« Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit, et l’obéissance en devoir » écrivait Jean-Jacques Rousseau. Une leçon que le gouvernement tunisien applique avec dextérité, comme l’analyse Béatrice Hibou, chercheur au CNRS (Ceri-Sciences Po) dans son dernier ouvrage, La force de l’obéissa […].