Par Hind Mandy- L’attaque du cinéma AfricArt le dimanche 26 juin 2011 est inqualifiable et l’agression de son directeur Habib Belhedi est un acte grave contre l’un des actants de la vie culturelle tunisienne des plus actifs. Ce qui aggrave ces actes c’est l’indifférence ambiante et l’impunité la plus totale dans laquelle ce déroule ce vandalisme et cette sauvagerie. Nous sommes en danger, nous commençons la mutation. Réactions éparses : quelques politiques condamnent timidement, d’autres accusent les organisateurs de provocation. Déjà en panne de praxis culturelle le ministère de tutelle regrette du bout des lèvres. Quelle hypocrisie générale !!!
cultur 1