J’ai mis, dans un récent article, l’accent sur l’incompatibilité absolue entre la pratique actuelle du visa biométrique et la souveraineté nationale, osant rappeler la nécessité de le résoudre en appelant à la levée pure et simple du visa comme appoint capital à la réussite de la nouvelle modernité politique en Tunisie.
Ce pavé dans la mare de la bienpensance n’a pas manqué de susciter de l’indignation et de la moquerie, qui sont l’une et l’autre la preuve d’une gêne absolue devant une vérité inexorable.
Pour les uns et les autres, le visa biométrique est une réalité incontournable (ce que je n’ai pas manqué de signaler dans mon article) et il est farfelu d’aller à l’encontre de cette réalité en demandant la levée du visa qui relèverait alors de la pure folie irréaliste, ce qui est faux et je le démontrerai dans ce qui suivra.
Que pareille réaction vienne de la part des chancelleries étrangères en Tunisie, cela n’est pas pour étonner puisqu’elles ne font que défendre leur propre politique par tous les moyens, les bons comme les mauvais. Et ici, il s’agit, bien évidemment, de mauvais arguments, car dénotant, au mieux, une politique de courte vue, quand ce n’est pas simplement, et au pire, de la mauvaise foi.
Mais ce qui est surprenant, c’est que cela vient aussi de nos diplomates et hommes politiques au prétexte fallacieux d’une pratique réaliste de la diplomatie et de la politique; ce qui montre à quel point nos mentalités ont encore besoin de faire leur propre révolution pour être au diapason de l’âme libertaire du peuple.
Car, ces diplomates et politiciens, au lieu de repenser la politique à la faveur des réalités nouvelles en Tunisie et dans le monde, continuent ainsi de penser à l’occidentale et à faire des catégories de pensée en cours en Occident un impératif catégorique, une sorte de sacralité à ne point enfreindre, et ce au moment même où nous luttons en Tunisie contre une pratique politique figée, car se pratiquant au nom du sacré !
Savent-ils seulement, ces penseurs et politiques censés et raisonnables, que la sociologie contemporaine parle d’une orientalisation du monde, que le monde occidental, en se détournant de ses sources orientales, a perdu son âme, et qu’il fut un temps où la sagesse, y compris en politique et en diplomatie, venait des pays d’Orient? En quoi serait-il surprenant donc ou impensable qu’il en soit ainsi aujourd’hui et demain?
Ma conviction, exprimée à travers tous mes articles ici et ailleurs, est que cela sera possible bientôt avec la réussite de l’expérience démocratique en cours en Tunisie et qui fera de notre pays un modèle de modernité politique, un pays postmoderne, assumant et réussissant sa postmodernité. Cela se fera grâce au génie immanent à son peuple bien plus mature dans ses couches les plus humbles que sa prétendue élite, et a l’originalité dont il est en mesure de faire montre en toute occasion, surtout ces moments les plus tragiques dont la réémergence caractérise la postmodernité ambiante, ce tragique au sens de saturation de l’arraisonnement technocratique de la nature, y compris humaine, et de la fin de la maîtrise du phénomène social par un rationalisme dépassé en un monde ou être irrationnel c’est désormais moins être non-rationnel qu’être rationnel autrement.
Pour revenir à la question du visa, l’originalité tunisienne pourra se concrétiser de la façon suivante si seulement nos dirigeants actuels veulent bien se mettre au diapason de l’intelligence de leur peuple :
1 — D’abord, en soutenant, comme je l’ai démontré dans mon article précité, que le visa biométrique tel qu’il se pratique actuellement sur le territoire national est incompatible avec la souveraineté nationale, qu’il est même une insulte à la dignité bien comprise de tout Tunisien.
2 — En demandant sans plus tarder la levée du visa au nom du peuple dont c’est l’une des manifestations cardinales de son désir de dignité, bien avant même le boire et le manger; le Tunisien, et ce au-delà des apparences trompeuses, acceptant mourir de faim que de souffrir indéfiniment d’absence de sa liberté chérie.
3 — En solution intermédiaire à l’imbroglio juridique que pareille demande officielle ne manquera pas d’entraîner, outre les réticences démagogiques inévitables, la Tunisie — en pays de sagesse ancestrale — proposera à ses partenaires que le visa biométrique actuel soit toléré exceptionnellement pour un temps qui sera le temps de l’expérimentation nécessaire de la libre circulation à laquelle j’appelle entre la Tunisie, nouvelle modernité politique, et les États démocratiques dans une ère de coopération politique et de codéveloppement économique et politique. Ce maintien pour un temps, une sorte de moratoire, se fera sous forme de transformation du visa actuel en un visa de circulation, d’un an minimum et de cinq ans maximum, par exemple, à octroyer gratuitement aux Tunisiens dans une étape probatoire pour expérimenter l’intégration de la Tunisie à l’espace Schengen élargi à la Méditerranée et incluant tout État ayant fait preuve de démocratisation avérée et de modernité politique certaine, communiant dans les valeurs humaines universelles.
Voici donc, en trois points, une solution qui est de nature à satisfaire tout le monde et qui n’est nullement farfelue, tenant compte des exigences actuelles de sécurité des pays occidentaux sans léser les droits à la dignité des Tunisiens ! Cette proposition relève du cadre de la politique compréhensive à laquelle j’appelle et de la nécessité de laquelle tout vrai politicien ne peut que convenir, car c’est le sens de l’histoire.
Or, la question est de savoir si l’on est capable d’anticiper les mesures nécessaires pour ne pas contrarier le cours de cette histoire et devoir subir dans les pires conditions les conséquences inéluctables en perspective de notre par trop excessif aveuglement au nom d’un principe de réalité fallacieux et bien réducteur de la vraie vérité.
ma Tunisie avec à sa tête une équipe 100%franc-maçonnique,sa sent le nouvel ordre mondial!!un passeport biométrique afin que vous soyez suivit à la trace!!l’oeil doit tout voir!!!la franc_maçonnerie joue son rôle de diversion afin de guider mon peuple vers les ténèbres!!pauvre journaliste,vous comprendrez le jour de la résurrection face à notre créateur le tout puissant,vous saisirez ce que veut dire l’adoration absolu en notre créateur HALLAH,le tout puissant!!alors que vos êtres et vos âmes devaient travailler uniquement pour les attentes de notre seigneur le tout puissant,vous avez dérogé à la règle!!faciliter la mise en place de l’imposture vous sera signifié dans un avenir proche!!il ne tenait qu’à vous de travailler dans le droit chemin,tout acte produit des cause à effets,l’addition sera lourde!!!
J’ai mis, dans un récent article, l’accent sur l’incompatibilité absolue entre la pratique actuelle du visa biométrique et la souveraineté nationale, osant (le type se prend pour un briseur de tabou, quelle audace d’appeler à la fin des visas !) rappeler la nécessité de le résoudre en appelant à la levée pure et simple du visa comme appoint capital (des phrases à rallonge avec pleins de participes présent donnent beaucoup de legerté au texte) à la réussite de la nouvelle modernité politique en Tunisie (de la légerté ici aussi : les formules creuse sont plus légères que les formules pleines).
Ce pavé dans la mare de la bienpensance (ca c’est le top !) n’a pas manqué de susciter de l’indignation et de la moquerie (et oui les philosophes ayant 100 ans d’avance sont rarement compris par leurs contemporains) , qui sont l’une et l’autre la preuve d’une gêne absolue (une gêne ABSOLUE, ca c’est carrément drôle) devant une vérité inexorable (mais combiné à vérité INEXORABLE…. la portée prophétique du texte nous impose le silence).
Pour les uns et les autres, le visa biométrique est une réalité incontournable (ce que je n’ai pas manqué de signaler dans mon article) (ce que tu n’a pas manqué de signaler durant les paragraphes précédents) et il est farfelu d’aller à l’encontre de cette réalité en demandant la levée du visa qui relèverait alors de la pure folie irréaliste, ce qui est faux et je le démontrerai dans ce qui suivra (au dela de l’élégance de “la pure folie irréaliste”. on note que toute cette phrase-paragraphe est une nouvelle occasion pour l’auteur de parler de lui, de lui même, de lui prophète et briseur de tabous. Pour l’instant l’auteur n’a rien dit, à part qu’il allait renverser des codes, bousculer des idées reçues pour avancer une vérité inexorable).
Que pareille réaction vienne de la part des chancelleries étrangères en Tunisie, cela n’est pas pour étonner puisqu’elles ne font que défendre leur propre politique par tous les moyens, les bons comme les mauvais. Et ici, il s’agit, bien évidemment, de mauvais arguments, car dénotant, au mieux, une politique de courte vue, quand ce n’est pas simplement, et au pire, de la mauvaise foi. (l’auteur n’a encore rien dit mais nous en apprend plus sur ses terribles détracteurs. Ils sont cyniques ? l’auteur les comprend, ses ennemis ne sont que des aveugles, partis d’un systeme. on notera que le style se fait plus vif, les phrases plus courtes : il a cette fois divisé son paragraphe en deux phrases !! La seconde est entrecoupée par seulement 9 virgules !!! tout va très vite, le récit est haletant)
Mais ce qui est surprenant, c’est que cela vient aussi de nos diplomates et hommes politiques au prétexte fallacieux d’une pratique réaliste de la diplomatie et de la politique; ce qui montre à quel point nos mentalités ont encore besoin de faire leur propre révolution pour être au diapason de l’âme libertaire du peuple. (sur le fond : même chose que le paragraphe précédent, il parle de ses détracteurs mais n’a toujours rien dit sur le fond. on noterra que le final “l’ame libertaire du peuple” donne une dimension russie soviétique à cette phrase-paragraphe)
Car, ces diplomates et politiciens, au lieu de repenser la politique à la faveur des réalités nouvelles en Tunisie et dans le monde, continuent ainsi de penser à l’occidentale et à faire des catégories de pensée en cours en Occident un impératif catégorique, une sorte de sacralité à ne point enfreindre, et ce au moment même où nous luttons en Tunisie contre une pratique politique figée, car se pratiquant au nom du sacré ! (là le mec délire complètement, soudain les pratiques politiques figées sont le fait de l’occident ! mais on croit rêver. victimaire, déresponsabilisant. Les enemis de l’évolution tunisienne sont donc les diplomaties occidentales. Par contre, l’auteur et sa brillante pensée orientale (dont on aimerait beaucoup qu’il nous explique davantage en quoi elle consiste) va briser ces tabou et cette “sacralité à ne point enfreindre”… il le fera sans doute dans le paragraphe suivant car pour l’instant il tarde encore un peu a accoucher.
Savent-ils seulement, ces penseurs et politiques censés et raisonnables, (j’aime beaucoup le côté à la fois donneur de leçon et finement ironique) que la sociologie contemporaine (mais qui ? cite tes sources garçon) parle d’une orientalisation du monde, que le monde occidental, en se détournant de ses sources orientales, a perdu son âme, et qu’il fut un temps où la sagesse, y compris en politique et en diplomatie, venait des pays d’Orient? En quoi serait-il surprenant donc ou impensable qu’il en soit ainsi aujourd’hui et demain? (bon, notons qu’il n’a toujours pas accouché et continue de faire des moulinets dans le vide, invoquant cette fois l’histoire. Il rétablit courageusement “qu’il fut un temps” où l’orient eu une supériorité intellectuelle et diplomatique sur l’occident… ce que personne ne conteste).
Ma conviction, exprimée à travers tous mes articles ici et ailleurs (roulement de tambour à la première personne, sans doute va-t-il enfin aborder le coeur du sujet ?) , est que cela sera possible bientôt avec la réussite de l’expérience démocratique en cours en Tunisie et qui fera de notre pays un modèle de modernité politique, un pays postmoderne, assumant et réussissant sa postmodernité. Cela se fera grâce au génie immanent à son peuple (non mais le mec est en plein délire romantique) bien plus mature dans ses couches les plus humbles que sa prétendue élite (oui, les méchants manipulateurs occidentalisés) , et a l’originalité dont il est en mesure de faire montre en toute occasion (le sens de la nuance) , surtout ces moments les plus tragiques dont la réémergence caractérise la postmodernité ambiante, ce tragique au sens de saturation de l’arraisonnement technocratique de la nature, y compris humaine, et de la fin de la maîtrise du phénomène social par un rationalisme dépassé en un monde ou être irrationnel c’est désormais moins être non-rationnel qu’être rationnel autrement. (“ce qui se conçoit bien s’énonce clairement”. En lisant la fin de la phrase on tentera d’établir un lien avec son début, son milieu et le reste de l’article. Ha, si le lien avec le reste de l’article est évident : l’auteur (comme le peuple génial) est un prophète incompris, “rationnel autrement” ).
Pour revenir à la question du visa (ha oui, c’est vrai que l’article devait parler de visa. rappelez vous du titre) , l’originalité tunisienne pourra se concrétiser de la façon suivante si seulement nos dirigeants actuels veulent bien se mettre au diapason de l’intelligence de leur peuple : (mais que faire à part rire devant tant de démagogie et de rejet primaire des élites. vous reprendrez bien une tartine de populisme ampoulée ?)
1 — D’abord, en soutenant, comme je l’ai démontré dans mon article précité (ha oui, celui précité 24 fois dans les 10 premier paragraphe de cet article, que tu précitera à son tour plus de 30 fois dans l’article suivant) , que le visa biométrique tel qu’il se pratique actuellement sur le territoire national est incompatible avec la souveraineté nationale, qu’il est même une insulte à la dignité bien comprise de tout Tunisien (qu’est ce que la dignité bien comprise ? si c’est toi qui la formule cette dignité c’est pas certain que tout le monde la comprenne bien) .
2 — En demandant sans plus tarder la levée du visa au nom du peuple dont c’est l’une des manifestations cardinales de son désir de dignité, bien avant même le boire et le manger; le Tunisien, et ce au-delà des apparences trompeuses, acceptant mourir de faim que de souffrir indéfiniment d’absence de sa liberté chérie (Hugo, va poser la question à ceux qui meurent de faim) .
3 — En solution intermédiaire à l’imbroglio juridique que pareille demande officielle ne manquera pas d’entraîner (ha oui, on allait oublier qu’au delà des grands discours il y avait aussi une dimension très concrète et juridique au visa) , outre les réticences démagogiques inévitables, (discalifions un peu ses adversaires diplomates et élites, ca fesait longtemps) la Tunisie — en pays de sagesse ancestrale — proposera à ses partenaires que le visa biométrique actuel soit toléré exceptionnellement pour un temps qui sera le temps de l’expérimentation nécessaire de la libre circulation à laquelle j’appelle entre la Tunisie, nouvelle modernité politique, et les États démocratiques dans une ère de coopération politique et de codéveloppement économique et politique (toujours cet art de caser 5 idées dans une même phrase. le sens absolut de la synthèse) . Ce maintien pour un temps, une sorte de moratoire, se fera sous forme de transformation du visa actuel en un visa de circulation, d’un an minimum et de cinq ans maximum, par exemple, à octroyer gratuitement aux Tunisiens dans une étape probatoire pour expérimenter l’intégration de la Tunisie à l’espace Schengen élargi à la Méditerranée et incluant tout État ayant fait preuve de démocratisation avérée (mais qui va juger de la ddémocratisation avérée, et sur quels critères ?) et de modernité politique certaine (pfffff, désespoir…) , communiant dans les valeurs humaines universelles (SIC et re-SIC).
Voici donc, en trois points, une solution qui est de nature à satisfaire tout le monde et qui n’est nullement farfelue (bah vous voyez c’était tout simple finalement !!) , tenant compte des exigences actuelles de sécurité des pays occidentaux sans léser les droits à la dignité des Tunisiens (et il a penser à tout) ! Cette proposition relève du cadre de la politique compréhensive à laquelle j’appelle et de la nécessité de laquelle tout vrai politicien ne peut que convenir (les autres étant sans doute de FAUX politiciens, sans doute des élites occidentalisées et soumises) , car c’est le sens de l’histoire (le dernier argument d’un prohphète est toujours béton) .
(et voici la dernière phrase-paragraphe, à lire sans respirer) Or, la question est de savoir si l’on est capable d’anticiper les mesures nécessaires pour ne pas contrarier le cours de cette histoire et devoir subir dans les pires conditions les conséquences inéluctables en perspective de notre par trop excessif aveuglement au nom d’un principe de réalité fallacieux et bien réducteur de la vraie vérité. (et on meurt étoufé sur “vrai vérité”…mais on meurt les yeux ouverts, merci.)
LA FAUTE A LA “””REVOLUTION””” TUNISIENNE
Bon , en supposant comme Sofiane qu’il s’agit d’une mesure réellement discutée par les Franc-maçons du gouvernement, la justification éclate aussitôt:
-Les Français et les Italiens ne veulent plus des Tunisiens qui arrivent clandestinement par la mer
-Les Libyens du CNT/OTAN (contrairement au bon vieux temps de la Jamahiriya), en bon valets de l’impérialisme, veulent imposer des “contrôles sévères aux frontières”.
-Les Syriens se méfient des Tunisiens après que ces voyous au gouvernement soutiennent l’équivalent du CNT/OTAN en Syrie (et sa fameuse “”””armée syrienne libre”””) et ont même fermé l’ambassade à Tunis.
-etc, etc
IL n’y a jamais eu de “””révolution””” dans ce pays [1]. Après 1 an et demi de “””révolution”””:
-les chômeurs sont toujours aussi nombreux
-les tomates sont toujours plus chères qu’auparavant
-l’économie n’a jamais été aussi capitaliste qu’avant.
-la liquidation de la solidarité internationale n’a jamais été aussi loin (Libye livrée avec la complicité du gouvernement tunisien aux milices du CNT/OTAN)(Gouvernerment qui hurle avec les loups impérialistes contre la Syrie )(Palestine dont on ne parle plus)(etc etc)
-etc.
Un changement de constitution, ce n’est pas une révolution.
Parler des homosexuels de Tunisie et bientôt du Mariage Gay en Tunisie, c’est peut-être nouveau mais c’est pas ça qui fait une “””révolution”””[1].
[1] Révolutionnaire tunisien, que savais-tu et que sais-tu encore de la Libye ? [Tunisian Revolutionary, what did you know about Libya and what do you still know?]. Les Pacifistes de Tunis, 25 janv. 2012
http://www.mathaba.net/news/?x=629835
[…] légitimes impératifs actuels de sécurité de l’Europe, soit l’instauration d’un visa biométrique de circulation. Et j’ai noté, par ailleurs, que la Tunisie a droit à pareil traitement exceptionnel eu […]
[…] 5. Il a fait l’objet du premier article ici même, sur Nawaat. cf. : Pour un visa biométrique de circulation pour les Tunisiens. […]
[…] Certes, l’Europe a en souci premier la sécurisation de son territoire; or, il existe un outil performant de nature à respecter de tels réquisits sécuritaires sans sacrifier au légitime droit de libre mouvement; c’est celui du visa biométrique de circulation proposé pour la première fois ici même. […]