Avec les manifestations et les sit-in qui s’enchaînent depuis l’assassinat le 25 juillet du leader de gauche Mohamed Brahmi, la guerre sur le nombre des manifestants fait rage. Dernière bataille en date : celle sur le nombre de manifestants présents samedi soir 3 août à la Kasbah pour la “milyounya” (mot désignant une manifestation d’un million de personnes) pour “la légitimité”, organisée par le Parti Ennahdha.
Malek Khadhraoui
Tunisian blogger [ Stranger ] and activist. Blog about censorship and politics. Nawaat's Board member.Dans un communiqué du ministère de la justice, Le Procureur de la République de Tunis a annoncé qu’il a ordonné, ce mardi 25 juin, l’ouverture de deux instructions judiciaires, l’une concerne l’affaire connue sous le nom de EssebsiGate en relation avec la vente des parts de Slim Chiboub dans la société Voyageur et la deuxième, suite aux accusations portées par Daren Stevenson contre le gendre de Ben Ali et des hauts fonctionnaires publics, lors de son passage dans l’émission Labes sur la chaine Ettounoussya.
Alors que les pourparlers entre la Tunisie et les Seychelles battent leur plein pour faire exécuter le mandat d’arrêt international émis à l’encontre de Sakhr el Materi, le gendre du dictateur déchu, il a été vu à Londres, samedi 27 avril au soir, dans l’hôtel de luxe Sofitel de l’aéroport londonien Gatwick, où il avait une chambre.
Non-lieu pour les 4 rappeurs remerciés dans le clip de Weld El 15. Madou MC, Emino, Lil’K et Spoiled Boy,… Lire la suite
في بلاغ نشر على الصفحة الرسمية لوزارة الداخلية بفيسبوك أعلن وزير الداخلية إجراء حركة نقل بمحافظة مطار تونس قرطاج شملت… Lire la suite
A peine deux ans après le départ de Ben Ali, la Tunisie est passée du culte de la Première dame, instauré par Leila Trabelsi et ses zélés thuriféraires, au culte du secret le plus absolu autour de l’état civil du président. En effet, l’état civil de Moncef Marzouki, semble être le secret le plus gardé de la République. Un secret qui alimente les rumeurs les plus folles allant jusqu’à inventer au Président des présumées aspirantes.
تم اليوم خلال أشغال المجلس الوطني الثالث لحزب المؤتمر من أجل الجمهورية الذي يتواصل على امتداد يومين (30 و31 مارس… Lire la suite
Tunisia should mark its national day of internet freedom on 13 March by releasing immediately and unconditionally 28-year-old blogger Jabeur… Lire la suite
La correspondante d’El Hiwar a Gafsa, Samira Souri, a été agressée à El Guetar alors qu’elle couvrait un événement du… Lire la suite
Eighteen months after the popular uprising which put an end to the Ben Ali regime, one of the few tangible signs of this event remains, undeniably, the sense of free speech which it engendered. Graffiti, tags and the different forms expression that can be seen in the art of the streets have come to represent a concrete manifestation of this freedom of speech and thought.
Dix-huit mois après le soulèvement populaire qui a mis fin au règne de Ben Ali, l’un des rares signes tangibles de cet événement est incontestablement la libération de la parole. Le Graffiti, le tag et les différentes formes d’expression de l’art de rue ont été une des matérialisations concrètes de cette libération de la parole et de la pensée.
Des élus du Takattol et du CPR ainsi que tous les élus du “bloc démocratique” rejoint par des élus du mouvement Wafa (ex-CPR), des élus de Al Aridha et de certains élus indépendants ont refusé de réintégrer la salle et ont tenu une réunion dans les couloirs de l’assemblé pour rédiger une demande de motion de censure…
Depuis lundi soir, certains quartiers de Tunis et plusieurs villes du pays, sont victimes d’une vague de violence, en signe de protestation à l’exposition du Printemps des arts. Une exposition dans laquelle figurait des tableaux jugés “blasphématoires”, selon les déclarations du ministre de l’Intérieur