaille dans les restaurants, ça doit être une salope”, etc…. il faut un débat national sur le viol, il faut sensibiliser certaines ordures tunisiennes qui légitiment le viol par ce genre de propos… il faut qu’ils comprennent que le corps “7ourma mè yet3adewech 3leha” peu importe la personne, peu importe ce qu’elle et et ce qu’elle fait !
Je vous souhaite bien du courage madame et surtout de la force face à cette société de merde !
c koi la source?
Si je peux vous rassurer sur ce point, nous allons TOUT mettre en oeuvre pour que le visage de ce POLICIER fasse le TOUR du MONDE…..!!!!!!!!!!!!!
Le VIOL de quiconque est un acte odieux, mais qu’un POLICIER en FONCTION se serve de son autorité (probablement couvert par sa hiérarchie!) pour laisser commettre de tels actes est un crime contre votre Démocratie naissante et fragile……..
Nawaat est-il bien certain que le visage du Policier incriminé sur la photo est le bon (mauvais!)???
c vraiment salopard et dégueulasse …. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! la pauvre Tunisie :'(
Imbert de Dion, sous la photo il est bien indiqué : Cette image est une illustration et ne représente en aucun cas les personnes impliquées dans cette affaire.
la tunisie actuellement est un no man’s land , un pays sans foi ni lois c’est la jungle méfions nous de l’avenir qui peut empirer et déboucher sur un désastre
J’espère de tout coeur que vous vous trompez. Mais des fois je me demande si nous n’allons pas vers une guerre civile comme le Liban en a connu. En l’absence de régulations, de sens du civisme et avec tous ceux qui n’aspirent qu’à jeter de l’huile sur le feu par naïveté ou calcul on est en droit de se demander si on ne se dirige pas vers le ravin. La Tunisie commence à ressembler à une voiture sans freins avec au volant un chauffeur ivre sans permis de conduire.
@Dominique B : Merci de ce rectificatif qui m’avait échappé….! Cela n’aurait pas dû être publier ainsi……….Je vais immédiatement retiré ce post de mes réseaux…!!!!!!!!!
@Dominique B : Merci encore…! J’ai retiré le Post….C’est vraiment le genre de bourde à faire perdre toute crédibilité aux réseaux sociaux (C’est d’ailleurs peut-être le but!?)
Une bataille sans merci pour La Nouna en Tunisie
toutes les femmes sont violées en Tunisie ou quoi? ça commence à dégénérer cette histoire. Je commence à avoir des doutes quant à la véracité de ces accusations de plus en plus fréquentes
en dirais ce ne pas la tunisie ou ce pass toute ces crimes contre les femmes et les enfants.ou est la loi ?ou est lhumanites il faut bouger de nettoyer ce qui reste de ces animaux sauvages
JE NE COMMENT JAMAIS SAUF QUE CETTE FEMME C’EST VOUS OU TON SOEURE OU TON MARIE ET MEME TON MERE . IL FAUT REAGIT UN DROIT SPECIFIE
quel plaisir eprouvent ces barbares il ya un probleme psychologique sentir leur pouvoir ;humilier des etres humains cest ca leur but .on voit ca dans toute les anarchis comment lutter contre toute ces maladies cest trop cruel.
Il faut que le peuple se soulève encore une fois car le gouvernement actuel est pire que selon de Ben Ali !! Le peuple est beaucoup plus nombreux que ces malades qui dirige le pays et ceux qui les servent “la police entre autre”
Oui, pourquoi le peuple ne se soulève-t-il pas contre le gouvernement actuel qui est pire que celui de Ben Ali? Heureusement qu’il y a des citoyens intelligents comme ZeeAdd qui appellent au soulèvement pour protéger les femmes contre le viol qui était inconnu en Tunisie du temps de Ben Ali. Ben Ali restera notre héros de la liberté d’expression et des droits de l’homme, particulièrement ceux des femmes. Ennahdha et Rached Ghannouchi ont introduit le viol en Tunisie. Dans les pays démocratiques et civilisés qui veillent aux droits des femmes et n’ont pas d’islamistes au pouvoir le viol est inconnu. Par exemple en France il n’existe pas de Dominique Strauss-Kahn. Les statistiques officielles françaises prouvent aussi que le viol n’existe pas dans ce pays des droits de l’homme. D’après ces statistiques seulement 75.000 femmes sont violées par an. C’est à dire 9 par heure ou seulement 250 par jour. Le nombre de tentatives de viol est lui aussi très bas et ne dépasse pas 200.000 tentatives par ans. Comme vous voyez, dans les pays où il n’y a pas d’islamistes au pouvoir et qui n’ont pas de parti Ennahdha les femmes sont beaucoup mieux protégées.
allah youstr
Quelqu’un veut faire enfermer les femmes à l’intérieur et les obliger à mettre une burqua avant de sortir; et comme le discours (polygamie, excision, etc…) n’est pas efficace, il faut alors les terroriser.
Effet garantie! Il ne faut donc être surpris du niveau d’impunité qui sévit dans le pays, surtout que c’est le Président même qui gracie les délinquants. Notre poète avait dit : “7adheri fata7ta-rramed ellahib wa men yabdhouri-chawka yajni-ljira7”. En plus, à tous ces criminels et à tous les niveaux je dis que “inna-Allaha yomhel wa la yohmel”
Je suis écoeurée de ce que je lis, en viendrons nous à regretter Ben Ali ?
Du temps du tyran, je n’avais aucune crainte quand je sortais de boîte à 3 heures du matin et qu’on rentrait en taxi entre cousines et soeurs;
Qu’est il arrivé à la Tunisie ?
Et toi, Fathi, qu’est ce que c’est que cette comparaison de merde ? parce que le viol existe ailleurs, il est donc excusable en Tunsie ?
Mais ailleurs, le viol est le fait de délinquants, de détraqués,
En Tunisie, il est le fait de policiers, ceux là mêmes qui sont sensés nous protéger ! …
Fathi tu es un âne avec tes statistiques à la con,
ne vois tu pas que ces viols commis par des flics tunisiens sur des femmes tunisiennes, c’est juste un NOUVEAU TERRORISME ?
Une burqa mentale imposée par la peur ?
Fathia, votre façon d’interpréter un texte démontre que votre IQ ne vous rehausse pas au niveau d’une ânesse. Toute discussion avec votre espèce est superflue. Bye bye.
@Fathia et Fathi : Je vous en prie, ne vous déchirez pas, car vous avez (hélas) toutes les deux raison…! Il est vrai qu’en France, plus de 200 femmes sont violées chaque jour (ceci incluant nombre de viols “domestiques”), mais effectivement c’est une délinquance aveugle alors que le viol de Sousse avec la complicité d’un Policier en activité, couvert par sa Hiérarchie jusqu’au plus haut niveau de l’Etat préfigure la mise en place d’un ordre moral préjudiciable aux libertés individuelles et au-delà à la Démocratie balbutiante de la Tunisie.
écoutez! la révolution tunisienne a permis aux médias de s’attaquer à la publication de tout genre de violence contre la femme tunisienne en générale dans le cadre de la liberté d’expression et de presse ça me parait très normale parceque avant la révolution et en particulier durant la période dans laquelle nous étions sous le régime de ben ali il y avait des milliers de femmes violées et torturées par ans mais personne en on parle absence totale des médias qui passent toujours à coté sans le moindre mot sinon les malfaiteurs de ben ali rendent visite chez eux. de toute les facons la violence contre la femme en tunisie c’est pas du nouveau mais le nouveau c’est que les médias tunisiens ne ratent rien actuellement.
le bordel (karti, maison close, bab al gharbi) de Sousse , les barbus l’ont fermé et les jeunes au Sahel ne se marient pas à 20 ans, peuple stupide dirigé par le coran
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