Ben Ali est parti le 14 Janvier et les tunisiens ont pensé qu’ils avaient tourné la page de la répression et qu’ils pourraient maintenant critiquer et demander des comptes à leurs gouvernants et politiciens.
Mais depuis l’arrivée de la troïka au pouvoir, la liberté d’expression est bafouée, le nombre de procès augmente de jour en jour…
Au début, l’affaire Nessma a suscité une grande polémique à cause de la diffusion du film Persépolis et dont le procès a été jugé politique. Verdict : amendes entre comprises entre 1200 et 2400 DT.
L’ancien ambassadeur américain a déclaré qu’il était préoccupé et déçu par ce verdict, les propos de Gordon Gray n’ont pas plu au ministre des Affaires étrangère qui les a jugés irrecevables.
Suite à cette affaire, l’affaire des caricatures du Prophète publiées sur Facebook par Ghazi Beji et Jabeur Mejri, jugées provocatrices et portant atteinte à l’Islam. Les deux jeunes diplômés chômeurs ont été jugés à 7ans et demi de prison.
L’un des deux jeunes hommes est en train de purger sa peine dans une prison tunisienne et le deuxième a réussi à quitter le pays clandestinement pour se réfugier en Roumanie. Pour ainsi devenir le premier réfugié politique après le 14 Janvier.
Malgré la mobilisation de plusieurs associations et la création d’un comité de soutien constitué d’activistes tunisiens et de personnalités étrangères pour la défense des jeunes, aucune révision du procès n’est envisagée pour l’instant.
De même lors du procès des martyrs du Kef le journaliste de Nawaat Ramzi Bettaieb a subi la confiscation de ses deux caméras et privé d’accès au tribunal pour couvrir le procès. Il a observé une grève de la faim pour interpeller la société civile.Il a ensuite continué son travail d’investigation et a pu démontrer l’implication de l’armée dans la mort du martyr Amine Grami, agent de l’Intérieur tué le 17 Janvier 2011.
Sa grève de la faim a fait la Une de plusieurs médias électroniques et télés, et on a eu droit à une réponse de l’armée et du ministère de la Défense pour essayer de décrédibiliser le journaliste activiste et de minimiser l’affaire.
Dernièrement, l’arrestation du journaliste Sofien Chourabi à Menzel Temime dont les critiques au gouvernement auraient déplu aux ministres et aux sympathisants du parti Ennahdha, a suscité la mobilisation de la société civile. Cette arrestation est-elle liée à ces critiques ou est-ce un pur hasard ?
Tout récemment, l’ex conseiller du président intérimaire Moncef Marzouki, Ayoub Massoudi a été frappé d’une interdiction de quitter le territoire après avoir critiqué l’armée et le gouvernement tunisien lors d’une interview, accusant le ministre de la Défense et Rachid Ammar d’avoir écarté le président de la décision d’extradition de l’ancien premierministre libyen Baghdadi Mahmoudi, lors de son dernier passage sur la radio Mosaïque FM. Il a, aussi, sévèrement critiqué le gouvernement l’accusant d’avoir trahi les objectifs de la révolution et d’essayer de punir les habitants de Sidibouzid, (bastion de révolution) qui ont voté massivement pour les listes Al Aridha et non pas le parti au pouvoir.
Les artistes aussi sont dans la ligne de mire des salafistessoupçonnés d’être de mèche avec le parti Ennahdha, après l’annulation du spectacle de lotfi Abdelli àMenzel Bourguiba. Intitulé 100% Halal, le spectacle dénigrerait l’Islam selon eux.
De plus, Lotfi Abdelli a vu ses spectacles non sécurisés par la police « républicaine » qui laisse les salafistes agir en toute liberté sans être inquiétés.
Ces gens ont également perturbé le déroulement de la soirée du 17 ( ?) août à Kairouan et ont interdit la première partie du spectacle du chanteur Lotfi Bouchnek qui aurait dû être animée par une troupe iranienne avec un chant religieux.
Le 17 Août, les salafistes ont semé le trouble a Bizerte en attaquant la Maison de la Culture où se déroulait une rencontre avec l’ancien prisonnier Chiite d’origine libanaise Samir Al Khantar qui a sévèrement critiqué l’armée libre syrienne. Ce qui n’a pas plu à nos salafistes qui ont mainte fois appelé au jihad contre le régime de Bachar Al Assad.
N’oublions pas qu’à chaque bourde d’un membre du gouvernement Jebali, les médias sont critiqués et qualifiés de médias benalistes complotant pour provoquer la chute du gouvernement.
Au dernier prêche du chef du parti au pouvoir, Rached Ghannouchi, les personnes qui critiquent le parti sont qualifiées d’ennemis de l’Islam.
Aujourd’hui en Tunisie et sous le gouvernement majoritairement tenu par le parti Ennahdha, les tunisiens ne doivent pas critiquer les actions du gouvernement qui peine à résoudre les problèmes : coupure répétitive de l’électricité, d’eau, hausse des prix, et bien entendu toutes les promessesde la campagne électorale qui n’ont pas été tenues.
La troïka essaie d’étouffer les contestations en arrêtant arbitrairement toute personne capable de mobiliser lors des manifestations. Kais Bouaziz, militant et originaire du berceau de la révolution a ainsi été kidnappé par la police, son sort n’est pas connu aujourd’hui.
Rappelons aussi que les membres du gouvernement tunisien et à leur tête le Premier ministre Hamadi Jebali n’ont cessé de donner des chiffres contradictoires concernant la croissance, l’inflation… Positifs tantôt quand il s’agit de prouver la bonne gouvernance et la bonne action du gouvernement, négatifs quand il s’agit de critiquer les actions de protestations et les demandes sociales.
A-t-on fait une révolution pour se retrouver avec une liberté d’expression bafouée?
L’armée qui est soit disant la garante de la révolution -dixit le général Rachid Ammar-est-elle intouchable ? Si l’article publié par le site Nawaat montre l’implication d’un ????, veut elle cacher la vérité aux tunisiens ? Pourquoi les procès des martyrs ne sont pas publics ou ne sont pas renvoyés vers un tribunal civil ?
Saurons-nous un jour la vérité et verrons-nous l’ouverture des dossiers de corruption ?
Pourquoi ce gouvernement laisse agir les salafistes en toute liberté ? Sont-ils considérés comme des alliés du parti Ennahdha ? Ou en sont-ils en réalité la branche armée ?
Peut-on dire qu’on est en train de voir la naissance d’une dictature religieuse ? Le parti Ennahdha a-t-il peur de perdre aux prochaines élections ?
Certains journalistes se croient au dessus de la loi et font fi des us et coutûmes de la socièté. Si en buvant de la bière sur la scène publique en plein ramadan et en faisant des caricatures blasphématoire à propos de notre propjète on croit militer pour la liberté d’expression, alors dans ce cas on leur souhaite bonne chance. La liberté est avant tout un engagement et une responsabilité.
Merci Heykel de cette petite mise au point. J’ajouterais que nos “journalistes” et autres “intellectuels” devraient apprendre à raisonner par eux-mêmes et, pourquoi pas, à partir, mais pas exclusivement, du donné culturel qui est, qu’ils le veuillent ou pas, le leur, comme il est le nôtre. Le mimétisme est dévastateur, au même titre que le repli sur soi.
je rejoint Mr “Tahar” et “Haykel” et je dirai que nos journalistes ( qui la plus part d’entre eux ont couvert l’époque zaba et ce qui va avec de “faillotisme” et lêche savate)souffre d’un excès de liberté( tout excès est nuisible) qui prêche dans le sensas, l’émotionnel et les rumeurs dont “facebook” constitue une source de première ordre, se permettant un journalisme destructeur ( et je n’exagère pas ) qui est le journalisme d’opinion . mais il faut pas oublier que le monde de journalismes tunisien souffre des journalistes qui ne le sont pas , des parachutés, des vendus et surtout de ceux et celles qui veulent se racheter une verginité après moult années de tremperies et de supercheries . cela dit, je suis passion et j’attendrai, je sait pertinemment que c’est pas les ceux et celles de mon âge qui vont cueillir les fruits de l’installation de la démocratie en tunisie , sachant que je ne suis qu’un quadra .
The three dummies got to the top of the chain
but haven’t got a clue what do after that.
they promised so much and delivered so little.
As for the ayotollah of carthage : ghannouchi
who has no legitimate role but pulls the string
on the troika of dummies.
the tunisian ayotollah got that word from his master komeini mouth: if you are against his party you are against islam.
ghannouchi owns god now.
this ghannouchi is mezoued player and the 3 clowns at the top are his mezoued.
he will squeeze them as he pleases.
what hope of liberty would there be for the tunisians with those types at the top.
do they know where they are going and more importantly where are they taking the population to.
the army is a law onto itself,the goats of
salafisme are roaming as they please…..
it seems as if zibla left in body only but his spiritual behaviour is kept alive by the troika.
tunisia is looking like somalia or mali by the minute.
with sick heads like the troika:I suggest
decapitation before the rest of the body gets
beyond repair.
give them the flick or liberty will never
see the day.
we elected monkeys…we will be repaid peanuts.
the only fruits we harvested so far is higer
unemployement,bigger deficit,a wrap in black
for our ladies folks and a carte blanche to the goats .
vous défendez quel type de liberté d’expression ? La votre? Eh ben moi en tant que citoyen tunisien vivant pleinement ces moments de liberté je vais aussi défendre la liberté d’expression des salafistes:ils sont des tunisiens comme nous , delà ils ont pleinement le droit de s’exprimer comme bon leur semble. N’est ce pas monsieur liberté absolue! comment fait on alors pour concilier votre liberté et la leur, sachant que personnellement je me positionne à la même distance de vous deux?
-Vous vous donner suffisamment du culot pour défendre encore aujourd’hui Persépolis de Nessma qui a faillit provoquer une guerre civile dans le pays et dont les raisons de sa diffusion (ce ci est connu de tous) n’ont rien d’artistique et qui n’a aucun rapport avec la liberté d’expression.
2)vous défendez encore et toujours au nom de la liberté d’expression Soufiane Chourabi qui s’est mis en infraction vis a vis de la loi , que ce soit en étant avec une mineur ou bien le fait de se saouler en plein public , un délit répressible même dans les pays à proprement dit démocratique. Ceci sans rappeler au passage que ce monsieur Chourabi n’est qu’une créature -comme beaucoup d’autres jeunes- qui ont suivi des formations douteuses dans des ONG servant d’écran à des service de renseignements occidentaux.il en est le concentré de tous ce qui ce fait en la matière, mais n’empêche il a enfreint la loi et d’aucun ne doit être au dessus de la loi si l’on veut vraiment construire un pays démocratique.
3)vous défendez une forme de banditisme syndicale , un phénomène typiquement tunisien,que l’on a découvert à SFAX et puis à sidi bouzid, des actes qui n’ont rien avoir avec l’action syndicale loin de là, ce qui prouve l’échec des journées de Grèves dans ces deux villes même les médias se sont efforcés de montrer le contrer, les faits sont là , le constat est amer: L’UGTT est sur le déclin que l’on ne veuille ou pas, il s’est auto détruit en se croyant au dessus de toutes les lois.
4)Vous défendez les médias, autrement l’appareil de ben Ali et toute sa police politique infiltrée ici et là. Qu’est ce qui a changé dans les médias pour les défendre? la Radio de Sérine (shems) est toujours en activité, idem pour celle de Belhassen trabelsi (mosaïque) ou bien encore de tv7 dont on n’a même pas daigné renouvelerles têtes qui sont restées les mêmes. Alors de quels médias parlez vous Alsarih de Bel7ajja Ou bien Kapitalis? Ou bien les torchons de certains hommes d’affaires véreux? DITES MOI BRABBI
5°° C e que vous défendez cher monsieur c’est l’anarchie , des hommes au dessus de la loi, sans aucun respect pour la société dans laquelle ils vivent, non cher monsieur, tous les tunisiens ne sont pas tous des nahdaouis , mais ils ne voudront pas non plus de ta libertés d’expression. ils veulent la paix sociale, et heureusement que des gens comme vous sont une minorité
Mes reponses a ton commentaire :
1/ Oui la diffusion était un acte politique (maladroit) : Celui de défendre la liberté d’expression
2/Soufiane Chourabi n’a agréssé personne (contrairement au Salafistes, que tu met sur un pied d’égalité, qui eux use de violence). De plus, tes accusations de complot de la CIA sont des délires paranoiaques basé sur rien de concret (a part ce que disent tes cheikhs)
3/Ce qui est défendu est l’action syndicale et le droit de faire gréve et d’exprimer qu’on est pas d’accord. Aucun lien avec le banditisme, contrairement aux mouvement violents salafiste que tu fais semblant de ne pas défendre. De plus, ce qui te géne au fond, c’est que vous n’arrivez a corrompre se mouvement pour pouvoir le controler (je t’assimile a un Nahdhaoui, peut-etre que je me trompe, mais j’en doute)
4/Les medias ne sont plus l’appareil de Ben Ali, et la police infiltré défend aujourd’hui Ennahdha. Tu pense donc que ca sera mieux d’avoir des médias complétement dominé par le gouvenement actuel ? C’est ton droit, mais c’est une position partisane indéfendable.
5/Tu utilise le même argumentaire que le RCD : Donner de la liberté creer l’anarchie, donc on supprime la Liberté. Il faut retenir les leçons de l’histoire mon cher monsieur, tu as bien vu ce que ca a donner la derniére. Ca donnera le même résultat cette fois ci, même si ca doit prendre encore 23 ans. Ceci dit, ca prendra plutot quelques semaines a mon humble avis.
Sans anémosité envers ta personne, uniquement envers tes idées
superbe article , mais pourquoi avoir voter pour un parti religieux ?
@Dooble75, bonjour,
les gens qui on voter pour un parti religieux “la rennaissence” ( dit pernitieusement annahdha en français) ne sont ni des pauvres gens pêchés aux mosquées , ni des imbéciles ou ignorants avérés ni même ceux et celles qui croient que le paradis passe par ce choix , ils sont tout simplement des gens qui ont euent peur pour leur identité à cause d’un discourt qui se prétend moderniste , des deux projections cinématographique ( la rabbi la sidi et persipolis) et l’isolation et le traitement d’en haut d’une élite qui s’autorise le monopole de l’intelligence alors qu’elle est à des années lumière de cette dernière . tout le monde attendent l’écriture de la constitution à la taille et au vouloir du peuple tunisien et tout de suite après le parti religieux reprendra sa juste place et valeur CAD un éventuel candidat au deuxième tours parmis d’autre . reste à savoir qui parmi les 140 autre partis politique et si le nombre se stabilise pourai conduire le pays ???? le vrais problême de notre jeune démocratie n’est pas la troïka, mais l’abscence d’une vrais opposition solide et digne de relever le défit de l’alternance , sauf s’ils croient que seule une politique de contredire l’alliance au pouvoir suffit pour accéder aux hautes instances , j’ai peur que la surprise ne serai qu’énorme .
il y as une grande difference entre parler librement et gerber tout et n’importe quoi , heureusement qu’on ne peux pas et qu’on ne doit pas légiférer là dessus .
@ a a . Vous avez absolument raison, car ceux qui disent qu il n ya pas eu complot, sont generalement mouilles j usqu au cou dans la manipulation de nos compatriotes ,via les reseaux sociaux et les RUMEURS.
Il nous suffit de relire l article de Fatima ben mosbah ;le sionisme aux epices tunisienne;,dans les must popular de nawaat.
Et la nous avons dans les commentaires des jeunes blogueurs et blogueuses qui regrettent ce qu ils avaient fait.
Un must de commentaires a lire et relire sans moderation.
@ nazou
Salut, tu sait NIER LE COMPLOT C’EST DÉJÀ UNE PARTIE DU COMPLOT je le répète jamais assez et je sait que tu est bien d’accord mais je le répète à ses “DONKEY MAN”.
salut veritas et bonne fete de l aid.
Va voir mon ami mon frere mon compatriote mon fils,
Va voir le blog taamul,surtout un article intitule
;moyen orient le plan americano israelien.
Va voir la stupidite la cupidite et la catastrophe ,
dans l aquelle certains des notres nous ont plonge’ nous et le monde musulman en general.
@nazou
Bonne fête encore a toi,en gros je dis c’est bien fait pour leurs gueules car des bâtards pareils ne risque pas d’aller plus loin,le proverbe dis on a seulement ce qu’on mérite,on ne fait jamais d’un âne un cheval de course,ils vont tous regretter d’avoir servit pour des pions et d’avoir cru au diable.
Bonsoir Dooble75
Très bon article, en effet, qui brosse le tableau navrant des “inquiétudes» actuelles en Tunisie.
40% des tunisiens ont voté Ennahdha. Mais, parmi les 60 restants, nombreux sont ceux qui ont milité pour qu’Ennahdha puisse se présenter à ces élections arguant que la Tunisie est, de toute façon, un pays arabo-musulman pratiquant un islam modéré, à contrario de celui du Golf… Le tout dans ambiance survoltée par l’éviction de Zaba, mais aussi, d’une poussée identitaire hystérique. Une inflammation identitaire qui n’épargne aucun pays à travers la planète – mondialisation et ses répercussions socio-économiques oblige.
La suite vous la connaissez : les hommes et femmes politiques qui surfent sur les vagues du patriotisme, du nationalisme, du communautarisme, du sectarisme… En Tunisie, les salafistes place la religion avant la nation. Ennahdha est plus discrète la dessus, mais pas loin.
Je ne sais si on peut parler de post révolution en Tunisie, moins de 2 ans après la chute de Zaba. La nouvelle constitution est en phase de constipation, les brouillons ont du mal à sortir. t un pouvoir provisoire islamiste qui visiblement cherche à gagner du temps, le maximum de temps pour consolider son assise institutionnelle de fait – § les prise de pouvoir par des nominations dans postes clés des médias, des gouvernorats, les banques… Le temps de laisser à ses hochets de terreur, les salafistes habituer la population à une réislamisation par la coercition – aujourd’hui avec intimidations, les coups de poing, les couteaux, et les sabres. Demain, ils sortiront les kalashs…
Combien durera cette phase de dépression ? Nul ne le sait.
@ Samir Doulette, bonjour,
ne vous inquiétez pas monsieur, s’ils sortiront des “kalashs”, on sortira des “stinger” , peut être qu’on vous a dit qu’on est des agneaux , mais ils vous ont mentis, on cherche juste de reconcilier on nous armant de patience .
[…] is trying to muzzle the media. Nawaat writer Ali Gargouri agrees in an article in which he enumerates the various attacks on journalists over the past […]
Avant de revendiquer la liberté d’expression et de faire une enquête à tout casser sur L. Zitoun, il faudrait déjà apprendre à faire une multiplication :
100 actions à 1£ chacune, pour un capital total de 100 £, ça ne fait jamais 10 000 £ de capital.
La crédibilité est à ce prix.
Pour faire court, en un mot : ridicule.