Le mois de Ramadan rime avec une floraison de productions télévisuelles. Cette multiplication des productions va de paire ces dernières années avec des transgressions multiples : propos violents diffusés à des heures de grande écoute, stigmatisons des minorités, abaissement de la femme. La HAICA intervient chaque Ramadan pour rappeler à l’ordre les chaines de télévisons mais ceci n’empêche pas les récidives comme pour cette saison.
Wled Moufida : Les frustrations sexuelles au secours d’un navet
Adultère, enfant né hors mariage et abandonné par sa mère prostituée, relation sexuelle entre un fiancé et sa belle-sœur, autant d’éléments qui font de la sexualité des personnages de Wled Moufida un socle dramatique. Une foire à scandales étalée dans une réalisation aux multiples maladresses. Faux raccords et autres incohérences dévoilent un feuilleton qui se sert du racolage comme écran de fumée cachant son amateurisme profond.
«Wled Moufida» : Plagier «Sons of Anarchy», à quoi cela sert-il ?
C’était frappant. Les internautes l’ont relevé dès la mise en ligne du clip-générique du feuilleton «Wled Moufida», le 31 mai dernier : Ce n’est pas une «idée de Sami Fehri». Elle revient plutôt à Kurt Sutter, le créateur de la série américaine «Sons of Anarchy». Le plagiat est évident, mais en quoi peut-il servir «Wled Moufida» ?