La traite d’esclaves d’Afrique subsaharienne est inévitablement associée au grand trafic transatlantique organisé à partir de l’Europe et des Amériques, qui a conduit à la déportation d’environ 11 millions d’Africains en Amérique. Bien que cruel et inhumain, considérer le commerce transatlantique d’Africains comme le seul ayant contribué à ce crime contre l’humanité, c’est oublier, d’abord, les traites internes, destinées à satisfaire les besoins en main-d’œuvre de l’Afrique noire pré-coloniale. Elles auraient pourtant concerné selon Patrick Manning, au moins 14 millions de personnes. C’est oublier ensuite et surtout les traites « orientales », qui alimentèrent en esclaves noirs le monde musulman et les régions en relation avec ses circuits commerciaux.
Ces traites, malgré leurs ampleurs, demeurent mal connues. Leurs évaluations chiffrées font l’objet de nombreuses erreurs. Seuls les travaux de l’historien américain Ralph Austen, nous fournissent les données les plus solides sur le sujet Selon lui, dix-sept millions de personnes auraient été déportées par les négriers musulmans entre 650 et 1920. Plus généralement les historiens évaluent de douze à dix-huit millions d’individus le nombre d’Africains victimes de la traite arabe au cours du dernier millénaire. Les comptes précis tenus par l’administration du sultan de Zanzibar ont permis d’évaluer à plus de 700.000 le nombre d’esclaves qui ont transité par l’île à destination du Golfe arabo-persique entre 1830 et 1872. Un chiffre très élevé qui peut justifier largement le chiffre avancé par Ralph Austen. Au total, à elles seules, « les traites orientales » seraient donc à l’origine d’un peu plus de 40 % des 42 millions de personnes déportées par l’ensemble « des traites négrières ». Elles constitueraient ainsi le plus grand commerce négrier de l’histoire.
Le Coran, tout en sacralisant la liberté, entérine l’existence de l’esclavage tout comme d’ailleurs les textes bibliques. Le premier muezzin désigné par le Prophète pour l’appel à la prière est un esclave noir du nom de Bilal originaire d’Éthiopie. Comme les chrétiens du haut Moyen Âge, les musulmans s’abstiennent de réduire en esclavage leurs coreligionnaires mais cette règle souffre de nombreuses transgressions et l’on ne rechigne pas à asservir des musulmans, notamment noirs, au prétexte que leur conversion est récente. La réduction en esclavage de quiconque n’est pas musulman est par ailleurs pas condamnée par La loi islamique ou charia.
La traite arabe des esclaves d’Afrique commence alors en 652, vingt ans après la mort du prophète, lorsque Abdallah ben Sayd impose aux Nubiens la livraison de 360 esclaves par an. Le trafic suit d’abord les routes transsahariennes. Des caravanes vendent à Tombouctou par exemple des chevaux, du sel et des produits manufacturés. Elles en repartent l’année suivante avec de l’or, de l’ivoire, de l’ébène et… des esclaves pour gagner le Maroc, l’Algérie, l’Égypte et, au-delà, le Moyen- Orient. La traite islamique des esclaves se déroulait également autour du Lac de Giad, Au Congo, où les négriers Jallaba commerçaient avec les Kreish et avec les Azande. La route qui suivait la ligne de partage des eaux entre le Nil et le fleuve Congo était également très fréquentée par les négriers arabes qui arrivaient des zones orientales de l’Afrique. Dans l’Afrique orientale, les promoteurs du commerce des esclaves étaient les peuples Musulmans Yao, Fipa, Sangu et Bungu. Sur la rive de l’actuel lac du Malawi fut institué en 1846 le sultanat musulman du Jumbe avec le but précis de favoriser le commerce des esclaves.
Au XIXe siècle se développe aussi la traite maritime entre le port de Zanzibar et les côtes de la mer Rouge et du Golfe persique. Fondée par des chiite en provenance du Golfe persique, Zanzibar (de Zenj et bahr, deux mots arabes qui signifient littoral des Noirs), est une île de l’Océan indien proche du littoral africain où prospéraient des plantations de girofliers sur lesquelles travaillaient des esclaves noirs du continent. Les conditions de travail y étaient épouvantables : «La mortalité était très élevée, ce qui signifie que 15 à 20% des esclaves de Zanzibar (soit entre 9.000 et 12.000 individus) devaient être remplacés chaque année», écrit Catherine Coquery-Vidrovitch.
Le sort de ces esclaves, razziés par les chefs noirs à la solde des marchands arabes, est généralement dramatique. Après l’éprouvant voyage à travers le désert, les mâles sont systématiquement castrés avant leur mise sur le marché, au prix d’une mortalité effrayante. Selon l’anthropologue et économiste Tidiane N’Diyae :
«Le douloureux chapitre de la déportation des Africains en terre d’Islam est comparable à un génocide. Cette déportation ne s’est pas seulement limitée à la privation de liberté et au travail forcé. Elle fut aussi – et dans une large mesure – une véritable entreprise programmée de ce que l’on pourrait qualifier d’’« extinction ethnique par castration » ».
On peut d’ailleurs s’étonner de la quasi-inexistence de descendants d’esclaves noires en pays musulmans alors qu’ils sont 70 millions sur le continent américain. Les colonisateurs européens ont interrompu ces pratiques au début du XXe siècle.
Malgré l’ampleur de la traite « orientale », il existe une tendance à dédramatiser leurs rôles et leurs impacts et à en minimiser la dureté. Cette complaisance est d’une part une forme de réaction aux exagérations des explorateurs européens de la fin du XIXe siècle qui œuvraient pour abolir la traite en Afrique et qui ont parfois noirci la réalité des traites musulmane, insistant sur la cruauté des négriers. D’autre part, la recherche se heurte dans ce domaine à des tabous. « Pour le moment, écrivait Bernard Lewis en 1993, l’esclavage en terre d’islam reste un sujet à la fois obscur et hypersensible, dont la seule mention est souvent ressentie comme le signe d’intentions hostiles. » Analysant des manuels scolaires du monde entier, Marc Ferro écrivait en 1981, à propos d’un livre de la classe de quatrième utilisé en Afrique francophone : « La main a tremblé, une fois de plus, dès qu’il s’agit d’évoquer les crimes commis par les Arabes […] alors que l’inventaire des crimes commis par les Européens occupe, pour sa part, et à juste titre, des pages entières ».
Un déni qui s’explique aussi par des raccourcis idéologiques dépassés, comme la « solidarité » affichée entre pays d’Afrique noire, parfois musulmans, et le monde musulman, du fait d’une commune marginalisation à l’époque de la bipolarisation Est-Ouest, ou du sentiment de ne faire qu’un seul dans un « Sud » défavorisé, par opposition à un « Nord » développé. Le tout est renforcé par des témoignages comme celui d’Emily Rùete. Née Salmé bint Saïd, fille du sultan de Zanzibar et d’Oman (1791- 1856) qui a dû quitter l’île de l’océan Indien pour épouser un commerçant allemand, Dans ses Mémoires, publiés en allemand en 1886, elle écrivait : « [il] ne faut pas comparer l’esclavage oriental à celui qui existe en Amérique [car, pour le premier,] une fois arrivés au terme du voyage, les esclaves sont généralement bien traités sous tous les rapports ».
De nombreux facteurs ont également contribué à minorer l’ampleur des traites orientales par rapport aux traites occidentales. La colonisation de l’Afrique noire par l’Europe ayant suivi la fin du trafic atlantique rendant les réalités esclavagistes occidentales encore plus criantes. Inversement, l’influence des pays d’islam, pourtant parfois plus profonde que celle de l’Europe, fut plus diffuse et souvent plus intériorisée. Il est vrai aussi que « la traite orientale » comportait des caractéristiques qui en réduisaient la visibilité : elle se déroulait en partie à l’intérieur du continent africain alors que le trafic occidental faisait passer les esclaves d’un continent à un autre.
Ce lourd passé occulté par les pays arabes et musulmans reste encore une réalité dans certains d’entre eux. Bien que sous d’autres formes il n’en demeure pas moins une honte pour les pays qui le pratiquent. Il y aurait encore aujourd’hui des centaines de milliers d’adultes asservis, auxquels il faut ajouter autant d’enfants travaillant dans des conditions voisines de l’esclavage à travers le monde musulman. Les travailleurs, d’Afrique de l’Est pour la plupart, mais également d’autres zones du continent, les ressortissants des pays du sous-continent indien, Sri-lankais et Philippins dans leur écrasante majorité sans oublier les populations locales, sont concernées par ces nouvelles formes d’esclavage. Si les pays du Golf sont les plus décriés cette réalité concerne la majorité des pays arabes et musulman.
Alors cette “longue traînée d’inhumanité” qui fut « la traite orientale » à travers les siècles doit nous enseigner – qu’au-delà de la notion de « repentance », notion bien discutable, qui laisse poindre l’anachronisme – qu’il s’agit d’un combat politique contre ces pratiques inhumaines. On conviendra que l’urgence est moins au mea culpa sur des temps révolus qu’à l’action énergique des États et des organismes locaux et internationaux face à l’esclavage moderne. Une tachent noire supplémentaire dans notre histoire, déjà entachée par ces pratiques d’un autre temps.
Khaoula Benzarti
[…]Au niveau de l’Histoire, rien n’est plus faux que d’affirmer que le type d’esclavage pratiqué en Occident (Etats-Unis et Europe) fut pratiqué de tout temps et par toutes civilisations.En effet l’esclavage existe depuis la nuit des temps. Ce fut une époque où c’était même une mesure “humanitaire”!
Je m’explique. Auparavant après les guerres, il fut d’usage de tuer tous les survivants ennemis.
Puis on prit conscience que l’on pouvait bénéficier, là, de “main d’oeuvre” gratuite, alors on institua l’esclavage, épargnant, par la même, la vie des prisonniers de guerre, blancs, noirs ou jaunes. Les esclaves provenaient donc de prisonniers de guerre. Ces personnes pouvaient d’ailleurs souvent être libérées, se racheter, voire se marier avec leur maître, donc s’émanciper.
Donc, “tant qu’il y avait de la vie, il y avait de l’espoir…”
Voilà, résumé, l’esclavage pratiqué par les civilisations anciennes, et ceci est confirmé par d’illustres historiens. L’esclavage y fut donc un fait relevant de l’ordre économique, résultant du travail. Cela est bien clair, et, historique.
Mais AUCUNE de ces civilisations n’avaient établi l’esclavage sur des critères RACIAUX, comme ce fut le cas en Occident! Cela, aussi, est historique.
Aucune ne leur avait donné ce caractère exécrable d’une SERVITUDE PERPéTUELLE: en Occident l’esclave appartenait à son maître, toute sa vie, lui, ses enfants et toute sa descendance, POUR TOUJOURS!!
Cela fut “sanctifié” par Le fameux Code Noir le 17 mars 1685, qui fut tout, sauf l’expression d’une aspiration abolitionniste.[…]
[…]Aucune de ces anciennes civilisations sus-nommées, n’a évoqué une exégèse tendancieuse des Ecritures pour se donner bonne conscience: telle que celle qui dit que la race noire fut maudite par Dieu à travers le mythe biblique de Canaan à Cham (Génèse 5/32, 6/10, 7/13,9/18-25, 10/5, etc).
Aucune de ces civilisations n’ont eu leur “père Bartolomé de Las Casas” pour rappeler qu’il fallait DES NOIRS d’AFRIQUE comme esclaves pour aider les pauvres colons américains, car il lui semblait odieux d’exploiter ainsi…les Indiens…Mais les noirs, descendants de Cham, sont eux prédestinés, selon les Ecritures, à la servitude. Las Casas (entre autres), donna ainsi une justification à l’abominable exportation vers toutes les colonies occidentales. Il y eut aussi des bulles papales.
Voilà, très succinctement, les différences. L’esclavage pratiqué alors par l’Occident procédait d’une idéologie de la supériorité raciale.
Et nous sommes là, très, très loin des pratiques antiques. L’esclavage fut en Occident pratiqué selon un critère ethnique: une faveur réservé aux noirs!
Rien n’est plus faux que d’affirmer que l’Occident ait été à l’avant-garde de l’abolition de l’esclavage tout comme affirmer que “l’abolition” réclamée par l’assemblée française en 1794 fut déterminante et “révolutionnaire”. Il convient d’établir une distinction entre la Traite et l’esclavage.
1) la dite assemblée avait aboli l’esclavage mais pas la traite (le commerce d’esclave). Cela n’eut donc aucun effet sur le sort des malheureux extirpés d’Afrique pour améliorer le confort et l’économie des colons. La traite continua donc de plus belle. La première loi française à son encontre est datée d’avril 1818.
2) outre des raids esclavagistes au coeur de l’Afrique, l’Europe provoquaient les guerres tribales en Afrique en excitant et armant les indigènes. Sachant que ces “guerres” leur ramènera leur lot de prisonniers pour remplir leurs navires négriers qui attendaient en rade.
Toutes leurs expéditions étaient accompagnées, depuis l’Europe, de trafiquants d’esclaves. Pourquoi? Pour prôner l’abolition???
3) La traite négrière ne prit fin que par un processus graduel procédant lui-même d’un faisceau d’éléments, moraux, économiques, stratégiques etc, qu’il est impossible d’exposer dans ces quelques lignes.
Non, ni en 1794, ni le 1er janvier 1849, les colons ne se sont pas mis à embrasser leurs “frères esclaves”. Et tous savent pourquoi.
Si les personnes d’origine africaines ne sont pas en droit, selon certains, de demander et obtenir réparation des séquelles, des abus, des viols de leur corps comme de leur conscience, alors, pour le moins l’Occident DOIT se repentir d’avoir menti sur Dieu, et demander pardon. […]
[…]les arabes furent en Afrique depuis l’an 700. L’influence islamique est là depuis l’an 700. Bien des cartes anciennes de l’Afrique tirent leurs origines des géographes arabes. Et sur ces cartes, francisées, de vastes régions d’Afrique sont appelées “Pays des Cafres” (traduire: pays des incroyants). Il s’agissait donc tout simplement d’une appellation géographique BIEN ANTÉRIEURE à l’esclavage “moderne” (raciste) de l’Europe. Ces derniers ont tout simplement repris une appellation arabe certes, mais PRÉ-existante, pour dénommer ces peuples d’Afrique. Les arabes, eux-mêmes ont une origine africaine! Ceci explique aussi pourquoi l’Islam fut et est toujours solidement implanté en Afrique, pourquoi 80% des esclaves importés au Brésil étaient musulmans, 50% pour les USA; pourquoi la colonie portugaise alors du Mozambique porte le nom latinisé de son ex-chef musulman africain Moussa Bin Beik. C’est ce que me révèle l’HISTOIRE.
[….]
Il y a 1400 ans que le Coran ne cesse de prôner la libération des esclaves comme un acte de grande piété. Tous les prétextes et le moindre abus des maîtres servaient à l’affranchissement des esclaves. Les esclaves devaient être traités comme un membre de la famille. La sagesse inhérente était une émancipation progressive qui préservât l’ordre et la réadaptation économique conséquente.
La liste des versets concernés seraient trop longue, aussi je n’en mentionne que quelques uns, libre à quiconque de vérifier: Chap. 45:vers.5, chap.2:177, 24:33, 40:13, 4:94, 5:91, 4:29, 24:32.
Le meilleur des croyants est le plus pieux, clame le Coran.
Point de distinction de race ou de rang en Islam.
L’histoire du fameux appel à la prière, l’Azaan, geste que répète, aujourd’hui, les musulmans sur les 5 continents, est éloquent: il fut ordonné par le prophète à un noir abyssinien, Bilhal, l’honneur de le faire pour la première fois dans l’Islam naissant.
Le fils adoptif du prophète Mohammad (Paix sur lui) fut un esclave noir affranchi: Zaïd.
L’épopée de l’Islam est jalonnée de faits de ce genre, et sont bien connus et reconnus. Aussi je n’insisterai pas plus sur cette fraternité prônée par l’Islam.[…]
Mohammad Amine ALIBHAYE
FRATERNITÉ DES MUSULMANS RÉUNIONNAIS
“80 pour cent des esclaves importes au bresil etaient musulmans”. FAUX. Ils venaient a majorite d’Afrique centrale (congo, angola). Renseignez-vous donc.
Si tout les esclaves objets du code noir étaient arrivés vivant outre Atlantique, il y’a aurait pour 4 siecles de code de noir 750 millions de descendants d’esclaves.
Soit 2 fois et demi l’ensemble des peuples arabiophones, qu’on accuse à tort, par ignorance ou par volonté de les diffamer.
Car seul 1 sur 5 est arrivé vivant, et il y’a aujourtd’hui environ 150 millions de descendants d’esclaves outre Atlantique.
On reconnait que pour les 14 siecles d’accusation, quasiment pas de traces de ces esclaves noirs, d’ou par délinquance intellectuelle à des fins purement opportunistes on accuse de génocide par castration et par infanticide.
Ce que tu peux reprocher aux musulmans est de ne pas avoir accepté de sacrifier leurs vies pour transmettre l’islam au monde entier, ce qui l’aurait totalement pacifié, et donc fait en sorte que ni des occidentaux, ni des noirs africains non musulmans n’aient de captifs de guerre à vendre.
Le captif de guerre s’il avait connnaissance de ce qu’allait lui réserver les esclavagistes occidentaux, il priait pour etre vendu dans le monde musulman.
Jamais ni orientaux, ni maghrébins n’auraient pu aller rafler des noirs sans se faire massacrer par les hommes en armes noirs, d’autant plus que les accusations sont faite concernant des siecles d’armes égales puisque blanches.
A cela tu ajoutes un Coran qui dit que Dieu dissuade du crime et de l’ijustice par la pire peine pour l’externité.
Il n’existe aucune trace écrite prouvant les accusations, ni fatwa, ni ordre d’un quelconque chef.
Les accusateurs occidentalisto sionistes savent parfaitement que les traffiquants d’esclaves de Zanzibar étaient noirs aux cheveux crpus, comme ils savent que c’est parce que l’islam a pacifié les peuples qui l’ont adopté que des marchands du monde musulman ont acheté des captifs de guerre chez les peuples ou persistait les guerres.
Car l’esclavage traditionnel consistait à épargner les vaincus des guerres pour les réduire en esclavage.
Est ici défendu la théorie selon laquelle le simple fait de parler arabe, adopté uniquement parce que fut la langue de la scolarisation dans les masses pour la 1ere fois de tte l’histoire de l’humanité, accorde une extreme puissance qui permet d’asservir et de dominer le reste du monde.
Tu raisonnes concernant des évenements à armes égales puisque blanches, et quand les armes à feu sont apparues en Occident, les divers peuples arabophones dont noirs africains n’en étaient pas plus concepteurs ou producteur que les africans non musulmans.
Selon ta théorie des orientaux ont pu se pointer en Afrique noire pour la soumettre à l’esclavage sans que des la première tentative de rafle ils se fassent liquider jusqu’au dernier.
Le probleme en Mauritanie exploité pour diffamer les peuples qui ont adopté la langue du Coran, qu’on fait passer pour des envahisseurs venus d’Arabie (pour ériger en coupables l’Orient objet de barbarie prédatricie) est que les mauritaniens (berberes d’origine) qui pratiquent tjrs l’esclavage commettent l’enorme tort, que l’islam n’a jamais permis, de reserver le meme sort aux descendants des captifs de guerre que leurs ancetres avaient acheté à des noirs africains non musulmans. Tout noir mauritanien honnete et qui connait l’histoire te le confirmera.
Les zanzibaris trafiquants d’esclaves qu’ont fait passer pour des arabes, je peux te montrer en photos à quoi ils ressemblent.
Dont un traffiquant d’esclave d’il y’a 1 siecle, en photo d’une excellente qualité, comme je peux te montrer les photos de sultants de Zanzibar, dont un d’il y’a un siecle.
Il est évident que si des zanzibaris qui sont donc noirs africains arabophones, comme 90% des populations qu’on qualifie d’arabes, avaient tenté la moindre rafle dans l’Afrique noire non musulmane, ils auraient été massacrés.
Ce sont des noirs qui venaient leur vendre leurs captifs de guerre, qu’eux revendaient à qui voulait bien les leur acheter.
Je vais répondre à monsieur Kassambre en toute franchise,objectivité et avec des faits historiques(dates à l’appui)!Les trafiquants d’esclaves de la cote est africaine(Tanzanie,Kénya,Malawi)étaient arabes;d’abord iraki(8ème et 9ème siècle),instauré par le calife Haroun al Rachid en 786(c’est d’ailleurs lui qui a donné le nom “zendji” à ces noirs de la cote orientale africaine,d’ou le nom traite orientale)!Cet apport a eu pour conséquence la naissance de la langue swahili(25% d’arabe iraki et omani,15% d’hindi d’apport à partir du 15ème ou les indiens musulmans bengali et pakistanais se sont installés à leur tour sur la cote africaine swahili,et 60% de bantou)!Mais le fait qu’il yait eu un apport linguitique arabe en pays swahili(RD Congo,Rwanda,Burundi,Kénya,Ta,zanie,Mozambique,Zambie)n’en font pas pour autant des arabophones originels!D’ailleurs,ce que tu dis est faux et révisionniste car les zanzibaris aristocrates étaient arabes omani(Mascate) et Perse(chiraziens à partir du 16ème)!Et le fait que ce soit les chefs noirs swahili de l’intérieur du continent qui leur vendaient des esclaves et qui étaient plus ou moins animistes(rappelons que les contrées swahili d’Afrique centre est étaient toutes plus ou moins muslims et que le christianisme s’est implanté avec la colonisation)n’enlève en rien le fait que les arabes musulmans ont participé à ce trafic odieux(castration à la prime:gholems)
Donc le fait que des noirs sultans musulmans(liés avec les arabes par la religion)participaient au rafle,n’a rien de nouveau(sultan Said Ali ibn Said Omar au 19ème aux Comores)!Tu ne nous apprend rien!Les Mauritaniens sont des berbères!!N’importe quoi!Lze fait que tu dies cela prouve que tu ne connais rien à l’histoire du peuple amazigh!Les Maures de la Mauritanie actuelle sont des arabes descendants des alaouites Marocains arabes du 17ème siècle et qui se réclamaient descendants d’Ali(c’est vachement l’histoire des berbères cela!!).Avant d’accuser n’importe qui,n’importe comment,révise ton histoire au lieu de fabuler n’importe comment!Et arrete d’etre paranoaique(attitude très récurente chez les pros arabomusulmans du net!),personne n’érige l’Orient de quoi que ce soit!Les arabes muuslmans sont seuls responsables de leur connerie et de leur déchéance prenant anthropomorphiquement racine dans votre Coran(Qu’ran est un mot syriaque à la base,non arabe)mysogine,intolérant,raciste,antijuif et manipulateur(tout ce qu’il ya écrit dans le Coran sont des précepts inspirés des passages les plus durs de la Bible)!Les Almoravides,maures originels étaient des noirs peuls et wolof métissés et berbérisés,certains se sont installés plus tard(11ème siècle)au Sud du Maroc:Sanhajas,Maçmoudas,Zenatta!Et d’autres qui étaient en Mauritanie(Awadaghost) sont descendus en Afrique noire suite aux invasions alaouites arabes du 17ème siècle(Fouta Djallon,Odienné,Mopti,Burkina,Koudede au Ghana)!Maintenant,quand meme leurs quotas d’esclaves razziés du aux guerres contre les populations noir auquels ils furent alors confrontés au 18ème siècle:Bambara,malinké,soussou,ghanéen,Fong!Fès,ville alaouite,prospérait alors à cette époque grace au commerce de ces esclave noirs(réf:Mohammed Ennadji)
Puisque tu aimes citer les versets du Coran qui t’intéresse laisse moi te citer des versets du Coran qui atteste de l’infériorité de l’esclave et ne remet en aucun cas son statut:sourate 16 verset.71″Dieu a favorisé certains d’entre vous dans la répartition de ses dons que ceux qui ont été favorisés ne reversent pas ce qui leur a été accordé à leurs esclaves au point que ceux-ci deviennent leurs égaux nieront-ils les bienfaits de Dieu!”!On voit bien à travers ce verset toute la fatalité divine qui accable l’esclave(réminescence de la malédiction de Cham),il est bien stipuler qu’un esclave reste un esclave et que de droit divin son maitre musulman ne point remettre en cause ce statut!”Il vous a proposé une parabole de vous meme!Avez-vous parmi vos esclaves des associés qui partagent les memes biens que vous en sorte que vous soyez tous égaux!Les craignez-vous plus que vous vous craignez mutuellement?”sourate 30,verset.28;Dieu a donc fait du maitre musulman une satisfaction pour lui meme,aà son image;lui permettant ainsi d’etre au-dessus de son esclave!Heureusement que les arabes musulmans n’ont pas inventé les Droits de l’Homme!Les sultans noirs comme tu dis étaient armés par les dynasties arabes du Maghreb(Hafsides,alaouites)!Le Coran dissuade du crime?Mais voyons!Tu veux des preuves du contraire attends:sourate.4verset74:”Qu’ils combattent donc dans le chemin de Dieu,ceux qui vendent la vie contre l’ultime(paradis supposé des musulmans arabes ou des houris à déflorer vous attendent!Malades mentaux!)!Tué ou vainqueur nous lui donnerons une partie du butin”!C’est ce qu’on appelle des pillards qui se partagent des larcins(Très explicite!)
C’est beau de vouloir relativiser la traite orientale par rapport au commerce triangulaire. Hélas, l’histoire est là pour remettre les dules à l’heure. La très complète étude de Tidiane N’Diaye (Le génocide voilé – Gallimard) m’a laissée sans voix. Les Arabes sont bien à l’origine de ce mal et continuent toujours en Afrique par le mépris qu’ils nous portent encore. et cela ne pourra jamais être démenti par des discours.
de toute facon ils trouveront toujours une escuse ils sont champion de la mauvaise foi ils renient le mal qu’ils ont fait au peuple noir contrairement aux blancs qui eux l’assument cela s’apelle du negationniste
cette haine millenaire des juives et les arabes vis a vis des noirs vient de l’antiquité.et c’est pour cela que les arabes s’interessent pratiquemet jamais sauf pour falsifier (sentiment inconscient de culpabilité peut être) à l’histoire egypto-nubien car ils ont toujours su que ce sont ces roi nègres,pharaons ,qui sont a la base de la création de leur civilisation.
Enrichissant, mais une question ou plutot une realite me titille. Y’a t-il eu une traite D’arabes vers l’interieur de l’Afrique Noire? Je m’explique: Mon ancetre qui d’apres les descriptions qui m’ont ete donnees, etait apparement Arabe, puisqu’ils la decrivent blanche de peau, aux cheveux longs, portant un voil et ornees de bracelets aux poigntes, bras mais encore certains percings aux nez. Celle ci aurait ete vendu a mon ancetre qui etait du Congo.Je n’en sais pas plus, sinon que s’etaient des caravanes. Comment se fait? Je sais que ca n’a plus d’importances car cela remonte a tres long, mais j’aimerai connaitre cette part de mon heritage qui fasse que je soit autant attire par l’orient et sa culture et que je m’y sente etrangement bien! Que tout cela me parraissent aussi familier. La texture de mes cheveux,qui au lieu d’etre afro raid, tendent vers du frise,nos traits a ma mere (Descendante de ce metissage) qui a des traits fins, mes soeurs et moi… Bref, cela est part de moi et j’aimerai avoir des informations. Si quelqu’un peux m’aider. Merci.
Ah! Precision, cela s’est passe en fin 1800 disons vers 1870-1890 par la! Si quelqu’un peut m’aider. Merci…
Les sémites vendent leurs propres frères de sang en esclavage (voir l’histoire de Joseph dans la bible). Ils vendent leurs filles, leurs soeurs sans état d’âme, comme on vend une chèvre. C’est un peuple nomade qui a horreur du travail qui produit l’abondance, ils préfèrent détourner le travail des autres à leur profit : ce sont des vampires, des esclavagistes dans leur essence, c’est pourquoi la réputation de menteur, voleur et manipulateur les a poursuivis depuis des millénaires. D’ou vient le mot “Razzia”? Voilà ce que dit une encyclopédie enligne : Le terme provient du mot arabe ġazwa (غزو : raid ; invasion ; conquête). Au Sahara, à l’époque où les Touaregs utilisaient cette pratique, cela prenait le nom de rezzou.” C’est par ces technique de harcèlement, de vol, et de pillages,que les “nomades arabes” ont affaibli puis détruits tous les royaumes noirs du sahel. La colonisation européenne a fini le travail.
Qu’est-ce qui se passe aujourd’hui au Nord-Mali? si ce n’est ce qui se faisait avant la colonisation, massacres, terreur, islamisation et arabisation forcée, et mise en esclavage… je suis étonnée de la cécité et de la presque bienveillance des Africains noirs, musulmans ou pas à propos de la toxicité de ces peuples “nomades” du désert. Nos ancêtres de Khama et de Koush les considéraient comme des malendroïdes, des gens sans ancêtres et sans descendants, des gens sans honneur qu’il ne fallait pas intégrer dans sa parenté. Des mal-finis à qui il manquait une bénédiction.
Leur conception du monde est si étriquée, si sinistre, si pauvre intellectuellement, que là où il y avait de la vie, de la richesse, de la joie, des rires, de la coopération entre les gens, ils apportent de la misère, de la violence systématique,des affrontements débiles sur des choses puériles, ils bloquent l’énergie de la vie, ils paralysent les gens, les enferment dans des dogmes absurdes et apportent de la stérilité (castration, contrôle de la sexualité, misogynie pathologique). “où est-ce qu’il y a une guerre de mille ans actuellement?”. Il ne faut pas hésiter à dire les choses telles qu’elles sont et démasquer les mürranes toxiches là où elles sont.
….Demain, tous fils d’Abraham : tous les hommes s’appelleront Ibrahim, ou David, les femmes s’appelleront Aïcha, ou Myriam et l’humanité crèvera d’ennui. Quel bilan pathétique pour le Sapiens Sapiens.
Arrete de rever. T’es une belle femme comme beaucoup de congolaises. C’est quoi cette histoire halucinante de femme arabe vendue au congo ??!!
Quels que soient les contre-vérités paranoïaques des fanatiques comme Kassambre, il faut bien reconnaître le fait troublant qu’il y a une communauté noire en Amérique, et qu’il n’y en a pas en Orient, malgré une traite plus étalée dans le temps.Je suis navré que les travaux de T. N’Diaye ne soient pas davantage reconnus et publiés, alors que les dégâts infligés à Tombouctou (comme à Bamyan autrefois) devraient ouvrir les yeux de tous, et pousser les Africains à se désolidariser complètement d’un monde oriental qui les a asservis au moins autant que l’occident.
Qu’elles que soient…pardon.
Je précise que je respecte toute appartenance religieuse, mais je considère qu’une spiritualité n’est valide que si elle libère, pas si elle asservit.Le puritanisme, dans quelque religion qu’il sévisse, produit toujours les mêmes effets:icônoclastie, inquisition, exécutions, misogynie, frustration sexuelle. Comme dit MamaWati, une société pathologique.
J’essaye de ne pas tout mélanger entre Histoire, politique et religion. Celle-ci ne doit pas empêcher les historiens de révéler des vérités.
Et il ne s’agit surtout pas de faire s’affronter Afrique noire et Maghreb. Souhaitons que tous les peuples puissent vivre en collaborant pour faire progresser les droits humains.
[…] plus sur l’esclavage « non-européen », lisez cet article de Khaoula Benzarti intitulé : « Le lourd héritage de la traite orientale » que l’on peut résumer par cet extrait […]
Patrick Manning a largement divisé ses chiffres pour la traite orientale en les faisant passer de 12 millions à 3 millions.
Les 14 millions d’esclaves pour la traite intra-africaine (esclavage entre des noirs) sont sortis du néant.
Ensuite, parler de 11 millions de déportés vers l’amérique est une blague.
Rien qu’entre 1650 et 1860 on a entre 13.7 millions et plus de 15 millions de déportés pour la traite occidentale, ces chiffres ne prennent pas en compte les dommages collatéraux énormes spécifiques à la traite européenne, les esclaves restés en afrique, certains esclaves capturés et utilisés dans des colonies d’autres régions.
Les chiffres donnés par Ralph Austen ont été très largement critiqués (il a modifié ses chiffres, passant de 17 millions à 11 millions et quelques, dernières estimations toujours critiquées), il a avancé que presque 4 millions d’africains ont été déporté à partir des côtes d’afrique de l’est pendant environ 13 siècles, et qu’il y a eu un peu plus de 7 millions de captifs pour la traite transsaharienne.
Le problème est qu’il n’a jamais rien avancé comme preuves, tout est basé sur des montages tendancieux et des projections mathématiques malhonnêtes.
Au 17ème siècle, il y a eu un pic dans le commerce d’esclaves, certaines années on pouvait atteindre 3000 captifs vendus par année (chiffres qui englobaient le commerce swahili, arabe, comorien, malgaches, pour les colonies portugaises etc…).
A côté, il y avait aussi une autre source d’esclaves complètement dominés par les portugais vers le Mozambique.
Les orientaux n’ont pas été les seuls bénéficiaires de l’esclavage.
Au moyen orient, l’esclavage agricole est loin d’avoir été le plus important, les esclaves étaient surtout fonctionnaires, soldats, gardes, artisans, marins, dockers, plongeurs pour les perles…
Ensuite certains ici se défoulent sur les peuples nomades qui les auraient harcelés, la guerre a existé dans plusieurs sens en afrique occidentale et toutes les sociétés africaines ont pratiqué l’esclavage, de nombreux récits d’esclavages et de cannibalisme existent en afrique.
Aussi, il n’y a jamais eu d’empires négriers dominés par des orientaux en afrique comme cela a été le cas avec l’Europe qui a écrasé ce continent.
Les populations du nord de l’Afrique et du moyen orient n’ont jamais dominé les africains sur leurs terres, c’est une réalité!
La situation s’est surtout dégradée au 19ème siècle, des guerres ont commencé à éclater de manière vertigineuse vers la région des grands lacss, tippu tipp (africain bantou swahili de zanzibar), msiri (nyamwezi) et mirambo pratiquaient l’esclavage, et ils se disputaient surtout le commerce de l’ivoire.
Les grands gagnants de ces conflits ont été les anglais et les belges qui ont imposé leurs ordres sur les régions et ont continué l’esclavage sous diverses formes.
Ensuite pour ce qui est de zanzibar, comme l’a dit kassambre la majorité n’était pas originaire d’arabie, mais il s’agissait bien de noirs africains.
Quant à la castration à la chaîne, on est dans le fantasme et non dans le sérieux.
need the history like that
J’arrive pas a croire qu’il est encore des gens pour nier l’immense traitre négrière pratiqué par les arabos musulmans!!! J’ai qu’une chose a dire, pour ceux qui cherche en toute objectivité, commencer par l’histoire de Zanzibars, sa libération du mal et de l’esclavagiste arabo musulman est très très récente 1960/1965. Ca apportera pas mal que réponses à vos questions.
L’esclavage n’est pas que noir. En europe aussi, les arabes razziaient les côtes et prenaient les femmes et les jeunes enfants pour en faire des esclaves sexuelles (harem) ou embrigadés dans le corps des Janissaires (enfants). En 1859, l’explorateur anglais Samuel White Baker achète sur le marché aux esclaves de Vidin ( Bulgarie ) une jeune hongroise qui parle cinq langues. Il en fera sa femme et elle sera faite Lady par la reine Victoria.. A l’époque, la Bulgarie était sous domination turque.
Ce déni systématique accompagné d’une victimisation télégénique ne vous mènera nul part. En effet ce qui manque cruellement au monde musulman c’est l’esprit critique.
En effet tant qu’il s’agit de critiquer les avancées scientifiques préislamiques ,aucun problème, elles figurent dans le coran ou dans ses commentaires…
Par contre s’il s’agit d’affirmer des théories novatrices: “Tous aux abris !”
Pensez vous vraiment ?
Et je m’adresse aux salafistes ayant fait des études supérieures, qui doivent, à mon avis, souffrir de schizophrénie, le coran et la science étant comme l’huile et l’eau :
Non miscibles
Arrêtez de nous soûler avec traits fins/ douceur=blanc et traits grossierss/sauvagerie=noir. C’est vrai que les Noirs ont des bouches et des nez plus en relief par rapport aux autres. Mais il y a des peuples européens aux traits grossiers : belge, irlandais, afrikanner, écossais, ,homme russe. Les chinois ont souvent des nez épatés. Les Arabes sont très typés. Physiquement, les caractéristiques , visage ovales lèvres charnus fesses rondes et hautes sont la référence .Dans ma famille on a les traits fins de mes ancêtres africains. Cela m’empêche pas de trouver Nina Simone ou Laureen Hill belles. C’est de la pur propagande de croire que le métissage avec plu blanc bonifie notre race. A bien n’y regardez les femmes noires ont souvent un visage ovale harmonieux. Les Mauritaniens ont gagner en finesse par leur ancêtre noire ou arabe ? Je ne crois pas que les Sénégalais aient des physiques plus grossiers que les Marocains, bien au contraire ! Pour en revenir à l’esclavage, la couleur de peau n’a jamais été un critère. A partir du moment où les Européens grâce au christianisme ont commencé à résister sérieusement, les Arabes – pour eux un homme libre ne travaille pas, on le voit encore aujourd’hui au MOrient où les pays tournent grâce aux esclaves asiatiques et aux “esclaves” blancs- cela se concentre sur l’Afrique. C’est la vente des prisonniers par les chefs noirs, des populations razziées c’est à dire attaqués par surprise souvent des femmes des enfants . Jamais de déclaration de guerre. Donc il ne s’agit aucunement d’Arabes mettant en esclavage Les Noirs. Il n ‘y a jamais eu de vrai volonté de résister-pas de cohésion culturelle, villages isolés etc-contre les vandales arabes d’où la durée Il y a eu des esclaves ou captifs arabes mais je ne pense pas que les noirs africains soient aussi “friands”d’ esclaves surtout un arabe nerveux. On m’avait présenté un homme assez vieux d’une caste d’esclave du Fouta. Mais cela avait plus de sens à serviteur dédié à une famille et il avait la place d’ un grand oncle. Dans certains pays, être domestique revient à être esclave étant donner un rapport à l’altérité difficile.
L’esclave étant considéré comme un bien, les hommes razziées sont si possibles choisis parmi les peuples les plus robustes d’où la préférence pour les hommes d’Europe et d’Afrique centrales. Quand les Arabes envahissent le Maghreb ils déportent principalement les femmes et les enfants, les hommes probablement jugés trop faibles. Il y a eu des esclaves irlandais vendus par les anglais. Quand le massacre ou l’esclavage est blanc/blanc ou noir/noir cela réveille parfois moins les affects ou le sadisme. Probablement que la différence de couleur permet une distanciation renforce le fantasme de la domination et réveille les mauvais instincts.
Faut pas compter sur les pays arabes pour faire un devoir de mémoire, trop occuper avec le déni de la réalité, le nationalisme, la théorie du complot et autres crâneries… Les juifs ont quittés en 60 ans leur pays et pas un livre pas une étude. 150M disparus en Algérie pas une enquête pas de manifs. Ils ont déjà du mal avec leur histoire. On a suffisamment d’intellectuels Noirs d’Afrique ou d’Amérique pour travailler. Mais il faut aussi mettre en avant nos guerriers, nos empires notre richesse l’histoire heureuse de l’Afrique parce que ça arrangerait certains que tous le bien soit d’un côté et le mal de l’autre pour justifier domination et pillages. Certains collégiens noirs croient qu’ils descendent forcément d’esclaves même quand ils ou leurs parents viennent d Afrique ! Aucun petit Irlandais ou Polonais ou russe ne sera biberonner sur la condition servile de leur ancêtre. En France la féodalité n’était pas une sinécure.
Entièrement d’accord avec vous, Sophie ! Tout est dit ! Ce fut une traite abjecte, longue et je REFUSE qu’on veuille la relativiser ou la dissimuler. Il faut que ça se sache, car c’est un fait réel.
Si les musulmans cherchaient toujours à apprivoiser l’esclavage, c’est parce que l’islam est essentiellement une religion d’esclaves. Il ne faut jamais oublier qu’être « esclave d’allah » est l’identité basique de chaque musulman !?