Doyen des chefs d’Etat arabe depuis l’an 2000, et, paradoxalement, parmi les moins âgés des dirigeants arabes, Mouammar al-Kadhafi a longtemps été leur benjamin. Sa longévité, loin de consolider sa maturité, a accentué sa fatuité et accéléré les rythmes de ses foucades jadis juvéniles, désormais séniles.
Son accession au pouvoir en 1969, au lendemain de la traumatisante défaite de juin 1967, en pleine guerre d’usure le long du Canal de Suez, a fait l’effet d’un séisme stratégique. En amputant le camp occidental de deux importantes bases, une américaine, la base aérienne et d’interception des communications de Wheelus Air Field, à Tripoli, et la base anglaise d’El Adem, à Benghazi, chargée de formater et de contrôler la police libyenne, la garde prétorienne du régime monarchique, Kadhafi a dégarni l’alliance atlantique d’une large portion de la façade maritime de la Méditerranée orientale au profit du camp soviétique.
Des trois coups d’état qui ont sanctionné la défaite arabe de 1967 -le coup d’état baasiste de juillet 1968 en Irak, le coup d’état nassérien du Soudan du général Gaafar al Nimeiry, en Mai 1969, et le coup d’état de Mouammar al-Kadhafi, en septembre 1969, le basculement pro nassérien de la Libye aura eu l’effet le plus durablement dévastateur sur le dispositif occidental en Méditerranée orientale, zone de mouillage de la VI me flotte américaine, zone de maillage de la zone pétrolifère arabe, avec les bases anglaises d’Akrotiri et de Dékhélia (Chypre), de Massirah (sultanat d’Oman), ainsi que la base navale du protectorat britannique d’Aden et la plateforme aéronavale américaine de l’île de Diego Garcia (Etats-Unis), dans l’Océan indien.
Si la révolution de mai 1969 au Soudan a élargi le champ de manœuvre égyptien en faisant du Soudan l’arrière base stratégique de l’Egypte, le point de regroupement de la flotte des bombardiers à long rayon égyptiens, le coup d’état de Kadhafi a amplifié la percée soudanaise, neutralisant au passage les effets de la perte du sanctuaire nassérien en Irak. Dotant l’Egypte des infrastructures aéroportuaires militaires anglo-américaines alimentées par les gigantesques réserves pétrolières libyennes, il a atténue quelque peu les effets de la défaite de 1967, en privant de surcroît les occidentaux d’un point d’observation et d’intervention sur le flanc méridional de la Méditerranée. Mais très vite ce double avantage va se transformer en handicap et la promesse d’une ère nouvelle du combat arabe tourner au cauchemar du fait des revirements du soudanais et des reniements du libyen.
Parvenu très jeune au pouvoir, en 1969, à l‘âge de 26 ans, à la faveur d’un coup d’Etat, Mouammar al-Kadhafi s’y maintient depuis 42 ans, univers indépassable de trois générations de Libyens, au point que dans les recoins du pays beaucoup s’imaginent que la Jamahiriya -littéralement la populocratie (le gouvernement des masses)-, est sa propriété et non la propriété du peuple, tel qu’il l’a décrétée il y a trente ans.
Plus fort que les wahhabites, Kadhafi. Unique pays arabe portant le nom de son fondateur, l’Arabie saoudite, propriété de fait de la Famille al-Saoud, a tout de même vu se succéder depuis 1969 quatre monarques: Faysal, Khaled, Fahd et Abdallah. En Libye, Kadhafi se succède à lui-même.
Dirigeant nationaliste arabe, en 1969, il sera au gré des appellations journalistiques de la presse occidentale en manque de sensation mais non d’imagination, un chef de file du «trotskysme musulman», un «révolutionnaire tiers-mondiste», un «sage africain» pour finir sa mutation en chantre du pan capitalisme financier proaméricain. Mais par ses faits et ses méfaits, il aura été le meilleur allié objectif des Etats Unis et d’Israël, contribuant activement à la liquidation physique de ses alliés potentiels, les chefs de file du combat anti-américain et anti-israélien. Nul depuis n’a réussi à égaler sa performance.
Adoubé par Nasser, le plus populaire des dirigeants arabes de l’époque, qui voyait en lui son héritier, le fougueux colonel a fait chavirer le cœur des foules par son allure fringante et ses coups d’éclat: Nationalisations de l’industrie pétrolière, nationalisation de la gigantesque base américaine de Wheelus Airfield, rebaptisée «Okbah Ben Nafeh» du nom du grand conquérant arabe, nationalisation de la base anglaise d’Al Adem rebaptisée base «Gamal Abdel Nasser», Tripoli était surpeuplée d’hôtes nombreux qui logeaient à bord de bateaux ferries pour fêter l’évènement. Pas un mois sans qu’un festival, un colloque, une conférence des Indiens d’Amérique, une manifestation des musulmans de l’Île philippine de Mindanao ne donne lieu à des réjouissances. Beyrouth et Alger servaient de plateforme opérationnelle aux mouvements de libération du tiers-monde et Tripoli tenait de la kermesse permanente.
L’Euphorie aura duré deux ans. Jusqu’en 1971. A partir de cette date, chaque année apportera son lot de désolation, détournement d’un avion de ligne anglais pour livrer au Soudan des dirigeants communistes aussitôt décapités à Khartoum, évaporation sans raison du chef du mouvement chiite libanais Moussa Sadr, soutien résolu au Président soudanais Gaafar al-Nimeiry, pourtant un des artisans du transfert vers Israël de plusieurs milliers de juifs éthiopiens «Falashas».
Un phénomène d’hystérésis se produisit alors. Mais Kadhafi, et son entourage l’en persuadait, s’imaginait encore en phase avec son auditoire. En saltimbanque, le dirigeant libyen se livrait périodiquement à des exercices d’équilibrisme devant un public de plus en plus sceptique, à la réceptivité tarifée.
Retour sur le sombre bilan de celui qui aura été le héraut de l’unité arabe avant de devenir un allié objectif des États-Unis et d’Israël.
En 42 ans de pouvoir erratique, le chantre de l’unité arabe aura été l’un des fossoyeurs du nationalisme arabe, le démineur par excellence des menées américaines dans la sphère arabe, le meilleur allié objectif d’Israël et le fossoyeur de son peuple.
Tombeur de la dynastie Senoussi, première conséquence directe de la défaite arabe de juin 1967, l’héritier présomptif de Nasser sera propulsé au firmament politique lors de sa nationalisation des installations pétrolières anglo-saxonnes et de la gigantesque base aérienne de Wheelus Air Field, en juin 1970. Mais, simultanément, l’homme de la relève s’appliquera fougueusement à dilapider systématiquement le capital de sympathie qu’il s’était spontanément constitué et à affaiblir méthodiquement son propre camp.
Éternel second de la politique arabe réduit à un rôle d’appoint, Mouammar Kadhafi, épris de rêves de grandeur mais affligé d’un mouvement pendulaire, n’a jamais cessé d’osciller entre les deux pôles du monde arabe, le Machreq (le Levant) et le Maghreb (le Ponant), épousant toutes les formes d’union – confédération, fédération, fusion – tour à tour avec les États de la vallée du Nil (Égypte-Soudan), en 1970, avec les bureaucraties militaires prosoviétiques (Égypte, Syrie, Libye, Soudan), en 1971, puis avec l’Égypte seule, avant de se tourner vers le Maghreb avec la Tunisie (1980), puis l’Algérie… pour finalement jeter son dévolu sur l’Afrique dont il s’est appliqué depuis le début de ce siècle à jeter les bases d’un État transcontinental.
Par ses pulsions, impulsions et compulsions, ce fringant colonel n’aura jamais tiré le moindre coup de feu contre ses ennemis déclarés, Israël et les États-Unis. Mais sur son sombre tableau de chasse, il épinglera, tragiquement, certaines des figures les plus emblématiques du mouvement contestataire arabe, le chef charismatique du Parti communiste soudanais, Abdel Khaleq Mahjoub, en 1971, ainsi que le chef spirituel de la communauté chiite libanaise, l’imam Moussa Sadr, en 1978 (1).
La disparition du chef charismatique des chiites libanais, une communauté longtemps négligée par les pouvoirs publics libanais, qui se trouvait alors en pleine phase de renaissance trois ans après le début de la guerre civile libanaise, de surcroît en pleine montée en puissance de la Révolution islamique iranienne, a conduit à une radicalisation des Chiites Libanais et, au terme de nombreuses scissions, à la création du mouvement Hezbollah.
Autres victimes célèbres des turpitudes libyennes, Mansour Kikhiya, ancien ministre des Affaires étrangères de Libye et militant éminent des Droits Humains, porté «disparu», depuis décembre 1993, au Caire, où il a été vu pour la dernière fois, tout comme Jaballah Matar et Izzat Youssef al Maqrif, deux personnalités de l’opposition libyenne «disparu», également au Caire, en mars 1990.
Fantasque il ordonnera un jour le rasage du crâne de Ibrahim Bachari, l’ancien chef des services de renseignement, coupable d’avoir déplu au Guide, et sa rétrogradation au rang de factotum en affectation en faction dans une guérite devant le palais présidentiel. Bachari trouvera la mort quelque temps plus tard, à la manière du général Ahmad Dlimi, son compère marocain, par accident de la circulation.
Autre supplicié célèbre, Daif al Ghazal, journaliste au quotidien gouvernemental «Al-Zahf al Akhdar» (La marche verte), puis au journal en ligne «Libye al-Yom» (la Libye aujourd’hui), assassiné pour avoir dénoncé la «corruption et le népotisme» du Colonel Kadhafi. Son cadavre, mutilé, particulièrement les doigts de sa main qui soutenaient sa plume, a été retrouvé le 1er juin 2005 dans la région de Benghazi (Nord-est de la Libye), le jour même de l’assassinat à Beyrouth de Samir Kassir, mais, mystère du journalisme à sensation, alors que l’assassinat du journaliste franco-libanais du quotidien beyrouthin «Al-Nahar» faisait l’objet d’une légitime condamnation unanime et de non moins légitimes commémorations régulières, le supplice du libyen était frappé du sceau de l’anonymat le plus complet.
En 1984, Une tentative de coup de force déclenchera une véritable chasse aux opposants de tous bords. Luxe de raffinement, pour réprimer la tentative de coup de force dirigée contre sa résidence, la caserne militaire de Bab Al-Azizyah, le 8 mai 1984, le Colonel Kadhafi s’est fait délivrer un permis de meurtre légal par les «Congrès populaires de base», l’instance suprême du pouvoir dans ce pays.
Dans la foulée du vote de cette motion, le 13 mai 1984, autorisant la constitution d’«unités suicides» pour «liquider les ennemis de la révolution à l’étranger», deux ressortissants libyens -Oussama Challouf et Ibrahim al Galalia- présentés comme des membres de l’organisation intégriste des «Frères Musulmans» et «Agents de la CIA», les services de renseignements américains, étaient exécutés le 17 mai.
En 1979, une motion identique avait été votée contre les dissidents libyens résidant à l’étranger et neuf d’entre eux avaient été assassinés entre Février 1980 et Octobre 1981, à Athènes, Beyrouth, Londres et Rome notamment. Trois attentats particulièrement meurtriers ont en outre été imputés à la Libye, le premier contre une boite de nuit de Berlin «La Belle» et deux autres contre des avions de ligne occidentale.
À son actif aussi, au passif de la cause qu’il était censé promouvoir, la destruction des avions de lignes commerciales, un appareil de la compagnie américaine Panam à Lockerbie (Écosse), en 1988, un avion de la compagnie française UTA au dessus du désert tchadien, ainsi qu’un attentat contre une discothèque à Berlin. Ces deux attentats, l’attentat contre le jumbo de la Panam au dessus de Lockerbie (Ecosse), le 21 décembre 1988, et celui contre l’avion de la compagnie française UTA, en Afrique, l’année suivante, le 19 septembre 1989, auront fait, à eux deux, 440 morts. 270 pour Lockerbie et 170 pour celui de l’UTA.
Son palmarès en la matière, sans doute l’un des plus impressionnants au monde, soutient la comparaison avec les tyrans les plus redoutables de la planète. Menant une traque tous azimuts, il pourchassera aussi bien les figures de proue du chiisme, du communisme que du libéralisme, portant une responsabilité particulière, mais non exclusive, dans l’absence du pluralisme dans le Monde arabe.
L’épisode des six infirmières bulgares et du médecin d’origine palestinienne, –incarcérés «en guise de monnaie d’échange» pendant huit ans en Libye et torturés pour leur prétendue responsabilité dans l’inoculation du virus du Sida à des jeunes Libyens–, demeure en mémoire pour qu’il soit besoin de le rappeler.
L’engouement occidental pour la Libye ne saurait occulter les singulières méthodes du dirigeant libyen, dont les turpitudes passées le rendent passibles, selon les critères en vigueur, de la Justice Pénale internationale. L’homme est en effet coutumier de l’effet de surprise et des procédés tortueux. C’est ainsi qu’il mettra à profit un déplacement à l’étranger du vieux Roi Idriss Ier pour s’emparer du pouvoir, par un coup d’état, le 1er septembre 1969.
Il mettra en pratique cette même méthode à l’encontre de ses opposants et épinglera sur son tableau de chasse de prestigieuses personnalités arabes, opérant en toute quiétude et en toute impunité tout au long de ses 42 ans de pouvoir.
Au regard de ce bilan, les démarches de la communauté internationale pour traduire devant la Justice internationale les auteurs de l’attentat contre l’ancien premier ministre libanais, Rafic Hariri, le 15 février 2005, paraissent sinon dérisoires du moins anachroniques, en tout cas frappées du sceau de la partialité et de la duplicité.
L’animateur du groupe des «Officiers libres» libyens, ainsi dénommé sur le modèle de leurs aînés égyptiens, fera cause commune avec les Britanniques, au mépris de son aversion déclarée pour ses anciens colonisateurs, au mépris des règles de la navigation aérienne internationale, au mépris des règles sur le Droit d’Asile, en ordonnant le déroutement d’un avion de ligne de la BOAC (British Overseas Airways Corporation), en juillet 1971, pour livrer à son voisin soudanais, les auteurs communistes d’un coup de force, notamment le colonel Hachem Al Attah, un des plus brillants représentants de la nouvelle génération des jeunes officiers arabes, contribuant ainsi à décapiter le plus grand parti communiste arabe.
Les remords marmonnés en 1976 devant cet acte de forfaiture ne l’empêcheront pas de récidiver deux ans plus tard contre l’imam Moussa Sadr, mystérieusement disparu, en 1978, au paroxysme de la guerre du Liban. Le tortionnaire soudanais se déconsidérera par la suite, et son complice libyen avec, en supervisant le premier pont aérien d’Éthiopiens de confession juive vers Israël. Saluée par la presse occidentale comme un acte de bravoure, l’opération dans la foulée de la double décapitation du plus grand parti communiste du monde arabe et du premier mouvement militant chiite du monde arabe (Amal), a affecté durablement les capacités combatives du camp progressiste et renforcé les capacités démographiques d’Israël avec l’apport de 80 000 juifs d’Éthiopie.
L’homme fera le délice des journaux occidentaux trop heureux de cette aubaine médiatique. Mais sa désinvolture suscitera des pulsions mortifères dans de larges couches du monde arabe. En 1982, dans Beyrouth assiégée, à Yasser Arafat ployant sous le pilonnage de l’aviation israélienne face à un immobilisme arabe quasi-général, l’homme de Tripoli, confortablement tapi à Aziziah, la caserne militaire transformée en résidence officielle, à des milliers de kilomètres du camp retranché libanais en ruines, plutôt que de forcer le blocus israélien pour voler au secours du chef palestinien, plutôt que de se taire, lui conseillera, affligeant conseil, non le «martyr», la sublimation symbolique de la mort au combat, mais le suicide, infligeant une épreuve supplémentaire au supplice palestinien.
Quatre ans plus tard, terré une semaine dans son abri tripolitain au premier coup de semonce de l’aviation américaine, en avril 1986, Kadhafi, orchestrera, sans crainte du ridicule, une campagne médiatique visant à élever Tripoli au rang de «Hanoi des Arabes», occultant le combat singulier des Beyrouthins durant les soixante jours de siège israélien, s’attirant par la même le sarcasme des correspondants de guerre plutôt avertis des réalités du terrain.
L’homme fera aussi la fortune des marchands d’armes et la ruine de son pays. L’impressionnant arsenal militaire dont il s’est doté dès son arrivée au pouvoir en 1970 par des achats massifs d’armes à la France – dont le contrat du siècle portant sur la livraison de 75 avions de combat Mirage, de l’ordre de 15 milliards de francs de l’époque (environ 2,3 milliards d’euros) – sera carbonisé en 18 mois par son propre fournisseur français par suite de retentissants revers au Tchad, en 1985 et 1986, notamment à Wadi Doum et Faya Largeau.
Sans égard pour les conséquences tragiques de sa décision, Kadhafi ordonnera l’expulsion de 200 000 travailleurs égyptiens, au début des années 1980, pour sanctionner l’équipée solitaire du président Anouar el-Sadate dans ses négociations de paix avec Israël. Récidiviste, il ordonnera cinq ans plus tard, en 1984, l’expulsion de près d’un million de travailleurs africains pour sanctionner les réticences des dirigeants africains à l’égard de son activisme belliqueux.
Nul dans son entourage n’a osé lui souffler alors que le chantre de l’Unité Africaine ne pouvait être crédible en ordonnant l’expulsion de près d’un million d’Africains, que le chantre de l’Unité Arabe ne pouvait être audible après sa décapitation des chefs de file du camp anti-impérialiste.
Références
1 – Le parquet militaire libanais a lancé le 5 Août 2007 un mandat d’arrêt, par défaut, pour un procès par contumace, à l’encontre de quinze personnalités libyennes qui pourraient être impliquées par cette disparition. Parmi les personnes recherchées figurent le Commandant Abdel Salam Jalloud, à l’époque N°2 du régime Libyen, évincé en 1993, Ali Abdel Salam Triki, à l’époque ministre des Affaires étrangères, le Commandant Wakil Al Roubeihy, commandant de la police de Tripoli, Ahmad Chehata, chef du bureau de liaison des relations internationales au ministère des Affaires étrangères ainsi que Mahmoud Ould Daddah, ambassadeur de Mauritanie en Libye.
M. Abdel Moneim al-Houni, ancien membre du «groupe des officiers Libres, a affirmé que Moussa Sadr a été assassiné et enterré dans la région de Sebha dans le sud du pays. Le pilote Najmeddine al-Yaziji, à l’époque pilote de l’avion de Kadhafi, avait été chargé de transporter le corps de l’Imam Sadr pour l’enterrer dans la région de Sebha.
Peu de temps après, al-Yaziji a été lui-même liquidé par les renseignements libyens pour que l’affaire de l’assassinat de Sadr ne soit pas divulguée, a ajouté M. Abdel Moneim al-Houni, dans une interview au quotidien Al Hayat, mercredi 24 février 2011, après sa défection de son poste de représentant de Libye auprès de la Ligue arabe. L’Imam Sadr était accompagné de son bras droit, cheikh Mohammad Yacoub, et, du journaliste Abbas Badreddine. Il y avait été vu pour la dernière fois le 31 août 1978. Depuis cette date, les trois hommes n’ont plus donné aucun signe de vie.
Le blog de René Naba
Dégueulasse comme procédé! Khadafi, fossoyeur de la cause Arabe!?
La vraie info est là:
http://www.michelcollon.info/La-Libye-et-l-imperialisme.html
et là
http://www.michelcollon.info/Bush-en-Irak-c-etait-formidable.html
Je parle en connaissance de cause. En quarante ans, j’ai du effectuer une trentaine de reportage de plusieurs semaines en Libye. J’ai vu à l’œuvre Kadhafi et ai discuté de cela en personne avec lui et avec son entourage. ils sont convenus d’avoir commis beaucoup d’erreurs, d’abord pour l’affaire Moussa Sadr, ensuite pour l’affaire hachem al atta( détournement de l’avion de la BOAC). Sans jamais chercher à rectifier le tir. le fait d’être arabe ou d’origine arabe ne nous libère pas de l’obligation d’être lucide, critique et poli.
Vous précisément, en dehors d’un style indigent, et de propos qui ne vous honorent pas, que savez vous exactement de la Libye?
tout le gaspillage de la famille, ses outrances? Le supplice d’un journaliste Deif Al Gazal, à qui il a fait arracher les doigts car il a osé émettre des critiques.
c’est un article extra ,des faits que nos peuple arabe oublie souvent ,et ça me rappelle iben khouldoun :”les arabes se sont met d’accord pour jamais être d’accord”.quand à kaddafi c’est un personnage à plusieurs visages l’un et plus laid que l’autre .
pour la vérité et ne pas monter les arabes les uns contres les autres, un lien!
Une vérité sur la Libye
Le Panarabisme vous le méprisez par votre article et son titre racoleur.
@hole:je vois comme d’habitude tu est la grande supporteur des dictateurs ,rabi yahdik reste dans ton analyse du complot sur ses régimes, 6000 morts et s’est insuffisant pour que tu ouvre les yeux ,va lire des livres d’histoire et arrête de lire des conneries sur le net.
Un internaute m’a envoyé cette vidéo toujours d’actualité pour éprouver mon amour pour les plus nobles causes.
Comment je peux réagir à la gifle de cet enfant de Gaza, qui a à peine 10 ans ?
En m’identifiant à sa maman par exemple… et au lieu de verser une larme de sang, j’ai envie de l’embrasser tendrement et le féliciter pour avoir soulevé les bonnes questions :
La première : s’agit-il d’une leçon bien apprise ou d’une impro digne d’un pro, aussi précoce que l’était Rimbaud ?
Cela n’enlève rien à la valeur dramatique de sa prestation, ni au caractère tragique de la situation dans la bande de Gaza.
La deuxième question concerne le fond : cet embargo nous ramène à la loi du plus fort, qui comme le dit Rousseau, ne sera jamais assez fort pour être toujours le maître…
La troisième question : on oublie les enfants et on se concentre sur la responsabilité des grands dans la région…
J’accuserais
D’abord le funeste modèle américain qui a fait du consumérisme, une religion et de l’argent, le seul prophète digne de ce nom…
Le culte des moyens fait partie du rêve américain. Ce n’est pas de jeux vidéo dont a besoin cet enfant, mais d’accomplir son destin en sachant avant l’heure, le prix de la paix et de la liberté.
Mais l’Amérique n’est pas prête pour négocier parce qu’elle défend ses intérêts en fermant les yeux sur les exactions de son plus précieux allié.
J’accuserais
Aussi le label européen : le silence de nos agneaux occidentaux qui se contentent de statu quo parce qu’ils préfèrent et de loin laisser faire les loups, sous prétexte qu’ils ne se mangent jamais entre eux… ce qui les débarrasse de toute pression spirituelle et matérielle… Bien malins comme Pilate qui ne fait rien d’autre que s’en laver les mains…
J’accuserais
Enfin, le fiel ou le miel des dirigeants arabes qui flambent des milliards sous la table mais ne sont pas disposés à débourser un yen pour la cause Palestinienne… quel bonheur de les voir quitter la scène sur la pointe des pieds.
Conclusion : cet enfant n’a pas besoin de ballon de foot fabriqué par un petit chinois pour trois fois rien… mais d’un ballon d’oxygène pour respirer à fond l’air d’un pays qu’il finira par reconquérir.
http://www.lejournaldepersonne.com/2011/03/jaccuserais/
Kaddafi,Ce malade mental est un luciférien de la secte “ser benäIyaacoub”..cette secte qui se trouve à vermont dans le montana doit son origine à des émmigrés talmudistes de Gior et Salonnique.Ils ont approchés kaddafi alors fringuant lieutenant(Bac-3,,tien encore un..!)en 1966 par un dénommé emmanuel suss qui opéré à l’époque sur la base américaine de wheelus airfield.Coopté sur la base vérifiée de ses origines juives bérbéres il reçut l’adoubement d’un rabin venu spécialement à cet effet pour lui donner les dérniéres recommandations et le soutient indéfectible de l’occident dans le seul cas ou son coup d’état réussirait.On amena Kaddafi la téte recouverte d’un drap blanc avec des stries noires dans une piéce sombre éclairé par 2bougies.Voiçi ce que lui dit le Rabbin d’aprés le seul témoin occulaire de l’époque encore vivant et qui se terre au liban.”BARUKH ATTA ADONAÏ..TOI MOAMAR ELI KADDAFI SANG DE NOTRE SANG, SOIT SANCTIFIé que ton nom survole ceux de tes ennemis et que ceux qui ne t’obéissent point que leurs corps soit éparpillés aux vents qu’ils soit déchirés par les serres des vautours et des corbeaux…”une foit terminé les imprécations il lui tendit le zohar sur lequel kaddafi posa ses lévres,,puis jura qu’il se soumettra à la loi du TALMUD.
il lui tendit ensuite un coran et lui dit;
-récuse;;
il répondit -je récuse,,
-crache
il cracha alors sur le coran.
puis on lui donna un papier qu’il lit en arabe, le rabbin un roux d’au moins 100kgs mais pas bien grand, debout face à lui la méme feuille écrite en hébreu dans les mains avec différents signes cabalistiques,,ensuite le rabbin fit un signe de la main à Kaddafi e le poing fermé seul l’annulaire et l’oriculaire tendu de façons à former des cornes à Kaddafi, puis déboutonna son pantalon se retourna tendant son postérieur sur lequel encore une fois kaddafi posa ses lévres en l’embrassant avidement.La cérémonie s’arréta là.On dit que le rabbin resta seul ensuite dans la piéce avec Kddafi.IL en sortit aprés 10mn éssouflé mais joyeux.IL déclara c’est un bon et beau garçon.
@TUNIS LOVE : Tu sais pas qui je suis alors va jouer à la marelle comme tu en as l’habitude.
@TUNIS LOVE: Tu sais comment M. NABA appelle les Arabes?…les bougnoules. Tous ce qu’il écrit c’est de la merde!
Figurez vous que ce que j’écris n’est pas ce que vous dites.
De deux choses l’une: ou vous ne savez pas lire ou vous ne comprenez ce que vous lisez
J’ai bien écrit un livre “Du bougnoule au sauvageon, voyage dans l’imaginaire français”, ou j’expliquais la signification du mot bougnoule, sa portée psychologique. Pourquoi les Français ont forgé ce terme, pour quel usage, afin de renvoyer les Français à leur propre image et d’expliquer aux Arabes et Africains les raisons de leur stigmatisation………;
si vous vous étiez donné la peine de lire ce livre, ou de vous renseigner avant d’écrire des inepties et de vous refréner à proférer des insultes gratuites…………..
A vous lire, beaucoup seraient tentés de vous répliquer, pour reprendre le seul langage que vous comprenez, que ce que vous écrivez est de la ……. vous connaissez la suite.
@perditadeblanc: N’utilises pas le Coran pour déverser ta merde.
Tu confonds entre moi et ton ami kaddafi.Dis au rabbin qui lui a damandé pourquoi il récuse et crache sur le coran,,si n’est un appostat,?
au fond comme toi.Que le méme rabbin te le mette bien au fond
@hole:tu te trompe de problème ,on parle pas de ta france partout ,tu mélange tout on est entrain de parler du réveille de monde arabe ,je ne sais pas qui tu est mais je sais que tu est plaine de haine contre ton payé la france ,et tu ne fait pas la différence entre tes deux payé.
TUNIS LOVE: “le fossoyeur de la cause nationale arabe” c’est assez explicite je crois…la différence entre toi et moi c’est que ton raisonnement se restreint à ta personne, alors que moi je ne suis limité ni à la Tunisie ni à la France.
On peut reproché 1001 choses à Khadafi, mais personne ne sait ce qui se passe réellement en Libye en ce moment. Par contre c’est vite fait pour le condamner au TPI. Pétrole pétrole
Parmi les 3pays “révolutionnaires” la Libye est le seul à ne pas être sous l’emprise de l’Europe ou des USA, contrairement à l’Egypte (proUS) et la Tunisie (proEurope).
Une telle diatribe de la part d’un pseudo intellectuel qui appelle les Arabes “bougnoules” ne mérite que le mépris.
Du calme !
Enfin la solution est officieusement avancée : le dépeçage de la Libye… son partage entre Tunisie (Tripolitaine de Tripoli) et Égypte (Cyrénaïque de Benghazi)…
C’est le plus raisonnable !
Cela donnerait vraiment aux deux places historiques.. SidiBouzid et Alexandrie leur lustre et les ressources qui manquent à leur juste révolution.
La Libye, création essentiellement coloniale (Ottomans + Américains+Italiens), alliée par Kadhafi au libéral-socialisme criminel “made in FMI+OMC”, une fois délivrée, doit être rendue dépecée à ses voisins tunisien et égyptien, c’est légitime !
Patriotes de Tunisie et d’Égypte, allez au bout de votre délivrance.
@hole:ta maladie psychiatrique ne se soigne malheureusement pas(meskina) tu devrait aller vivre chez ton grand amie dictateur ahmadinejad peut être que sa va t’aider à mieux comprendre la différence entre la liberté et la dictature et que sa ouvre tes yeux pour mieux regardez les images qui vient de nos frères les lybiens sans que tu ramène tous au usa et ue.
@TUNIS LOVE: Ici en France on a accès à l’information depuis toujours, toi depuis le 14janvier 2011, alors si j’étais toi je ferai preuve d’humilité.
@hole:T’inquiète pas pour nous ont a toute les infos qui nous rend plus intelligent et plus fort tous les chaines télé et tout les livres des grands écrivains arabes et mondiaux ont connait tous notre histoire et celle de payés arabes et mondiale,ont voyagent et regardent le monde qui nous entoure avec intelligence ,ont critiquent tous et on a une vision plus vrais que la tienne ,ont mélitte contre les dictatures et les arriérés et rien ni personne ne peut nous manipuler parce qu’on est une population intelligente.
Vraiment fort ce kadhafi , 42ans au pouvoir et regardez tout ce qu’il a fait !!!! Ben ali etait vraiment un amateur
J’ai lu énormément et de part mon travail je continu à le faire mais je ne crois pas que ta vision soit plus vraie que la mienne sinon je devrais changé de job.
A mon avis tu as des ornières et ton ouverture d’esprit se limite aux ragots que tu écoutes à la télévision. D’ailleurs je suis certain que tu ne connais rien au Panarabisme, sinon tu aurais vu que dans ce texte il y avait une attaque frontale envers cette idéologie.
L’ouverture d’esprit c’est un don de Dieu, il y a ceux qui l’ont et ceux qui la recherchent, quant aux autres ils sont perdus.
Toi disons que tu es naïve ou peut-être profondément meurtrie , quoiqu’il en soit, mon principe est de faire corps avec les arabes et les tunisiens même si ça ne me rapporte rien, mais c’est un principe, je n’y peux rien.
Essaye de réfléchir de manière globale, le monde d’aujourd’hui est une sale bête, un démon. Les forces en présences dépassent l’entendement.
Encore une fois, Khadafi n’est pas pire ni meilleur que les autres, la différence est qu’il a du pétrole; Et si c’était un fou, ou qu’il n’était pas aimé de son peuple il ne serait pas resté quarante ans à la tête de son pays. Le texte en question est brodé de fil “blanc”.
Que dire d’un Bush, Sharon ou Blair qui n’ont pas hésité un instant à bombarder 3 pays en faisant des centaines de milliers de morts?! Quelles images t’a t on montré à l’époque?
Aujourd’hui plus que jamais il faut faire corps, essaye de faire rentrer ça dans ta tête.
@Ahmed: La Libye depuis 1977 est un état des masses Khadafi en est le guide.
beaucoup de respect pour les libyens qui se revoltent mais l’idée que c’est un coup monté par les americans me taquine ces jours ci.
située entre la tunisie et l’egypte la libye offre aux americains pour rebondir et tenir les reines de nouveau, il faut retenir qu’ils sont au bord du ravin et leur situation actuelle est intenable (dettes plus que 14 trillion de dollars, 40 des 51 etats sont presque fallite , la pauvretée touche plus que 40% de la population, pour beaucoup d’americains le reve s’est transforme en un cauchemare , ils ne peuvent plus repondre a leurs besoins necessaires et une tres grande partie de la population est sur le point d’etre ruinee.
pour renverser la situation il essayent d’intervenir partout dan le monde, ils ont plus que 700 bases militaires strategiquement placees.
le changement qui a eu lieu en afrique du nord les a surpris ,tout d’un coup il ont perdu deux de leurs pions dans une zone tres strategique et ca peut etre beaucoup plus graves s’ils ne bougent pas ,
il risquent notament d’etre ejecte de l’irak’s’il y’aura un changement de regime dont il font pas part ,
pensez a israel, l’iran la turquie etc…
il faut noter que leur guerres sont faites actuellement sous le drapeau de l’aide humanitaire,il entament par imposer des sanctions et quand il sont sure que l’ennemie est a bout de force (peau et os) il l’engage militairement ,rappelez vous ce qu’ils ont fait en iraq, afghanistan et ailleurs.
leurs guerres sont pour la plupart financiees par (pour une grande partie ) les arabes du golf.
alors s’ils s’installent en libye il s’y installeront pour une quarentaine d’annee.
la situation de l’europe n’est pas meilleure et les idees sont presque identique a celles des americains.
BRAVO
la leçon principale, de cet inventaire historique est CEUX QUI EN FONT TROP, sont en fait CEUX QUI FONT L’INVERSE DE CE QU’ILS DECLARENT
surenchère DEGAGE, amalgame DEGAGE
-El-Modammer Gaddafi est Leila Trabelsi ont organiser pour bruler la Tunisie
-Son Fils Seif a achete’ son Title Doctorat 350.000 EUR
-ATTENTION:l’Armee’ Gaddafi veut bombardir la Tunsisie, pour sortir de son crise et pour punir les Tunisiens.
Enfin la solution équitable est peu à peu avancée : le dépeçage de la Libye… son partage entre la Tunisie (Tripolitaine/Tripoli) et l’Égypte (Cyrénaïque/Benghazi)…
C’est le plus raisonnable !..
C’est historiquement et pragmatiquement juste et légitime !
Cela donnera aux deux places historiques.. SidiBouzid et Alexandrie.. leur lustre mérité et les ressources qui manquent à leurs révolutions héroïques.
La Libye, création totalement artificielle du colonialisme ottoman + américain + italien, alliée sanguinaire sous Kadhafi du libéral-socialisme criminel “made in FMI+OMC”, doit être, une fois délivrée de ce tueur, rendue.. dépecée.. à ses voisins tunisien et égyptien : c’est bel et bien indispensable et légitime !
Patriotes de Tunisie et d’Égypte, allez au bout de votre délivrance.
M. Paulo de l’Affront National-Socialiste,
Occupez-vous de l’Alzace et de la Lorraine et de quelques colonies qui sont toujours des colonies, des zones sinistrées dans le Nord et de l’Est de votre pays -et qui est hélas ! de moins en moins celui de la démocratie.
Occupez-vous du record de suicides chez les jeunes, de l’éducation en perdition, de la diplomatie en naufrage… de vos marchand de béton, de mort, et de désinformation dont vous partagez le sale boulot et les méprisables stratégies.
Occupez-vous surtout, M. le militant-patriote-religieux-frontiste des captations d’héritage par votre Führer, le putois borgne, qui ont fait de lui un millionnaire ! de la pédophilie de vos prêtres qui, entre Pater et Ave, détruisent les vies les plus tendres.
Occupez-vous aussi de la fi-fille du Führer -l’héritière de ses bassesses-, des haines multiples qui suintent de sa lippe pendue, contre tout ce qui n’est pas fasciste, pas blanc, pas chrétien, pas franchouillard ; son viatique à la fois et son fond de commerce.
Occupez-vous de vos paramilitaires aux crânes rasés, les compagnons de vos barres de fer, de vos parents spirituels, collabos pur porcs, qui ont combattu les Français Libres, torturé les Résistants, vendu la France aux Nazis.
Vous voyez, ce ne sont pas les chantiers qui manquent pour votre univers de fosse à purin.
Ne venez plus détourner, ici, les gens vers vos pages de caniveaux, et reprendre sans les citer -comble de probité !-, vos stratèges colonialistes.
Nad ou Nadia ou wurûd ash-Shitâ’ ?
Votre vomi contraint à répéter : Où étiez-vous avant le 14 janvier ?
Pas sur Nawaat… n’est-ce pas ?
Les Patriotes de Tunisie qui se délivrent ne doivent vraiment rien aux franco-tunisien(ne)s ni aux tuniso-n’importe-quoi de votre acabit nauséabond reposant à l’étranger.
En France, les opposant(e)s à BenAli étaient abattu(e)s par les tueurs de son régime…
Mais pas vous… n’est-ce pas ?
Y’a pas d’erreur… puisque suppôt(e) du RCD car.. PS+UMP alliés de BenAli, Moubarak et Kadhafi, au service du libéral-socialisme “made in FMI+OMC” de la bourgeoisie apatride et putride mondialisée.
Patriotes de Tunisie et d’Égypte, défiez-vous de ces racailles haineuses et revanchardes…
Allez au bout de votre délivrance.
A Paulo, patriote de Naziland
Monsieur du Front bas et étroit, que savez-vous de l’endroit où se trouvaient les gens ? en prison, en exil –œuvres de “patriotes” de votre espèce- ou ailleurs ? s’ils sont prolos ou bourgeois ?
Serait-ce par ce qu’en ce qui vous concerne, la localisation est facile : Kop of Boulogne, Virage d’Auteuil, Club des 36 bières et des bras tendus ? Nicht wahr?
Vous, qui semblez connaître les tueurs de Ben Ali, vos collègues des basses œuvres, dites-nous plutôt si ce qui est dit supra n’est pas votre vérité, une partie de votre sordide vérité.
Dites si vos frères de la “Préférence Nationale” n’ont pas tagué, n’ont pas brûlé des mosquées, n’ont pas profané des cimetières musulmans, n’ont pas participé aux ratonnades et aux meurtres de travailleurs immigrés de tous pays et de toutes confessions.
Les lecteurs de ce site vous connaîtront un peu plus et sauront que, sans doute, vous venez, transporté d’amour pour la cause arabe, inciter, comme vos maîtres le réclament, à la partition de la Libye.
Pauvre tâche,
Votre clique PS+UMP vit ses derniers temps.. et du coup vous enragez, n’est-ce pas ?
Le “DÉGAGE” providentiel va faire le tour de la Méditerranée (“PS+UMP DÉGAGE”) et du monde (“FMI+OMC DÉGAGE”)… et ça ça vous fait mal, non ?
Patriotes de Tunisie, défiez-vous des bi-nationaux qui votent PS+UMP et ont la nostalgie de BenAli+RCD…
Patriotes de Tunisie, allez au bout de votre délivrance.
@paulo:toi dégage.la lybie est un peuple frère des tunisiens et des égyptiens c’est un peuple libre.
Paulo, Zélote de Mein Kampf, répondez plutôt aux questions et n’avancez plus masqué.
L’UMP, n’est rien de plus qu’un autre vous-mêmes. Vous gueulez parce qu’ils appliquent votre programme ; et eux gueulent parce que vous ne les laissez pas l’appliquer.
Vous avez en partage, le partage inégal des richesses, le culte maladif de la force contre les plus faibles, l’exclusion des déshérités, la morale qui marche au pas, le fantasme ravageur des racines crétines et l’islamophobie…
A l’arrivée, vous les battez d’une tête, d’une petite tête pourrie, celle de la Préférence nationale.
Quand au PS, que leur reste-t-il de socialisme, à supposer qu’ils en aient eu le moindre électron, depuis l’arrivée chez eux de Mitterrand, l’homme à la Francisque des mains grises de votre héros, le Maréchal ?
Un patriote vrai et sincère souhaite à tout patriote étranger ce qu’il souhaite à sa propre patrie.
En l’occurrence aux peuples tunisien en Tunisie et français en France de SE DÉLIVRER du libéral-socialisme criminel mondialisé “made in FMI+OMC” qui spolie les héritages des peuples, tuent les patries pour asseoir la dictature putride du tout-fric d’une “bourgeoisie” jet-set “apatride” !
((Je renvoie au site du collège anarcho-patriote (français) http://www.enfiniraveclesocialogaullisme.com ou au blog http://sosidiotutile.sosblog.fr))
Patriotes de Tunisie, allez au bout de VOTRE DÉLIVRANCE..
.. de votre délivrance du Libzisme, le totalitarisme libéral-socialiste régnant !
Les lobbyistes sont partout!
A propos de LA LIBYE, KADHAFI, de LA REVOLUTION TUNISIENNE, et de tous les mensonges qui ont été publiés et faits non publiés, nous avons écrit un article à l’attention des Tunisiens eux-mêmes:
“Révolutionnaire tunisien, que savais-tu et que sais-tu encore de la Libye ?” 25 janv. 2012
http://www.mathaba.net/news/?x=629835
Et à propos se ce type d’entreprise, NOUS AVONS PUBLIE UNE CRITIQUE:
“René NABA mis à nu derrière son « portrait total » de Kadhafi”. 23 janvier 2012
http://albared.org/node/210