Tunisia – A Model Of Middle East Stability Or An Incubator Of Extremism ?

Tunisia – A Model of Middle East Stability or an Incubator of Extremism ? Presentation Neil Hicks, Director, Human Rights Defender Program, Human Rights First

 

Tunisia Georgetown Nov 2007, Presentation 1/5

 

M. Marzouki and Clement Henry 2/5

 

K. Cherif and M. Trifi 3/5

 

N. Rjiba, Ben Arab, M. Trifi 4/5

 

Nasraoui, Marzouki, Henry and others 5/5

 

Radhia Nasraoui : La torture en Tunisie, Georgetown, le 13 novembre 2007.

 

Voici les vidéos de la rencontre du 13 novembre 2007 à l’université de Georgetown. Plus de 7 heures d’enregistrement avec de nombreux intervenants : notamment, M. Marzouki, R. Nasroui, M. Trifi, K. Cherif, N. Rjiba, Henry Clément…

Beaucoup de moments forts au sein de ces interventions pour décrire la situation des libertés en Tunisie. A cet égard, l’intervention de Radhia Nasraoui fut bouleversante.

De même, faut-il rire ou pleurer quand M. Marzouki évoque l’anecdote de cette Tunisienne qui, dans la rue et en mission commandée, l’accuse de l’avoir « agressée ». N. Rjiba, non sans son habituel humour caustique, décrit quelques absurdités, celles propres aux regimes dictatoriaux. Ces absurdités auxquelles elle est confrontée quotidiennement, la privant d’exercer ses droits de citoyenne. Henry Clément a été magistral dans son analyse mesurée du régime tunisien.

A noter que lors de l’intervention de R. Nasraoui, il nous a semblé qu’il a été question de la projection d’une vidéo sur la torture en Tunisie. Or, aucune image de cette vidéo ne nous est parvenue. Donc si cette vidéo existe, pourquoi n’a-t-elle pas encore été rendue publique ?

Intéressante intervention également de cette parlementaire Tunisienne, recrutée et gagnant sa vie, entre autres, par les revenues que lui procurent ses fonctions de représentatente du RCD. Elle avait pris soin dès le début de son temps de parole de préciser qu’elle n’était pas là pour parler au nom du gouvernement, mais au nom du peuple tunisien. Pourtant « aussi parlementaire qu’elle puissent être », à aucun moment elle n’a parlé au nom du peuple tunisien, elle n’a fait que parler au nom de son authentique employeur et même au nom d’A. Sfeir (oui oui !). Jamais, ô grand jamais, d’une quelconque victime de l’injustice …

On vous laisse regarder …

Source des vidéos : WebCast de Georgetown University

Nawaat.org

Vendredi, 23 novembre 2007

www.nawaat.org

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