Lors d’un congrès à Barcelone organisé par l’Institut européen de la Méditerranée, on a rencontré Mohammad Pournik, un iranien travaillant en tant que chef du groupe de lutte contre la pauvreté aux Nations Unies. Il nous a fait savoir qu’il a été à Tunis au mois de février 2011, à peine quelques semaines après la chute de Ben Ali.
« En 2011 à Tunis, je me sentais à Téhéran en 1980 » nous a-t-il dit. Quels points communs existent-ils entre Tunis en 2011 et Téhéran en 1980 ? Réponse en image
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