Par Des citoyens tunisiens,
Le Peuple Tunisien est un peuple que l’histoire a lié à son territoire depuis des millénaires. L’expérience et la richesse de cette histoire se traduit dans sa culture populaire, son organisation sociale et l’importance qu’a pris l’éducation de ses enfants, autant d’éléments essentiels d’une civilisation sans cesse renouvelée et enrichie. Les crises historiques qu’il a plusieurs fois traversées l’ont rendu résistant et capable de rester fidèle à lui-même dans les circonstances les plus éprouvantes.
Aujourd’hui sonne enfin l’heure pour le Peuple Tunisien de réaliser pleinement ce que ses ancêtres avaient tenté de faire aboutir lors de tournants historiques tels le soulèvement mené par Jugurtha, la révolution d’Ali Ben Ghedhahem ou encore l’accès à l’Indépendance : affirmer sa Dignité, conquérir sa Liberté, défendre ses Droits, et prendre ainsi le chemin du Progrès.
Seul un nouveau modèle politique, économique et social peut permettre d’atteindre ce but. Avec lui, la mise en place d’institutions, de nouvelles formes de gouvernance et d’éducation citoyenne protégeront les Tunisiens de la dictature.
La construction de ce nouveau modèle commence par un programme politique. La constitution et les représentants doivent être librement choisis par les Tunisiens. Le recours au référendum transparent et libre pour les décisions politiques majeures du pays doit également s’installer dans la culture politique tunisienne en s’appuyant sur le formidable potentiel de démocratisation qu’offre le vote électronique avec l’utilisation d’outils à large accès tels qu’Internet, le téléphone mobile ou encore les espaces publics numériques. Le succès d’un tel programme dépendra de sa capacité à instaurer une démocratisation réelle de l’acte politique : la Tunisie doit passer de l’ère révolue des dirigeants et des leaders à une ère nouvelle de représentants, simples porte-paroles des Tunisiens, élus pour une mission et un programme et qui resteront soumis au contrôle des citoyens.
Pour être légitime, ce modèle doit enfin inclure dans ses textes fondateurs, en particulier dans sa constitution, les libertés, les droits et les devoirs que le peuple a clamés lors de la révolution de 2011. Au premier rang de ces libertés, on peut citer celles de pensée, d’expression, d’information, de déplacement, d’action (politique, sociale et économique), et de croyance.
Au-delà de ce programme politique se dessinent dès à présent des programmes de développement humains, économiques et sociaux* à l’élaboration desquelles les forces vives de la nation doivent pouvoir contribuer.
Pour mettre en œuvre ces grands desseins, l’émergence d’un conseil national, à la fois consensuel et représentatif, symbole de la résistance à l’oppression, est indispensable. Ce conseil devra dans une très large mesure prendre appui sur les réseaux locaux et nationaux (comités citoyens dans les villes et villages, associations, ordres et syndicats…), afin de concrétiser le principe du pouvoir exercé par le peuple.
Nous proposons dans ce document quelques idées que nous souhaitons voir discutées et enrichies par le plus grand nombre.
Des citoyens tunisiens
Une ébauche des lignes directrices du programme pour discussion
Propositions pour le succès de la révolution en Tunisie
I. Programme Politique
- Une défense nationale basée sur le peuple, une armée, et des institutions a caractère stratégique
- Une constitution, des lois, des dirigeants librement choisis et des mécanismes adéquats : referendum, vote a la majorité qualifiée.
- Une résistance populaire face a tous les risques futurs de despotisme.
- Une vigilance constante face aux abus, aux dangers et aux interventions contre les intérêts de la patrie.
- Un contrôle populaire du pouvoir exécutif, qu’il soit politique, économique, ou social.
- La réduction des inégalités économiques, sociales ou dans le savoir
- La libération de la pensée, de la parole, et de l’action
- Une Tunisie harmonieusement articulée avec le Maghreb, la Méditerranée et le monde
- Une amnistie générale sur les condamnations injustes, les délits effectués avant le 15 janvier 2011 dans les domaines : moral, administratif, fiscal et financier
II. Programme Economique
- Confiscation des richesses spoliées
- Vivifier les réserves gelées : terres, ressources énergétiques et minières, mer, eaux, capacités humaines
- Rapatrier les richesses financières et humaines exilées
- Corriger les déséquilibres macro-économiques : taux de change, salaires, fiscalité…
- Renforcer le progrès économique de manière diversifiée et équilibrée entre les régions en exploitant toutes les potentialités
- Améliorer les revenus de toutes les catégories sociales défavorisées : chômeurs, bas salaires, travailleurs intermittents.
- Repartir la fiscalité sur tous les agents économiques avec des taux progressifs
- Assurer une harmonisation entre les régions et les individus par une juste et libre circulation des hommes, des capitaux et des marchandises
III. Programme Social
- Un habitat populaire et économe
- Une sante publique non consumériste
- Une éducation nationale généralisée, progressive et durant toute la vie des individus
- Une protection sociale juste, partageant les charges et les bénéfices de façon harmonieuse avec un filet pour les faibles et un parapluie pour les forts
IV. Programme Humain
- Sanctifier Les Libertés
- Octroyer Les Droits
- Définir Les Devoirs
- Libérer L’action
- Mobiliser Le Peuple Et Ces Elites Choisies
- Mettre En Valeur Les Symboles
- Protéger Les Héros
V. Plateforme Des Libertés, Droits Et Devoirs
Les individus, les groupes et le Peuple ont des libertés, des droits et des devoirs :
- les libertés : croyance et foi, conscience, pensée, opinion, circulation, action, expression, information
- Les droits : la dignité, la justice, l’éducation, le progrès, le travail, la défense, le développement, le choix des dirigeants
- les devoirs : respect de la diversité et de l’autre, l’action pacifique, la solidarité, la charité, la miséricorde.
VI. Plan D’actions
- Un conseil national symbole de la résistance a l’oppression, consensuel et représentatif, pour protéger la révolution et en assurer la réussite
- Un gouvernement populaire provisoire consensuel et représentatif
- des réseaux de vigilance, dans la rue, dans les quartiers, dans le pays, communiquant avec les technologies modernes et agissant quand nécessaire
- Une loi d’amnistie approuvée par referendum avec majorité large
- Une constitution approuvée par referendum avec une majorité large
- Un président choisi par élection avec une majorité qualifiée étendue
- Un parlement représentatif (tendances, régions, générations, classes sociales) élu avec une majorité qualifiée
- Un gouvernement bénéficiant de la confiance du parlement
Des Citoyens Tunisiens
@ l’auteur
Bon Programmes et MERCI
et j’ajoute des points tres importante:
-Politique Exterieur:doit changer
-VISA obl.pour les Lybiens 1000 USD (sont seulement des visiteurs du bordels) et en plus le bete GADDAFI supporte les Trabelsis
-participation du Tunisien a l’etrangers
-TAXE obl.pour RELIGION
Coordialament
CONSEIL NATIOANL pour la RESISTANCE (CNR)
powred by: OPERATION TUNISIA
Je cite ;
-VISA obl.pour les Lybiens 1000 USD
-TAXE obl.pour RELIGION
Rien à dire, merci de toujours commenter de cette manière. Les aberrations de ce genre me font toujours rire et une virgule humoristique après un texte sérieux est toujours bonne à lire.
Heureusement que le ridicule ne tue pas.
C’est la REPUBLIQUE DE PLATON , mais vous n’avez rien laisser au hazard .
Fantastique , j’espere qu’ils ecoutent Mbazaa et consort.
Bonne chance.
Auteur de l’article : G.H.
Titre : vers l’instauration urgente d’un Conseil National en Tunisie pour la sauvegarde et la protection de la Eévolution du peuple tunisien du 14 janvier 2011.
Nous avons appelé dès le 18 janvier 2011 à la création d’un Conseil National pour la sauvegarde et la protection de la Révolution du 14 janvier 2011 et nous sommes très heureux aujourd’hui de voir cette proposition sur le chemin d’une concrétisation pour le bien du peuple tunisien…
Aujourd’ui encore comme jamais, il est urgent et indispensable d’instaurer rapidement un Conseil National tunisien pour la sauvegarde et la protection de la Révolution du 14 janvier 2011, particulièrement en raison de ce qui se trame à l’encontre de la révolution tunisienne du 14 janvier 2011 aussi bien des dangers qui la guettent de l’intérieur que de l’extérieur, à savoir :
1- des Commissions constituées sans aucune consultation préalable des représentants du Peuple Tunisien, Commissions qui ont la charge de tracer l’avenir de la Tunisie comme bon leur semble, par des Professeurs de Droit Public en majorité Bénalistes,
2- des nominations récentes des Gouverneurs en majorité issus du R.C.D.
3- des nominations des hauts fonctionnaires de la Police et de la Gendarrmerie, anciennes figures du régime de Ben Ali,
4- les grands partis politiques d’opposition au régime de Ben Ali issus de “ENNAHDHA” de Rached Ghannouchi et de “C.P.R “de Moncef Marzougui n’ont pas été encore légalisés alors que le Premier Ministre GHANNOUCHI venait depuis le 14 janvier 2011 et jusqu’à ce jour, de légaliser plus d’une quainzaine de petits partis, en majorité de la Gauche Laîque, sachant très bien que ces petits partis politiques ne constitueront pas, lors des élections prochaines, un danger pour l’équipe actuelle au pouvoir en majorité issue du régime de BEN ALI. En effet, il est toujours d’usage que les petits partis se rabattent toujours sur les grands partis que ce soit lors des élections présidentielles ou législatives…!
5- des milices Bénalistes semant la terreur dans la population tunisienne pour avorter la Révolution sous la complicité du pouvoir tunisien actuel… Ces milices sont très souvent armées sous les ordres d’une mafia de l’ancien régime de Ben Ali…!
6- une politique étrangère reconduite actuellement à l’identique comme au temps de Ben Ali, vis-à-vis de l’investissement des étrangers en Tunisie, vis-à-vis de l’Union Européenne,vis-à-vis de la Ligue Arabe, vis-à-vis de l’Union Pour la Méditarrannée, vis-à-vis de l’Union Africaine, vis-à-vis de l’Union du Maghreb Arabe…Aujourd’hui, le Premier Ministre GHANNOUCHI et son Président par intérim F.M’BAZZAA ainsi que l’ancien Bureau du R.C.D, et la majorité des députés et des Conseillers actuels, veulent maintenir la même politique étrangère tunisienne qui a été conduite dans le passé par le régime de Ben ALI…
6- des dangers guettant la révolution tunisienne du 14 janvier 2011 peuvent toujours provenir des Etats-Unis, d’Israël, de l’Union Européenne (Italie, France…), des pays Arabes, comme les pays du Golfe, de la Lybie, de l’Algérie ou du Maroc où parait-il le dictateur Ben Ali trouve actuellement refuge après avoir quitté discrètement l’Arabie Saoudite… D’ailleurs, beaucoup d’armes ont été saisies en Tunisie depuis le 14 janvier jusqu’à ce jour, par l’armée tunisienne en provenance des pays étrangers… Malheureusement, d’autres quantités importantes d’armes continuent à circuler en Tunisie discrètement dans les mains de la mafia Benaliste : ce qui constitue un sérieux danger pour la Sécurité de la population tunisienne…!
L’ensemble de ces éléments laissent à douter sérieusement de l’intention de M.Ghannouchi et son Président par intérim M’BAZZAA de vouloir répondre réellement à la volonté populaire du 14 janvier 2011…!
C’est pour toutes ces raions qu’il est indispensable et urgent d’instaurer un Conseil National pour la sauvegarde et la protection de la Révolution , Conseil qui doit être issu de la base populaire et non du haut de la hierarchie gouvernementale ou des partis politiques, Conseil qui doit être issu à travers une représentation populaire regroupant bien sûr des représentants au niveau de chaque Gouvernorat, des Comités élus et formés de citoyens issus de toutes les catégories sociales à savoir : des intellectuels tels que les Avocats,les Enseignants,les Médecins, mais aussi des Militants du Peuple, des familles des Martyrs, des Syndicalistes de l’U.G.T.T., etc… Au niveau régional des Gouvernorats, ces représentants issus du peuple tunisien et désignés par lui, formeront des Comités pour la sauvegarde de la Révolution qui seront dans leur ensemble coiffés d’un Conseil National de la Révolution dont les Membres sont désignés à travers ces Comités.
Cette organisation représentative serait encadrée par un Decret-loi, de manière à contrôler son fonctionnement pour qu’il n’y ait pas des Abus, etc…Ainsi, le fonctionnement du Conseil Nationl pour la sauvegarde et la protection de la Révolution ne prêterait pas à des fantasmes de la peur…Son but unique est de répondre aux revendications du peuple tunisien exprimées a travers la Révolution du 14 janvier 2011…
Nous reproduisons ci-dessous la proposition que nous avions déjà avancée le 29 janvier 2011 et qui a été reproduite par le site :”Tunisia Watch”, en page de rubrique intitulée “Un Comité de Sages à la place du Gouvernement Tunisien”, parue en date du 25 janvier 2011, dont voici la reproduction intégrale :
“29 janvier 2011 à 17 h 26 min
Pour un CONSEIL NATIONAL DE REVOLUTION en Tunisie issu du Peuple tunisien et non à un Conseil de Revolution issu d’un Comité de Sages ou d’un Comité de Salut.
Une initiative a été avancée récemment consistant à créer un Comité de Sages (ou un Comité de Salut) qui serait composé de différents partis politiques et avocats, syndicats, et différentes personnalités politiques comme MESTIRI, EL-FILALI, AMED BEN SALAH,etc … dans le but de former un Conseil de Revolution.
Cette démarche n’est pas acceptable car le Comité de Révolution doit être avant tout l’expression et l’émanation du Peuple tunisien.
La révolution tunisienne du 14 janvier 2011 est partie de la base du Peuple tunisien à Sidi-Bouzid, à Menzel Bouzayane, à Regueb, à Thala, à Kasserine, à Feriana, à Kef, à Gafsa, à Benguerdane, etc… pour s’étendre à l’ensemble de la Tunisie. C’est une Révolution qui a été conduite essentiellement par le Peuple tunisien et par conséquent le mérite revient au Peuple tunisien de constituer son CONSEIL NATIONAL DE REVOLUTION en partant de sa base et non du haut par quelques anciennes figures issues du temps de Bourguiba ou d’autres personnalités qui prétendent aujourd’hui récupérer la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011 en confisquant toute représentation du Peuple Tunisien au sein de son Conseil de Révolution.
La démarche de constituer un Consei National de Révolution doit partir de la base du peuple tunisien vers le haut et non du haut pour s’imposer sur le Peuple Tunisien en prétendant faussement représenter la Révolution du Peuple Tunisien du 14 janvier 2011.
C’est ainsi en partant de la base, déjà, le Peuple tunisien avait constitué ces cerniers jours, quelques Comités de Révolution à Kasserine et à Sidi-Bouali près de Sousse. à Seliana, à Kebili, à El.fahs, à Gafsa, et ailleurs… Ces intiatives populaires doivent être étendues rapidement et d’une manière urgente à l’ensemble des Gouvernorats de Tunisie.
En partant de la base, les populations tunisiennes dans l’ensemble des Gouvernorats de Tunisie doivent créer dans chaque Gouvernorat de Tunisie un Comité de Révolution pour la sauvegarde et la protection de la Révolution du 14 janvier 2011.
Chaque Comité de Révolution crée au niveau de chaque Gouvernorat doit à son tour désigner un certain nombre de Membres , qui pris dans leur totalité au niveau de l’ensemble des Gouvernorats formeront les Membres du CONSEIL NATIONAL DE REVOLUTION de Tunisie, qui serait une véritable émanation d’une représentation directe du Peuple de tunisie. Ce qui le diffère d’un Conseil de Révolution issu d’un Comité de Sages ou d’un Comité de Salut s’imposant du Haut de la hiérarchie sur le Peuple Tunisien avec le grand risque de confisquer et de voler sa Révolution du 14 janvier 2011…
Le Conseil National de Révolution issu du Peuple tunisien aurait la charge de diriger l’avenir politique de la Tunisie :
1- en proclamant la naissance d’une nouvelle REPUBLIQUE de Tunisie
en s’attachant à la rédaction d’une nouvelle Constitution ou le
citoyen gràce à ses Membres aurait un droit de regard notamment
sur la question de savoir s’il lui faut un Régime Présidentiel,
ou Semi-Présidentiel ou Parlementaire. Ces questions ne doivent
pas être traitées unilatéralement par la Commission Nationale de
Réforme présidée par Yadh Ben Achour, car elles révèlent une grande importance pour l’avenir de la Tunisie.
2- Le Conseil National de Révolution issu du Peuple tunisien se
prononcera sur la dissolution de la Chambre des Députés et de
la Chambre des Conseillers dont les élus ne représentent plus
aujourd’hui le Peuple Tunisien puisque ces élus étaient la
plupart issus du R.C.D et sont majpritairement des figures
fidèles au régime de BEN ALI indésirables aujourd’hui par le
Peuple tunisien…
3- le Conseil National de Révolution issu du Peuple tunisien
s’attachera à modifier l’arsenal juridique hérité de Ben Ali,
notamment, les lois sur le Code électoral, sur les Partis
politiques, sur la Presse, sur le Code de l’investissement, sur
le terrorisme, etc..
4- Le Conseil National de Révolution issu du Peuple tunisien en
partant de sa base se prononcera sur toute forme d’organisation
politique ou administrative intéressant l’avenir de la Tunisie..
Le Conseil National de Tunisie issu du Peuple Tunisien doit être accepté par F.MBAZZAA, l’actuel Président par intérim en l’entérinant par Decret-loi ou par toute autre forme juridique car le Peuple Tunisien est souverain et son choix s’impose sur ses représentants,(Président comme Prmier Ministre) et non l’inverse.
L’Armée tunisienne qui fait partie du pouvoir exécutif et qui obéit aux ordres du Ministre de la Défense doit obligatoirement se soumettre au service du Peuple tunisien qui désire une nouvelle Constitution. L’Armée tunisienne doit être au service du Peuple Tunisien et non lui imposer le repect d’une Constitution désuète aujourd’hui, une Constitution qui a été taillée sur mesure par BEN ALI en faisant appel dans le passé à certains professeurs de Droit Public en Tunisie pour lui permettre un certain nombre de révisions constitutionnelles à sa guise afin de maintenir sa dictature…
Si l’Armée tunisienne sur ordre de son Ministre de la Défense et sur ordre de son Premier Ministre GHANNOUCHI et son Président par intérim M’BAZZAA refusent et empêchent la création du Conseil National de Révolution issu du Peuple, ceci est une grande preuve qui attesterait le refus de la Révolution du 14 janvier 2011 par le Gouvernement actuel de Ghannouchi et son Président par intérim, dans le but de rétablir l’ancien régime de Ben Ali durant cette période transitoire…
Fait par G.H.
Le 29 janvier 2011”.
Telle a été notre proposition et nous sommes très heureux aujourd’hui de la voir sur le bon chemin de la concrétisation pour le bien du peuple tunisien…
Fait par G.H.
Le 15 février 2011
Good points. Agree that a National Constitutional Counsel is the number one priority at this time. Moreover, I think Ennahdha and the C.P.R. should not wait for the interim Gov. approval. They have to assert themselves and make it a point that they do have a right to participate in the political process with or without gov. approval. It’s time for the big party to confront the interim gov., drawing on popular support, to assert those rights for themselves and for all other parties.
Most help articles on the web are ianccratue or incoherent. Not this!
Je placerais au premier plan la réduction des inégalités. Un trop grand degré d’inégalité, avec la richesse nationale monopolisée par une caste restreinte de riche est à mon sens le plus grand danger guettant la Tunisie.
Cette inégalité se constate en particulier entre la bougeoisie du littoral et les populations de l’intérieur de la Tunisie.
Une redistribution de la richesse est nécessaire, pour préserver l’unité de la Tunisie. Cette redistribution doit se faire avant tout par l’impot, tout en évitant une fuite des capitaux vers l’étranger. Une autre solution est un emprunt de solidarité.
L’argent peut aussi venir de l’extérieur: diaspora tunisienne, prêt de la communauté européenne. Enfin il ne faut pas oublier les biens détournés par le clan Ben Ali
Mais une condition nécessaire pour l’efficacité de cette redistribution est la transparence: les fonds doivent parvenir aux personnes qui en ont besoin, sans risque d’être détournés. Ils doivent avant tout servir à des usages productifs , de création d’entreprise dans les régions moins favorisées.
Je pense que le programme social doit aussi oeuvrer a assurer un accès équitable à l’information pour tous.
Le programme politique pourrait s’enrichir par la création d’un contrepouvoir dans le domaine de la communication en donnant une voix durable et permanente aux citoyens >
Par ex. Financement public (+publicitaire) de mensuels locaux (electroniques) batis sur le principe de l’ouverture à toute forme d’expression des citoyens et encadres par une petite équipe de rédaction
Car ce role de contrepouvoir ne peut être joué par les médias, toujours soumis à des intérêts de l’état ou des actionnaires
La redistribution des richesses peut aussi se faire par l’investissement massif de l’état (via le soutien à des credits/micro-credits) dans les domaines agricoles / tehnologies de l’information / industrie locale qui sont faciles à développer dans les régions défavorisées et permettraient d’exploiter l’incroyable potentiel de ces regions qui aujourd’hui est laissé en jachère.
“3.des réseaux de vigilance, dans la rue, dans les quartiers, dans le pays, communiquant avec les technologies modernes et agissant quand nécessaire ”
Je crois que par cet close vous voulez instituer et officialiser le rôle des milices dans un pays que vous voulez démocratique, le pays seras défendue par tout le peuple sans exception et non par des milices.
Par contre moi j’ajouterai qu’il nous faut un méga projet pour changer a vie le nouveau visage de notre chère et démocratique Tunisie ce méga projet est la création de stations de dessalement d’eau de mer le long des cotes tunisienne pour irriguer chaque mettre carre de la Tunisie, notre agriculture ne doit plus dépendre de la pluie, voila un projet que doit soutenir chaque Tunisien digne de se nom, il nous permettra de créer des centaines de milliers de poste de travail permanents et saisonniers,
Gagner notre indépendance alimentaire, c’est gagner notre dignité
Ne jamais arreter a penser a l’avenir de notre peuple c’est l’essenciel et l’important.
voir les inegalitees et injustices et les enlever le plus vite possible.
voir et preparer l’avenir du pays
les leaders doivent etre des vrais responsables consient qui evitent toute bavure.
Dire la veritee au peuple , meme pendant les moments les plus difficiles.
Equilibrer la division des richesses dans le pays.
et de continuer a lutter contre tout etat et symbole de dictature ( BEN ALISME ET RCDISME ) bien sure..
je m’enrichie jour aprés jour en lisant les articles et les commentaires sur Nawaat. je suis nulle en politique mais grace à vous tous je me soigne. merci et continuer de nous informer.
http://www.petitions24.net/soutien_au_conseil_national_pour_la_protection_de_la_revolution
Hélas la révolution du peuple tunisien a été volée. Malheureusement pour nos martyrs et tous ceux qui se sont blessés et qui ont tenu tête au régime corrompu du despote Ben Ali. Je me demande comment le peuple tunisien accepte d’être manipulé par les membres de ce gouvernement dit provisoire qui ont cautionné ce régime et sont donc complices dans tout ce qui s’est passé pendant les 23 ans de pouvoir absolu et plus particulièrement lors de la répression des manifestations. Comment on peut accepter cette situation? Il faut absolument se débarasser de tous les symboles de l’ancien régime. Comment peut on faire confiance à ces gens qui ont participé à la dérive du pays.
Il ne faut pas crier défaite si tot. Si le peuple n’accepte pas, le peuple descendra dans la rue.
Reagir après des élections truquées/avec aucun candidat acceptable n’est pas une option car on ne pourra rien y faire et le mirage de la stabilité et des promesses bloquera toute action.
Par ailleurs les tunisiens ont clamé haut e fort leur refus du système actuel et le gouvernement de transition ne semble pas enclin a faire le moindre changement. Alors quand?
de toute façon on ira tous voter et si les élections seront libres on balaiera tout et tous
Je doute fort qu’il y’aurait des élections libres et démocratiques. ce gouvernement et ceux qui sont derrière font tout faire pour reconduire l’ancien régime sous une autre forme. Vous allez voir!!! Si nous restons passifs, nous allons retourner à la case de départ
A mon avis et apres tout ce silence qui roule contre la montre , n’est qu’un temps perdu , que le soit dison gouvernement interimaire , gagne et utilise pour trouver une solution de reinstaller les membres du RCD au pouvoir , vus qu’ils sont les leurs. et notre revolution seras violer puis massacrer par une autre dictature .
but it is (( OVER MY DEAD BODY )) je vous le jure que je serais en premiere ligne pour me battre contre les RCDiste et BenAliste s’il essaye de revenir au pouvoir.
Le vote électronique, sous toutes ses formes, ne permet aucune transparence, à l’inverse des qualités exigées pour un vote vraiment démocratique.
Loin d’être une remarque de passéiste technophobe, ce point de vue est exprimé par les informaticiens les plus pointus.
L’ASTI, association de 5000 informaticiens (chercheurs et professionnels) : «l’ASTI recommande que […] pouvoirs publics, partis politiques et société civile ne recourent en aucune manière au vote électronique anonyme»
http://www.ordinateurs-de-vote.org/Communique-du-20-decembre-2007-Une,10360.html