La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si les méthodes d’Ennahdha ont changé ou s’ils sont restées celles du bon vieux temps ? Autrement dit, est ce que la violence et le discours radical sont revenus sur la scène politique tunisienne avec le retour d’Ennahdha ?

Ce qui est certain en se basant sur les discussions échangées dans la rue et dans les cafés, c’est que Ennahdha a perdu beaucoup de voix à Gabes. C’est la preuve que la rue tunisienne refuse toutes les formes de menaces considérant que les discours violents sont l’apanage du président déchu.


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