Aujourd’hui, crise identitaire oblige, les femmes tunisiennes ne savent plus qui écouter. Indécises, tiraillées entre progrès et réaction, elles hésitent entre porter le Hijab et donc plier face à la pression sociale, ou s’en affranchir, dans une quête de liberté et d’émancipation. Mais dans le doute, la plupart d’entre elles préfère se voiler ; après tout, le bon Dieu ne pourra qu’apprécier !
