Since the revolution, the number of civil society associations in Tunisia has more doubled, reaching some 19 thousand. In the context of establishing a “participative democracy” with citizens and civil society as principal actors (Article 139 of the new constitution), Decree-law 88 of September 2011 guaranteed the “freedom to create, belong to, and carry out activities through associations, and the strengthening of the role of civil society organizations, as well as their development and respect for their independence.”
Loi sur « la réconciliation économique » : Les lobbys de la contre-révolution sur le pied de guerre
Mercredi 27 avril, des familles des martyrs et des membres du mouvement Manich Msamah ont été interdits d’accès au séminaire « la réconciliation comme choix stratégique pour la consolidation de l’union nationale ». Depuis quelques jours, les lobbys de la réconciliation économique reviennent à la charge. Tenus à huis-clos, traités complaisamment par les médias dominants, leurs séminaires reprennent un même son de cloche, comme au bon vieux temps.
Projet de loi de réconciliation : Le cabinet de BCE consulte
Selon le site AfricaIntelligence.fr Le cabinet de Béji Caid Essebsi mène une consultation auprès d’experts et soutiens potentiels pour « assurer l’adoption de la loi de “réconciliation” pour les crimes économiques et financiers ». Ainsi, le 9 septembre, le directeur de cabinet de “BCE”, Ridha Belhadj, aurait discrètement reçu trois visiteurs.
Hédi Sraieb, Moez Joudi & Co. : des économistes ou des zombies?
Décidément, il y a une épidémie de malhonnêteté intellectuelle en Tunisie. On ne sait toujours pas grand-chose sur son origine mais il est clair qu’elle est très contagieuse et elle se transmet, parait-il, par télépathie : un zombie invente des idées stupides, une fois ces idées infestent le cerveau de quelqu’un d’autre, petit à petit elles finissent par manger son cerveau et il se transforme lui-même en un zombie mangeur de cerveaux !
One Hundred Days of Lentitude – Assessing Jomâa’s Work in Office
If its delivery is distinctive, the overwhelming message from public figures and ordinary citizens is the same: the gravity of the economic crisis—whether the exacerbated image of a political media campaign or an accurate portrayal of the country’s disequilibrium— is such that the Prime Minister has been called upon to transcend the drawn-out bickering of a politicized National Economic Dialogue, to take actions in measure with the severity of the situation that he has expounded in his discourse and communication with Tunisia and the international community, to devise a roadmap that sets out long-term, sweeping structural reforms.