Alors que deux affaires judiciaires ont condamné fermement la liberté d’expression la semaine dernière à Tunis, le cas d’Ayoub Messaoudi met en cause un autre sujet délicat: la liberté de critiquer l’institution militaire. L’homme, dont le procès contre Rachid Ammar et Abdelkrim Zbidi continue en cassation le 19 juin, a décidé de faire appel au tribunal international.
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