Lecture dans le livre de Mohamed Bouebdelli, “Le jour où j’ai réalisé que la Tunisie n’est plus un pays de liberté“
Qu’est ce qui pousse un homme de près de 70 ans, ingénieur de formation, et éducateur de métier, à prendre sa plume au milieu de ce silence ambiant et complice de l’élite et fustiger un régime qui n’a jamais respecté sa parole ni les Conventions qu’il a signées depuis 22 ans, et rompu le pacte scellé avec le peuple dès les premiers jours de son règne?
Dans l’itinéraire de cet homme et de son épouse Madeleine Bouebdelli, rien ne les prédestinait aux turbulences de la vie: une famille tranquille, des ressources confortables, une Fondation consacrée à l’éducation pédagogique depuis de longues années déjà bien notée et bien vue de tous…Mais alors…
Un jour, comme tous les autres jours, tout bascule dans la vie de cette famille sans histoire et pour laquelle les mots de “Justice” et “Dignité” ne sont pas de vains mots, ni ces termes creusés dans la litote du régime du 7 novembre.
C’est une histoire invraisemblable pour ceux qui ignorent ou feignent d’ignorer la nature du régime tunisien que nous livre dans cet écrit Mohamed Bouebdelli.
Amer et non vindicatif, retraçant les faits qui ont abouti à ce qu’une entreprise à laquelle il a consacré sa vie avec son épouse bascule, il nous plonge dans la vérité des passe-droits, des caprices du Prince, de l’absence de justice. Et cet emballement de la machine administrative qui ressemble à une arme de destruction massive…
Avec le livre de Bouebdelli, nous ne sommes plus dans le monde de la rumeur, de l’ouie-dire: nous sommes dans la réalité d’un régime obtus, mesquin, acharné, prêt à détruire l’un des fleurons du système éducatif tunisien pour un caprice.
Telle nièce de Madame n’est pas reçue car son niveau est en deçà du minimum requis…ou encore la fille de l’avocat du couple princier qui est n’est pas du niveau. Et c’est la directrice Madeleine Bouebdelli qui saute de son poste de directrice.
Mais le livre de Bouebdelli n’a pas que le mérite de nous éclairer par des faits cruels de sa mésaventure. Il nous invite à réfléchir, tous ensemble, Tunisiens autant que nous sommes, à la Tunisie de demain.
A partir du moment où la Déclaration du 7 novembre a été piétinée, l’auteur propose de la constitutionnaliser et de réformer de fond en comble les institutions afin d’ancrer la démocratie politique, sociale et économique dans les faits et non dans les déclarations d’intention.
Au lieu d’étayer et d’analyser le contenu du livre, allons creuser ce qu’il recèle comme idées perspicaces et justes, modernes, refondatrices pour enrichir le projet d’avenir et mettre un pied dans demain…
Le cri de Bouebdelli est un cri de raison dans un Etat qui a perdu la raison…
Puisse cette œuvre inciter l’élite dans notre société à prendre son courage à deux mains, prendre également ses responsabilités pour réfléchir au présent et à l’avenir de la Tunisie.
C’est leur devoir autant que leur honneur qui se jouent en cette fin de règne…Et puis, comme le disait Montesquieu, “lorsque cesse le tumulte de l’élite s’installe la dictature”.
Dans ce sens il est plus que temps de dire “Basta”…
Slim BAGGA
Via Tunisnews
Un homme intègre vient d’être mis à l’ écart parce qu’il prône la rigueur à l’université et au niveau des institutions politiques. J’ai eu l’occasion de rencontrer Mr. Bouebdelli l’homme, et j’ai pu mesurer l’intérêt qu’il porte à la formation de l’esprit critique des étudiants. Pour lui, tout doit-être soigneusement préparé afin de créer un espace où les décideurs de demain auront la formation pointue exigée par le 21ieme siècle. Rien de surprenant dans ces pays maghrébins ou l’ennemi numéro 1 est l’intellectuel qui constitue le gibier préféré de ces usurpateurs du pouvoir qui profitent de conjonctures politiques internationales pour s’ériger en garant de la stabilité. Ces dictateurs retardataires que l’histoire ne fera que mépriser. Ces politicards qui imposent leur dictature sans se soucier de la volonté du citoyen. Ces leaders qui ont trouvé preneurs auprès des faux promoteurs de démocratie à court terme. Ces dictateurs qui ont poussé la plaisanterie jusqu’a nationaliser les pensées et l’intellect car ils ne peuvent s’épanouir que dans un environnement obscurantiste. Ils ont réussi à emprisonner toute âme qui bouge, qui dénonce les abus, qui ose dire haut et fort la juste parole, et qui s’insurge contre toutes les décisions irresponsables. Je me dis où sont donc passés ces penseurs en Tunisie et au Maghreb qui œuvrent pour la sauvegarde de l’honneur, ceux qui ont la conscience et le courage de s’élever contre l’arbitraire? N’est-il pas temps de contrecarrer par des moyens pacifiques les dépassements de l’État, n’importe État chaque fois que la dignité du citoyen est piétinée? Il est grand temps de dire non à ces usurpateurs de la souveraineté nationale. Il est grand temps de rejeter un assujettissement à des pouvoirs qui ont misérablement échoué. Qu’ils s’agissent d’intellectuels black-listés, de journalistes emprisonnés, de syndicalistes écartés, d’étudiants recalés, de professeurs injustement renvoyés, la cause est la même. Ces gouvernements ont récidivés parce que les citoyens n’ont pas réagi à ces exactions. Il est très urgent que les citoyens, que tout le monde se mobilise pour contrecarrer ces brimades. Il faut empêcher cette pérennité de l’imbécilité et l’eternel exercice du pouvoir par les mêmes têtes vides dont le cerveau n’a jamais été mis en œuvre pour la félicité des peuples de la région. Nous avons besoin d’actions pacifiques intra et inter-états ou les ONG et les activistes jouent le rôle qui leur est assigné pour mener des campagnes en faveur des personnalités persécutées par le pouvoir à cause de leurs opinions politiques, ceux-là mêmes qui prônent la démocratie, l’ouverture, la transparence, et la séparation des pouvoirs. Il va falloir organiser des sit-ins dans ces pays et un peu partout dans le monde, pays démocratiques aidant pour exposer les agissements néfastes de ces dictateurs. Il faut éduquer les citoyens des pays donateurs pour conditionner l’aide publique accordée à ces pays sur l’avancement accordé aux pratiques démocratiques. Acceptons-nous que nos taxes aillent renforcer la tyrannie des dictateurs qui emprisonnent et torture les citoyens qui réclament la démocratie et la transparence?
Dr. Belkacem Hacene Djaballah,
Ph.D Relations Internationales – USA.
Bravo Docteur,vous dans un pays qui fait trembler la planete, et vous savez qu un coup de telephone de l Ambassade US a Tunis peut causer des insomnies aux dirigents les plus places dans le pays,il y a une resitence a Tunis ,ne vous faites pas de soucis, ce que je vous demande c est de constituer un loby de pression aux USA, vous etes celui le mieux place pour faire exercer des pression sur le gouvernemet Tunisien en matiere de “precessus democrtic un election” dont il a obetnu la note 0,sans parler de notre classement en matiere de liberte de presse, nous vous demandons de developper des relations avec le Staats Dpertement,les instituts d etude et des recherches,la presse,le minitere des affaires etrangeres mais surtout les democrates aux congres,mais aux USA il y a une marge de manoeuvre tres vaste et tres variee,nous voulons la progression du processus democrtatique en Tunisie,ALISLAH ASSIASI,ni casse , ni violence,nous volons des debats a la televisions sur tous les problemes avec la presence de la societe civile et aussi les minitres responsables,animes par des journalistes competents,nous voulons politique schow non pour les pervers mais pour les elites.
Je me permets de reprendre ce que j’ai ecrit dans ma lettre, parue sur Nawat le 1-3-2010 ou j’ai suggéré ce qui suit:
‘Il faut empêcher cette pérennité de l’imbécilité et l’eternel exercice du pouvoir par les mêmes têtes vides dont le cerveau n’a jamais été mis en œuvre pour la félicité des peuples de la région. Nous avons besoin d’actions pacifiques intra et inter-états ou les ONG et les activistes jouent le rôle qui leur est assigné pour mener des campagnes en faveur des personnalités persécutées par le pouvoir à cause de leurs opinions politiques, ceux-là mêmes qui prônent la démocratie, l’ouverture, la transparence, et la séparation des pouvoirs. Il va falloir organiser des sit-ins dans ces pays et un peu partout dans le monde, pays démocratiques aidant pour exposer les agissements néfastes de ces dictateurs.’
À cela, j’aimerais ajouter ce qui suit:
Démocratie, Liberté et Tolérance
Aujourd’hui, Je félicite le peuple tunisien pour la liberté retrouvée. Il est temps de respecter les principes pour lesquels les jeunes tunisiens ont payé de leur vie dont la démocratie, la liberté, et la tolérance. Je suis très surpris par deux choses:
1. que ça soit les chefs de certains parties politiques d’opposition qui ont récupéré le pouvoir;
2. Ils l’ont fait en écartant des forces représentants d’autres sensibilités au sein de la société tunisienne.
C’est déjà là une entorse à la démocratie. J’aurais voulu voir ces partis d’opposition continuer leur travail de sensibilisation et d’explication, et plutôt choisir parmi leurs cadres les plus jeunes et les plus compétents pour diriger l’administration. Après tout, c’est la jeunesse qui a spontanément agi pour changer le régime. Je réitère l’importance du côté humain de cette révolution et demande à tous les acteurs d’éviter tout dépassement en faisant preuve de beaucoup de tolérance a l’endroit de ceux qui n’avaient aucun rôle dans l’administration de la répression. La préférence est de montrer la maturité de la révolution en arrêtant et en jugeant les serviteurs de l’ancien régime en respectant leurs droits à être jugé dignement. Refuser de se laisser consumer par la vengeance, c’est aussi un principe de respect de la démocratie!
Dr. Belkacem Hacene Djaballah,
Ph.D, Relations Internationales
LL.M: Droit Comparatif International des Affaires
Virginie, USA.
Brabbi juste une question : est ce que lutter pacifiquement va changer le pouvoir en tunisie? C’est juste une question sachant que je suis dans la pratique contre la violence.
ya Neo khouya ana dima nkoul lutte pacifique, ils ont mobilise une connaissance ( une crapule et d ailleurs je vais le denoncer a la police Allemande)a moi et me l ont expedie pour prendre des photos de mon internet,je n ai parler de lutte armee ou bien de soulevement general,ya Neo khouya,je me suis retenu jusqu a maintenant de tenir un discours radical, et pourtant ils m attendent avec impatience,mais je rentrerai , et j informerai le monde entier de mon retour.s il faut payer le prix alors je ne suis pas meilleur que Khemais mon ami et mon voisin.
Chers amis,
Je suis convaincu que la voie pacifique est beaucoup plus porteuse. Elle a bel et bien donné des résultats. Il faut se rappeler des exemples d’Afrique du Sud, de Pologne, d’Ukraine, des États-Unis avec Martin Luther KING. Il faut remarquer que chaque fois, il y a un mouvement discipliné, animé et dirigé par un leader dont l’objectif n’est pas de mépriser l’autre car il leur propose une solution meilleure de société, celle qui incarne le respect et la dignité des citoyens.
je vous renvoie au commentaire que j’ai envoyé au journal El-watan se rapportant à l’article intitulé:
“Mohamed Bouebdelli. Fondateur de l’Université libre de Tunis. Dans les universités publiques de Tunisie, toute protestation est sévèrement réprimée”.
La chasse à l’intellectuel dans les pays de -Iqrah- a connu un développement inquiétant durant ces dernières décennies. La poursuite et l’emprisonnement de ceux qui VEULENT lancer un challenge au pouvoir tels les journalistes, les éducateurs, les défenseurs des droits de l’homme, les syndicalistes, et les membres de la société qui dénoncent le pouvoir personnel. Chaque fois que les citoyens prônent un système politique basé sur la séparation des pouvoirs avec un exécutif, un législatif, et un judiciaire qui se complètent et qui se contrebalancent, les autorités réagissent en utilisant des moyens musclés telles les brimades et les arrestations. Ces pratiques ont toujours sévies dans la région, mais ce qui est inquiétant, c’est qu’elles se sont multipliées depuis 1980 dues principalement au ras-le-bol général ressenti par le peuple et exprimé par les élites. Le nombre grandissant d’intellectuels de tout bord qui ont conjugué leurs efforts pour dénoncer les abus du pouvoir prenant ainsi le risque de devenir la cible des agents de la répression mis en place par le pouvoir, a aussi augmenté. C’est là, la preuve que la répression n’a pas pu aboutir. Aujourd’hui, les langues doivent se défaire pour dire haut et fort qu’il est temps que le pouvoir compose avec les différents acteurs sociaux car la cause est très importante pour la confier au seul bon vouloir d’un dictateur. Les citoyens ont le droit et l’obligation d’organiser des sit-ins et des manifestations pacifiques pour faire changer les choses. Cependant, pour qu’il y ait des résultats positifs comme en Ukraine, en Géorgie, et en Pologne, il faut que ces actions soient bien coordonnées afin de faire valoir les revendications. Monsieur Bouebdelli fait parti de cette élite qui n’arrive plus à accepter l’odeur nauséabonde d’un État contrôlé par une dynastie, nouvellement constituée et qui veut s’éterniser comme le voisin d’à côté. Bouebdelli que j’ai eu l’occasion de rencontrer, c’était une personnalité, un homme intègre qui adore former les jeunes, non seulement des Tunisiens, mais aussi des jeunes venus de tout le continent Africain. J’ai visité l’université libre lors de mon passage à Tunis, il y a bientôt 5 ans. J’ai tout de suite relevé la différence du style de management de l’institution, gestion axée sur l’efficacité, la rigueur, et la liberté d’expression. Je n’ai décelé en lui ni volonté de nuire, ni profit de dénigrer qui que ce soit. J’ai remarqué son intransigeance quant à la qualité de la formation des étudiants ; comme j’ai aussi remarqué son aversion à l’incompétence. À ce niveau-là, il n’avait aucune prédisposition à faire des concessions. Il est direct, affable, et généreux. En un mot, une personne que tout le monde aimerait rencontrer un jour. Ce que le gouvernement tunisien ne peut pas comprendre, c’est qu’il ne s’est pas seulement attaqué à une personnalité, il s’est attaqué à une institution. Et Ça, c’est impardonnable ! Tout d’abord, il faut féliciter Mr. Bouebdelli qui a pris un grand risque et a investi dans un secteur qui n’est pas tellement rémunérateur. Il l’a fait parce qu’il adore son pays et croit au développement de la Tunisie. De ce fait, il inspire tous les africains à créer chez eux des universités authentiques pour former les élites africaines et les garder dans le pays. En plus, l’investissement dans le secteur de l’éducation privée en Tunisie était un exemple extraordinaire dans la mesure où il suscite une compétition, et donc contribue à une bonne formation des étudiants qui, contrairement aux contraintes du pouvoir, auront le choix d’étudier là où bon leur semble. De toutes les manières, le ministère de l’éducation nationale ne peut pas, à lui seul, servir toute la population et offrir un grand choix à la population estudiantines. Quand est-ce que les gouvernants maghrébins vont-ils se réveiller ? Quand est-ce qu’ils vont reconnaitre la valeur de leurs élites ? Quand est-ce qu’ils réalisent que ces élites ont le droit et le devoir au même titre que tout autre citoyen de veiller à ce que les générations futures ne soient pas contaminées par des pratiques qui empoisonnent la société ? En fait, ce qui se passe en Tunisie n’est nullement un acte isolé ; Il s’inscrit dans une conjoncture qui favorise la monté des pouvoirs dociles pour mieux les manipuler au nom d’un semblant de sécurité et de stabilité. C’est le temps de la peur et le pouvoir a su exploiter cette conjoncture avec la complicité de quelques pays démocratiques. Mais cette logique qui consiste à dire qu’il serait préférable d’avoir un régime stable bien que corrompu, qu’un régime fondamentaliste, est suicidaire à la longue car elle exclut le dialogue. N’est-ce pas en écartant du pouvoir le phénomène religieux qu’on le renforce ? En brandissant la menace fondamentaliste, ces régimes continuent à gagner du temps pour bien vider les caisses de l’État. Je dis bien gagner du temps car il relève de l’impossible d’offrir une stabilité durable sans éradication de la corruption et sans respect de la justice et de la dignité du citoyen. C’est la liberté d’expression doublée d’un dialogue ouvert, continue, ininterrompu, et franc qui constitue l’élément clef pour endiguer toute menace extrémiste venant de gauche comme de droite !
Dr. Belkacem Hacene Djaballah, Relations Internationales – USA.
مسكين Bouebdelli
Un exellent article Dr, je suis fier de vous,je vais essayer de rentrer et voir sur place tout, ce qui est dit et non dit ,je vais analyser tout , et parler avec les gens , et par suite parler en connaissance de cause et d une maniere logique et realiste, sans pour autant me mettre dans la peau de l adversiare je suis l ennemi de personne car j ai meme des amis tres haut places, mais l important c est l avenir du pays , le dialogue, et engager un processus de reconciliation nationale,dont je pourrai etre le catalyseur,par contre s ils choisissent la confrontation et l arrestation a la place du dialogue et donc gacher une nouvelle opportunite de classer le dossier Tunisie a l echelle de l EU, car je serais le premier a defendre la cause de l administration Tunisienne aupres du Bundestag, si j appercois de leur part une volonte de dialogue et de communiquer avec des arguments,mais si au lieu qu une personne de haut niveau m accueille, pour discuter ensemble a coeur ouvert de la stabilite et la reputation d un pays, qu au lieu de cela , ils m expedient des agents niveau 2 e secondaires et des hommes muscles,moi je suis un homme malade et age, je n ai pas la force,etce genre de confrontation n est pas ma tasse de the , moi je dirai a ces Tyson venez on va jouer aux echecs.et la je serais plus fort.Gandi ya Dr un exemple ,autre exemple, Abou Mazen a eviter a son peuple a Ramallah le phosphore et un genocide grace au dialogue et a la diplomatie,Ramallah Kalkilia , Toulkaram, Alkhalil, sont entrain de devenir des villes modernes avec un essor econmique,et la mise en place d une structure d un etat en depit de l occupation,contemplez Ramallah et Gaza sous les ruines et 1 millions devant les guichet de l UNRWA,et comparez le avec la ville de Toulkaram,vous comrendrez que le dialogue c est la meilleure solution pour eviter les guerres civiles.
malek rentrer pour rentrer ne sert à rien si derrière la logistique est inexistante. J’espère que le stambeli que tu leur prépares est digne de ce nom ;)
Melek
La je suis vraimenmt decu…On deduit que GAZA est ce qu’elle est parceque les palestiniens de GAZA ont refuse de discuter?!!!
Voyons!! “ABou Mazen a evite a son peuple a Ramallah le phosphore et un genocide grace au dialogue et a la diplomatie”!!!!
Abou mazen n’as meme pas eu le courage pour aller a Gaza apres l’incasion Israelienne pour voire les vicitimes et les degats.
Gaza etait un cadeau empoisonne de Sharon! Tout le monde le sais. Gaza est une honte pour le monde arabe, pour Abou Mazen, pour l’occident…Mais pour ceux qui y vivent, Ile tinnet la flamme…Ils encarnent l’espoir de la palestine.
Tu vis ou? Maintenant pour toi la Cisjordanie est un success, (grace au dialogue!!), et les barrages, et le mur de la honte! et Jerusalem..
كان من الممكن و من البساطة و السهولة تجديد الهدنة قبل الاجتياح العسكري و فتح المعبر كان من الممكن حلها إذا وافقت حماس على إتفاقية ٢٠٠٥ ادولية و عودة حرس الريس أبو مازن الذي تم طردهم إلى المعبر و الأن بعد كل هذا الدمار و القتل قامت حماس بدون شروط بعد لقاء في زوريخ سري بين إسرائيل و حماس ، لقد ادعت أنها قادرة على إيقاف قطار الموت بوذي شعب غزة أمامه و إستمرار بتقديم أسباب وحجج ليسرايل عن طريق إرسال لعب نارية أدت إلى حرق شعب كامل أصبح يعيش تحت الأنقاذ و الركام هل سمعتم و رايتم أبو زهري ،أزهار، أيمن طه، المصري، البردولي،هانية،نونو،هل شهدتم واحدن منهم أمام طابور أونروا لقد فروا- كلهم واختباوا تحت الحريم و في المستشفيات، بعد عن
C est un fait que nous sommes en face d un dinozaure qui essaye de devorer toute la Palestine, un dinozore que Abou Mazen ne peut stopper car il n a pas les moyens, mais qu il tente de ne pas recopier l experience de Gaza et de proteger ces enfants et la vie des bebes et des gamins et des vieux car il y en a assez d orphelin et de veuves a Zaga qui est devenu comme hirochima ,il faut arreter de pousser le peuple Paslestinien au suicide , les rapports de forces sont inegales ,la liberation de la Palestin est un devoir de tout le monde arabe ensemble,qui doit mobiliser toutes ces forces politiques et sociales et surtout economique,les barrages , et le mur c est apres les attentats suicides du hamas qui ont porter l extreme droite Nataniahou au pouvoir perpetre par le hamas,qu ils ont ete construite, a chaque fois que Abou Ammar etait a deux doigts de signer des accords de paix et meme d acculer Isreal a des concessions,Hamas a toujours fournis un pretexte que ce soit par les feu d artifices,que se soit par les discours fleuve ,et les encheres de Alhahia,de mener des guerres qu elles justifient de represailles , de defense legitime contre des personne qui exigent son aneatissement,toujours elle a su utilise et exploiter les medias a fond et a travers la manipulation de l information, toutes les erreurs commise par le Hamas, non prolongement de cessez le feu , pour detruire Gaza de nouveau libere par Abou Ammar et reconstruite par lui meme, le putsch de hamas et la constitution d un “etat” Gaza , sous controle des islamistes en rupture totale avec la cis jordanie sauf pour recevoir l argent de l autorite Palestinienne qui entretient et paye le salaire des fonctionnaires,et aussi recevoir l energie gratuite paye aussi par l EU,Abou Mazen n a pas construit les barrages et n a pas la forces de vaincre l Etat Hebreu si la syrie l un des Etats les plus puissants n est pas capable de reconquerir un morceau du Golan, alors 4 milles de la securite et des services de surete de l autorite vont pouvoir vaincre la 5 em puissance, mondiale,almouchkila anna ajouhala min amthal Souria wa Iran wa hiz Allah , wa alikhwan zaiyanou li harakat hamas annaha bi istitaatiha mouajahat Israel lakin lamma indalaat alharb tarakouhoum wahoum yastarikhoun bidoun moussada, wa Israel tahrek fi chaab kamel bil fosfore lam yataharek la najad wa la Alassad wa la Nasr Allah, maintenant il faut signe la reconciliation et immediatement des elections presidentielles ,legislatives et municipales sous des garanties qui n existent nullement dans aucun des pays arabes et qui se sont deja deroule dans la transparence totale et sous surveillance internationale , et qui ont abouti au triomphe de Hamas,Abou Mazen alors en 2006 appela Henia et lui a demanda de composer un gouvernement, la suite…Les freres musulmans quand ils arrivent au pouvoir ils provoquent par leur idioties des incencendies….a suivre, en tout cas Bourguiba avait raison,
Ya Ammar inti bach taatini dourous fi al malef al falestini ,j ai passe 30 ans dans la scene,et en plein action dans les annees 70/80.les dirigents du PLO , venaient me rendre visite a Genve et je me rendais souvent au proche orient pour les rencontrer a l epoque MAZAL MAFAKARITCH EL MOSSAD BACH TAKHLAK HAMAS.pour diviser le peuple Palestinien et justifie leur hegemonie et transformer une cause nationale en une guerre de religion , et aussi pour contrecarre la monte des forces de gauche et stopper le Fateh d Abou Ammar et fuir tous les engagements internationnaux,et surtout ne pas reconnaitre le droit a un Etat,il fallait creer le Hamas et leur facilte tout ., Tout le peuple Palestinien reclame l Unite nationale sauf le Hamas , pour servir les visees hegemoniques de l Iran et sa manipulation de la carte Palestine comme moyen de chantage politique .Le Hamas a accompli d une maniere integrale la mission qui lui a ete assigne des sa creation par les milieux des services secrets Isaelien, la perte et le dechirement de la cause et la transformation d un conflit Israelo Palestinien en un conflit Palestino-Palestinien,L homme le plus aime a Gaza ya Ammar c est Abou Mazen et nous sommes en contact avec les gens de la bas,et si tu veux des preuves , je viendrais te voir ou que tu sois et je te les montrerai .n empeche vous restez toujours un militant , et nous sommes tous pour la Palestine.
Avec tout le respet Melek, les 30 ans sur scene ont obscure le principe de base. Israel ne cedera rien s’il ne sont pas oblige. El la resistance c’est le seul moyen de pression credible. Pour moi franchement la solution ideale et peut etre la seule solution (dans quelques decennies) ce n’est pas le partage, C’est un seul etat democratique, seculaire, pour arabes et juifs.
La realite demographique (qui en principe favorise les palestiniens)va engendrer cette solution. Pour ca les palestiniens doivent resister, et rester sur leur terre. La droite israelienne et les colons savent cetter realite c’est pour quoi il feront tout pour rendre la vie miserable au palestiniens.
repair u door before u jump to the neighbours one.
Ce que font les jeunes actelement est une resistence heroique, ils affrontent les chars avec leurs poitrines ces braves heros, mais Mustapha AlBargouthi parle de tassid al nidhal achaabi ,et c est cela qui se passe,par contre ya si ammar, si on passe a des actions individuelles et on leur tue meme des soldats, alors ils vont mettre la cis jordanie a feu et a sang sans qu aucun pays arabe n interviennent a leurs secours et en plus ils vot les asphyxier et les encercler,et meme les chasser de leurs maison et s installer dans la terre biblique de la samarra et judee,il ne faut leur donner un pretexte, etcontinuer la lutte populaire,en attendant contemplez l Egypte, le Liban, la Girdanie, et meme la syrie, tous ne peuvent plus constituer “ALOUMK ALISTRATEGIE LIL MOUKAWAMA ” comme se fut pour le vietnam (la chine et l URSS), la coree (la chine et l URSS aussi,)le PAGS de cabral, le Pan Africain congres,de Mandela, le MPLNA de Neto, eux tous ont beneficie d un appui etranger et logistique qui a alimente la resistence et la conduit vers la victoire, helas la Palestine c est autre chose, choub Almabhouh il a ete denonce par ces proches, wa asbahna nounassek maa Almoussad ya si Ammar Khouya.