Musique & cinéma au FIFAK : Convergence des expressions marginales

Le Festival International du Film Amateur de Kélibia (FIFAK) a toujours accordé une importance particulière à sa programmation musicale. De la chanson engagée au rap contestataire, le FIFAK a souvent suivi l’évolution de la scène musicale alternative, ramant ainsi à contre-courant depuis sa création en 1964. La passation intergénérationnelle s’y opère avec subtilité. Pour sa 31ème édition tenue du 7 au 13 août 2016, ses organisateurs ont invité le collectif de rap tunisien El Banda à donner un concert exceptionnel. Une occasion de se pencher sur ce lien traditionnel, néanmoins atypique, entre expressions musicales rebelles et cinéma amateur.

Culture

4Comments

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  1. 1
    Mandhouj

    Ils sont clairs dans leurs messages, cinéma, chants et musique, des mots, du son, de l’image ; offre culturelle en dehors de l’offre du système ; plus découvrir la ville et un vivre ensemble ; une semaine pour se ressourcer, pour les acteurs et le public, ça passe par FIFAK, aussi. C’est l’été.
    Bon courage.

  2. 2
    Bechir Toukabri

    La “révolution” en définitive ne nous a apporté que les déchets de la civilisation occidentale: Les ordures partout+ une déformation de la religion+ une culture underground, c.à.d des bas fond+ une mentalité généralisée de lèche cu…..etc au nom de la modernité ou de l’islam.

  3. 3
    mandhouj

    Moi je pense que la révolution à plus ouvert les portes à tout .. Puis il incombe aux consciences individuelles et des groupes, d’agir, de créer, et de s’identifier dans ses créations … Après tout, nous avons bien vécu une dictature directe au niveau de l”ensemble des angles de la vie publique , culturelle et autres… il est vrai que la culture a beaucoup subi la dictature de la ligne unique, de la pensée limitée du système dictateur.

    Et puis tout sera jugé aux niveaux des messages envoyés, par les différentes expressions culturelles, artistiques, poste révolution … aujourd’hui l’être tunisien, il se recherche, et il essaye … jusqu’à où la démocratie actuelle pourra encadrer, laisser faire/laisser vivre/laisser venir, les divers et sortes expressions, innovations, aliénations, … je ne sais pas.

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