Pour Neila Chaabane, doyenne de la Faculté des sciences Juridiques, Politiques et Sociales de Tunis, « la solution à l’informalité politique illégale et décriée passe par une plus grande transparence ». Mercedes Araoz, ancienne vice-présidente et premier ministre de la république du Pérou, insiste, elle sur la nécessité d’avoir des règles d’engagement et un contrôle, sans que celui-ci soit trop tatillon.
