بمناسبة إحياء اليوم العالمي للشبيبة المناهضة للامبريالية تظاهر، الأربعاء 24 أفريل، عدد من الناشطين البيئيين والنقابيين أمام مقر وكالة التعاون الألماني بتونس رفضا لما اعتبروه تهديد الوكالة للسيادة الطاقية في البلاد واستنكارا لتواصل دعم الحكومة الألمانية للعدوان على الشعب الفلسطيني.
Invitée à Tunis dans le cadre d’un séminaire organisé par la Fondation Rosa Luxemburg, Mireille Fanon-Mendes-France, présidente de la Fondation Frantz Fanon et experte au sein du groupe de travail sur les afro-descendants au Conseil des Droit de l’Homme de l’ONU, est venue à Nawaat nous parler de son père Frantz Fanon (1925-1961), psychiatre, essayiste, penseur majeur de l’anticolonialisme et figure importante du mouvement tiers-mondiste.
De passage à la Foire Internationale du Livre de Tunis, à l’occasion d’un débat sur les féminismes décoloniaux tenu dimanche dernier, Françoise Vergès, politologue et militante anti-impérialiste, auteure de « Un Féminisme Décolonial » (La Fabrique, 2019) s’est entretenue avec Nawaat. Une discussion sur le féminisme, sa manipulation par l’impérialisme et le néolibéralisme et les possibilités de le radicaliser.
L’OTAN, c’est d’abord l’Amérique. Et l’Amérique, c’est le Grand-Satan. C’est simpliste ? Primaire ? Ce n’est pas dans l’air du temps ? Je m’en fiche, j’en reste là.
Ainsi il s’est avéré que ce jour là, le capitaine Thomas Sankara a été assassiné froidement avec ses gardes et ses conseillers par un groupe de soldats para-commando. En tout, une quinzaine de personnes sont abattues. Ils seront tous enterrés à la hâte, la même nuit, au cimetière de Dagnoen, un quartier de l’est de Ouagadougou. Un coup d’État orchestré par celui qui était considéré comme son frère, son compagnon de route, Blaise Compoaré.
