Au troisième étage d’un vieux bâtiment, géré depuis 2011 par la présidence du gouvernement, les membres de l’INPT se réunissent quotidiennement dans une petite salle délabrée aux couleurs grisâtres. Dans un couloir mal éclairé, ils ont accès à cinq bureaux collés à d’autres administrations étatiques. Reportage.
Hamida Dridi
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