الحزب الجمهوري : خيار سياسي بديل ام تعزيز منتظر لمبادرة نداء تونس اثناء الاجتماع العام الذي نظمه الحزب الجمهوري يوم امس بمسرح الهواء الطلق باريانة,والذي اشرف عليه السيد احمد نجيب الشابي
حاولنا رصد انتظارات الحضور من من جاؤوا لاكتشاف هذا الحزب و هل يتطلعون الى رؤيته في الساحة السياسية التونسية كخيار جديد يطرح نفسه كبديل للنهضة و كمنافس الجدي لمبادرة الباجي قائد السبسي.
كما حاولنا رصد تفاعل السيد احمد نجيب الشابي مع هذذا الموضوع.
واعددنا لكم التقرير التالي :
حوار و تصوير : امين مطيراوي
A mon sens il s’agit d’un retour organisé des rcdistes avec l’appui de certains libéraux/mondialistes. C’est un camouflage bien déguisé de la démarche rcdiste. Pour moi Nagib Echabi ma déçu, mais aussi plusieurs autres militants centristes pensent pareil. Avec le parti républicain, el mobadara et tout le contour politique (nida BCE 2012) nous sommes, par excellence, devant le retour de la politique de l’exclusion et de la dictature de la ligne unique. Dans les villes et les villages le Rcd continue à être très actif, il prépare le retour par les urnes, ainsi selon lui il finira une fois pour toute avec la révolution et ses objectifs. Les partis au pouvoir et certains partis de la gauche (le POCT…) devront être vigilant. Donc si Nagib, la dictature est sans retour en Tunisie, et le peuple aura son mot à dire le jour des urnes. Si Nagib, on ne peut pas défendre la démocratie et un développement équilibré en Tunisie avec des personnes qui ont soutenu la dictature durant plusieurs décennies. Avec la PR et ses semblables, on est devant la fin de la liberté d’expression, la fin du processus de la justice transitionnelle, la fin de la réconciliation nationale, et le retour de la division et la peur en Tunisie. J’espère que le leader du PDP reprendra la bataille contre la dictature du Rcd, car elle n’est pas encore tombée et ses réseaux continue , impunément, à déranger et empêcher les reformes et leur avancement. Ben Ali Harab, à toutes les tunisiennes et tous les tunisiens, ne jamais oublier cette séquence de l’histoire, l’histoire de la liberté (l’opération Ben Ali harab). Ben Ali harab. Mandhouj Tarek.
Ridha Kefi dresse une image apocalyptique des objectifs du gouvernement actuel.Je suis d<accord sur le fond de l'analyse que la Tunisieest en panne de transition et de reforme revolutionnaire.Mais je suis pas d'accord quetoute la faute repose sur le gouvernement…les autres composantes politiques, professionnelles, civiles…sont entrain d'y contribuer. L'origine du probleme est le consensus et le balayage devant sa propre porte dans tous les secteurs.
Ce “chébbi”, est un opportuniste, tammâ3 et prêt à gouverner même avec le diable . il suffit de lui faire montrer la couleur des “thunes” pour qu’il adopte vos idées absurdes soit elles. je me rappel que dans l’une de ses interventions avant l’annonce des résultats des élections, qu’il était prêt à gouverner avec “ennahdha”, parti qu’il ne cesse de critiquer, sans épargner un effort .