On a entendu parler les femmes qui défendent les Droits des femmes, les hommes qui défendent les Droits des femmes, celles et ceux qui sont contre le port du voile, pour le port du voile, contre les cheveux libres, pour les cheveux libres, contre le niqab, pour le niqab, contre la burqa, pour la burqua. Moi j’ai juste eu envie d’entendre le témoignage de femmes qui portent la burqua. J’ai eu envie d’entendre leur voix de femme. Par curiosité et par souci d’équilibre. Parce qu’en s’apprenant on se comprend mieux.
Rencontre avec Imen et Sonia. L’une porte la burqua depuis quelques mois, l’autre l’a enlevée il y a quelques années. Un point commun, 20 ans d’écart, deux parcours différents.
Celle qui la porte : « Ma Burqua c’est ma liberté !»
Imen 19 ans, étudiante à la faculté de la Manouba, porte la burqua.
Elles sont cinq jeunes filles au bout des escaliers d’un amphi de la faculté des lettres de la Manouba. Elles sont installées au bureau du professeur, au niveau de l’estrade. Il n’y a qu’elles dans cette salle. Elles discutent tranquillement en surfant sur le net. Une d’entre elle porte une burqua, une autre un niquab, deux d’entre elles portent le hijab et une large robe. La cinquième porte un pull robe en laine moulant, un leggin et des bottes.
Imen c’est celle qui porte la burqua. Avant elle a porté le hijab pendant 4 ans. Depuis quelques mois maintenant elle porte la burqua : « c’est quand on a un voile devant les yeux, sinon c’est un niquab » précise-t-elle.
Je me demande à quoi peut bien ressembler son visage. J’essaie d’en deviner les traits. C’est déstabilisant de discuter avec quelqu’un sans voir ses lèvres bouger, ses yeux s’animer, son visage vivre.
Ma décision de porter la burqua est un choix personnel, c’est ma liberté c’est une décision qui vient de loin. En fait j’ai eu l’impression que l’occasion de porter la burqua c’était enfin présentée. Le port du hijab c’est fait naturellement pour moi. Je viens d’une famille simple, pieuse. J’ai deux sœurs, l’une porte le hijab, l’autre non. Nous respectons les envies de chacun. Si bien que quand j’ai décidé de porter la burqua m’a famille m’a soutenue et encouragée. Ils savent que c’est une décision juste, que c’est logique. »
Nous nous sommes installées un peu à l’écart des autres filles, pour pouvoir discuter sans que le son des vidéos de conversion qu’elles sont en train de regarder sur Internet ne nous dérange.
« Aujourd’hui dans la Tunisie de l’après 14 janvier tout le monde parle de liberté, de démocratie, de tolérance, de fraternité et de respect. Les gens doivent donc se respecter. Moi j’ai le sentiment de respecter tout le monde : les filles en hijab, les filles en burqua et celles qui ne portent rien. Mais je me sens exclue. Pourtant je respecte la différence sans problème. »
« Après le 14 janvier dans la rue tout le monde appelle au respect de la liberté, une liberté qui doit concerner tout le monde. Je pense donc qu’en Tunisie nous devons développer la tolérance et la liberté, dans la différence. »
Tout en continuant à me parler, Imen a regardé vers la porte, comme pour s’assurer qu’elle était bien fermée et que personne n’allait rentrer. Puis, de sa main gantée, elle a soulevé le voile qui caché ses yeux.
Ça n’a pas été difficile de porter la burqua. Je suis Tunisienne, je suis dans mon pays et un pays que j’aime. Du coup j’ai envie de l’aider, de le faire avancer. Pour moi c’est un droit d’étudier et de travaille avec ma burqua. Et finalement j’ai quand même croisé des gens qui nous soutiennent, nous encouragent : les amis, la famille, certains professeurs. Il y a même des étudiants en cours qui essaient de convaincre les professeurs de nous laisser entrer dans l’amphi avec notre burqua. »
« Quand j’entre en cours et qu’on me demande de l’enlever ça me pose problème. Les professeurs n’ont pas le droit de me refuser mon droit à l’éducation ! L’argument de l’administration universitaire pour exiger son retrait est celui de la pédagogie. Mais de quelle pédagogie parlent-ils ? Nous sommes 400 étudiants dans un amphi, les prof font leur cours et s’en vont de tout façon… »
Voir ses yeux me repose. Son corps me parlait dejà, penché vers le mien, par dessus le banc. Mais pouvoir lire dans ses yeux ce que ses mots ne disent pas me fait accéder à autre chose.
« Mon rêve c’est de continuer mes études. Je veux passer ma licence, mon master et mon doctorat. Je veux que mon rêve d’éducation se réalise. D’ailleurs je veux être professeur parce que j’aime mon pays et que je veux le développer. »
Sa main gantée se pose sur mon bras, comme pour me donner ce que je ne peux pas voir. Peut-être sa bouche qui doit sourire et la certitude sur son visage.
« J’ai réfléchi à porter la burqa depuis que je porte le hijab. Je connaissais des gens à Bizerte qui portaient la burqa et ces femmes m’expliquaient à quel point c’était difficile et tous les problèmes qu’elles avaient avec la police. Elles ont fait preuve de patience simplement et de courage. Le premier jour où j’ai porté la burqa j’ai réalisé mon rêve tout en continuant ma vie normalement. Dans la rue les gens pensent que nous sommes des extrémistes, mais nous vivons normalement. »
« Porter la burqa m’a fait ressentir beaucoup de bien-être. Pendant des années c’était difficile pour moi parce que je sentais un déséquilibre entre ce que je pensais et mes conditions de vie. Aujourd’hui je sais que je vis dans un pays qui aime la liberté et qui respecte les gens. »
Et puis à un moment donné elle soulève le foulard qui cache son visage.
« Ma liberté c’est ma burqua. Les autres sont libres de porter un pantalon et un pull si elles le veulent, ça ne me dérange pas. La burqa c’est un choix personnel, ce n’est pas parce que je la porte que je suis extrémiste. Je considère mon corps est une propriété personnelle, c’est un don de Dieu que je dois protéger et respecter. »
« Mettre la burqa c’est d’abord ressentir du bien-être, c’est suivre un principe religieux, un principe morale, c’est respecter mon corps. »
« Mes rêves sont simples : je veux faire mes études en portant la burqua, je veux travailler et surtout je veux vivre dans une société qui n’exclut personne. »
Celle qui l’a enlevée « J’ai mis la burqua et toute ma vie a changé. »
Sonia, 38 ans gérante d’un magasin, porte le hijab.
Quand on entre dans son petit magasin c’est son sourire qui vous attrape. Il est chaleureux, il vous enveloppe. Elle est comme une maman qui déborde d’amour. Au moinde client elle se leve et l’aide à trouver son bonheur dans les rayon. Et quand le magasin est vide Sonia lit un livre et rêvasse en regardant le temps filer par la vitrine.
« A 14 ans j’ai mis le hijab. A 15 ans j’ai porté la burqua. A 16 ans je me mariais. C’était en 1988. Un an plus tard je partais en Syrie avec mon mari. »
« A l’époque j’étais très investie dans mes études, j’étais la première de la classe mais j’ai tout arrêté : le sport, les cours, la fréquentation de mes amies. J’avais 15 ans et j’ai décidé de rester à la maison. En fait c’est en lisant des livres sur la religion et en discutant avec des gens autour de moi que j’ai décidé de porte la burqua. Les gens disaient que la femme devait se protéger et je trouvais qu’ils avaient raison. »
Sonia a recouvert ses cheveux d’un hijab rose avec de gros pois blanc. Pas de maquillage sur son visage, pas de bijoux clinquant, juste un petit bracelet à son poignet.
« La première fois que je l’ai porté je me suis sentie très fière ! J’étais heureuse, je ressentais quelque chose de fort à l’intérieur et ce malgré le fait que j’étais en train de bouleverser toute ma vie et de tout arrêter. Je me souviens que je marchais tête haute ! J’ai mis la burqua et toute ma vie a changé. D’ailleurs aujourd’hui si la situation me le permettait je la remettrai. »
« La première fois que je l’ai porté je me suis sentie la femme la plus forte du monde. Je ressentais de la joie et de la paix. Je sentais que Dieu était content de moi, que je faisais mon devoir. En fait comme je suis partie directement en Syrie je n’ai pas eu trop de problème avec la vie en Tunisie. Parce que c’est vrai que ce n’était pas pareil ici : dans la rue les enfants criaient et partaient en courant, les adultes me regardaient avec des grands yeux et je les entendaient me critiquer à mon passage. C’était en 1988, la burqua était rare à l’époque. D’ailleurs j’ai dû la faire venir d’Arabie Saoudite, car il n’y en avait pas en Tunisie. »
Elle est coquette Sonia, sa tenue est soignée. Elle porte une longue jupe en jean’s bleu clair et une tunique violette et rose, qui rappelle son hijab. Sous sa tunique elle porte un tee-shirt blanc à manches longues qui descend jusqu’aux poignets.
« En fait avec une burqua tu te sens protégée. Personne ne te regarde. Tu marches dans la rue sans faire de calcul : sans te demander si celui-là a regardé tes fesses et si celui-ci a regardé tes seins. Tu sais que les gens ne te voient pas ! Tu n’as pas besoin de te concentrer sur les regards que les hommes posent sur toi. Personne ne te dérange avec des regards déplacés. Donc tu te sens protégée et libre. »
« Quand tu portes la burqua les gens te regardent , mais que regardent-ils ? Que voient-ils ? Ils voient une bâche ! C’est tout. Ils ne voient ni la couleur de ta peau, ni la couleur de tes yeux, ni celle de tes cheveux, ils ne voient pas tes formes. »
« Après 10 ans en Syrie je suis revenue en Tunisie et j’ai dû travailler. Mais je ne pouvais pas me débrouiller avec la burqua. En Syrie c’était facile d’aller au marché, de faire les courses, de sortir comme ça. Et puis j’étais prise en charge financièrement par mon mari. Quand je suis rentrée en Tunisie j’étais déprimée, je venais de divorcer, je n’étais pas en forme, j’étais fatiguée, il me fallait un changement total. Et surtout il me fallait travailler pour subvenir à mes besoins. En fait en rentrant j’ai changé toute ma vie, à nouveau, et je suis restée 2 ou 3 ans sans même porter le hijab. Et puis avec le temps j’ai décidé de la porter à nouveau. C’était en 2003 j’avais 30 ans. Je me sentais bien, en paix avec moi-même. J’étais heureuse et je sentais que cette fois-ci je savais pourquoi je portais le voile, je comprenais vraiment mon choix. C’était un acte auquel j’avais réfléchi, une réflexion plus mature. C’était un vrai engagement envers Dieu et aussi envers moi-même. »
Elle parle volontiers avec les clients, embrasse les enfants, complimente les mères, s’enquière auprès des hommes de la santé de leur femme. Et en voyant toute cette vie en elle je me demande comment elle a vécu sans ce contact avec les autres.
« Quand je l’ai enlevé je n’étais pas stable donc je considère que ce n’était pas vraiment moi. C’était une période difficile pour moi et j’étais très sensible. Je ne pensais plus à la burqua. »
« Si aujourd’hui je pouvais rester à la maison et porter la burqua à nouveau je le ferai. Mais je travaille dans le commerce et je ne peux pas porter la burqua tout en servant les gens. Et comme j’ai besoin de gagner ma vie et de vivre dans la société j’ai choisi de ne pas la remettre. »
Ca parait une sorte d’ermitage. Une autarcie totale de sa sphère privée. Ces femmes vivent en marge de la société d’ailleurs le dernière phrase de l’interview explique tout: “Et comme j’ai besoin de gagner ma vie et de vivre dans la société j’ai choisi de ne pas la remettre.”
L’interview de la première femme parait assez vide de sens qui ne fait que dire des phrases creuse. Son âge explique peut être encore qu’elle ne comprend pas encore ca contradiction de vouloir devenir professeur et le port de sa burka véritable frein pour pouvoir apporter un savoir dans une salle de classe.
Le second interview fait sens car la personne a voulu se consacrer totalement à sa sphère privée jusqu’au divorce qui a dut la faire sortir sa bulle pour pouvoir subvenir au besoin de ses enfants.
Le dénominateur commun entre ces deux femmes reste que la burka est une sorte de protection contre la société qui paraient pour elles violente et salissante d’ou le sentiment de pureté une fois mise. Il faudra ce poser la question de rendre moins la société moins anxiogène ou sinon la seule réponse qui sera apporté reste se bout de tissus qui rendra les femmes des ermites ambulant.
“Ca parait” Evocation->Présentation->Pressentiment->illusion->Fourvoiement->fureur->Délir->Egarement.
“une sorte”
Classement->Rangement->Classification->Hiérarchie->Supériorité->Suprématie->Racisme
à suivre…
Une personne va voir sa copine nikabé mariée a quelqu’un d’autre presque chaque soir avec un nikab pour faire croire a son marie que c’est une copine restent ensemble font ce qu’ils ont a faire et après l’amant part avec son nikab tranquillos merçi beaucoup au nikab et au tunisien qui ne manque d’idée pour brader tout interdit.( je n’invente rien et ça se passe quelque part in the lovely tunisia) on peut appeller ça les amants avec le nikab.
deux témoignages qui cnfirment bien la fascination que peut susciter le niqab –
Essaye,il n’y aura aucun regret.il n’est jamais trop tard
..braver l’interdit..
Ce n’ai pas encore interdit
tres bien
C’est quoi le bien pour vous?quelle est la définition?
qu’elle porte ou pas la burqua ,le niquab ,le hijab ,un short ,une femme doit être libre de porter ce qu’elle veux sauf dans les lieux où c’est illogique les filles à l’université doivent montrer leur visage à leur prof dès l’entrer à la classe et après remetrent leur niquab juste pour qu’ils soit sûr que c’est elles et en plus en dit que (kada al moalimou in yakouna rassoula ) alors pas de problème après tout aussi elle est libre et si elle devient un prof et que la majorité de ses élèves ne les dérangent pas d’avoir une prof niquabé ou qui portent la burqua pourquoi pas aussi une qui porte un short c’est une question de respect mais pas respect pour une et pas l’autre les filles ne peuvent pas rentrer en short dans un lieu comme la prefecture et le ministère ce n’est pas normal ,la fille qui porte la burqua n’a rien dit le jour ou la prof c’est fait agressé parce qu’elle portait une mini jupe et la prof n’ont plus n’a pas réagit pour les étudiantes qui veulent portait la burqua ,la liberté pour tous sinon pas de liberté ,parlons aussi des homos en tunisie n’ont pas le droit de dire qu’ils sont homos et les croyants n’ont pas le droit de dire le bout de leur croyance et les mécrients sont comdanné parce qu’ils ne croit pas en dieu (le mec d’el mahdia qui a déclarer sur sa page fb qui ne croit pas en un dieu à eu 7ans ferme et 1200 dinars d’amende ) mais personne ne veut laisser l’autre tranquille et ce n’est pas ennahtha qui va soigner se problème ,il faut allez loin trop loin dans la liberté pour avoir la liberté, tant que tu frappent pas ,tu insulte pas ,tu oblige personne de te suivre tu fait ce que tu veut quand tu est majeur et vacciner ,ça doit être un droit .
@tunis love
Le gros problème pour arriver a ce que tu a signalé c’est cette culture de bétail qui est plus fort que tout et qui laisse les gens prisonniers des comportements des autres qui sont pris comme modèle le faite de ne pas croire a la différence des autres ne fait que compliqué les choses il y’a un grand chemin pour arriver a une vrai démocratie et non pas a une démocratie dirigée par x ou y???
Qui ne connait presque rien à la politique,la culture ou tout autre domaine peut en parler c’est son ligitime droit de parler,mais ses paroles ne font pas lr poids devant un spécialiste(idha kan il metkallem mohboul,issama3 3akel).Quant un sujet se rapportant à l’islam en particulier,tout le monde se dit conaisseur sans être pratiquant et sans réelle conaissance.Mais le plus pityoable est que les suppositions devienent un verdict contre une tranche de notre société.Brievement n’exclus pas les autres aujourd’hui pout qu’on t’exclus pas demain.”Regarde aumoins ben ali”
@ liber ete vous salafiste ou nahdhaoui?,ne voyez aucune arriere pensee dans ma question,j aimerai juste connaitre la difference
l
Tunisie : Sous la Burqua, la kahbah d’Allah
L’ignorance est un obstacle pour la liberté.
L’ignorance est un Danger pour la Liberté, la Démocratie.
STOP aux interviews sur la burqua ou autres!
Sous ce chiffon, que de la saleté!
@ AKIM, bonjour,
la “Kahbah et la saleté” n’existent que dans votre tête de sale frustré à la solde des BUZZ.
donner son avis et se croire autoriser pour critiquer la façon dont s’habillent les autres, est ce qu’il y as de plus ringart, goujat et dictatorial , de quoi je me mêle!!!?
une des premières régles démocratique ( si toute fois vous savez ce que veux dire ce mot)est de laisser les autre le choix et le libre arbitre de faire ce qu’ils veulent . malla b’héma!!!
@ Mouhttem Bonjour,
A quoi servent les commentaires ?
Ah oui !
Désolé !
J’en oublierais presque !
Vos premier pas vers la démocratie !
Votre définition de la démocratie est celle d’un illettré, analphabète, inculte, ignorant…
Vous confondez certainement démocratie avec dérive secteur.
Si la parole est d’argent alors le silence est d’or.
Les grands esprits ont toujours rencontré une opposition farouche des esprits médiocres – Albert Einstein.
Tunisie : sous la barbe et la djellaba, le kelb d’Allah
Vous saississez ? Je ne critique pas la tenue!
Toutes les religions sont charitables, généreuses, seul l’interprétation “des gens” est mauvaise.
@ AKIM, bonjour,
monsieur le “grand esprit” salut, suite a votre commentaire ou du moins ce qu’il semble être, ma première impression est la suivante :
on as vu derniérement et au cirque des prophétes apparus moult parasites qui se prennent pour des grands, gerbant à tout va des diatribes en guise d’une science infuse . argumentant leur amas de déblais par des balivernes , croyant ou se prenant pour ceux qui sont dans les secrets de dieu .
petite perle que j’espère que vous me la permettez : cass toi pouv’con! ça vous dit quelque chose cher CAS ?
PS : un mystificateur (einstein) n’as et ne sera référence que pour les “(d)just”, je sait que vous allez me dire qu’il est le père de la relativité (e=mc2) et blabla blabla, mais essayez et si vous avez la capacité intellectuelle qui va avec , de vous éloigner quelques centimétre des manuels scolaire et, vous ne serez que ébloui,ému zincike ébahi . petit joueur va!
@Mouhttem Bonjour,
Vous me parlez de science infuse, des secrets de dieu, du père de la relativité, (pas la peine de sortir vos manuels scolaire pour réviser, théorie qui dépasse de loin votre compréhension), aucun mal à vous lire, mais beaucoup de mal à comprendre.
Dans mon commentaire, une citation arabe, que vous n’avez assurément pas comprise, traduction :
Ferme Ta Bouche !
Une citation Albert Einstein, qui confirme à la lecture de votre commentaire, que vous faites partie des esprits médiocres.
Dieu existe dans les petits esprits comme vous, entre la science de l’ignorance et la science (comme vous dites, des mystificateurs), j’ai déjà choisi !
Entre votre science des exactions, sévices, tueries, viols, tortures, etc.…, perpétrés au nom d’Allah, entre le mystificateur Einstein et le mystificateur Allah, oui j’ai choisi !
Le « cass toi pouv’con ! », malheureusement une réalité, qui reflète et confirme votre mesquinerie, ainsi que votre niveau intellectuel.
@ AKIM, bonjour,
pire qu’un ignorant, c’est celui qui croit savoir ( citation personnelle) . ceci dit, j’aimerai bien vous posez une question si vous permettiez . sur quoi vous vous êtes basé, pour confirmer la non-existence de dieu (allah”?
PS : la “ferme ta bouche” est un acné qui a échaper à votre controle et qui met en exergue votre “platitude” et votre esprit juvinile (2ème deg). ne croyez pas que mon commentaire précédant était une façon de vous insulter ( comme vous le faites) , c’est juste un constat . votre “einstein” est le père ADOPTIF de la relativité , les vrais pères ( car ils sont plusieur) sont; un swiss, un libanais, un français et un égyptien , votre einstein et avant de prétendre découvrir la relativité , était chef de la rédaction dans une revue scientifique où beaucoup de scientifiques publient leurs recherches sur le sujet, ne soyez pas déçu, il n’est pas le seul dans sa race . F’HEMT ya rass el baguéri? ne me dites pas que vous ne l’avez pas mérité celle là !
@Mouhttem Bonjour,
Pour mon dernier commentaire, je répondrai à votre question, par une question :
– Mouhttem, sur quoi vous basez vous, pour confirmer l’existence de Allah ?
Vous me parlez encore d’Einstein !
Je vous l’ai déjà dit dans mon commentaire précédent, je n’ai absolument rien prétendu, juste une citation.
J’affectionne particulièrement votre citation personnelle.
– « Pire qu’un ignorant, c’est celui qui croit savoir », de Mouhttemstein.
Une citation qui explique bien ce que sont les fidèles d’Allah, les croyants ou autres religieux.
– « L’obscurantisme interdit que soit cru autre chose que ce qu’il estime digne d’être su ».
Je me répète encore, entre votre science de l’ignorance, des exactions, sévices, tueries, viols, tortures, perpétrés au nom d’Allah, entre le mystificateur Einstein et le mystificateur Allah, oui j’ai choisi !
Si vous préféré, entre les « mystificateurs scientifiques » et les « mystificateurs religieux », j’ai choisi.
– « Entre deux maux, il faut choisir le moindre ».
Vous avez votre réponse, je me base sur les mystificateurs scientifiques de notre siècle.
@ AKIM, bonjour,
vu le niveau, je vais faire dans le plus simple; est ce que vous êtes sure que l’homme c’est aluné ? si oui, c’est quoi votre preuve ?car d’après tout ce que j’ai lu ou entendu comme insolence envers “allah (swt) est du à son invisibilité, et sa tolérance ( il fait pas dans le coup par coup, il sait attendre)
mais j’aimerai bien vous poser une autre question , histoire de vous occuper : donnez moi un exemple d’un pays ou état, qui as séparer l’église du pouvoir et qui réussie ?
est ce que vous savez que le premier verbe du coran est le verbe “LIRE” dans l’impératif ? de quel obscurantisme ( mot très en vogue) vous parlez ?
une DER pour la route : si toute fois le “niqab” ne vous plait pas , c’est très simple; ne le mettez pas :) et laissez les autres et si vous le permettez le mettre , c’est pas plus simple, facile et équitable ?
@Mouhttem RE,
Commençons par les présentations :
Je suis un homme et non une femme, tunisien-français, né en France, je vis en France.
Voilà pour les présentations, je ne porte ni le niqab, ni le bikini.
Toujours aucun mal à vous lire, mais beaucoup de mal à vous comprendre.
Mouhttem, « ….que l’homme c’est aluné…????? », je ne comprends rien et puis rien d’intéressant à argumenter dans votre premier paragraphe.
Je vais faire simple aussi et répéter ce que je vous ai déjà dit, alors soyez attentive !!
Pour moi, toutes les religions sont charitables, généreuses, elles prônent le bonheur, l’amour, la joie, etc…
Pour moi, ce qui est mauvais et dangereux, c’est l’interprétation des textes par des adhérents ou fidèles ignorants sans esprit, ainsi que les dérives sectaires (dans mon commentaire précédent, j’ai écrit : « Vous confondez certainement démocratie avec dérive secteur », aucun sans, je voulais dire dérives sectaires).
En Tunisie, beaucoup d’illettrés me parlent de l’islam, “l’islam des mosquées”, l’instruction se fait par l’intermédiaire d’un salafiste de pute, que vous appelez imam.
Pour moi, les religions telles qu’elles sont pratiqués, notamment l’islam, sont mauvaises et dangereuses pour la liberté, ou votre pseudo démocratie.
Démocratie, un mot tout nouveau pour vous, qu’est ce que la démocratie ?
Heureusement que ce n’ai pas comme vous dites : « une des premières règles démocratique (si toute fois vous savez ce que veux dire ce mot) est de laisser les autre le choix et le libre arbitre de faire ce qu’ils veulent ».
Non Mouhttem !
Ce n’ai pas ça la démocratie !
La démocratie, c’est la dictature de la majorité élue.
Voilà, maintenant, si vous comprenez cette phrase, vous avez compris la démocratie.
– « Pays ou état, qui as séparé l’église du pouvoir et qui réussie », question hilarante de votre part.
Oui, la France à adoptée en 1905 « la loi de séparation des églises et de l’état », un nouveau mot pour vous, c’est la « laïcité ».
Comme d’habitude, l’islam ne respecte pas les valeurs républicaines françaises.
Si le premier verbe du coran est « LIRE », alors apprenez à lire les textes du coran.
Lire ne suffit pas, il faut comprendre, interpréter, décrypté (un enfant de 5 ans sait lire), bref un travail spirituel, philosophique, sans vous offenser, et à la lecture de vos commentaire, je me demande si vous avez ces facultés.
L’obscurantisme dont je parle :
– « L’obscurantisme interdit que soit cru autre chose que ce qu’il estime digne d’être su ».
Par exemple les religieux, les personnes qui refusent le progrès, la diffusion des connaissances et de la culture, bref, des attitudes hostiles envers le progrès.
– « Une DER pour la route : si toute fois le “niqab” ne vous plait pas, c’est très simple; ne le mettez pas :) et laissez les autres et si vous le permettez le mettre , c’est pas plus simple, facile et équitable ?
Je vous l’ai dit plus haut, l’islam ne respecte pas les valeurs républicaines françaises, je ne vois pas pourquoi, on devrait vous respecter.
« les kahbah d’Allah, ou les kelb d’Allah », les barbapapas, pacmans, les fantômes, sont bien chez vous, chez nous, pays laïque, vous n’êtes pas les bienvenus.
Pour information, les pays européens commencent à adopter des lois contre le chiffon, un bon début, à quand l’expulsion !!
En conclusion, votre islam prône la haine, l’intolérance, le mot en vogue l’obscurantisme, entrave aux libertés, oppression, captivité, dérives sectaires…………………
Bref, entre le progrès, la diffusion des connaissances de la culture, des sciences, etc.…, et les « mystificateurs religieux », j’ai choisi.