Comme prévu, le deuxième parti de la Troïka, le CPR, a quitté la coalition au pouvoir puisque le Chef du gouvernement n’a pas suivi son plan, celui d’un remaniement qui mettrait à l’écart les deux ministres contestés : Noureddine Bhiri (ministère de la Justice) et Rafik Abdeselem Bouchleka (ministre des Affaires Religieuses).
En effet, le chef du gouvernement a choisi la solution radicale, celle d’un gouvernement de technocrates où la neutralité serait le mot d’ordre. Le parti Ennahdha a refusé l’initiative de M. Jebali bien qu’il soit des leurs. Selon le parti islamiste, ce gouvernement voulu par M. Jebali retire la légitimité électorale dont jouit Ennahdha et les partis politiques ayant eu le plus de voix lors du scrutin du 23 octobre 2011.
Les deux partis de la Troïka, CPR et Takatol, ne veulent pas donner un chèque en blanc au Chef du gouvernement
Le SG du CPR, Mohamed Abbou, nous a confirmé que bien qu’ils aient annoncé la démission des ministres, ils continueront à travailler, selon la loi, le temps qu’il y ait de nouvelles nominations.
Pour l’initiative de M. Jebali, nous considérons que normalement ce sont les politiciens compétents qui doivent être au pouvoir par contre on n’est pas contre l’initiative pour un gouvernement de technocrates. On ne peut l’accepter concrètement que lorsque nous aurons les noms de ministres que le Chef du gouvernement aura choisi pour le nouveau gouvernement.
M. Abbou a aussi précisé que cette position a été déclarée depuis une semaine mais que tout le monde, notamment les médias, s’est concentré sur la démission du CPR.
En ce qui concerne le parti Ettakatol, on a contacté M. Samy Razgallah, membre du bureau politique qui nous a déclaré que
Le parti Ettakatol soutient l’initiative de M. Hamadi Jebali mais on attend la liste des noms du nouveau gouvernement. D’ailleurs, cette initiative va dans le sens de notre demande de mettre des indépendants à la tête des ministères de souveraineté.
Feuille de route du Chef du gouvernement pour la Tunisie adressée à l’opinion publique
Le chef du gouvernement, faisant la distinction entre l’Assemblée Constituante et la l’exécutif, reconnait la légitimité du scrutin du 23 octobre qui a mis en place l’Assemblée Nationale Constituante, d’où ses critiques envers le chef du parti Nidaa Tounes qui ne cesse d’appeler à la dissolution du seul organisme élu.
Par ailleurs, dans une lettre envoyée aux partis politiques en Tunisie, le Chef du gouvernement insiste sur la situation dangereuse dans laquelle se trouve la Tunisie, aussi bien sur le plan économique que sur le plan sécuritaire. A cet effet, M. Jebali a appelé tous les partis à se mettre d’accord sur cinq principes essentiels :
- Garantir le caractère civil de l’Etat et les libertés dans la réconciliation avec l’identité du pays et ses spécificités
- Que l’Etat soit le seul garant de toutes les libertés pour les Tunisiennes et Tunisiens pour couper court aux milices et aux organisations qui recourent à la violence dans leurs discours et faits.
- Que tout le monde condamne la violence dans toutes ses formes, que ce soit sur le plan idéologique ou politique
- Refuser tout conflit et démagogie idéologique qui puisse nuire à l’unité de la société afin de s’unir autour de l’identité arabo-musulmane et son mode vie caractérisé par la modération et l’ouverture
- La neutralité de l’administration et la mise à l’écart du corps sécuritaire des dissensions électorales.
Les priorités du nouveau gouvernement devront se concentrer selon le Chef du gouvernement sur quatre points précis, à savoir :
- Réaliser la sécurité des citoyens et de toute la société
- Réaliser un pas important au niveau du développement régional, la création d’emplois et veiller sur le pouvoir d’achat du citoyen
- Lutter contre la corruption pour réaliser les buts de la Révolution
- Rédaction d’une constitution pour tous les Tunisiens et réalisation des élections libres et transparentes au plus tôt possible.
Selon le Chef du gouvernement, la Troïka et l’opposition ont échoué
Selon la lettre adressée par le chef du gouvernement aux partis et aux instances du pays, (cliquer ici pour la lire -en ar) le meurtre du leader de gauche Chokri Belaiïd a démontré l’ampleur du complot en cours contre la Révolution tunisienne.
Dans cette lettre aussi, M. Jebali définit la nationalité du meurtrier qui serait tunisien, qu’il a assassiné Belaïd d’une manière préméditée pour faire avorter le chemin de la dignité et tuer les buts de la Révolution.
Cet assassinat serait, d’après le Chef du gouvernement, une annonce de l’échec du gouvernement et de l’opposition suite aux multiples dissensions et insultes réciproques depuis des mois. Le meurtre aurait pour but de mettre la Tunisie en état de guerre civile, “chose très probable” assure-t-il.
A lire aussi :
Hammadi Jebali : Maintien de l’initiative d’un gouvernement de technocrates pour éviter le naufrage
Remaniement ministériel : Le Chef du gouvernement face au flou constitutionnel
Assassinat de Chokri Belaid : Manifestations et heurts dans tout le pays
Enième report du remaniement : l’isolement d’Ennahdha se confirme
Tunisie : Les juges décrètent l’échec de la réforme du système judiciaire
Vive tunisie
“Le SG du CPR, Mohamed Abbou, nous a confirmé que bien qu’ils aient annoncé la démission des ministres, ils continueront à travailler, selon la loi, le temps qu’il y ait de nouvelles nominations.”
Tout ce qu’on a envie de leur dire c’est ” Cassez vous pauv’cons”
A bon entendeurs
Ja3ba tayib
Encore une fois :
Si on considère que l’assassina de notre chokri el batal fait partie d’une des étapes d’un complot « processus d’action» qui avance étape par étape pour conclure la fin de la révolution et faire revenir ben Ali comme sauveur, à la napoléon ‘’rappelez vous l’histoire’’ :
– L’assassina de chokri était bien préparée (- sur le plan médiatique, il a été médiatisé d’une manière que sa disparition créera un choc qui façonnera d’une manière et sur des bases psychologiques les alliances, nouvelles aliances. Le base politique en matière des nouvelles orientations à prendre sur les manières et le contenu, n’a pas solidement rassemblé ni chez la troïka avec leurs désaccord sur le remaniement depuis des mois, ni chez les clans soutenu par les rcdistes –nida, joumhouri, moubadera, doustourouna, massar- ; le front populaire malgré la présence de ces derniers dans les funérailles de chokri, n’adhère pas encore à l’alliance avec ce quinté acquis 100% à la France. Ces cinq partis ne peuvent s’unir sans un bigbang au niveau de la psychologie collective.
– La proposition de jebali sans retour à son propre parti, ni à l’anc, vient coucouner l’étape, d’une autre manière. La proposition de jebali n’était pas attendu par les comploteurs, ils croyaient la démission directe du gouvernement ou bien tout simplement un entêtement total (le gouvernement continue à travailler comme si n’a rien eu), l’esquive que jebali a fait a mis tout le monde politique en hors jeu. Nida tounis, eljoumhouri et et et ne peuvent réclamer le départ du chef de l’exécutif, d’où la sortie de bce pour demander la dissolution de l’Anc, mais sans grand éco. Il est traité de toutes les salopries.
– L’anc ne pourra être dissoute, c’est le seul et unique pouvoir légal et légitime qui existe. Le pouvoir de la rue/l’anarchie n’a pas créée encore des conditions pour accomplir la contre révolution qui balayera la légitimité. Le pouvoir du président de la république et celui du gouvernement tiennent leurs existences et leurs salut à l’anc. L’Anc ne peut même pas s’auto dissoudre, elle n’a pas ce pouvoir sur elle-même.
– Les choses restent coincées. Le 1er ministre par son 1er discours de former un gouvernement de technocrates a limité le processus de destruction (la casse), pour atterrir juste à/sur un grand mécontentement, qui se couronne, par des funérailles historiques. il est dommage que la veuve de chokri n’a pas invité ‘’exigé’’ la non exclusion d’ennahda de ces funérailles; et là vraiment on découvrira plusieurs choses, très étonnantes. Besma reste la femme qui n’a pas joué l’histoire. On pourra comprendre ses 1ères déclarations d’accusations toute asumutes ; mais 2 jours après chahed lakal aurait pu revenir, et elle aurait pu faire une sortie médiatique sur toute les chaînes et radios, pour demander que les assassins de son mari seront arrêtés au plus vite et que la Tunisie n’a pas à être divisée entre victimes et supposés assassins. Je ne l’en veux pas, cette chose la dépasse de loin.
– Les assassins de chokri courent toujours !!! peut-être ils étaient dans les funérailles ???? nous, simple citoyens on a le droit de tout supposer, vu l’absence des éléments matériels plausibles qui nous permettre de ne pas supposer, et on n’a pas l’accès aux dessous des informations détenues par les officiels de l’état et par les assassins eux-mêmes. il y a des déclarations sur des chaines télévisées… l’enquête nous mènera à une vérité, à toute la verité ? on n’en sait rien. Mais surement on aura une verité.
– Les politiques depuis le 6 février nous mènent en tarlouse, un nouveau gouvernement, dissoudre le gouvernement, remaniement, par l’Anc ou sans (…), de l’assassina, du crime, on passe au politique, c’était le but des ennemis de la révolution, comment faire adhérer les tunisiens à un changement par la rue (contre révolution) ; mais tout est tombé dans l’eau, et nous s’attendons au prochain scénario. L’état a réussi la maitrise de la rue, le peuple n’a pas fait la contre révolution, le gouvernement travaille sans rupture administrative , le cpr a annoncé le départ de ces ministre mais qu’ils continuent a assumé leurs tâches pour éviter la rupture administrative, ennahda et le cpr sont pour un changement du gouvernement mais il faut passer par l’Anc, wafa et le groupe dignité liberté et des indépendants les rejoignent sur la méthode ; après que le gouvernement soit technocrates ou politiques ou mi-mi, peut importe du moment ou notre mère (l’Anc) a donné feu vert, ettakattoul soutient le chef de l’executif dans sa démarche unilatérale ; normal ; il est le plus faible des trois en popularité, il est aussi le plus adapter pour des gouvernements des technocrates, il a de la réserve en grandes compétences, c’est tout gagnant pour lui.
– Ennahda a apparu solide plus qu’on le pensé ; ni précipitation ni déchirement, la chose politique reste rentre ses mains, la chose publique aussi « le gouvernement est encore là », le chaos souhaitait par les comploteurs (les assassins de notre chokri el batal) est évité dans le pays et à l’intérieur d’ennahda, la Tunisie sort avec des séquelles mais la décente à l’enfer n’est pas à l’ordre du jour.
– La France est vite venue au secours de ses propres enculés/chiens de l’histoire en Tunisie (les vendus rcdistes, qualifiés aujourd’hui de démocrates). C’est gentil ce que je viens de dire, parce que je suis un français et j’aime m’a France, mais voila, on le sait, par gouvernement de gauche comme par gouvernement de droite, les séquences ne manquent pas ‘’pour le moment’’ pour que le gouvernement français n’hésite pas à rappeler qu’il est colonisateur. Sarkozy et les armes pour zaba la dernière semaine de la révolution, rappelez-vous. L’homme du droit et de la diplomatie, Alain Juppé, est vite venu calmer les choses et sauver la face de la France, et Michèle Elio-marie a payé les frais. En France il existera toujours des intelligents est des hommes qui ont une conscience et non pas une précipitation. L’actuel ministre de l’intérieur payera bientôt, car François hollande est un homme d’état qui possède un autre mode d’agir et d’autres valeurs que celles d’un amateur en sécurité. Le président Marzoki, au début de sa prise de fonction a eu l’occasion, de rappeler à la France que l’époque coloniale est désormais derrière nous.
– Il est vrai que la France passe par des moments durs au niveau budget européen, et pas que…, l’affaire de mali ne suffit pas pour occuper les esprits, donc il faut revenir à (la création d’un nouveau mouton noir ou un supposé ennemi intérieur qui menace la démocratie, voila vous avez compris la chanson), d’autre internaute sur babnet ont bien parlé sur ce sujet. Mais ces manières d’agir que le ministre de l’intérieur utilise (diriger l’opinion vers des fausses destinations : la politique dirigiste, qui est autre chose que la démocratie dirigée de poutine en Russie). Ce ministre, François Holland va lui faire payer cher, le dégager tout simplement ; il est jeune et c’est un amateur en sécurité… et ses déplacements dans les quartiers décrétés difficiles ne vont pas lui suffire de réussite et de bonne image), le ps perdra beaucoup avec ce type.
– En Tunisie, les étapes de la destruction (la contre révolution) ne sont pas terminées, mais les éléments actuels (-gouvernement toujours en place, -Anc débout et réclamée par le peuple et par plusieurs du monde politique, -l’alliance front populaire/nida+++- n’a pas pu voir le jour, ennahda est soudé autours de ses institutions internes,- le cpr et ettakattoul ne sont pas dans un divorce avec ennahda, – d’autres formations comme wafa sont prêtes à participer à une solution, du moment ou la chose politique passe par l’Anc,- l’armée et la police sont au cœur de la légitimité, -les violences urbaines sont maitrisées malgré le fort prix payé), les cartes se sont embrouillées du côté contre révolution.
– La contre révolution avait besoin de créer un ennemi intérieur pour créer comme à l’époque de zaba une cohésion autour de la notion de la sécurité ou de l’insécurité menaçante à tout le monde, mais voila, ça n’a pas marché. Si nida et ses alliés ont gagné on aura eu le lendemain entre 10 000 et 20 000 morts « exécutés » des nahdaoui, des salafistes des nationalistes, et personne ne les aura pleurés, et chokri ne sera pas là pour les défendre ou pour dénoncer le crime national de la bourgeoisie. L’analyse de l’histoire a toujours prouvé que la bourgeoisie était toujours traitre en France, l’histoire de la révolution 1789, la 2ème guerre mondiale, pour ne citer que ces deux occasions historiques suffiront d’arguments. Peut-être en Tunisie on échappera, vu la conscience nationale et patriotique de nos grands riches. Je l’espère, et je suis confiant, même très confiant. Moi personnellement je ne me pose pas la question, mais qui sait ? peut-être on ne saura pas éviter une suite historique en terme d’alliance des classes, comme en France. Les anglais ont fait autrement qu’une révolution comme à la française (…), nous les tunisiens saurons-nous produire autre chose plus humaine ? le dernier contre social signé entre les trois principaux acteurs nationaux (ugtt, utica, gouvernement), m’annonce des bonnes nouvelles, si la loyauté aux engagements sera notre (leur) qualificatif commun et leur valeur partagé. Thaya tounis en cas.
– Alors les comploteurs, ça va ? vous savez que l’homme le plus médiatisé aujourd’hui est monsieur hammadi jebali ? vous allez en faire quoi de lui, ou à travers lui? sans être plus long : peuple fait attention. classe politique : sache une chose, qu’une rupture définitive avec le régime (doustourien bouguiba ben ali), est nécessaire, et elle est inéluctable pour une autre Tunisie pour toutes et tous, libre, développée, indépendante et démocratique, ok. La révolution de 17/14 ne reculera jamais. Donc nida tounis dégage, il est à dessouder, c’est une urgence nationale. Ben Ali harab. Mandhouj tarek.
QUEL CABINET de TECHNOCRATES SANS COULEUR POLITIQUE? M. JEBALI a su comprendre la gravité du blocage politique actuel et il a su politiquement tirer avantage du dramatique assassinat de M. Chokri BELAID, en osant se démarquer de la tendance dure d’Ennahdha, représentée par M. GHANNOUCHI, pour proposer sa solution qui serait «un cabinet de technocrates sans couleur politique». Il a fixé même le profil et les conditions pour accéder aux fonctions.
Cette proposition serait rendue possible par certains Partis de l’Opposition qui y voit une sincérité une vraie volonté de sortie de crise de la part du Chef du Gouvernement. La réponse de M. Béji Caïd ESSEBSI qui semble soutenir l’initiative de Hamadi JEBALI va dans ce sens.
Faudrait-il donc oser dire que tout pourrait aller mieux dans le meilleur des mondes ?
Ma position est très dubitative : Un Gouvernement de Technocrates qu’on laisserait agir, chacun dans ses compétences (réelles) ferait que chacun d’eux voudrait trouver les meilleures solutions dans son domaine. Le Ministre des Finances voudra réformer efficacement la fiscalité, le Ministre de la Justice voudra réformer efficacement la Justice, le Ministre de l’Intérieur voudra réformer efficacement la Police, etc… Et les problèmes pourraient ressurgir car il faudra hiérarchiser et voir ce qui peut être mis en place sur le court terme !
Un Gouvernement, c’est une équipe ministérielle qui doit avoir un Chef de Gouvernement, et celui-ci doit avoir un Programme de Politique Générale.
Et les fameux Technocrates, plus ils seront valeureux et experts, plus ils savent qu’ils doivent intégrer un programme d’intérêt général, il est même prévisible qu’ils vont l’exiger avant de s’engager sur leur fonction, surtout qu’avec les circonstances, ils savent que le pays entier, tous les Tunisiens, tous les politiques vont les regarder au microscope. Leur arrivée le matin, le temps pris pour déjeuner … La pression, le stress vont être énormes ou … insoutenables. Quelles missions vont-ils devoir accomplir ? Gérer les affaires courantes ou commencer à mettre en place des politiques de développement et de redressement ? Quels délais ? Quand va-t-on annoncer les dates des élections ? Que peuvent-ils conduire ou obtenir si M. JEBALI a annoncé qu’il faut hâter la date de ces élections ?
J’ai envie de dire que ces Technocrates n’auront pas vraiment besoin de signer un engagement à ne pas se présenter aux futures élections car on risque de tomber dans de la «mission impossible» et risquent de pas en revenir… Il faudra être bien une personnalité qui saura sacrifier sa vie professionnelle pour accepter une telle mission.
Et je retombe à la renverse ! Les vraies personnalités qui doivent savoir faire ABNEGATION de leur personne doivent ou devraient être des POLITIQUES plus que des Technocrates.
On revient à la case départ !
En ce sens, je crains l’échec de cette proposition de M. JEBALI. Celui-ci est un POLITIQUE qui a déjà essayé de mener une politique qui devait être sa politique ? Sa proposition voudrait-elle signifier qu’il pourrait réussir sa politique avec des Technocrates parce que les Ministres antérieurs ne l’ont pas suivi ?
Je relève aussi les propos de Mme Emna MENIF qui affirme la Tunisie a besoin d’une STRATEGIE. Elle annonce qu’il faudrait «conduire une transition avec un plan Marshall de sauvetage et l’organisation d’états généraux démocratiques aboutissant à une alternative politique et sociétale, économique, sociale et culturelle».
Et on revient à ma préoccupation essentielle : Le FACTEUR TEMPS et pour quelle MISSION ?
Que veut M. JEBALI ? Un cabinet de technocrates sans couleur politique pour gérer quelques mois d’avant les élections ou pour engager le pays dans un redressement à moyen terme ?
Que répondra l’Opposition ? Court terme ou stratégie pour le futur ?
Où se situeront alors les Partis de la Troïka ?
Nous sommes dans un problème complexe avec beaucoup d’équations et davantage d’inconnues !
Monsieur JEBALI a annoncé qu’il disposerait déjà de sa liste d’inconnus connus à nous faire connaitre très prochainement, dans la semaine…
not only vane,pathetic,ridiculous and hypocrite all these proposals
but the sources that are calling for it are insane.
let me dissect them:
ben jaafer: mean’t to be leader but in reality he is a sheep.
he wants some else to lead by showing him the list than if
things turn badly: he will pass the blame onto someone else.
is he man enough,honourable to accept responsibility as part
of this failed administration.
cpr abdou: you withdrew but stayed in.
which side of the bridge are?.
don’t tell you are a miracle man who can be at either side at the same time.
you are not eating but chewing along.
jebali : a total failure who absolves himself and becomes a saviour.
what a joke?,you are a dracula who loves sucking blood but reformed
and would like to be pardoned,even promoted to head security of a blood bank.
no decency in you at all:when accepting your failure the honourable thing is
to resign and call an election.
the hypocrity of jebali has no boundary and want’s tunisia to be in his image.
his list of demands are absurd.
first that tunisia stay arabo musulmane.
second guaranteeing security which he wasn’t able to do when in charge.
third unity and then liberty of expression ,then regional development
in which his record is non existent.
in all that jebali wants us he was not blame.
he was a football captain,this team lost but not his fault.
does he take the 11 millions of tunisians for idiots or jebali
is a bigger idiot than we can imagine.
apolitical team to carry his dogmatic political views and mostly
urgent to him that we are arabo moslem.
the constitution can wait for the next parliament and aren’t we running without one
since the zibla/bourguiba one was absolved.
for abdou/jebali; if the minister of religion wasn’t there:
rest assured tunisia won’t wake next day all converted to norman.
[…] son gouvernement C’est à travers le SG d’Ennahdha, lui-même Chef du gouvernement que le constat d’échec a été déclaré ouvertement. Au lieu de procéder aux demandes des deux partis de la Troïka et mettre à côté le refus de […]