Les journalistes le savent : tâter le pouls d’un pays, c’est bavarder avec ses chauffeurs de taxi, ses coiffeurs, ses épiciers. Mais ils s’obligent aussi, sitôt arrivés à leur hôtel, à un petit détour du côté du bar, car il y a de fortes chances d’intercepter une discussion entre deux ou trois « têtes pensantes » venues refaire le monde autour de […].