Jamais nos politiques n’ont donné un exemple révélateur des véritables appréhensions qui les terrorisait comme il a été fait ces derniers jours au cours du congrès du Mouvement des démocrates socialistes (MDS). La peur des urnes fut la toile de fond de tout le micmac, les manigances et les subterfuges de tout genre, inventés à l’occasion pour les éviter.
Des chefs de clans, des hommes de mains et des macros de la prostitution politique de tout acabit se disputaient le cadavre d’un parti mort depuis longtemps qu’on veut à tout prix le garder sous perfusion pour servir de caution jusqu’à l’intronisation d’un dictateur au nom de la démocratie.
On aurait tout vu de cette culture politique de compromission qui s’est instauré dans notre pays. Des partis et des organisations sont pris en otages par quelques parrains qui n’en finissent pas de nous surprendre par leur ingéniosité à tromper leurs adhérents. Mais à ce point de médiocrité, jamais…
Les 170 congressistes du Mouvement des démocrates socialistes se sont tout simplement trouver dans la posture des accessoires à servir de décors pour une réunion dont les décisions auquel il doit aboutir sont prises ailleurs. Les délégués au congrès délaissés dans la fureur de négociation dans les chambres fermés, sentant leur inutilité ont tout simplement quittés les lieux pour rentrer chez eux. Ce boycott spontané à tout simplement annulé le congrès « dans une salle accueillant 400 délégués ont peut juste compter au plus une vingtaine lors de la présentation des six motions censés être débattue et voter par le congrès », rapporte le journaliste d’Essabah, sans oublier de préciser que les quelques délégués restants ne font que hué au fond de la salle pour exprimer leur mécontentements.
Si l’opposition ne rapporte plus en Tunisie comme on aime à le répéter souvent pourquoi cette âpreté avec laquelle le partage du gâteau est disputée comme l’a révélé cette funeste comédie de congrès. « Les quatre grands du mouvement ont soumis la sale du congrès à des tactiques « extrêmement terribles » les amenant en douceur à la voie de compromission.. » note le journaliste d’Echourouk de son coté.
1. Ismail Boulahia secrétaire général,
2. Mouhammed Mouada coordinateur général,
3. Taieb El Mouhsni sécrétaire général adjoint et
4. Sahbi bouderbala secrétaire général adjoint.
Retenez bien ces noms. Ce n’est pas le congrès qui les a choisis à la tète du mouvement mais plutôt le compromis secret de la chambre 241 comme tout le monde le savait déjà. ils ne seront jamais ceux par qui la démocratie risque de s’instaurer un jour dans notre pays.
Leur seul point commun est le terme « général » associé à leur nouveau statut. Comme si un seul général ne suffit plus le MDS s’est doté de quatre Généraux pour la diriger, quel mauvais augure pour le pays. On à l’impression que le temple patiemment construit pour travestir une dictature en démocratie depuis plus de vingt ans est comme un château de carte qui s’écroulait laissant à découvert tout ces acteurs singer leur rôle sans plus attirer de spectateurs.
Yahyaoui Mokhtar – 15 août 2008
A Monsieur : Ismail Boulahia ( secretaire Général du MDS)
bonjour : Je suis journaliste au magazine LE CAP en algérie , je viens de bien vouloir de vous demander un entretien pour notre magazine bimensuelle en langue fraçaise . Dans l’attent d’une suite avorable veuillez agréer Monsieur mes sinceres salutations .
Personnellement j ai du respect pour tous les militants en Tunisie liana al massaha li attahark wal annidhal assilimi wal amal assiassi sont tres reduites, et je ne peux leurs reprocher de “jouer le decor de la democratie ou meme me permettre de designer des militants comme des singes, l expression malheureusement utilsee, par le Fontomas futur President Tarak Mekki,non il faut voir dans quelles conditions ces personnes travaillent, supposant que si Bouleiha accorde une conference de presse a un journal Algerien,( et il faut dire la verite qu en Algerie et au Maroc que j ai visite, la liberte de la presse est de loin meilleure qu en Tunisie)il court le risque soit d etre accuse de diffamation soit d incitation a la haine soit de collusion ou bien istikouwa bil kharej, vous voyez bien ces militants en depit du fait qu ils jouent le jeu de la “democratie made in Tunisien” n empeche qu ils vivent sous haute surveillance et il faut les menager,je m etais rejouis de Alhak maak et pourtant tous les dossiers qu ils ont traite devraient etre rsolu par le corps legislatif qui ont la competence de se prononcer sur ces litiges, et donc la tele n a rien avoir et n a aucune competence juridique, asdha min choumiliat al khadha , et aussi d autres problemes sont de la competence de ces Messieurs deputes qui dorment dans un theatre luxus, construit par l argent du contribuable, climatise, des personnes nommes et designes et ne sont pas revocable par personne, et donc automatiquement “eligible”ceux la doivent poser les problemes du taux de suicide, des jeunes qui consomment de la colle, les sandwisch cirage, les cadavres qu on ramassent a Habib Thamer, ces jeunes qui se piquent par des ceringues et s injectent des produits pharmaceutiques tres dangeureux,, il y a des realisations immences en Tunisie je le contestent pas mais evoquer ces fleaux qui existent ici et meme pire (Italie + Suisse + USA, )on complote pas contre le regime qu on evoque ces fleauxd bien au contraire kouat la force d un regime c est une opposition forte qui tatrah malefat alfassad wa moukhaderat, on veut trouver une solution ensemble pour sauver nos enfants, et il parait aussi que meme les Bourgeois du Menzah 6 ou 7 ou 8, sont aussi affecte, j avais de puis longtemps depuis ici informer les autorites que les Allemands se plaignent lors de leurs retours des vacances en Tunisie, ils ne se plaignent pas des autorites bien au contraire ils trouvent les policiers et douaniers tres gentielles, mais ils se font trops dans les hotels importunes et des fois escroques,tu crois qu ils ont fait quelques choses pour regagner la confiance des Allemands , non, maintenant les Allemands ont dit nein nie wieder Tunisien,tu leurs dit au mois de Ramadhan essayez de ne peut montrer des filles en chaleur, non c est justement parce que toi parce que le peuple n aiment pas alors on fait expres on fait pire pour te faire chier on donne le role d un pede a un acteur, on exibe l homosexualite, tu n es pas content on fait un porn au mois de Ramadan voila comment ils se comportent avec nous, on veut plus de Razi fi dimanche Sport , alors on lui prolonge son contract chouft animateur d une emission qui reste 12 ans,Monsieur s auto elu a vie, ou quoi ?une speakrine a de la peine a articuler (emission maa Tabib);les spectateurs ne sont pas content, alors on lui prolonge son contract.
Bonjour Monsieur Ismail BOULAHIA ( secretaire Général du MDS)
Suite au soulèvement populaire survenu dernièrement en Tunisie, je tiens à vous présenter par le bais de ce message toute ma sympatie à vous et à tout le peuple tunisien à qui je souhaiterai du courage dans la continuité dans ce combat, et que la démocratie gagnera à la fin de cette transition.
Cordialement
Djamel KHALED
Où est passé le MDS, Parti d’Opposition ?
Il convient de souligner que « le Mouvement des Démocrates Socialistes » (MDS), mouvement qui n’a de Démocrate et de Socialiste que le titre, est le Parti, soit disant d’opposition, qui a fait le plus de mal à cette même opposition, du temps de Ben Ali, et a trahi et ses Militants et ses Valeurs du temps de sa création, par Mestiri, vers la fin des années soixante dix, en se vendant corps et âme à Ben Ali, et ce pour quelques sièges de députés qui ont été occupés, généralement, par des béni oui-oui opportunistes, de formation et de déontologie politique médiocres , obéissant au clin d’œil au Dictateur déchu, Dictateur qui a été, d’ailleurs, toujours, leur candidat aux diverses élections présidentielles . Ce Parti (MDS) est considéré, et par l’opinion et par la classe politique et par les Chancelleries, comme étant, en réalité, une cellule parmi les cellules du Parti de Ben Ali (RCD) qui lui sont les plus fidèles ; pour s’en rendre compte, il suffit de lire le dernier numéro de leur organe officiel ( Al Mostakbal), daté du 08/01/2011, juste avant la fuite du Dictateur ( le 14/01/2011) : on y lit une sonnante éloge, écrite par le Secrétaire Général du MDS, sur la Démocratie et le Pluralisme instauré par Ben Ali, alors que le pays, qui était à feu et à sang, enterrait ses Martyrs. D’ailleurs, depuis la « Révolution de Jasmin », le MDS a disparu de tous les Medias (écrits, visuels et sur le net), de la scène politique, et est, depuis, aux abois : qu’il y reste !
HORCHANI Salah