La Khaliyya des avocats du RCD raffle la mise, suivie de la fausse société civile et d’anciens dignitaires du égime. Un Sénateur serait décédé avant même l’annonce de la liste…

1-Les avocats de Al-Khaliyya, cette cellule du RCD pour les Avocats (sic !!!) rafflent la majeure portion en terme de corporation. La deuxième chambre leur est tombé du ciel pour recompenser les plus zélotes, vu que les coats avocats à la première chambre, à la fonction préfectorale et à la haute fonction d’Etat sont déjà atteints. Ainsi, on retrouve :

-  Habib (Ben Mohammed) Achour, par ailleurs président d’une association fantasmagorique des victimes du terrorisme et membresuppléant de la Sous-Commission des Droits de l’Homme des Nations Unies. Il remplace en suppléant et suppliant, le Coordinateur général des droits de l’homme du Ministère de Béchir Tekkari, siégeant en qualité d’expert indépendant de la Sous Commission de ddroits de l’homme des Nations Unies !!!!

Cette foction est incompatible avec les agissements du commis en chef des avocats de la Khaliyya dans les réunions internationales et le chouchou des médias d’Etat que plus personne ne ragrde en Tunisie. Habib Achour est l’élément aéroporté le plus rapide de la Khaliyya. Partout où l’opposition ou les organisations indépendantes de la société civile organisent une action, il arrive à se faire intrioduire dans la salle on ne sait comment et arrive à trouver le vol, l’hôtel et parfois même le chaiffeur de l’Ambassade à n’importe quel point du globe. Avec la réforme attendue du système des Nations Unies, les faux “experts indépendants” de la trompe de Habib Achour, Saïd Naceur Ramadhane, Noureddine Grissa et autres Mohamed Habib Chérif, ne vont plus trouver leur place ni à la Commission des droits de l’homme ni à la sous-commission.

-  Chakib Dhoauadi, un clône de Habib Achour

-  Foued Haouat, un clône de Chakib Dhaouadi

-  Mohamed Seamir Abdallah, un clône de Foued Haouat

-  Abdelwaheb El Béhi, ancien Bâtonnier et homme de toutes les missions difficiles touchant à la “démocratie”, telles que “observer les élections depuis l’Observatoire présidentiel et en rendre compte au Président candidat à sa propre succession”. Le bâtonnier est aussi membre de la Khaliyya mais il se présrve pour des missions de “médiation” dit-on dans so entrourage.

2-Les supplétifs associatifs de la diploamtie parallèle de la fausse sociét civile :

-  Abdessattar Grissa, ancien de la Banque mondiale, membre du Comité des droits économiques, sociaux et culturels, toujours des Nations Unies. Il aurait affirmé dans une des réunions d’expert qu’il ne croyait pas à ces droits. Que fait-il là ? Mystère…

-  Mohamed Elyès Ben Marzouk , vieux édecin, président de bras “humanitaire” de la présidence, l’association des Jeunes Médecins Sans Frontières, qui n’a rien à voir avec l’Association mère. Médecins Sans Frontières (MSF) a sommé le créature tunisienne de changer de nom et de cesser. Le Centre de Docuemntation et d’Information sur la Torture (CIDT-Tunisie), dirigé par Khaled Ben M’Barek a fait un travail remarquable dans ce sens.

-  Un supplétif de la diplomatie parallèle, en la personne de l’ancien opposant et ancien Ambassadeur Saïd Naceur Ramadhan, qui a été aussi Expert indépendant de la sous commission des droits de l’homme, par le passé.

-  Ghoulam Debbache, le patron d el’ordre des Ingénieurs qui vient de connaître la crise institutionnelle la plus importante de son histoir, sur fond de désir d’autonomie. Le journaliste talentuex Mohamed Hamrouni de Al-Mawqif vient de suivre les travaux houleux de cette prestigieuse organisation professionnelle, transformée par les Kamel Ayyadi et autres arrivistes en une succursale du Palais de Carthage.

3-Les anciens, pour décorer l’Assemblée et c’est indigne d’utiliser l’age des gens pour en faire des figurants :

-  Taïeb Sahbani, président du Haut Conseil des Anciens Combattants, Al-Moundihilin.

4-Les anciens Ministres et les généraux à la retraite qui ont servi l’actuel chef de l’Etat :

-  Rachid Sfar, ancien Premier Ministre

-  Hédi Baccouche, concepteur et comploteur avec les conjurés du 5 novembre 1987, selon les mémoires de Si Ahmed Qadidi

-  Abdallah Kallal, ancien Minbistre d’Etat, Ministre de l’Intérieur, objet de poursuites pénales pour crimes de torture à Genève en janvier 2001.

-  Habib (Ben Mohammed) Ammar, Général à la retraite, ancien Ministre de l’Intérieur, de l’Equipement, des Trasports et des Télécommunications, ancien Ambassadauer, objet de procédures judiciaires en Suisse.

-  Mustapha Bouaziz, Général à la retraite, ancien Minstre des Domaines de l’Etat, membre du trio de la République des Généraux, selon la formule du mémorialiste Ahmed Qadidi.

-  Chedli Klibi, ancien Ministre sous Bourguiba, ancien Secrétaire général de la Ligue arabe.

-  Moncer Rouissi, ancien Minbistre Conseiller à la Présidence, peut être le premier à inaugurer cette fonction au cabinet parallèle de la présidence, ancien Ministre, ancien Ambassadeur. On est sûr avec cette nomination qu’il ne reprendra pas l’Education nationale.

-  Néziha Zarrouk, ancienne Ministre

4-Les fervents défenseurs du Palais, aus sein du Parti, de l’opposition, des médias et des affaires :

-  Mekki El Aloui, ancien député malheureux et président du Comité de vérifications des accréditations au dernier congrès du RCD en juillet 2003

-  Mounir El Béji, figure tristement emblématique dse La-Mouwalat (L’allégence), terme usité au Liban pour distinguer les partis de l’opposition de ceux de l’allégence, à Damas.

-  Ridha Mellouli, journaliste, connu pour ses écrits commandés, “propospectifs” et haineux sur la vie politique tunisienne. Il offficie dans les colonnes arabes du magazine, jadis indépendant Réalités.

-  Mohamed Aziz Miled, homme d’affaire, membre des comités électoraux de l’actuel chef de l’Etat, son ami et confident, voir même associé disent les mauvaises langues.

5-Les faux intellectuels du style de Midani Ben Saleh, dictatuer à son échelle, sur les destinées de l’Union des Ecrivains Tunisiens.

6-Des intellectuels respectables sur le plan académique, comme la sociologue Riadh Zeghal ou le romanicer et critique litteraire Jaafar Majed, mais qui se laissent instrumentaliser par le régime.

7-Puis on trouve 7 femmes sur 41 nomination : avec la trop zélote Amna Soula en tête. Ainsi, le bunker de Carthage veille au respecte de la volonté de son prisonnier éternel en vénérant son chiffre fétiche. Comme tout dictateur, il y maintien un lien affectif quasi maladif.

Mais la présence la plus significative est celle de Mohamed Béchir Khalfallah, président d’une dizaine d’assocxiation aéro-portées, dans l’immigration. De sources dignes de foi, on rapporte que ce dernier serait décédé, bien avant l’annonce publique de la liste du clientélisme présidentiel et que son siège est déjà convoité par les prétendants à la représentation de la “colonie tunisienne à l’étranger”. Si cette information se confirme, elle donnera le coup de grace à une institution mort-née, au sens figuré comme au sens premier du terme.

Demain matin, les écrivassiers de la presse du gouvernement et du parti et les propagandistes en chef remplriont les colonnes des journaux que personne n’ose plus regarder. On lira des leçons sur le carcatère avant gardiste et poste démocratique de cettre démarche quasi céleste du père de la République de Demain. Quel gâchis…

Paris, le 2 août 2005

Abdel Wahab Hani



AFP Infos Mondiales

International, lundi 1 août 2005

Désignation de 41 Conseillers à la Chambre haute du parlement

TUNIS – Le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali a désigné lundi 41 membres de la Chambre des Conseillers, soit le tiers de cette nouvelle chambre haute du parlement dominé par le parti au pouvoir, apprend-on de source officielle à Tunis.

Sept femmes figurent dans la liste composée notamment d’anciens hauts responsables gouvernementaux, parmi lesquels MM. Hédi Baccouche (ex-premier ministre), Abdallah Kallal, Habib Ammar et Rachid Sfar.

Ont été également désignés des universitaires, avocats et patrons, ainsi que quelques membres de l’opposition parlementaire, dont Me Mounir Béji, chef d’un petit parti modéré et candidat malheureux à l’élection présidentielle d’octobre dernier.

Fruit d’une réforme constitutionnelle approuvée par référendum en 2002, la Chambre des Conseillers compte au total 126 sièges, dont 43 sont réservés aux régions et 42 autres répartis entre salariés, employeurs et agriculteurs.

Des élections avaient été organisées le 3 juillet pour le choix de deux tiers des Conseillers, un scrutin au suffrage indirect par les membres élus des collectivités locales dominées par le Rassemblement Constitutionnel démocratique (RCD, au pouvoir) du président Ben Ali.

Cette élection, remportée par le RCD, avait été boycottée par l’Union générale tunisienne du travail (UGTT, unique représentant des salariés), dont les 14 sièges lui revenant sont restés vacants. L’UGTT avait exigé de choisir elle-même ses représentants, contrairement au code électoral en vigueur.

La Chambre des Conseillers, la première dans l’histoire du pays, est dotée d’un “pouvoir législatif spécifique” aux côtés de la Chambre des députés qui détient le pouvoir législatif général. Elle est destinée à “élargir la représentation des régions et des différentes composantes de la société”.

Le parti de M. Ben Ali occupe déjà 80% des 189 sièges de la Chambre des députés, et avait obtenu 94% des sièges aux conseils communaux à l’élection municipale de mai dernier.

Chambre des Conseillers

Liste des membres désignés par le Chef de l’Etat (publié par La Presse de Tunisie, édition du lundi 1er août 2005)

La liste des membres de la Chambre des Conseillers, désignés par le Président de la République (par ordre de l’alphabet arabe) est la suivante :

Mesdames et Messieurs :

— Amna Soula

— Jaâfar Majed

— Jamaleddine Ben Abdelkader Khmakhem

— Habib Mastouri

— Habib Ben Mohamed Achour

— Habib Ben Mohamed Ammar

— Rachid Sfar

— Ridha Mellouli

— Riadh Zeghal

— Souad Jomni

— Saïd Naceur Ben Romdhane

— Samir Maghraoui

—Chédli Klibi

— Chakib Dhaouadi

— Taïeb Sahbani

— Abdessatar Grissa

— Abdallah Kallel

— Abdelwaheb Béhi

— Ezzeddine Chammari

— Imededdine Chaker

— Ghoulem Dabbach

— Foued Haouat

— Fethia Maghrebi

—Fayçal Ben Amor Triki

— Mohamed Moncef Chebbi

— Mohamed Elyès Ben Mar zouk

— Mohamed Béchir Khalfallah

— Mohamed Ben Mansour Fantar

— Mohamed Samir Abdallah

— Mohamed Aziz Miled

— Maryem Rabeh

— Mustapha Bouaziz

— Mekki Ben Mohamed Aloui

— Mongi Bidoui

— Mongia Nefzi Soyaihi

— Moncer Rouissi

— Mounir El Béji

— Midani Ben Salah

— Néziha Zarrouk

— Naïma Bent Mohamed Khayach

— Hédi Baccouche