Par Souad Ben Mustapha,
Je souhaiterai revenir sur l’élan de solidarité qu’a déclenché l’annonce de la condamnation de M. Nizar Bahloul, directeur du journal électronique Business news à quatre mois de prison ferme en rapport avec l’affaire de l’ancien ambassadeur de Tunisie à Abu Dhabi et apporter les éclaircissements qui s’imposent en ce cas de figure. Je tiens d’abord à préciser que comme nombre de tunisiens, j’ai été, je suis et je serai toujours pour la défense du principe de la liberté d’expression, quelqu’en soit le contexte et particulièrement quand il s’agit de l’exercer dans le cadre de la noble mission de journaliste.
Il convient toutefois de préciser d’ores et déjà et de rappeler à tous les journalistes qui se sont élevés contre ce verdict que M. Bahloul n’a pas été condamné pour un délit de presse mais bien pour diffamation d’un haut fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions. Je salue à ce propos la solidarité du corps des journalistes pour défendre les atteintes portées à leurs droits mais il faudrait distinguer le bon grain de l’ivraie. Je fais partie des citoyens qui ont souffert de la chape de plomb qui pesait sur le peuple tunisien, toutes tendances et tous corps confondus et je suis contre toute atteinte au principe de la liberté d’expression qui est un droit sacré mais ce droit doit être exercé à bon escient et ne pas entrainer des dérives telles qu’il est de la plus haute importance de rappeler dans cette affaire.
Business News qui a soutenu l’ancien régime en glorifiant Sakhr El Matri et qui était la plume de Abdelwahab Abdallah lors des années de braise s’est brusquement mué en défenseur de la liberté d’expression. C’est à ce titre d’ailleurs que ce journal s’est fait un devoir pendant des mois de livrer en pâture sur la place publique l’affaire de M. Ahmed Ben Mustapha et de salir la réputation de ce haut fonctionnaire et de sa famille en se basant sur des faits dénués de toute probité. Il convient de rappeler à ce propos que sous l’ancien régime, il y avait aussi bon nombre de citoyens et de hauts fonctionnaires dont M Ben Mustapha qui ont travaillé en tout probité et intégrité et qui ont été traînés devant la justice pour avoir voulu servir leur pays selon leur conscience, mais qui ont vu malheureusement leur carrière et leur vie entière brisée pour s’être élevés contre les procédés mafieux de l’ancien régime et surtout de la famille régnante.
Il faudrait aussi signaler que cette condamnation fait suite à un article insultant et diffamatoire publié par Nizar Bahloul sur son site après la révolution où il reproche à la justice d’avoir innocenté M Ben Mustapha mettant ainsi fin à une grave injustice orchestrée par l’ancien régime dans le but de détruire l’ancien ambassadeur car il ne s’était pas personnellement déplacé à l’aéroport pour couvrir une opération illicite de transfert de devises au bénéfice de Jalila Trabelsi sœur de Leila épouse de l’ancien président ; il reprochait également au ministère des affaires étrangères d’avoir envisagé de réhabiliter M Ben Mustapha en le nommant dans un poste diplomatique. D’ailleurs il faut rappeler que Business news avait été préalablement instrumentalisé par l’ancien régime contre l’ambassadeur avant la révolution au même titre que la justice et l’administration ;et c’est pourquoi il vient d’être condamné à une peine de prison ferme car les juges ont estimé que les faits qui lui sont reprochés dépassent en gravité la simple diffamation mais relèvent de l’article 128 du code pénal qui dispose « Est puni de deux ans d’emprisonnement et de cent vingt dinars d’amende quiconque par discours publics, presse ou tout autre moyen de publicité, impute à un fonctionnaire public ou assimilé des faits illégaux en relation avec ses fonctions ,sans en établir la véracité ».
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C’est claire qu’ avec cette histoire une frange de journalistes nous prend pour des “bhalil” …
– Madame, je vous défie de me présenter une phrase diffamatoire contre votre frère. Dans cette affaire, nous avon synthétisé des PV de justice où votre frère a été accusé par son personnel de détournement d’une partie de leurs salaires.
– Quand il a été acquitté en pleine révolution, alors que le MAE était occupé par Kasbah 1, nous avons repris l’information. Nous avons publié tous ses droits de réponse à l’exception de celui où il accuse sans preuves Jalila Trabelsi et Abdelwaheb Abdallah, car notre éthique nous empêche d’accuser des personnes sans pouvoir leur accorder le droit de réponse, vu qu ces personnes sont en prison. Nous avons cependant en mémoire les témoignages de ces pauvres gens (dont votre neveu) qui accusent votre frère de détournement de salaire.
– Il est de notre devoir (et nous n’allons pas nous taire) de demander des comptes au ministère des Affaires étrangères et de lui demander pourquoi il n’a rien fait contre ces salariés s’ils ont accusé injustement votre frère ou pourquoi ils n’ont pas fait appel contre l’acquittement s’ils estiment que votre frère est coupable. Il s’agit là de détournement d’argent public et nous allons revenir à la charge, sachez-le, jusqu’à ce que la vérité éclate et que le ministère dévoile ses secrets.
– Pour mon historique, je n’en ai pas honte et la preuve, nos archives sont intactes puisque vous y puisez ! Nous n’avons insutlé aucun opposant, nous avons la conscience tranquille… nous avons composé avec le système comme nous pouvions. Un système dont votre frère faisait partie et chantait les louanges, jusqu’à fin 2010 comme en témoigne son article sur Attariq al Jadid.
Excellente analyse….Bravo Mme.
Bah oui Quand une Ben Mustapha qui défend un autre Ben Mustapha (Ambassadeur), cela donne un article de ce genre !
Tout d’abord je tiens à Préciser que je ne défends ni Ben Moustfa Ni Bahloul.
1- J’aurais bien aimé que l’auteur de l’article se présente. A juger par son nom de famille, elle serait une parente à celui qu’elle défend.
2- M. Bahlou, pourriez-vous me donner davantage d’informations sur l’article de Ben Moustfa publié sur Attariq al Jadid ? Car il me semblait qu’ETttariq El Jedid est un journal du parti politique “Ettajdid” qui s’est opposé au régime de ZABA !
Le titre m’a interpellé, comment peut on justifier la prison pour une personne qui aurait été arrogante ou diffamante?
On lance un procès comme ça sans prévenir l’accusé et sans que la défense puisse se justifier? C’est ça un Etat de droit? Une justice en catimini?
Quelle conception de la justice et de la démocratie a la personne qui a écrit l’article, et qui n’ose pas dire qu’elle est la soeur de l’ex Ambassadeur.
S’il y avait corruption, le journaliste doit etre en mesure de le justifier et il était de son devoir de le dénoncer!
Cher Monsieur
Vous avez composé avec l’ancien régime comme vous le dites ,soit ; mais par honnêteté vous auriez pu faire votre mea culpa publiquement , vous auriez au moins blanchi votre réputation. Quant à nous , moi, mon frère et toute notre famille , nous faisons partie- voyez-vous, de cette frange de tunisiens et tunisiennes qui ont refusé de composer et de se compromettre par principe, eu égard à leur intégrité et à leur probité et nous avons combattu avec les moyens du bord sans jamais se départir d’une ligne de conduite claire et précise , pourriez-vous dire autant?
Vous parlez d’éthique et de bonne conscience, comment osez-vous alors que vous ne respectez même pas les règles de déontologie inhérentes à votre métier et au corps de journalistes?
Tiens donc! le MAE était impliqué dans Kasbah 1? on en apprend bien des choses avec vous Monsieur, continuez à nous instruire et surtout surtout restez zen….
Madame, nous avons fait notre mea culpa deux semaines avant la révolution. Vous dites que votre frère ne s’était pas compromis ? Il lui a pourtant fait l’éloge en 2010 sur Attariq al Jadid et il a été son ambassadeur durant une bonne période !! Je me trompe ? Vous ne répondez pas en revanche sur le fond de l’affaire, les accusations de ces petites gens qui disent que votre frérot leur a détourné leur salaire. Vous allez les voir à la télé bientôt et amusez-vous bien ensuite à leur dire qu’ils étaient eux aussi à la solde de Ben Ali !
Je n’ai rien à dire en ce qui concerne la controverse entre l’ambassadeur et Bahloul, pas si bahloul que ça d’ailleurs. Mais je me rappelle la première fois que j’ai lu sa vomissure concernant Sakher Materi en 2009. Je me suis alors demandé quelle était la différence entre un scribe pareil et une ordure. Je viens de revoir ce produit nauséabond une deuxième fois grâce au lien de Souad Ben Mustapha et j’avoue que je n’arrive pas encore à trouver la différence. Mais je sais où on dépose les ordures: dans une poubelle. Une poubelle sur laquelle on peut coller une étiquette comme BN par exemple. Ceci dit dois-je m’étonner si Business News a choisi comme chroniqueur Tahar Belkhodja pour nous parler entre autres des droits de l’homme. A l’occasion du viol de la fille de Aïn Zaghouan j’ai été abasourdi par son culot. Business News lui a demandé de pondre son oeuf. Mais lisez plutôt ce texte. “M. Belkhodja a analysé et commenté le viol dont a été victime une jeune fille par deux policiers. En tant que politicien ayant joué un rôle actif dans le gouvernement de Bourguiba, il a affirmé que de tels crimes sont sans précédent, surtout avec des coupables qui représentent théoriquement des gardiens de la sécurité. En tant qu’ancien ministre de l’Intérieur, M. Belkhodja dénonce fermement ce crime et tire la sonnette l’alarme”. Je me rappelle une déclaration de Mr Belkhodja publiée dans Le Monde du temps qu’il dirigeait les forces de sécurité. Il venait de sévir avec la brutalité typique du régime Bourguiba contre des manifestations d’étudiants. Il y a eu des arrestations, des tortures et une étudiante a raconté devant la caméra d’Amnesty qu’elle avait été violée par les flics. Le Monde a demandé à Mr Belkhodja si la torture des étudiants n’était pas une violation des droits de l’homme. Sa réponse a été claire et concise et résume la conception bourguibienne des droits de l’homme: “Les droits de l’homme ne sont pas pour tout le monde”. Je dois aussi dire que les lecteurs de Business News ne sont pas tous des imbéciles, témoin ce commentaire à l’article concernant l’opinion de Belkhodja. C’est du copier-coller.
“marsawi |09-10-2012 09:39
Un ministre de l’intérieur de Bourguiba venant nous faire la leçon point de vue Droit de l’Homme. c’est tout simplement ecoeurant qu’un personnage ayant planifié les tortures dans les prisons tunisiennes vient aujourd’hui nous faire la morale. Je rappelle a ce sombre personnage que la police a violé femmes et enfants devant leur maris et parents. Je rappelle à cet énergumène que du temps de Bourguiba la police n’a jamais été le gardien de la sécurité bien au contraire!!!!! Businessnews je vous vomis!!!!! ”
Business News apporte le même soin à choisir ses chroniqueurs que ses scribes. Tout le monde dans le même poubelle. Mais ce ne sont pas les poubelles ni les ordures qui manquent dans le Nouvel Ordre médiatique en Tunisie après la révolution. Voici un fragment d’un commentaire que j’ai placé sur ce site à propos d’un autres sujet: “Dans le torchon La Presse qui pendant des décennies a servi la dictature et le culte de la personne j’ai lu hier le 27-1 ce qui suit: “A quoi jouent les bailleurs de fonds internationaux ? Une question qu’on pourrait se poser tout bonnement, au fil des annonces de crédits accordés à la Tunisie. En effet, les institutions internationales continuent à financer les plans et les programmes du pays, bien que l’incertitude règne sur les perspectives économiques et de facto sur la capacité de remboursement”. En d’autres termes ce torchon, sous forme d’information, veut saboter les crédits internationaux qui pourraient aider la Tunisie en faisant peur aux bailleurs de fonds, leur disant que la Tunisie pourrait ne pas les rembourser. Voici un autre exemple de sabotage que j’ai relevé dans un autre torchon, Le Temps qui servait d’essuie-pied à Sakher Materi. Le 26-1 dans une interview où il était question du printemps arabe et de la révolution tunisienne le journaliste, pour discréditer la révolution, formule ainsi sa question: ” Ne croyez-vous pas que deux ans c’est très peu sur l’échelle de l’Histoire pour parler des évènements du 14 janvier et les considérer comme étant une Révolution? Que répondez-vous à ceux qui considèrent le ‘’Printemps arabe’’ comme étant une application d’un plan diabolique du grand Proche-Orient, tel que dicté par les Néo-démocrates américains?” C’est à se demander si la population de Sidi Bouzid, Kasserine, Thala, etc… sans oublier Tunis n’est rien d’autre qu’un ramassis d’agents de la CIA américaine. Je paraphrase Souad Ben Mustapha pour dire que dans la presse de prostitués la liberté d’expression se confond avec le sabotage de l’économie nationale et de l’honneur du peuple tunisien qui a fait tomber un tyran doublé d’un chef de mafia.
A Dharma 17 il existe dans le code pénal tunisien une loi qui interdit la diffamation et qui interdit egalement ( l’accusation d’un haut fonctionnaire de fait non véridique ou qque chose du genre) ce que Bahloul a fait il a remis une question la decision de la justice qui a blanchi l’ambassadeur non pas parce qu’il est assoifé de vérité et d’investigation comme vous insinuez mais c’était une question d’orgeuil et de “ro93a s7i7a” et une aptitude incroyable à sortir des mensonges et des propos diffamatoires juste parce que A.Ben Mustapha a exigé un droit de réponse refusant de le lui accorder en bonne et due forme ( puisque cela serait un aveux implicite de ses relations douteuses avec l’ancien régime) et co.me la réputation des gens n’est pas un jouet le citoyen tunisien a eu recours a la justice qui a convoqué l’accusé mais comme celui-ci se fout royalement de la justice et de cette histoire (il pietinne les gens et passe mani ,otlek ro93a) il ne s’est pas présenté ce qui a alors alourdi sa peine et a lui a malhrureusement donné l’occasion de se faire victime de la liberté d’expression soutenu par une horde de journalistes (je salue les plus honorables d’entre eux qui savent distinguer le bon grain de l’ivraie) dechainés free Nizar. Le commentaire de Bahloul ici toujours aussi ro93a démontre sa volonté à manipuler l’opinion publique en continuant à débiter des mensonges et des propos diffamatoires qui j’espère allourdiront sa peine. Quant à la redactrice de cet article je ne vois pas ou est le problème si elle est la soeur du plaignant aprés tout elle n’a pas caché son nom de famille et quand ce nom de famille a été trainé dans la boue par une personne corrompue sans scrupule et sans aucune conscience professionnelle, je pense qu’elle a bien raison de remettre les pendules à l’heure afin d’éviter au peuple tunisien un émoi inutile. Un dernier rappel ce n’est pas l’ancien ambassadeur ni sa soeur qui ont jugé Bahloul c’est la justice tunisienne alors il faut arrêter de leur faire porter votre mécontentement envers les décisions de justice qui ne vous plaisent pas. Il va faire appel et sa peine sera malheureusement allégée il continuera à diffamer dans la joie et l’allegresse
La liberté d’expression doit etre totale et sans aucune limite, c’est l’arme absolu contre le retour de la dictature, d’ailleurs ce n’est pas un hasard si le gouvernement d’Ennahdha a refusé de dépénaliser la diffamation ( recommandation du conseil des droits de l’homme de l’ONU ). Les procès contre Ayoub Massoudi et Olfa Riahi,Samir Feriani,…démontrent bien les tentatives de museler la liberté d’expression .
Comparer Bahloul a Olfa Riahi AYoub Masoudi et Samir Feriani revient à mélanger les serviette et les torchons
Je ne vois pas la différence.
Masoudi riahi feriani serviettes (propres) Bahloul torchon (emmasekh) j’espère que c’est clair
Il faut tous les faire bouillir dans la même lessive. Mais chacun son opinion.
Je trouve que l’affaire de Nizar Bahloul est très intéressante, du point de vue des autres journalistes, parce qu’elle n’a pas la clarté des affaires habituelles où il est très facile de faire la distinction entre les” bons” et les ” méchants” comme dans le cas d’Olfa Riahi, Soufiane Chourabi ou Lotfi Ebdelli où on retrouve la liberté d’expression aux prises avec le pouvoir, situation, on ne peut plus classique : pour eux, effrayés, au début, à juste titre, au niveau du principe, par la condamnation d’un de leurs collègues à 4 mois de prison ferme, le problème qui se pose, est le suivant : faut-il défendre coûte que coûte et, aveuglément, un confrère, dans une affaire de diffamation d’un fonctionnaire public pour cause d’appui, sans état d’âme, apporté à l’ancien ministre de “la désinformation”, A. Abdallah ? Faut-il faire profiter, même lui, d’une solidarité à toute épreuve, dans un contexte où des procès sont intentés à quelques-un d’entre eux ?
Précisons, tout d’abord, que si ce journaliste a écopé d’une condamnation de prison, ferme, par contumace, c’est parce que, sûr de lui et négligeant , il n’a, même pas daigné se présenter au tribunal, prétextant, de façon invraisemblable ne pas avoir été averti du procès. Et on ne peut s’empêcher de sourire de voir cette campagne ” free Nizar” déclenchée par des lecteurs bien intentionnés, dans Business News, à qui manquent des données essentielles pour juger cette affaire et un journaliste qui n’a pas, particulièrement fait honneur à sa profession, du temps de la dictature, au moment de la répression ; on sourit, aussi, de le voir profiter, de façon imméritée, du statut de victime quand on mesure les dégâts, sur le plan moral, dont il a été la cause, dans le passé ; deux leçons, au moins, peuvent être tirées de cette affaire: la précipitation dans le jugement apporté à un cas risque fort de nous conduire, droit, vers l’aveuglement et l’erreur; et, dans un contexte de rumeurs, d’intoxication et de surenchères, rien n’est plus difficile à établir que la vérité
Mettre en prison un journaliste pour un article qu il a ecrit est un crime et cela envoie un tres mauvais message quand a l etat des libertes en Tunisie,pour le gouvernement c est se tirer une balle dans le pieds.
Quand a monsieur Ben mustapha ,tout le monde connait son honnetete et sa probite.iL Y A d autres methoses que la prison.
Madame Souad dit etre pour la liberte d expression …mais….ce mais vous met dans le camp des ennemis de la liberte,ce n est pas la meilleure facon de defendre votre frere.Vous opposer a l arrestation de nizar bahloul aurait eu plus d impact et plus de classe
A Melli
Je le dis et le redis, il ne s’agit pas d’un délit de PRESSE mais de DIFFAMATION d’un fonctionnaire dans l’exercice de ses fonctions et dans cette affaire, il y a eu diffusion de fausses informations et atteint à la réputation d’une famille entière, sans compter les autres dégâts.
Business News a contribué par sa campagne médiatique et son acharnement à aggraver les conséquences de cette affaire à tous points de vue.
Qu’auriez vous fait cher Monsieur si on avait traîné le nom de votre famille dans la boue? Vous ne seriez pas resté les bras croisés je suppose. Ceci dit je persiste et signe, je suis contre toute atteinte à la liberté d’expression mais comme toute liberté; elle doit nécessairement obéir à des règles de déontologie claires et précises.
Cher Bahloul
Mais je vous l’ai dit, vous êtes aux abois et vous ne savez plus à quel saint vous vouer.
Continuez à vous agiter , vous ne faites que vous enfoncer davantage.
Puisque vous êtes descendus à ce niveau de réponse, j’estime que vous ne méritez même plus qu’on vous réponde; mais un conseil tout de même, corrigez vos fautes avant de poster (on dit j’EN fais l’éloge et non je LUI fais l’éloge) . Piètres journalistes d’après la révolution…