Décidément, notre si vénéré président, grand ami de Sarkozy, a bien des soucis à se faire avec sa famille. Plus précisément avec celle de sa femme, Leïla Trabelsi. Le dernier en date vient d’être révélé dans une dépêche de l’AFP annonçant la mise en examen, vendredi 16 mai, par un magistrat tunisien des deux neveux par alliance du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, dans le cadre de l’enquête sur le vol du yacht du banquier Bruno Roger à Bonifacio en 2006.
Il a fallu toute l’obstination de M Jean-Bastien Risson, juge d’instruction du tribunal d’Ajaccio, qui s’est rendu à Tunis jeudi, pour que la justice tunisienne se résigne enfin à accepter de mettre en examen Imed et Moaz Trabelsi pour « complicité de vol en bande organisée ». En effet, le juge français attendait l’exécution d’une commission rogatoire internationale délivrée aux autorités tunisiennes depuis le début de l’année 2008. Le sujet était depuis le début de l’affaire motif de tension diplomatique entre les deux pays. Chose que le procureur de la République d’Ajaccio, José Thorel, également du déplacement, dément. « S’il y avait eu des différends diplomatiques, la commission rogatoire n’aurait pas été exécutée par le juge d’instruction tunisien et nous n’aurions pas assisté aux auditions ainsi qu’aux perquisitions », a-t-il déclaré à l’AFP. Six autres personnes ont été également entendues par la justice tunisienne en tant que témoins dans cette affaire et les frères Trabelsi devraient même « répondre prochainement à une convocation de la justice française », toujours selon le procureur.
C’est un changement de position radical qu’opèrent ici les autorités tunisiennes qui tout en confirmant « que le bateau est bien entré en infraction en Tunisie », continue à démentir « toute implication de la famille présidentielle », comme le déclarait l’ambassadeur de Tunisie en France au canard enchaîné au moment du dernier vol. Les frères Trabelsi étaient pourtant soupçonnés d’être les commanditaires du vol en France de trois yachts et avaient été mis en cause par les convoyeurs du yacht de M. Roger, lors de leur interrogatoire en 2006 à Ajaccio.
Le canard qui a révélé cette dernière affaire racontait comment Princess, un yacht de 18 mètres de plus d’un million d’euros, appartenant à Bruno Roger, le PDG de la banque Lazard Frères, disparaissait en pleine nuit du port de Bonifacio en Corse. «Après une halte en Sardaigne, il ne tarde pas à réapparaître en Tunisie, à Sidi Bou Saïd», raconte l’hebdomadaire satirique. La compagnie d’assurances de Bruno Roger, qui dépêche un enquêteur en Tunisie, va y découvrir le yacht repeint et enregistré à la capitainerie du port de Sidi Bou Saïd sous le nom d’Imad Trabelsi, le célèbre neveu de Leïla, la femme du président. Informé, Interpol se rend sur place et saisi le yacht le 26 mai 2006 et puis le restitue à son propriétaire.
Mais, bonnes relations avec Tunis obligent, les négociations pour éviter de mettre en cause la famille de Ben Ali vont bon train. En la matière, la proximité entre Bruno Roger et Jacques Chirac, l’ancien président français s’est s’avérée très utile. Le patron de la banque Lazard s’est d’ailleurs montré très discret sur la mésaventure du Princess. Des tractations auraient même eux lieu pour racheter le fameux yacht et régler l’affaire « entre amis ». L’excellente relation qu’entretient Nicols Sarkozy avec son homologue Ben Ali ne pourra que renforcer le soutien de la diplomatie française à la famille du président tunisien. Bien vaillance qui pourraient expliquer qu’il a fallu deux ans au juge d’instruction français pour obtenir l’audition des frères Trabelsi !
Quatorze ans en arrière c’est le scandale du sang contaminé vendu par la France à la Tunisie qui aurait servi de monnaie d’échange pour que les autorités françaises renoncent à extrader Moncef, le frère de Ben Ali, condamné par contumace à Paris à douze ans de prison pour «trafic de drogue» dans l’affaire de la « Couscous Connection ». Que seront aujourd’hui les arguments du palais de Carthage pour pousser l’Elysée à calmer les ardeurs de la justice française ? L’affaire du jeune tunisien Abdelhakim Ajimi, tué lors d’une bavure policière en France ou les contrats fraichement signés, pourraient êtres des bonnes pistes de réflexions. Pour une famille qui semble ne rien se refuser…
Malek Khadhraoui
www.nawaat.org
Egalement disponible sur http://stranger-paris.blogspot.com
l’affaire du jeune tunisien tuer en france ,d’aprés toi est une bavure policiére ?
quel analyse ! mais sans le savoir , tu penses comme le régime tunisien et sa langue du bois .
[…] cadre du vol de trois yachts. Depuis, l’info est reprise un peu partout dans la presse et sur Internet. On précise que celà ne poserait aucun problème diplomatique entre la France et la Tunisie. On […]
La mise en examen va aboutir à quoi ? La Tunisie n’a pas le monopole de la boulette, il faut voir la dernière bavure des policiés français envers un jeune tunisien. La vie d’un homme vaut-elle le prix d’un yacht ?
Un mandat d’arrêt aurait été émis aujourd’hui 19 mai par le doyen des juges d’instruction contre Imed Trabelsi, le neveu de Leila Ben Ali, après l’avoir interrogé sur le chef d’accusation de «complicité de vol en bande organisée»; et ce dernier aurait été écroué le même jour.
Ce rebondissement vient suite à l’exécution d’une commission rogatoire internationale délivrée en janvier 2008 par le juge d’instruction du tribunal d’Ajaccio, Jean-Bastien Risson, contre Imed et Moez Trabelsi dans une affaire liée à un trafic de bateaux de luxe entre la France et la Tunisie. Par ailleurs le juge d’instruction, Risson et le procureur de la République d’Ajaccio Thorel, sont actuellement à Tunis dans le cadre de l’enquête sur cette affaire et auraient assisté aux auditions des inculpés. (Source : Kalima)
Bonsoir à tous,
@Ramzi : un jeune homme qui, selon les témoignages de trois personnes, se fait « tabassé » puis embarqué de force dans une voiture de police et qui se retrouve mort qq heures plus tard, c’est bien une bavure policière même si aucune responsabilité ne soit encore établie. Donc ce n’est pas d’après moi mais d’après les faits :) pour la langue de bois de mon texte, je laisse à ceux qui lisent le soin d’en juger ;)
@Brack : bien sur que dans l’absolu la vie d’un homme n’a pas de prix et qu’aucun pays ne possède le monopole de la boulette. Mais quand on voit que pour l’affaire du marhoum Abdelhakim Ajimi, la presse tunisienne en a fait ses gros titres et que la justice tunisienne y envoie même un procureur alors que qq jours au paravent un jeune tunisien, mort électrocuté dans des troublantes circonstances ne mérite même pas une ligne dans nos journaux ni le déplacement à grands renforts médiatiques d’un procureur de la république, je me dis que pour ceux qui nous gouvernent toutes les vies ne se valent pas.
Peux-tu mettre la source de cet article, c’est une question de crédibilité.
Sihem
il etait temps que la justice s’interesse a ces mafieux.
de quelle source parles-tu Sihem ?
pourquoi ne pas arreter le reste de la famille dans la foulee?
Elle veut dire, à mon avis, que tu pioches un peu partout, pour faire un semblant d’article, tu te prends pour un journaliste….
C’est tjr moins grave que de se prendre pour un tunisien quand on ne parle pas un mot en arabe, qu’on méprise la culture tunisienne et que de plus est on est fonctionnaire au ministère de l’intérieur français ;) on voit que tu es tjr le petit chien chien de notre sihem nationale la seule vrai journaliste en Tunisie :) et surtout que tu es tjr à coté de la plaque. Rabbi yechfi leqloub lemridha ! oh pardon…qq peut-il traduire ça en français ?
walid,
Quelques soient les langues que je parle, aucune d’entre elles ne lèche le cul de la désinformation, du mensonge et du racisme que tu te plais à répandre. Pour les insultes, comme d’habitude, je ne les accepte pas et je préfère qu’elles te restent sur les bras d’un fainéant comme toi.
Mes amitiés aux fachos verdatres
Hasni et walid
pourquoi vous vous la guerre la gaiguerre !
faites l’amour !
votre objectif ultime et le meme ! non ?!
la super Suisse vous passe le bonjour à tous
votre article cache beaucoup de choses et j éspére que ce n est pas exprés que vous camouflez des réalités tel la part de la douane Tunisienne dans l affaire ,les complices qui ont conduient le yacht à La Valette puis à Sidi Bou said etc ne me dite pas que les trabelsi ont du pouvoir international mais dites plutot que Les fonctionnaires Tunisiens ne cherchent la bagarre que dans les stades de fussball
Je vois que Nawaat a changé, toujours vers le meilleur, bravo les gars.
Mais tout le reste est dans le statuquo total et absolu: les trabelsi et leur petit entourage se mettent plein les poches et les petits cons qui se querellent pour des conneries.
Sami, je ne savais pas que le ciel aux pays bas était aussi beau tu l’admire ou quoi ?
Bonne continuation les gars et continuez vos conneries les filles, ha ha avec mes excuses aux vrais filles.
Abou-dhar.
ahla Abou Dhar, la bas khouya.
oui, nawaat a évolué egt on atend vos testes
la photo a été prise alors que je regardais un cerf-volant, c’est pas le ciel gris des pays-bas qui va me séduire :)
Sami, please take a look at http://www.TunisCarthage.com I’d love to hear your comments.
Thank you for this work well done !!
JE SUIS ALLE SUR LE SITE “TunisCarthage.com” ET A LA LECTURE DE CERTAINS COMMENTAIRES RELATIFS AUX MINEURS PERTURBATIONS CONSTATEES RECEMMENT DANS LE SUD DU PAYS ALORS QUE NOUS NOUS APPRETONS A UNE SAISON TOURISTIQUE JE M’INQUIETE DEVANT CES AGISSEMENTS NON RESPONSABLE VIS A VIS DE TOUT CE QUE NOTRE PAYS AIT REALISE ET CONTINU A FAIRE GRACE A LA LA PULSION PERMANENTE DE MR LE PRESIDENT BEN ALI.
LES EVENEMENTS DE REDEYEF EST UN SIGNE QUE CE QUI SE FAIT AU PAYS N’EST PAS ENCORE ASSEZ SUFFISANT ET QU’IL FAUT REDOUBLER D’EFFORT SURTOUT QUE LES CONDITIONS DE VIE ET DE TRAVAIL LA BAS NE SONT PAS TOUJOURS FACILE.
MA CONFIANCE A NOTRE POLITIQUE, A NOTRE GOUVERNEMENT DEMEURE SANS FAILLE ET JE SAIS QUEL EXPLOIT NOTRE PRESIDENT EST CAPABLE DE FAIRE AFIN DE RENFORCER LA CONFIANCE DE SES ELECTEURS.
LA JOIE ET LE BONHEUR RETROUVERONT LE CHEMIN DE REDEYEF ET AILLEURS J’EN SUIS CONVAINCU.
LA TUNISIE EST UN PAYS QUI FAUT AIMER.
En reponse a Mr.Lahbib Trabelsi,
Merci pour votre visite a TunisCarthage.com, nous esperons que vous y aller encore et encore et nous vous invitons a contribuer vos idees et propos sur le site de TunisCarthage.
Sur le meme site il y-a des articles qui parle de la Tunisie comme un pays touristique et meme des “Tips” pour ou diner et ou manger…
Les nouvelles sont les nouvelles, ce n’est pa parce que nous nous appretons a une saison touristique qu’ont va soudainement arreter le couverage de ce qui se passe a Redeyef.Nous sommes ici pour reporter les nouvelles.
Mon cher monsieur, puis je vous rappeler que le probleme de Redeyef a commencer en Janvier2008, avant la saison touristique.
Je vous promet que le jour que l’administration decide sur un plan superbe pour cette region, et le jour que ce plan voit le jour en realite, Tuniscarthage.com va lui dedier toute la premiere page en celebration.
Nous esperons que la Joie et le Bonheur retrouvent le chemin de EL Redeyef et de tous le Tunisiens.
Oui j’aime la Tunisie plus que le poisson aime la mer. J’aime la tunisie plus qu’une mere aimerais son bebe.J’aime la Tunisie et mon peuple plus que Hannibal aime Carthage.
J’espere que votre confiance est bien fonder.
Bonne Chance et merci pour le commentaire.
malla makhroumin tounes bi khayr yeziw mel khedhb 3ala rwe7kom.7atta 7ad maynajam yched ratssa kifna ken we7ed kima e zine.yeziw bla rwaya9!!!!!!!!!
Ratssa?? Ratssa de qui, des grand fils de Hannibal et Amilcar , des grand fils de Ibn Kaldoun, des grand fils de Mossa ibn nousair et Assad ibn el fourat, des grand fils de Farhat Hached et abdelAziz Ethaalbi et de Bourguiba, des grand fils de Moez li dine Alleh, des grands fils de Mago et Hanno???
Ce pays depuis Carthage, a le plus vieux manuscript du Torah, a proteger le christianisme( Les Cannon De Carthage) , a produit la premiere explication du Coran( tafsir El Quran) . Ce pays et cette Ratsa, a fonder presque toutes les villes que vous voyer en Mediterannee et le Caire, Ce Pays et cette Ratsa avait une constitution depuis 814 BC. Ce pays et cette Ratsa est l’heriditaire de Carthage, de Kairouan, De La Mahdia et de Sousse.
Revise ton Histoire, ce pays est le centre de la civilization mondiale, depuis toujours.
J’AI BIEN AIME LE COMMENT DE MAAROUFI, IL DEGAGE DE LA GENEROSITE, DE LA JALOUSIE ET DE L’AMOUR POUR NOTRE PAYS : C’EST LE PARTI PRIT AVEC TANT DE TENDRESSE ET DE SYMPATHIE…MERCI.
VOUS SUFFET, J’AIME VOTRE BATAILLE POUR L’HISTOIRE ET SA CONNAISSANCE. VOUS DEGAGEZ DE L’AMOUR POUR NOTRE DOUCE TUNISIE ET ELLE NOUS LE REND BIEN.
SOYEZ PLUS INDULGENT A L’EGARD DE NOS GOUVERNANTS ET A LEUR TETE MONSIEUR LE PRESIDENT BEN ALI QUI EN L’ESPACE DE 20 ANS A TRANSFORME LE PAYS EN BIJOU.
LA TUNISIE EST UN PAYS QU’ON CITE COMME EXEMPLE DE PROGRES ET DE PROSPERITE ET VOUS NE DEVREZ PAS LE NIER.
IL EST CLAIR QUE LE PARFAIT NE PEUT ET NE DOIT EXISTER SINON QU’EST CE QUE L’ON DEVIENT… APRES?
LA TUNISIE VA VERS L’EXCELLENCE; CET ESPOIR EST, EN LUI MEME, MERVEILLEUX.
On the dawn of November 7th 1987, that great son of Tunisia, Ben Ali,in whose shadow we stand today had more popularity than any president on the face of the earth .
He signed the declaration of the 7th of November .This momentous decree came as a great beacon light of hope to millions of Tunisians who had been seared in the flames of withering injustice and poverty and worries about their future. It came as a joyous daybreak to end the long night of their misery.
But twenty years later, the Tunisian still is not free.Twenty years later, the life of the Tunisian is still sadly crippled by the manacles of a police state and the chains of poverty.
Twenty years later, the Tunisian lives on a lonely island of poverty in the midst of a vast ocean of material prosperity in the Mediterranean. Twenty years later, the Tunisian is still languishing in the corners of Tunisian society and finds himself in exile in his own land.
When the architects of the 7th of November wrote the magnificent words of that declaration, they were signing a promissory note to which every Tunisian was to fall heir.
This note was a promise that all men,and all women alike , would be guaranteed the unalienable rights of life,absolute liberty, and the pursuit of happiness.
It is obvious today that the regime of the 7th of November has defaulted on this promissory note insofar as his citizens concerned.
Instead of honoring this sacred obligation, the regime of the 7th of November has given the Tunisian people a bad check, a check which has come back marked “insufficient funds.
” But we refuse to believe that the bank of justice is bankrupt. We refuse to believe that there are insufficient funds in the great vaults of opportunity of this great 3000 years old nation.
So we want to cash this check — a check that will give us upon demand the riches of freedom and the security of justice.
On that day of 1987 ,almost 100 % of Tunisians young and old saw in him a savior, a state man,a leader, a president .
100 % of Tunisians in Tunisia and Abroad loved him that day without limits for ending a dark era and saving the country.
On that day , he had the whole country behind him, the love of the people,a strategic and fertile country in his hands.
He sat on that day in the same position as Ellissa, as Hannibal, as Bourguiba and others…He became the Suffet of Carthage, the President of the jewel of the Mediterranean .
The doors of history were wide open in front him .
He worked hard, he made things better…then things changed ….
I wish i can say the same today….I wish i can say that the love and respect that the Tunisians had for their President on November 7th 1987 is still the same. Unfortunately, it’s not the case anymore.
We as a people, along with our president and government , went against the spirit of our creed, against the spirit of our history .
We went wrong on so many things .
It’s never too late , the same great Son of Tunisia is still in power, he can still correct any wrongs , and come back to his people, to his country and enter history from it’s biggest gates instead of “god forbid” exit from it’s smallest window.
I respect everyone, Especially anyone who had risked his life and the life of his family for the good of the country . Ben Ali did that on November 7th 1987 and for that all the Tunisians are surely grateful.
But many things that happened in the past 20 years , things that are happening now, going from a huge shift of wealth, wrong policies, wrong principles, bad international agreements, lack of freedom,weak media, and above all poverty in the land of Carthage,and a bad justice system in the country that invented the court system….All these things are a shame on all of us.
Good luck and hats off to anyone working for the greater good of our country .
Thank you for reading and may God Bless Tunisia and it’s People!!
Why did my recent comment disappear? did i do something wrong ?
Bonjour Suffet De Carthage
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Il est vrai que ceci peut parfois laisser croire que le commentaire a été validé puis retiré. En fait pas du tout. Seul l’auteur du commentaire a pu voir son message avant sa validation.
Cordialement
Je rentre du pays ou je viens de vivre et assister a des moments pleins d’espoir. Des moments de bonheur et d’emotion ou les larmes s’entremêlent a la joie, ces moments sont ceux de l’ouverture des travaux du parti rassembleur et surtout l’acceptation solennelle et heureuse de mr le president de la republique a se presenter aux prochaines elections presidentielles de 2009.
Ces moments forts d’intensite ne peuvent être l’oeuvre que de celui qui a ose le changement.
Mr benali par l’hommage rendu, par son discours, a ceux qui ont combattu pour l’independance et son integrite territoriale du pays prouve encore son attachement a notre histoire et son glorieux passe.
Dans ce discours inaugural, monsieur le president n’a voulu oublier personne, le travail des jeunes, l’aide aux plus des munis, le developpement social du citoyien et sa fierte d’appartenance a son pays ont ete evoque et encore pleins d’autre reflexions de societe.
De son discours on ressent la sincerite des paroles ou meme la morose conjoncture economique internationale fut abordee avec les remedes et les alternatives courageuses.
La tunisie du lendemain demeure toujours notre slogan oh! Combien genereux. C’est le slogan du courage, du travail, de la perfgection et de l’excellence.
Je m’eleve encore et toujours contre ceux qui ne veulent reconnaitre les progres dans tout les domaines et secteurs accomplis grace a la pulsion constante et permanente de monsieur le president ben ali.
Je continuerai a supporter la candidature de monsieur le president notre guide.
Mr. LAHBIB_TRABELSI,
Vous parlez de la Tunisie, comme ci la Tunisie est comme un nouveax pays ne la derniere nuit de la naissance de toutes les nations du tiers monde. :) :) La Tunisie est Carthage . La tunisie et son peuple aurait accomplis les 5% ou les 6% de croissance par an en dormant. La tunisie effectivement accomplis plus de 5% ou 6% sous une dictature, sous un controle total de sn Internet et de ses technologies, sous l’emprosionnement de son peuple et la degradation de son armee legendaire and dans un environnement de corruption totale et d’absence d’un systeme judiciare moderne et equitable and presque dans un vide totale de vrai nationalisme dans son gouvernement.
imaginez mon cher monsieur un environnement different , qui permet a cette nation legendaire un taux de croissance de 12% ou meme de 15% . Notre gouvernemnt, avec tous le bien qui a fait, est encore entrein d’entraver la marche de cette nation historiquement glorieuse. Ils croient qu’ils ont bien fait , mais selon mon opinion , cette era de cette republique moderne de soi dis-on prosperite est defacto une era que l’histoire glorieuse de la terre de nos ancestres , de la terre de Carthage, va juger comme un trou noir, de decadance et de mediocrite.
Mon cher Monsieur, Je suis dans l’espoir que mon avis et mon opinion sont fausses et que votre avis et votre enthousiasme sont reelle et correcte.
Veuillez mon cher monsieur excusez mon Francais , une langue que j’ai appris a hainer, la langue d’un oppresseur qui a effacer notre histoire et conspirer a piller et voler notre cher pays pdurant des siecles.
Merci pour cette discussion via ce merveilleux. site
A mon aimable suffet de carthage salut,
nous nous sommes deja echanges nos idees qui demeurent differentes mais agreable car ca n’interrompe pas le dialogue.
J’ai bien entendu compris votre preference pour la langue de shakespeare que je ne maitrise pas assez au point de faire un echange anglophone et puis rassurez vous, votre francais est perfect.
C’est toujours avec un pincement au coeur que je quitte le pays toujours pour les memes raisons professionnelles et familiales.
Ce pincement est encore plus fort cette fois-ci alors qu’on s’appretais a une campagne electorale, ma place devrait etre aupres de notre parti rassembleur rcd afin de mouiller le maillot pour l’election de notre cher president ben ali.
Je constate et je l’ai signale auparavent votre interressement et votre attachement a notre glorieuse histoire mais notre present n’est pas a plaindre et c’est avec ce present qu’on ecrit l’histoire.
Notre sommes un pays qui fait de la croissance en travaillant, j’aurai bien aime dormir et faire de la croissance, reconnaissez bien que ce n’est pas possible.
Dire que vous esperez un taux de croissance plus eleve c’est legitime et puis c’est a nous d’ouvrir la breche avec des propositions concretes: que faire pour ameliore le pouvoir d’achat des citoyens, que faire pour creer des richesses, ou on est en matiere de fiscalite(denier de nos enfants) c’est un vrai debat auquel nous pouvons s’y associer, via des asssociations et des forums et donner des avis constructives.
Sans tenir la langue de bois de part et d’autre constatez vous et moi que nos echanges sont possible.
Si cela pourrait servir on aura gagne quelque chose.
Bien a vous.
je suis de ceux qui survivent, dans ce pays où tout le monde aspire à vivre.
je voudrai dire à si lahbib et si maaroufi, que j’ai beaucoup de mal à croire en leur sincérité. peut-on être à ce point crédule, peut-on être à ce point aveugle. ou est-ce la lâcheté qui rend de telles convictions possibles.
il est vrai qu’il ya eu des avancées en tunisie, personne ne peut le renier. il est vrai que la tunisie “aurait” pu connaitre un pire sort. mais par pitié arrêtons cette mascarade, arrêtons cette glorification infantile du superman Tunisien. il aurait été reconnu comme héro et ce véritablement, si seulement il s’en était tenu à son rôle. rôle de sauveur et d’amorçeur d’une nouvelle aire. lui qui répétait dans son fameux discours: plus de place à une présidence à vie en tunisie…quoi? tant qu’il n’est pas mort au pouvoir ça ne s’apelle pas présidence à vie???
serions nous arrivés là où nous sommes aujourd’hui, si une vrai démocratie s’était établie? aurions nous à subir les exactions de familles mafieuses si elles n’avaient pas eu le temps (22 ans et plus bientôt) de tisser leurs réseaux cancéreux de trafic, de corruption et de banditisme? serions nous témoins de cette faille sociale qui est entrain de déchirer le pays? serions nous à ce point désinteressé du groupe, du pays pour ne voir devant nous que de pâles reflets de nous mêmes dont les seules aspirations sont de satisfaire des besoins matériels? aurions nous ces générations de jeunes hommes et femmes diplômés mais incultes, creux et inefficaces? des jeunes de plus en plus désespérés de plu en plus tôt. on ne pourra jamais répondre à cess questions. car ce qui est fait est fait. mais pouvons nous épargner à nos enfants de se les poser.
Vous décrivez ce qu’on peut appeler “le mal tunisien”.
Aux formules désuètes de combattant suprême, de premier en tout, les tunisiens arrivistes continuent de pratiquer le culte de la personnalité contre toute crédibilité, contre toute honnêteté intellectuelle, en versant dans l’hypocrisie, l’arrivisme et le faux.
Ce sont les tunisens, dans leur ensemble, qui refusent le changement.
لا يغير الله ما بقوم حتى يغيروا ما بأنفسهم
Mon cher Trabelsi,
Merci pour vos remarques Aimable.
Je peux commencer par le taux de chômage : un taux élevé, comptant parmi les plus élevés du monde. On est aux environs de 14,5% selon les statistiques officielles dont il faut souligner qu’elles le définissent de manière très restrictive. Au demi-million de chômeurs officiels, il faut ajouter 300 000 employés dans les chantiers publics, travaillant de manière saisonnière et rémunérés à un demi-Smig. Cela donne un taux de chômage et de sous emploi de 22 à 23%.
Quant au chômage, il touche essentiellement les jeunes et de plus en plus les diplômés de l’université.
Cette situation est porteuse d’une fracture dans le Contrat Social qui a cimenté la Tunisie durant le demi-siècle passé. Le diplôme est de moins en moins la clef de la reconnaissance sociale et de l’accès à un emploi qualifié et, ce faisant, de la promotion sociale.
La Tunisie a, depuis le XIXème siècle, porté comme valeur fondamentale la scolarisation et l’éducation. Toutes les élites actuelles sont dans une très large mesure issues des catégories populaires ou moyennes. Elles sont devenues telles essentiellement grâce aux diplômes.
Aujourd’hui, l’accès à l’emploi qualifié s’effectue de plus en plus grâce au capital social des parents, à travers « l’héritage ».
Cette source nouvelle de fragmentation fragilise les classes populaires mais aussi les classes moyennes. Pour ces catégories sociales, le temps est celui de l’inquiétude générale devant l’avenir.
Leurs enfants, quand ils ont la chance d’être diplômés sont de plus en plus nombreux à être condamnés au chômage de longue durée et, quand ils arrivent à décrocher un emploi; ils sont le plus souvent affectés à des postes subalternes, sous-rémunérés.
Parfois, ils sont prolétarisés, réduits à des tâches manuelles.
Cette question n’est pas simplement une question de chômage; elle est multidimensionnelle en ce qu’elle pose la problématique en des termes globaux : politiques, économiques et sociaux.
Elle pose, à tout le moins, la question de la qualité du système éducatif tunisien –une qualité en détérioration grave et rapide-; la question du système économique –un système de faible niveau technologique et générant des emplois de faible qualification- ; et la question de l’investissement qui est confronté depuis maintenant cinq ans à une crise grave. Et, contrairement aux apparences, ces dimensions sont intimement liées : en leur centre, se trouve le système politique.
Force est de reconnaître que nous n’avons passé en revue que certains aspects sans aborder la situation dans son ensemble.
Concernant la question sociale, la rigueur s’impose et nous devons dire qu’il n’y pas eu de désengagement de l’Etat. Tout au contraire, il y a une injection importante de ressources financières ainsi qu’une réelle politique sociale dans les différents domaines.
Au niveau de l’éducation, la Tunisie consacre 8,1% de son PIB à ce secteur. Rappelons que ce taux est parmi les plus élevés du monde, le double de la moyenne mondiale.
Au niveau de la santé, les efforts se poursuivent, sauf que nous assistons à une transition épidémiologique, à savoir le passage d’un état de santé où la population est essentiellement frappée par les maladies transmissibles et auquel la santé publique tunisienne était bien préparée, à un état de santé dominé par des maladies non transmissibles, dont le coût de traitement est extrêmement élevé, et pour lesquelles l’Etat n’a pas préparé la santé publique tunisienne.
L’effort consenti n’a pas pu contenir une explosion de la demande et des besoins, ce qui oblige les ménages à supporter une partie croissante des dépenses de santé : ils doivent contribuer aujourd’hui à 52% des dépenses de santé alors qu’au milieu des années quatre-vingt, cet effort était limité à 35 %.
L’Etat, comme on le voit, est en train de reculer en termes relatifs. Au niveau des autres dépenses sociales concernant les logements ou la lutte contre la pauvreté, les dépenses continuent d’augmenter.
Le problème en Tunisie n’est pas le recul de l’Etat en matière sociale, mais son inefficacité croissante.
Et cette montée en inefficacité est perceptible partout : en matière de pauvreté qui ne recule plus que très lentement, en matière de qualité de la formation scolaire et universitaire qui décline, en matière de santé qui est de plus en plus prise en charge par les ménages, …
Cette montée en inefficacité est due à un ensemble de phénomènes. En premier lieu, une administration qui innove de moins en moins et un recul de sa capacité d’initiative ; en second lieu, des agents sociaux gagnés par le désintérêt ou, plutôt, qu’on désintéresse. Enfin une montée de la corruption et une absence de contrôle et d’évaluation…je dirais que le système sombre d’une manière continue dans le clientélisme, qu’il ne se base plus sur le mérite mais sur les proximités des sources du pouvoir.
Si nous prenons par exemple le Fonds de Solidarité Sociale (26/26), son intervention est vraiment insignifiante comparée à l’ensemble des dépenses sociales. Celles-ci représentent 19 à 20 % du PIB et ce fonds n’en représente même pas 1 % ; il est essentiellement propagande en termes sociaux. Néanmoins, il reste un vecteur politique d’une extrême importance, un instrument réel de contrôle social au sujet duquel nous devons avoir une discussion plus approfondie.
Au niveau de la distribution des revenus, nous devons nous mettre d’accord sur ce dont nous voulons parler, sur le concept même. Distribution des revenus entre qui et qui ?
La comparaison pourrait être faite entre patrons et salariés, entre urbains et ruraux, entre habitants des régions littorales et habitants des régions intérieures, etc. Il faut rappeler aussi qu’au niveau de la distribution des revenus, les économistes admettent deux indicateurs synthétiques, à savoir le rapport entre le revenu des 20% (ou des 10 %) les plus riches, par rapport aux 20% (ou des 10 %) les plus pauvres, ainsi que le coefficient de Gini (ou coefficient de concentration des revenus).
Aussi importante est l’année de référence prise en compte car, d’une période à l’autre, des variations, parfois sensibles, peuvent se produire.
Si tous ces indicateurs convergent, on serait en droit d’affirmer une détérioration ou une amélioration de la distribution.
Tel n’est pas le cas en Tunisie : si l’on examine le coefficient de Gini ou le rapport entre le revenu (des dépenses) des 20 % (ou 10 %) les plus riches aux 20 % (ou 10 %) les plus pauvres, la tendance constatée entre 1975 et 2000 est à la baisse de ce coefficient et de ce rapport, ce qui signifie une amélioration de la distribution des revenus.
Si l’on examine le rapport du revenu (dépense) moyen en milieu rural par rapport au milieu communal, la tendance constatée est à l’aggravation des écarts entre 1975 et 1980, mais à une réduction de ceux-ci au cours des vingt dernières années. Entre salariés et patrons, la comparaison est impossible faute de données statistiques.
Tout au plus, peut-on comparer l’évolution du revenu salarial moyen avec celle du revenu non salarial moyen (ce dernier comprenant le revenu de tous les non salariés, depuis l’agriculteur au chef d’entreprise, en passant par l’artisan, le petit et le grand commerçant,…).
Ici l’évolution est variable selon les périodes : en défaveur des salariés entre 1961 et 1972, en faveur des salariés entre 1972 et 1983, en leur défaveur entre 1983 et 1989, plus ou moins égalitaire depuis cette date. Dans l’ensemble, toutefois, si l’on prend 1961 comme année de référence, la tendance est en défaveur des salariés : le salaire réel moyen a été multiplié par 2,97 entre 1961 en 2005, tandis que le revenu non salarial moyen a été multiplié par 3,12.
L’Etat n’a plus de projet public depuis vingt ans.
Nous avons précisé qu’il existe une source de fracture sociale et la chose est gravissime et que l’Etat – malgré les ressources importantes mises – est en train de perdre en efficacité.
Il est plus que certain que la crise est multidimensionnelle et profonde à la fois. Il ne peut y avoir de rectifications possibles, mais plutôt un système que nous devons changer, car nous constatons une imbrication des domaines économiques, sociaux et politiques, comme jamais cela n’a été le cas dans l’histoire de la Tunisie. Nous constatons de même un système politique autoritaire, descendant qui cherche à imposer ses visions à travers les ordres et transformer de ce fait les citoyens dans tous les secteurs en simples rouages.
Un système complexe ne peut exister et fonctionner avec des rouages. Le système ne fait que diviser pour mieux régner. Nous constations que les différentes catégories sociales sont divisées, ainsi que les différents corps par des frontières étanches. Toute initiative est bannie ou fortement limitée pour ne pas dire réprimée.
Aucun système dans un monde complexe, n’est capable de s’améliorer dans un politique pareille. Si nous constatons – au niveau de l’enseignement, par exemple – des ressources importantes et mêmes croissantes, nous déplorons par contre la qualité médiocre de cet enseignement, parce que les éducateurs ne sont plus ce qu’ils étaient et n’assument plus leurs rôles de la meilleure manière, devenant – malheureusement – de simple exécutants de programmes.
Les directeurs des écoles se font choisir pour leur affiliation au RCD et non pour leurs compétences. Il n’y a plus de règles, ni d’Etat de droit. Ceux qui s’enrichissent ne représentent pas les entrepreneurs les plus méritants, la richesse se crée autrement.
Aussi, nous constatons l’absence d’initiatives économiques. Les hommes d’affaires ne sont plus entreprenants comme avant comme ils le pourraient. Nous vivons dans une société rigidifiée, telle est la volonté du pouvoir. Un pouvoir qui a peur de tout ce qui bouge.
La Tunisie a atteint un degré de développement économique et social, un degré de complexité tel, qu’elle ne peut plus être gouvernée par un système centralisé. Il faut bien décentraliser tous les pouvoirs de décision, des initiatives et des synergies des différents agents sociaux. Ce à quoi le système met des barrières.
La Tunisie a besoin d’une administration stratège, visionnaire, capable de mettre tous les acteurs en synergie, et se met elle même en mouvement. Le système actuel ne fait que déposséder l’administration de sa capacité à innover.
Nous n’avons plus d’Etat stratège depuis vingt ans, cet Etat qui a fondé la Tunisie moderne et qui a mis en place toutes les industries en place que nous connaissons, et qui a fait la qualité de vie des tunisiens, n’a plus de projet public depuis vingt ans.
L’Etat – en tant qu’agent stratège de développement – se désengage. Il se maintient dans le social, un peu par conviction et beaucoup par calcul, parce que la politique sociale ne se limite pas au secteur social proprement dit, elle représente le lieu fondamental d’exercice du pouvoir.
Elle représente un domaine de clientélisme, où l’individu marchande son engagement en contrepartie de faveurs et nullement d’un droit acquis. L’octroi peut être fait à ceux qui ne le méritent guère et aussi ce don peut être repris à tout moment.
Elle représente substantiellement un moyen de contrôle de la société.
Sans cette politique sociale, il n’y aurait pas paradoxalement d’Etat-Parti, car il n’y a pas au monde, un parti aussi tentaculaire.
Le RCD dispose de deux millions d’adhérents (soit 20% d’une population de dix millions). Le Parti Communiste Chinois avec ses soixante millions d’adhérents ne représente que 5% de la population !!!
Il n’a pas un pays au monde, ayant atteint un niveau de développement social et économique comparable à celui de la Tunisie, qui soit aussi sous développé au niveau politique.
La phrase d’un célèbre politologue me vient en tête: «Lorsqu’on atteint un niveau de revenu de 6.000 dollars par an, il n’y plus d’Etats qui retombent dans l’autoritarisme».
La Tunisie – avec ses 7.200 dollars, exprimés en « parité de pouvoir d’achat » – fait exception à cette règle.
Nous devons mettre à part les pays rentiers (à l’image des monarchies pétrolières), dont le niveau de vie, n’est nullement l’expression d’efforts.
Au dessus d’un certain seuil, une exigence sociétale fait que le pays doit passer à la démocratie. La Tunisie fait exception à cette règle et ne semble guère trouver son expression.
Nous avions eu jusqu’à la privatisation de Tunisie Télécom une situation financièrement tendue, des réserves en devises d’environ trois mois (trop faible), et un taux d’endettement assez élevé. Cette privatisation a rapporté environ 3.050 millions de dinars. Cette manne a permis de rembourser une partie de nos dettes, celle qui était libellée à des conditions relativement dures.
Entre-temps, nous avons pu améliorer notre notation au niveau international et par conséquent accéder à des crédits internationaux à des taux plus avantageux.
Cette privatisation nous a permis d’honorer une partie de nos dettes et reconstituer nos réserves en devises. Aujourd’hui, il n’y a plus d’argument financier à l’appui d’une quelconque privatisation.
La considération de la dette n’est plus un argument à l’appui d’une éventuelle privatisation. Les institutions internationales incitent à la privatisation en faisant prévaloir d’autres arguments : efficacité, concurrence, compétition.
Il me semble dire dangereux de se débarrasser des secteurs publics vitaux. A moins d’avoir en vue des constructions stratégiques industrielles plus importantes pour l’avenir du pays.
En Conclusion:
Que la nation ne tienne pas compte de l’urgence du moment, qu’elle sous-estime la détermination des Tunisiens, lui serait fatal.
Cet été étouffant du mécontentement légitime de nos compatriotes a Gafsa ne prendra fin qu’à l’arrivée d’une automne vivifiante qui amenera liberté et égalité.
L’annee 2008 n’est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Tunisiens a Redeyef seront satisfaits seulement de s’exprimer avec force auront un fâcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles comme si de rien n’était.
Le Regime du 7 Novembre ne connaîtra ni repos ni tranquilité tant que les Heritiers De Carthage ne jouissent pas pleinement de leurs droit civiques et historiques. Les orages de la révolte continueront à secouer les fondations de ce regime archaique jusqu’au jour où la lumière de la justice arrivera.
Je suis dans l’espoir que cette nation se lèvera et vivra la vrai signification de son croyance: Que :”Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que tous les hommes et tous les femmes naissent libres et egaux et que notre Nation ,Que nous sayons Au revoir a cette Republique De Tunisie et que nous assistons de nouveaux a la Naissance de La Republique De Carthage .”
J’ai un espoir-qu’un jour même le basin Minier, un désert étouffant d’injustice et d’oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice.
J’ai un rève-qu’un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne sera nivellé, les endroits rugueux seront lissés et les endroits tortueux seront faits droits, et la gloire de La terre de Carthage sera révélée, et tous les hommes et les femmes la verront ensemble.
Ceci est notre espoir. C’est avec cet espoir que je rentre au Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité.
Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, nous révoltons pour la liberte ensemble, en sachant qu’un jour nous serons libres.
Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Tunisie pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique, “Mon pays, c’est de toi, douce patrie de la liberté, c’est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des immigrant, de chaque montagne, que la liberté retentisse.”
Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque gouvernerat et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de Tunisie, pourront se prendre par la main et chanter les paroles du vieux spiritual noir, “Enfin libres! Enfin libres! Dieu Tout-Puissant, merci, nous sommes enfin libres!”
Merci, Comme d’habitude
Si TRABELSI bien que j’ai du mal à comprendre comment la dignité d’un homme peut lui permettre de s’adonner à autant de flagornerie et cela pour qui que ce soit même ce « superman » de Ben Ali, le seul capable de dompter cette « raatasa » comme le dit « maaroufi » et n’ayant rien à dire de plus que ce que Suffet de Carthage a brillamment détaillé à savoir les tas de raisons qui nous poussent légitimement à demander le départ de « ce président », je me rabats sur une question de forme en te demandant d’éviter si cela est possible l’usage de la majuscule pour exprimer toute ta gratitude. Nous avons compris que vous avez envie de crier votre amour à « notre président » et c’est votre droit le plus absolu mais pour cela éviter svp de le faire avec des majuscules. On l’aurait aussi bien compris avec des minuscules.
merci
Sachez monsieur Khadhraoui que je m’associe pleinement aux echanges avec Suffet de Carthage qui s’efforce d’exposer ses point de vue, toujours interressants mais que nous ne partageons pas certains : sur le taux de chomage par exemple.
(Je dois bien sur une reponse au long deploiement de suffet que je remercie au passage).
Je pense, mr Khadraoui,que le depart de mr Ben Ali, ne peut resoudre vos preoccuätions pour la tunisie.
Certes que le president ben ali partira un jour mais comprenez vous et moi que nous avons encore besoin de lui.
Son peuple le reclame… Etes vous alle recemment en tunisie?
Sachez egalement et a titre informatif que nous achevons une saison touristique avec un taux de reussite jamais egale : zero incident ; zero defaut et cela grace a cette politique clairvoyante de monsieur le president de la Republique et son gouvernement.
Au plaisir de vous lire
Mr. Trabelsi,
Thank you for your kind words.I hope that all is going well for you and your family .
I was actually pleased to see your remarks again.
Don’t get me wrong, I know that in the heart of every Tunisian there is still some love for Ben Ali for all he did for Tunisia.
I’m also sure that Tunisians are grateful for a Tourism season without issues.
There is also a lot of skepticism about everything he’s doing in relation with consolidating power at a high cost to the Tunisian people.
There is also a lot of anger in the heart of every Tunisian because of all the media manipulation and the insistence of this regime to keep Tunisia behind when it comes to media freedom and a modern political and economic system.
There is also a lot of discontent in the heart of every Tunisian when we hear about torture, shady deals and corruption or dead people trying to immigrate to Europe or Tunisians dying on electric cables or shot by the police from the back.
There is revolt in the heart of every Tunisian when we hear news about judges handing down harsh sentences based on falsified police reports.
If you claim that Ben Ali is responsible for all the good things, then it only makes sense that he is also responsible for all the bad things.
It’s not just about a person , it’s a bout a whole system .
Unfortunately Ben Ali finds himself as the symbol of that system for the good and the worse. Lately however, we’ve seen more worse than good, to the point that even people who do not wish to get involved with Politics find themselves under the sacred obligation to get involved.
Respectfully yours,
The Suffet Of Carthage
http://www.dailymotion.com/relevance/search/suffet/video/x6j2u7_discours-du-suffet-de-carthage-1-23_news
Le discours de suffet de carthage.
J’ai ecoute ce discours de l’histoire qui eloge carthage sa renaissance et puis je constate que c’est bien et c’est tout.
La tunisie aujourd’hui, celle du lendemain, tel que la veut notre cher president ben ali, ne peut se contenter de regarder ce passe aussi glorieux soit-il.
La tunisie a besoin d’occuper sa place a l’echellle internationale, la tunisie a besoin de se moderniser et non de vivre en souvenir de ses ruines.La tunisie, enfin, n’oublie pas le role qui est le sien celui d’elever le citoyen au plus rang de la societe.
C’est ca les objectifs fixes par notre president et son gouvernement.
Il est clair que beaucoup de certains intervenants ne connaissent notre pays ses progres et ses realisations que par la critique souvent nefaste .Le terrain,ils ne le connaissent guere. Allez y messieurs et voir ce que ce president critique a tort a fait de son pays (n’est ce pas mr khadraoui).Je comprend que pour certains ce n’est pas possible et j’en conviens vu les insultes proliferes a l’egard de nos institutions et leurs dirigeants.
J’ai mal pour ces gens a qui je demande de transformer cette haine envers mon pays en amour.
“la Tunisie … tel que la veut notre cher president ben ali…”
“C’est ça les objectifs fixes par notre president et son gouvernement.” Rien que ça !
Le citoyen que je suis, c’est lui qui décide ce que sera la Tunisie. Le président (avec un “p” minuscule), c’est moi qui le nomme à la tête de la République (avec un “R” majuscule), qui le salarie et qui lui fixe ses objectifs, à lui, et à son gouvernement.
Ce n’est pas enore vraiment tout-à-fait le cas, mais d’orès déjà, ceux qui essayent de prétendre autre chose, à l’instar de M’brarek et de son tout récent fils spirituel ksibi, commencent franchement à passer pour des ringards. Et bientôt, s’ils continuent, ils seront les derniers des ringards.
Cordialement de la part de quelqu’un qui détient une fraction
de la souveraineté Tunisienne et dont il est le seul à devoir décider à qui il l’a délègue et pour faire quoi.
A astrubal
bien sur que le vote est une forme de delegation qui permet aux elus de fixer des objectifs a atteindre en exercant le mandat qui leur est confie. Si telle est votre vision nous sommes sur la meme longueur d’onde et vous remercie pour votre patriotisme.
Quel gachis lorsque je lis toutes ces tetes pensantes et critiques.
Quel gachis de voir ces opposants a tout.
Quel gachis et quelle dispersion de ces energies utiles.
Quel gachis pour la tunis de voir ses fils lui faire tant de mal
quel gachis
Mr.Trablesi,
Eidek Mabrouk, winchallah koul 3am Hay Bkhir.
My first speech is a declaration of intention. The speech doesn’t only have an “eloge de Carthage” it also has accusations of corruption, accusations of treason, a statement of intention , and what it does is boost the moral of our beloved people.
Many speeches have been given , but not published. I’m not a man of many words , TALK IS CHEAP.
A few of them will be published in the near future.
My dear gentlemen,
To state that we don’t know the realities in Tunisia is improper and untrue.
Even if you’re entitled to your opinion, please try not to issue judgments like those, because you don’t know who Iam or who we are, however , you’ll know in the near future, we’re counting down.
The progress that has been realized is not enough for the people of Tunisia. Setting the bar low for our great country is a tradition now that those in the circus of mediocrity would like to perpetrate.
We are the people of Carthage, in the past we were, in the present we remain , and in the future we will be again.
We are excellent and free people, and we deserve an excellent government that respects our intelligence, our history and doesn’t gamble with our future or liberty or independence , or drive our country into despair.
The Tunisian people are in the business of excellence and love of their country , our government and your beloved president is in the business of mediocrity,crime,corruption and treason .
Mr. Trabelsi,
Regardless of how much lipstick you put on a pig, it’s still a pig.
Thank you as usual !
Mr. Trabelsi,
Another question !
Are our kids learning our country like they should be ?
And on a more philosophical level : Can you love something you don’t know ?
Some information for you :How many young people under 21 want to leave Tunisia to leave abroad?
The Answer: 89.66%. Male : 93.33% Female : 85.99%.
لا أيها الظالم المستبد
حبيب الظلام عدو الحياه
سخرت بأنات شعب ضعيف
و كفك مخضوبة من دماه
و سرت تشوه سحر الوجود
و تبذر شوك الاسى في رباه
رويدك لا يخدعك الربيع
و صحو الفضاء و ضوء الصباح
ففي الافق الرحب هول الظلام
و قصف الرعود و عصف الرياح
حذار فتحت الرماد اللهيب
و من يبذر الشوك يجن الجراح
تأمل هنالك أنى حصدت رؤوس الورى و زهور الأمل
و رويت بالدم قلب التراب أشربته الدمع حتى ثمل
سيجرفك سيل الدماء
و يأكلك العاصف المشتعل
bonjour a tous jai la double nationalitè franco-tunisienne et je voudrai virèe une importante somme d’argent qui biensur appartient en partie a ma sociètè et m’instalè dans mon pays kesse ke je risque? et peuvent ils mextradè vers la france? mèrçi d’avance pour vos reponses
A Hannibal,
Je ne crois pas que vous auriez quiconques problemes a savoir la securite de votre transfer.
Si vous n’ecrivez rien, si vous n’avez pas d’opinions politiques, si vous vous n’opposer rien et si vous n’essayez pas de faire concurrence a des proteges du pouvoir dans le monde des affaires alors vous n’aurait aucun probleme majeure.
Rentre mon ami rentre et installeez vous en Tunisie!!
Discours Du Suffet 26 Novembre 2008 #2:
http://tuniscarthage.com/index.php/latest-news/20081127239/tunisia-news/latest-news/discours-du-suffet-26-novembre-2008-2/menu-id-69.html
LA DEFORESTATION DE GAMMARTH.
La profondeur de mon attachement à mon pays m’incite en tant que citoyen à avoir une attitude critique à l’ègard de certains agissements quelques peu ambigus. On m’a entendu et lu souvent porteur d’éloges sincères au travail réalisé dans mon pays sous la houlette de Mr le président BEN ALI et c’est pour celà que j’ose aujourd’hui parler de Gammarth et la disparition lente et maheureuse de sa forêt, après le réussi projet du Golden Tulipe voilà les jardins de Gammarth qui commence à avoir le jour avec la démolition de beaucoup d’arbres dont certains centenaires et ce n’est pas tout d’autres constructions d’içi et là poussent derriere les arbres comme pour cacher le massacre.
La forêt de Gammmarth est un espace environnemental unique et constitue les poumons de la banlieue nord.
De part mon intervention j’appelle les hautes autorités de l’Etat à sauver Gammarth, de stopper les spéculation de ses terres.
Oui aux projets intégrés, globaux appartenant aux structures de l’Etat, non aux facilités et à l’enrichissement individuels. Ce phénomène que j’appelle d’enrichissement d’urgence est devenu monnaie courante et ne peut être le bon choix du futur pour le pays. L’idée dominante à présent est ” On fait son beurre et l’on s’en va”. La pensée aux générations futurs …nos enfants et nos petits enfants est nécessaire et impérative.
@Mr. Le Citoyen,
Les hautes autorités de l’Etat sont absentes et leurs solutions sont pires que les problèmes.
Merci .
arrêtez de faire les révolutionnaire !!! regarder tout les projet que le président a fait pour vous et vos enfant!!soyez reconnaissant ou vous croyez que les étranger s’installe en Tunisie pour rien !!comme ils disent eux bilad al amn oual ameen!!vive la Tunisie vive ben ali
vive la Tunisie vive ben ali
hi mr sami
j voulais juste te dire ke votre commentaire est vraiment honteux
vive la tunisie,chui d accord mais vive ben ali;la chui pa d accord,cet homme la il mérite pas etre 1 président il mérite plutot etre 1 assasins des innocents,,,j veux dire les pauvres journalistes qui voulaient juste s exprimer…les gens comme vous méritent pa etre des citoyens tunisien,notre pays est entre les mains d 1 dictateur,le peuple souffrent a cause de la pauvereté, biensur vous fete l exception,comb1 de maison et de voiture vous avez en tout?regardez les gens qui galere tout les jours pour survivre,pour pouvoir vivre dans 1 pays ou il n ya plus que l argent qui compte,si t en a,tu vi la bonne vie ,si t en a pa,on t ecrase,
mon cher sami,je suis une jeune fille que toute sa vie a été détruit a cause d un systeme merdik comme celui de ben ali,chui morte a l interieur parce que j etais une etrangere dans mon propre pays,
trabelsi s are a typ of a greed people in tunisia
they steal evrything from the people
well they are a bunsh of rubbers
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ben ali is an exemple of a bad president just like the other arabian president
well **** um and god bless tunisia
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i can t forget his god deamn ***** miss leila
a **** up family
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i forgot something my CIN is 08836*** and **** e if you can
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Ya Hayfa, il faut qu on apprenne a se respecter moi je fais partie de l opposition, je defends les gens comme toi qui sont des laisses pour compte,que l orientation econmique de l administration Tunisienne a marginalise les masses populaires et les a appauvit d accord,,je suis pour un etat social,on doit apprendre a se supporter, si je lutte pour la diversite et le pluralisme politique, et pour l alternance au pouvoir,alors je n ai pas le droit d insulter ceux qui sont pour Ben Ali, ils ont le droit a la parole, et nous avons le droit aussi a dire que Chebbi ou Hamami nous representent et representent nos aspirations populaires ,nous devons aussi empecher ceux qui sont pour Ben Ali de nous empecher d etre pour Hama Hamami et voter la liste Hamami et surtout soutenir que notre condidat a la Presidentielle c est Chebbi,le Rassemblement a le droit de choisit leur elu ou leur condidat a la presidence et nous nous avons le droit de choisir notre condidat et etaler notre programme , et finalement le peuple choisit au suffrage universel Ya Ayfa ca c est la democratie , elle est basee sur la tolerance et surtout Adam takhouin alraye alakher,on n accepera jamais que le pouvoir nous traite de traitre et aussi nous devons pas traiter notre adversaire de tous les noms.il faut saisir cette rubrique pour reciter un fait d injustice et tout le monde va se solidariser avec toi meme les Presidents et les chefs d Etat lisent maintenant ces articles qui sont traduits en plusieurs langues, mais des que tu commences a insulter meme le President c est fini on t ecoute plus,ceux qui peuvent devenir solidaire de toi t bondonnent, tes amis ne t ecouteraient plus et ils disent c est un niveau bas.apprend a faire passer un message au monde qui t ecoute sans tomber dans les bassesses verbales.encore une fois si tu a ete victime d une injustice ou l un des tiens est victime aussi d un reglement de compte ,ou abus de pouvoir alors tu as l occasion de nous faire part de ta plainte ici les ONG sont la pour t ecouter, recite les faits et le monde reagira de ton cote.Mais encore une nous devons leurs donner l exemple que nous on utilise pas leur methode.Ahna asham kiam wa akhlak ahana ashab mabda wa adna dhamir.wa lasna achkhass minahtin nahich fi radhala wal fassad.
réponse pour mr zbiss;merci d avoir répondu a mon commentaire mr zbiss;j voulais éclaircir un point,j voulais pas vraiment insulter qui que ce soit,c etaient des paroles spantannée d une personne qui n a plus aucun espoir,ce que j ai di est vrai simplement j aurai du le dire avec un ton moin agressif ou plutot etre plus respectueuse envers mr ben ali et ses supportaires…le probleme c est que ya plus de respect,de tolérance en tunisie,les gens deviennent de plus en plus agressifs,incompréhensifs,intolérents et suite a cela ils ne comprennent,ne respectent plus la minorité des gens qui ont des bonnes valeurs,des bon principes et des discours rationels;l administration tunisienne et l abus du povoir en tunisie a malheureusement effecté une société sans valeurs et sans moral;en ce qui concerne les elections j ai bien peur que ben ali reste encore sur la tete du povoir pour 4ans de plus et qui sait peut etre plus…moi je serai a coté de mr chébbi et j aimerai bien pour la meme occasion lui passer un message;la tunisie n a pas seulement besoin d une reforme politique et administrative mais aussi d une réforme sociale…comme g deja annoncé a mon dernier commentaire,moi je suis morte a l extérieur,je suis desespéré et ce que je ressens je le souhaite a personne surtout aux jeunes gens comme moi…
[…] juge Jean-Bastien Risson, instructeur de l’affaire des « yachts volés » a eu la joie un peu trop précipitée en signant, le 31 juillet dernier, l’ordonnance de […]
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