On les appelle les “harragas”, mot dérivé de “resquiller” et de “brûler” (dans le sens de “brûler les étapes”, et sans doute la vie). Pas un jour ne passe sans que la presse se fasse l’écho de ces tentatives désespérées d’Algériens candidats à l’émigration clandestine, faute de visas. Rares sont ceux qui réussissent à poser le pied de l’autre côté de la Méditerranée. Les uns sont interceptés en mer, les autres repêchés à l’état de cadavres. D’autres encore, beaucoup d’autres, sont portés disparus.
Depuis trois ans, le phénomène des harragas explose en Algérie. Oran, capitale régionale de l’Ouest, n’est plus la seule Mecque des candidats au départ. Annaba, proche de la frontière tunisienne, lui fait désormais concurrence.
En fait, les 1 200 kilomètres de côtes que compte l’Algérie sont tous une invite à l’exil. Le nombre des harragas algériens interpellés – donc sauvés – par les gardes-côtes a quintuplé depuis 2005 : de 335, ils sont passés à 1 016 en 2006 et 1 568 en 2007, selon les autorités algériennes.
Nombreux sont les “multirécidivistes”, terme adéquat puisque ces candidats à l’exil sont traduits en justice lorsqu’ils se font capturer. Pourtant, rien ne les freine, pas même le plein hiver, la mer et les nuits glaciales qui accroissent considérablement les risques.
Leurs histoires se ressemblent toutes. Ils sont six, dix, parfois quinze, entre 18 et 30 ans, souvent habitants d’un même quartier, à mettre leur projet au point. Un passeur leur a fait miroiter un emploi en Espagne ou en Italie. C’est à eux, les candidats à l’exil, qu’il revient de se cotiser pour acheter une barque de 5 à 6 mètres, un moteur, des gilets de sauvetage, un GPS et des bidons d’essence.
En attendant que les conditions météo soient propices, ils enfouissent leur barque dans le sable sur une plage peu fréquentée. Le moment venu, ils partent, sans même dire au revoir à leurs familles, sans doute pour ne pas les plonger dans l’angoisse.
“Contrairement à ce que l’on croit, ce n’est pas une pulsion de mort, mais de vie, qui anime ces harragas”, souligne Mustapha Benfodil, journaliste à El Watan, qui a enquêté sur ce sujet dans la région d’Oran. Il coûte en effet aux harragas l’équivalent de 1 000 euros minimum par personne, voire le double, pour partir, en fonction de la qualité de la barque, du moteur, du passeur, etc. “Ils ne mettraient pas une pareille somme s’ils ne croyaient pas qu’ils avaient une sérieuse chance de réussir”, insiste M. Benfodil.
Les harragas constituent désormais “un véritable business pour des filières organisées de trafic humain”, estime le journaliste. Les rabatteurs disposent de complicités dans le pays de départ (l’Algérie) et les pays d’arrivée (le plus souvent l’Espagne et l’Italie). “Ce sont des “pros”, qui savent pertinemment qu’ils envoient ces jeunes à l’échec ou à la mort. J’ai vu des harragas largués en mer avec un moteur de pacotille. Pourtant, ces jeunes n’étaient pas suicidaires”, raconte-t-il.
Contrairement aux idées reçues, les harragas ne sont pas des chômeurs. Beaucoup ont un emploi ; ce sont parfois même des étudiants ou des fonctionnaires ayant un statut social dans leur ville ou leur région. Bien que minoritaires, les femmes sont de plus en plus nombreuses à tenter, elles aussi, la traversée de la Méditerranée. Les uns et les autres se disent persuadés qu’en Europe leur vie sera meilleure et, surtout, qu’ils n’ont “rien à perdre”.
Pour le sociologue Zine-Eddine Zemmour, enseignant à l’université d’Oran, ces harragas ne sont pas des rêveurs. D’une certaine façon, ce sont des “entrepreneurs”, des “personnages héroïques”, qui savent parfaitement ce qu’ils font, estime-t-il.
Pour lui, ces candidats au départ ont “tout à fait intégré la part de risque dans leurs calculs”, mais ils ont des raisons objectives de vouloir partir, la première étant le bas niveau des salaires en Algérie. “Cela les décourage de travailler. Ils savent qu’un emploi n’est pas synonyme d’indépendance”, remarque le sociologue.
Quitter ses parents, avoir un logement et se marier est ici un luxe. Le coût de la vie est très élevé, l’Algérie produisant peu – hormis son gaz et son pétrole – et important presque tout. Or le salaire minimum n’est qu’à 12 000 dinars (moins de 120 euros). “L’Algérie a fait un choix politique en maintenant des salaires extrêmement bas, dans l’espoir d’attirer les entreprises étrangères”, déplore Zine-Eddine Zemmour. Pour lui, si l’on veut avoir une chance de retenir les jeunes en Algérie, il faut rendre au travail sa valeur, en multipliant le niveau des salaires “au moins par trois”.
L’autre facteur qui encourage les migrants est que les pays européens ferment souvent les yeux sur le travail clandestin, tant ils manquent de main-d’oeuvre. En Espagne et en Italie, beaucoup de camps de transit où sont regroupés les clandestins se sont transformés en centres de recrutement où viennent puiser les employeurs pour du travail au noir. “Les jeunes migrants le savent et, bien souvent, loin de fuir ces camps, ils s’y rendent d’entrée de jeu, quand ils débarquent en Europe sans papiers, sachant qu’à terme il y a un petit espoir qu’ils obtiennent un emploi”, explique encore Zine-Eddine Zemmour.
Y a-t-il une chance pour que les innombrables harragas portés disparus soient encore en vie ? Certains sont-ils en prison en Tunisie, au Maroc ou en Libye, après avoir dérivé en mer à bord de leurs barques, puis avoir été arrêtés par les gardes-côtes d’un pays voisin ? Kamel Belabed, porte-parole d’une cinquantaine de familles d’Annaba, s’en dit persuadé.
Lui qui a perdu un fils en mer, en avril 2007, garde un tout petit espoir. Aussi supplie-t-il les pays méditerranéens de prendre la peine d’échanger les informations dont ils disposent pour mettre fin à l’incertitude des parents. La première urgence, à ses yeux, serait de procéder à un recensement des candidats à l’émigration disparus en mer. “Il faudrait contacter les familles, écouter leurs témoignages et recueillir les photos de chaque harraga”, plaide-t-il.
Mais le problème se complique en Algérie en raison du terrorisme. Les jeunes portés disparus sont toujours soupçonnés d’être montés au maquis grossir les rangs des islamistes armés. Aussi, les autorités algériennes ne sont-elles guère empressées de mener des recherches, même si elles se disent conscientes de la gravité du problème des harragas.
L’autre urgence serait plutôt du ressort des pays européens. “On devrait pratiquer des tests ADN sur les corps rejetés par la mer. C’est bien souvent la seule façon de pouvoir identifier les cadavres rendus méconnaissables par des semaines ou des mois dans l’eau”, souligne Kamel Belabed.
Chaque fois qu’il apprend qu’en Espagne ou en Italie on a incinéré des corps d’inconnus retrouvés sur une plage sans pratiquer des tests ADN, Kamel Belabed se dit avec amertume : “Voilà encore des familles qui ne pourront jamais faire leur deuil.” Il se désespère qu’on parle tous les jours, dans ces conditions, de coopération méditerranéenne. Son voeu le plus cher ? “Qu’on commence par donner un visage humain à cette Union pour la Méditerranée dont on nous parle tant !”
Au Maroc, en Tunisie et en Libye aussi…
Les pays voisins de l’Algérie sont eux aussi confrontés au problème des harragas, mais dans une mesure moindre. Au Maroc, le phénomène a beaucoup baissé ces dernières années, la lutte maritime contre l’émigration clandestine s’étant considérablement renforcée. Jusqu’à la fin des années 1990, les ressortissants marocains partaient de Nador, au nord, tandis que les Sahraouis et les Subsahariens partaient de Tarfaya, El-Ayoun ou Dakhla, sur la côte atlantique sud. Les Marocains l’emportaient largement, en nombre, sur les Subsahariens, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui.
La fermeture hermétique, à partir d’octobre 2005, des enclaves espagnoles de Ceuta et de Melilla – après qu’elles eurent été prises d’assaut par des centaines de Subsahariens désespérés – a fait chuter d’environ 70 % le nombre des candidats au départ. Reste des tragédies comme celle du 29 avril, où 29 clandestins (des Africains pour l’essentiel) ont péri dans des circonstances controversées, l’ONG “Amis et familles des victimes de l’immigration clandestine” accusant l’armée marocaine d’avoir provoqué leur noyade.
En Tunisie, les candidats à l’exil sont nombreux à tenter leur chance depuis les villes du Sahel (Sousse, Sfax, Monastir). Pas de données officielles, mais les habitants des localités côtières (Teboulba et Chebba notamment) signalent régulièrement des barques vides dans les eaux tunisiennes, avec à leur bord des vêtements, des papiers d’identité et de l’argent. Il s’agit non seulement de Maghrébins mais aussi de Subsahariens. Le 10 mai, une cérémonie d’hommage à ces disparus, intitulée “Les Embarcations de la dignité”, a même été organisée à Ksiebet El-Mediouni.
Avec ses 1 700 km de rivages, la Libye est à la fois une terre d’accueil et de transit. Elle est même considérée par l’Europe comme la plaque tournante de l’immigration clandestine. Il faut dire que la petite île italienne de Lampedusa n’est qu’à 300 km de Tripoli, à vol d’oiseau.
Sur un total de 5,5 millions d’habitants, la Libye compte quelque 1,7 million d’immigrés, clandestins pour la plupart. Les autorités libyennes tentent de répondre aux demandes des Européens et de contenir au sud ces “indésirables” en leur interdisant l’accès de Tripoli et de la côte méditerranéenne.
On ne compte pas de Libyens parmi les candidats au départ : la Libye est même le seul pays de la région qui réussit à garder ses enfants ou à les faire revenir. Les jeunes Libyens obtiennent du coup facilement des visas pour l’Europe, à l’inverse de leurs frères maghrébins.
Florence Beaugé avec Fella Adimi
Source : Le Monde.fr
aider a trouves des information sur mon frere mezoudji mimoune l un des 9 harras de beni saf partis la nuit du26 ramadan 2005 ;merci
bonsoir
je recherche des informations sur mon cousin houari kada benchaib partis egalement le 29 octobre 2005 a benisaf en algerie
nous sa famille se posont encore des questions a svoir si ils sont retenus en espagne au maroc
aider nous a trouver des informations svp
merci par avance
Au lieux de chercher les haragas cherher plutôt ceux qu-ils les ont conduit à y passer à l’acte désespérer .. (acte limite) ou tous simplement la cause -chimere- ;ils les ont mener à ce geste de suicide par volonté .-qst les pompiers !
Les passeure résident à béni-saf dans le meme cartier que celui du pompier passeur de haragas (bou kourdan) et il sais ou ils sont et quesqu’ils sont devenuent les perdu de vue ….. seul les pompiers le save……parcequ’ils gagne beaucoup……
désole mais j’ai pas compris ton message
si on les recherche c est qu on as aucune information depuis 2005 ce qui est comprehensible pour des humains
ca n explique pas leurs gestes mais on veut avoir des infos pour nous permettrent d avancer
merci aux personnes uis pourrez nous aider et pour ceux qui ne comprennet pas ma demarche tans pis ils mourront dans leurs betises.
quest t entend par pompiers
vos messages sont incomprehensiblent
aider ses personnes si vous le pouvez a retrouver les leurs
merci pour eux
bon courage et inchallah que vous les retrouver
je pense malheuresement qu ils sont mort car les autorites espagnoles ne les retiennent pâs
appelez l imam d alicante ils a des informacions
avez vous les coordonnees de limam dalicante
merci par avance
انا حنان ابحث على اخي قادة بن شعايب هواري الدي غادر نحو السواحل الاسبانية(حراقة) يوم الاحد29/10/2005.
اريد ان اعلمكم انه ليومنا هدا لم تضهر عليه اية معلومات.
و بالتالي ارجو من سيادتكم المساعدة و شكرا سلفا.
Buenos días me llamo soumia soy tiene la búsqueda(investigación) de mi primo kada-benchaib houari irse el 29 de octubre de 2005 después algeria en destino de l Europa él es originario de benisaf si usted tiene informaciones gracias por ayudarnos tiene 30 años tiene este día gracias
En Algerie,90 % de vos emigres qui debarquent ici suivent le chemin de la criminalite, en plus ces “pauvres jeunes n ont ni piece d identite ni passeport , ils ne sont nullement enregistre dans aucune commune ou une municipalite et ils ont plusieurs extrtaits de naissance, et rien n est centralises ni reglementes,aujourd hui il s apelle ali, il est expulse il revient avec un pass au nom de Ridha,il est marie chez lui mais il se marie ici avec des faux papiers avec une Allemande,des faux vraix papiers qu il les a procure je ne sais d ou,ils ont tous des faux noms, et ces faux noms changent chaque semaine, en plus comme je l ai dit la plupart de vos compatriotes s engagent dans la criminalite,anarchie chez vous au niveau de l administration, parce que dans chaque wilaya on peut faire sortir un passeport comme on achete des legumes, ganz einfach, et parce qu on peut extraire departout des faux papiers des faux permis de conduire, imaginez,des morts qui recevoivent encore des salaires , et des vivants enregistres comme etant decedes, alors ya Hanane vous rentrez dans un cite consacre a l opposition Tunienne et vous demandez si on a vu votre frere,comme si vous avez pour nous une tres tres grande affinite et affection comme si vous nous adorez, on a deja assez de probleme et de soucis, pour pouvoir nous ocupper de vos affaires et de vos disparus nos disparus nous arrivons a peine a les deceler des fois,et puis votre ambassade ne peut pas s en occuper?, demandez aux autorites Espagnoles? moi personellement j evite les Algeriens et meme les jeunes Tunisiens qui debarquent, surtout les jeunes,la plupart d entre eux ne m inspire aucune confiance,et puis depuis 2005 qu il vous a quitte et C est maintenant que tu commences a le chercher et ou dans un cite Tunisien.Wallah le monde maintenant nous deteste a cause du comportement de ces jeunes Nord Africains,observez combien sont ils si nombreux dans les prisons,dans les rues sombres c est eux qui taquinent votre femme votre fille, votre voiture c est eux qui cassent le pare brise,dans la piscine c est l arabe qui vous vole,comparez les avec les Kudes qui ont debarque, ils ont la plupart chercher un travail et rare sont seux qui ont des liens avec la drogue, et les milieux criminels, mais nous Nord Africains des qu on arrive en Italie on cherche a vendre de la drogue ou bien on casse,les Egyptiens a 5h du matin a Milan sont dans les metro pour se rendre au travail en route ils tienent un coran qu ils lisent en silence,mais nous Nord Africains,jevous laisse visiter la garre de Rome ou Milan
arreter de dire n importe quoi
on ne le recherche pas depuis seulement maintenant mais depuis qu il est partis
on a laisser ce message pour essayer de trouver des informations
on n est pas la pour le juger
le seul qui peut nous juger c est allah sopranou
alors les commentaires comme les tiens je m en passe
ca m est egal ce que tu pense et le SEUL QUI JUGE ET QUI NOUS AIDERA INCHALLAH C EST ALLAH
A BON ENTENDEUR SALUT
ta raison sonia je suis d accord avec toi inchallah tu le trouveras
moi je suis francaise et je suis marié a un algerien et je comprends ta souffrance car mon mari a perdu son frere dans les meme circonstance
je te souhaite la reussite et que dieu aide ta famille dans cette recherche
tu as raison cousine inchallh tu le trouvera
jhabite en espagne a barcelone donc si ta besoin de mon aide n hesite pas je t aiderai si possible
c est bien ca fais plaisir de voir des cousines comme toi
garde espoir si ta besoin n hesite pas
a bientot inchallh
je vous souhaite beaucoupe de courage et de force miss sonia
je suis de tout coeur avec vous
je vais faire passer le message a ma famille qui reside a madrid
bon courage
j offre une recompense de 1o milles dollar
arrete de dire n importe quoi
c’est un sujet assez grave
va t’amuser ailleurs ca me fais pas rire tes idioties
pour retrouvee mimoun mezoudji
bonjour doris c’est naima essaye de mecontacter sur mon hotmail
S il ne donne plus signe de vie , et que les autorites Europeennes n ont fait pas echos, c est qu il a disparu, alors, s il est decede que Dieu ait son ame s il est vivant et qu il se cache quelque part traque ou recherche par la Police,alors laissez le vivre sa vie, s il ne veut plus donner signe de vie , c est sa volonte, mais, il y a deux millions d Irakiens qui ont ete massacre et les enfants Palestiniens de Gaza brule vivant par le phosphore, alors s il te plait, fiche nous la paix avec ton affaire de cousin disparu, des peuples ont disparu et disparaissent chaque jour,alors s il te plait,ce site n est pas un site des avis de recherche.
arretez de dire tout et n importe quoi
on veut seulement savoir si quelqun aurait pu le croissait sur sa route
tu sais c est difficile de faire le deuil dun enfant si c est le cas sans voir son corps
et vu quen espagne il y a des milliers de corps non enterre
on veut savoir seulement avoir des infos si cest possible non des jugements
et ne confond pas les irakiens les afghans et les algeriens
il été en bon terme avec toute sa famille
bref merci aux personnes qui m ‘aide,ts dans ses recherches et aux autres ne ditenet pas nimporte quoi a bon entendeur salut et merci encore aux gens qui m’aident
arrete de confondre les histoires
il y a un article qui parle de ce probleme de harragas
donc pour moi cest une opportunité de pouvoir faire ma recherche
si un jour un etre de ta famille vindra a disparaitre tu mettras tous les moyens pour le retrouver malgré toute l amertume que je te portes je ne souhaite jamais d etre dans ce cas
si ce genre de message ne te plait pas a lire change de site c est tous simple
pourquoi tu viens porter des jugements et dire un avis qui pour ma part est inacceptable et difficile a entendre
CHANGE DE PAGE ET ARRETE DE ME PRENDRE LA TETE AVEC TES JUGEMENTS
ET SACHE QUE GRACE A DES MESSAGES DE PERSONNES PORTES SUR CE MEME TYPE D ARTICLE J AI EUT DES TEMOIGNAGES QUI MAIDENT DANS MA RECHERCHE
ALORS MELEK GARDE TES CONSEILS HEURESEMENT TOUTE LES PERSONNES NE SONT PAS COMME TOI
salut miss sonia je te souhaite beaucoup de courage ds ta recherche et les autres allez vous faire f…..
Heureusement que l’on connait cette Florence Beaugé, avec ses article facile et la critique raciale. Y-a beaucoup de route qui menent vers cette france dont vous nous parlez, n’es-ce-pas? Alors un autre article sur les camionnaires de l’Est nous fera connaitre encore mieu “qui et combien sont-ils” les harragas de l’Europe de l’Est.Ou-bien preferez-vous “laughing” sur la bosse de votre voisin du sud??
Florence Baugé, saute sur tout ce qui concerne surtout les pays d’Afrique du nord et ses propos sont plus virulents plus particulièrement à l’égard de l’Algérie. Elle a profité de la sortie du film “Harragas” pour tirer à boulets rouges sur l’Algérie en prétendant même que dans ce pays le problème est beaucoup plus important que chez les voisins. Elle oublie, à dessein, de dire que les algériens sont des novices en la matière et surtout des nouveaux venus dans cette voie. Ils ont appris la leçon de “harrague” en copiant leurs voisins, surtout de l’ouest. Florence Baugé, lorsqu’un film sortira sur les méfaits du hachich sur la société algérienne, nous racontera encore des âneries, dont elle a le secret, que les algériens utilisent leur richesse pour se droguer, en éludant le fait que cette drogue est fourguée sciemment par les trafiquants marocains, aidés par leurs police et douane, à empoisonner leurs “frères”. Florence Baugé a assurément une chambre gratuite à la Mamounia pour dire de telles sottises.
je suis a la recherche de mon frere mezoudji mimoune ,disaparu en 2005,
salut mezoudji naima.je pense d’avoir connu ton frere pendant une vacance en tunisie (hammamet) l’ete’ 2004.apres il m a appelle’ jusque a l’anne’ 2005 mais je rappelle pas le periode.maintenant ton frere il peut avoir 39 ans je crois. c’est vrai? pendant ces annes j’ai recherche’ sur facebook son contact mais rien.. tu n’as pas des nouvelles? son vieux adresse mail c’est chanceux73
bonjour , je suis la frangine de mezoudji mimoune , certe il etait en tunisie en 2004 , puis je avoir des nouvelles de lui son profil est sur le net , il sufit d’ecrire son nom est vous pouriez le Confirmer chanceux73
j’ai essayer de trouver mimoune mezoudji sur le net mais rien. lui ca va? tu parle avec lui?